Histoire : F/H - H/F Histoire inventée, dédicassé à  m'ssieur Nombrilou

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Histoire ajoutée le 28/08/2005
Épisode ajouté le 28/08/2005
Mise-à-jour le 03/07/2021

F/H - H/F Histoire inventée, dédicassé à  m'ssieur Nombrilou

Walà , parce que jtavais promis Nombrilou une histoire..bon c'est surtout la fin qui risque de t'interesser, mais bon.. :)
Bonne lecture à  tous



Ca a commencé sur internet, de discussions banales sur des forums, jsuis arrivée à  ajouter plusieurs fétichistes en tout genre sur msn... Chatouilleurs générals, fétichistes des pieds....fétichiste du nombril...
Jsuis devenue "amie" avec certains, assez proche tout en restant internaute... Et ce gars là , fétichiste des nombrils, il s'appellait Laurent, il avait tout juste 18ans et j'avais bien sympathisé...
Un soir alors que plus rien n'allait chez moi et que je m'étais enfermée dans ma chambre, j'avais appellé Laurent, parce que je savais qu'avec lui je pourrai parler sans qu'il ne me juge. Ce dernier me proposa en dernier recours de fuguer, jusqu'à  chez lui. Ayant des humeurs à  parfois vouloir tout plaquer du jour au lendemain, je trouva son idée bonne et partie de chez moi dans la nuit...
Je vous passe tout les détails du trajet, à  être dans le même wagon que quelques personnes louches. Bref !

Trois heures plus tard j'étais devant sa porte d'immeuble, heureuse mais à  la fois la peur au ventre car je l'avais jamais vu, peur de décevoir, ou au contraire peur de m'être trompé sur la personne... Bref je sonnais:

"-Erika ?" fit la voix de l'haut-parleur.
"-Heu..ouais c'est moi" répondis-je avec un ptit rire nerveu.
"-4ème étage sans assenceur ma poule, jtattend à  la porte"

La porte de l'immeuble s'ouvrit et je commencais à  monter les escaliers... 1er étage, 2ème étage, 3ème... Arrivée au 4ème, je vis un bonhomme torse nu en pantalon de survet et les pieds nu, appuyé contre le mur les bras croisés et qui rigolait:

"-Salut ma fugueuse!"

Malgrès l'épuisement dû au trajet et à  ma journée, j'eu quand même le courage de monter les dernières marches en courant et de lui sauter dans les bras.

Il était dans les environs de 5h45 et nous étions assis dans le canapé à  boire une bière, autour de dixaines de cartons non déballés de son récent déménagement:

"-Ch'avais pas qu't'étais aussi bordélique dis moi" lui dis-je, avant de reboire une gorgée de bière.

A ce moment même, il me chatouilla vite fait les côtes comme un bourru, ce qui me fit recracher ma bière sur le parquet, j'étais entre l'étouffement à  cause de la bière qui été mal passé et la crise de rire sans vraiment de raison:

"-Tu dis que c'est le bordel chez moi mais toi tu craches sur le parquet alors..." me répondit-il en rigolant.

Et là  comme vous pouvez vous en doutez jlui ai sauté dessus et j'ai commencé à  le chatouiller. Bah oui, deux chatouilleux/chatouilleurs laissés ensemble dans une même pièce et qui se provoque, ca ne peut que finir par des chatouilles...
Je posais donc ma bouteille sur un de ses cartons, délicatement comme si de rien n'était, mais une fois posée, je lui sautais dessus, m'agenouillant sur lui pour lui chatouiller le ventre. Ses mains repoussaient les miennes mais il n'en été pas sauvée pour autant, j'étais déterminé et j'arrivais à  le gratouiller à  des endroits stratégiques sans que ses mains ne puissent me déranger, le faisant fondre dans ses rires discrets mais pas forcée, des rires naturels tant monsieur était récéptif à  mes chatouillis qui le titillait mais à  la fois lui plaisait, car malgrès ses gigotements de droite à  gauche, je sais que s'il aurait voulu que ca s'arrete, il aurait pu me renverser par terre...

C'est d'ailleurs ce qu'il fit au bout de 10 petites minutes, car lui aussi voulait sa part de gateau! Je me sentais moins à  l'aise à  la place de la chatouillée, malgrès que j'avais souvent rêvé de chatouilles j'aurais bien voulu céder ma place à  une autre, mais il n'y avait que moi ici et Laurent: par terre tout les deux, moi sur le dos, lui à  califourchon sur mes hanches et qui commencait à  m'enquiquiner en me chatouillant furtivement les côtes, le ventre, et en me lançant des "alors ma ptite chatouilleuse !" et moi bêtement je ricanais et me débatait de mes mains, tout en fixant mes yeux dans les siens pour amplifier la complicité et chercher la provocation.

Alors qu'il m'avait dit plusieurs fois ne pas être vraiment interressé par les pieds, il changea de cap et se dirigea vers les miens à  mon plus grand étonnement:

"-Hey ! où tu vas là  ?!" lui dis-je en lui tirant le bras, le faisant retomber sur moi.

Il m'embrassa sur le front, ris et trouva quand même le moyen de repartir en direction de mes pieds et de coincer mes deux chevilles entre ses molets et ses cuisses sans que je ne puisse réagir:

"-Jvais t'chatouiller les pieds ma poule, non pas que ca m'excite mais c'est pour t'punir de dire tellement de conneries sur internet, et comme jsais que t'es vraiment chatouilleuses des pieds à  ce que tu m'as dis...hein ?"

