Histoire : Les apparences sont parfois chatouilleuses!

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Histoire ajoutée le 21/02/2012
Épisode ajouté le 21/02/2012
Mise-à-jour le 03/07/2021

Les apparences sont parfois chatouilleuses!

Chapitre 1

Les pas de la jeune femme résonnaient sur les dalles de la rue, déserte à cette heure tardive, dans laquelle elle avançait. Cheveux bruns un peu plus bas que les épaules, lisses, yeux verts, taille moyenne, environ 16 ans. Une ado rentrant chez elle après une soirée entre amis, tout ce qu’il y a de plus banal. Les rares lampadaires qui parsemaient l’endroit l’éclairaient faiblement, juste assez pour distinguer où l’on met les pieds.

-Mmh…pas mal, pensa l’homme tapi dans l’ombre d’une ruelle adjacente, qui la regardait avancer vers lui avec attention.

Elle arriva au niveau de la ruelle, s’y engouffra, passant devant l’homme recroquevillé dans le noir, sans s’apercevoir de sa présence. Elle continua tranquillement son chemin, sans se rendre compte qu’elle était suivie de près. Jeune, très grand, cheveux noirs, yeux bleus, habillé d’un gilet sans manches fermé sur le devant par une fermeture éclair argenté, un jean et des baskets, le tout de la même couleur que ses cheveux. Il accéléra le pas, se retrouvant juste derrière la fille, qui cette fois se retourna, tombant nez à nez avec lui. Elle sembla effrayée par le sourire faussement amical qui lui barrait le visage. Avant même qu’elle ait pu esquisser le moindre geste, ou prononcer le moindre son, il la bâillonna d’une main, puis l’immobilisa de l’autre. Surprise, elle tenta de se débattre, mais, en dépit de sa masse musculaire, certes développée, mais qui ne laissait rien paraître, il possédait une force énorme et ne bougea pas malgré les furieux mouvements de la captive. Elle parvint à tourner la tête, son regard croisa celui de son agresseur, qui la fixa intensément. Elle ne parvenait pas à détacher ses yeux, et le regarda comme hypnotisée. Ses mouvements s’atténuèrent, sa résistance faiblit, ses paupières se baissèrent lentement. Il la lâcha et elle tomba au sol, inconsciente.

Quand elle se réveilla, elle eut l’impression de sortir d’une cuite à la tequila. Elle voyait flou, avait du mal à bouger. Et pour cause. Elle voulut se lever mais n’y parvint pas. Brusquement réveillée, elle se rendit compte qu’elle était allongée en sous-vêtements, attachée en I par des bracelets de cuir reliés à des chaînes fixées aux barreaux du lit sur lequel elle se trouvait. Elle se débattit, paniquée. Elle voulut appeler à l’aide, mais un foulard la bâillonnait et l’en empêcha. Elle se raidit, silencieuse, quand elle perçut des bruits de pas qui se rapprochaient. Elle reconnut le jeune homme qui l’avait agressée dans la rue. Il s’arrêta à côté du lit, se pencha vers elle, lui caressa la joue. Terrorisée, elle se mit à pleurer. Il rapprocha son visage de celui de la jeune fille terrifiée, lui écarta les cheveux de son oreille et lui chuchota doucement :

-N’aie pas peur, je ne te ferai pas de mal. Je veux juste te faire rire.

Et disant cette dernière phrase, il commença à agiter, d’abord doucement, ses doigts sur les côtes de la prisonnière. La réaction de celle-ci fut immédiate. Elle tenta de se débattre, poussant quelques gémissements et des rires étouffés par le bâillon. Il redescendit vers les côtés du ventre. Ses rires redoublèrent quand il remonta sur le haut du ventre et promena aléatoirement ses doigts sur cette zone. Elle essayait désespérément de se soustraire aux doigts agiles de son bourreau, mais elle était bien attachée et n’y parvint pas. Elle se contentait de hurler derrière son bâillon, et continuait de pleurer, de rire cette fois. La torture restait pour le moment supportable, jusqu’à ce que le jeune homme remonte sur les aisselles de la jeune fille. Elle se cambra et poussa un hurlement étouffé, bougeant du mieux qu’elle put. Amusé, le bourreau prit plaisir à rester un maximum de temps sur cette zone, la torturant du mieux qu’il pouvait.
Plus de vingt minutes plus tard, voyant que sa victime était sur le point de s’évanouir, il s’arrêta pour lui laisser une pause. Il lui retira le foulard afin qu’elle puisse mieux reprendre son souffle.

-Mais t’es qui, toi ? Parvint-elle à articuler.

-Je m’appelle Zack. Et toi, c’est quoi ton nom ?

- T’as pas besoin de le savoir.

Il fit mine de s’approcher à nouveau de ses aisselles. Elle paniqua.

-Ok Ok !!! Je m’appelle Sakura.

- Un très beau nom japonais qui signifie « fleur de cerisier »… ça me plaît bien. J’ai envie de m’amuser encore un peu avec toi, termina-t-il avec un sourire diabolique.

Malgré les cris de supplication de la pauvre Sakura, il se releva et se dirigea, lentement bien sur, vers ses petits pieds, encore protégés (plus pour longtemps) par ses ballerines noires. Elle tira sur ses liens, se débattit de toutes ses forces, paniquée.

-Tiens ? Pourquoi tu paniques comme ça ? Tu serais pas un peu sensible des pieds toi ?

Ignorant tout des cris de la jeune fille, il lui retira, très lentement et avec un grand sourire