On était mort de rire tout les deux, à  vrai dire il disait encore plus de conneries que moi... A penser que parfois la complicité entre deux êtres peut vraiment jouer de mauvais tour.
Soudain mes rires dépassèrent les siens puisque je sentis 5petits ongles glissaient le long de ma voûte plantaire chaude. J'écartais alors les orteils, machinalement sans trop savoir pourquoi, croyant peut etre que ca calmerait le chatouillement mais que dalle, je riais de plus en plus fort et me débatais comme une vraie furie, gitotant des jambes, bougeant mes pieds dans toutes les positions inimaginables:

"-Nan nan mais nan jten suppli arrete pas les pieds steu'plait"

Ses doigts courataient toujours sous mes pieds, passant du droit au gauche, du gauche au droit, me faisait supplier et rire aux éclats, je me cabrais et esperait qu'il se lasse vite mais à  chaque minutes qui passait, le calvaire était de plus en plus chatouillant et je devenais de plus en plus intenable et bruyante, et pour vous dire, cela à  duré 6 énormes minutes où je ne quitais pas la pendule des yeux. Cela aurait sans doute continuait quelques petites minutes si je n'avais pas dis ce qu'il ne fallait surtout pas dire à  quelqu'un comme Laurent:

-"Le nombril si tu veux attaches moi fais tout ce que tu veux mais arretes de me chatouiller les pieds je crains trop je t'en suppli"

Après mes paroles il s'était arreté net, mais je commencais déjà  à  regretter ce que j'avais dis quand je le vis avec des foulards dans les mains. Certes jpouvais prendre mes jambes à  mon cou et partir en courant, mais si j'avais fugué c'était un peu grâce à  lui, alors je me laissais faire.
Il me demanda de m'assoir, et il me lia les poignées derrière le dos, puis il me fit coucher sur le dos dans son canapé qui était très souple, je m'enfoncais donc dedans et mes mains ne me faisait pas mal dans le dos.
C'est quand il remonta mon t-shirt jusque vers mes seins que je m'inquieta vraiment:

"-Peut être on pourrait faire ça demain nan ?"

Il rigolait de me voir paniquer:

"-Dans tes récits tu me paraissais plus courageuse ptite poule hein ?"
"-Dans mes récits, oui..."
"-Oui, mais jvais pas te détacher maintenant, jserais déçu, et toi fais moi confiance"

J'avais le nombril qui ressortait, qui faisait une forme d'escargot en quelques sortes, et j'avais envoyé plusieurs photos de ce dernier à  Laurent qui fantasmait devant. Plusieurs fois il m'a juré de me punir d'avoir un si beau nombril, et ce jour été arrivé, mais j'avais l'impression que soudain je l'intimidais.
Il commenca par me carresser le ventre, me donnant quelques frissons, puis quelques fois il portait sa bouche à  mon nombril, l'embrassant puis le léchouillant par la suite, me faisant me cabrer et pousser de petits "hmmm" non pas d'excitation mais d'irritation, mais tout cela ne me menait pas aux rires, bien heureusement.
Puis ses caresses devinrent rapidement des gratouillis, puis chatouillis pour finir par de sérieuses démangeaisons qui me faisait rire aux éclats, ses doigts parcourant côtes, ventre et sa langue tournicoquant sur mon nombril. J'essayais de me mettre sur le côté mais rien n'y faisait j'avais le poids de Laurent sur les cuisses.
J'avais la tête en arrière et je riais en lançant des "arrêtes" rieurs, en sachant très bien qu'il ne le ferait pas.
Je fixais la fenêtre qui se trouvait derrière moi, essayant de me concentrer sur le levé du soleil tout en pouffant de rire et gigotant des jambes à  chaque fois que Laurent parcourait des endroits plus sensible que d'autre comme dans les creux qu'il peut y avoir entre les hanches et le ventre.
Soudain je poussa un cri, non pas de rire mais de surprise quand je senti les chatouilles s'intensifiaient puissance dix: Laurent me gratouillait le nombril de son ongle, me procurant une sensation horrible qui me faisait frissoner de la tête jusqu'au pieds. J'avais le bas ventre brulant et je le suppliais direct d'arrêter ou de se calmer un peu, mais rien.
Je me cabrais, sans me rendre compte de suite que cela faisait ressortir mon nombril, et lorsque je voulu me renfoncais dans le canapé, Laurent passa un coussin sous mon dos, à  la hauteur de mon nombril, m'empechant en quelques sorte de me "dé-cabrer"...
Je bougeais dans tout les sens, tourner la tête de tout les côtés, j'étais à  la limite de l'hystérie et mes rires s'entremelés avec mes cris et mes supplications.
Il passait son ongle sur le noeud de mon nombril, en faisant de mini cercles, puis les côtés du noeud y passait à  leur tour.
Il faisait ça d'une main et de l'autre carressait mon bas ventre, en glissant parfois sa main dans mon boxer, ce qui augmentait malgrès moi l'excitation. Il n'hésitait pas et allait aussi chatouiller mes aines par de fines caresses qui me faisait gigoter les jambes.
Tout ça durait depuis à  peu près dix minutes et l'on dû s'arrêtait -heureusement- car mes parents essayaient de me joindre sur mon portable...

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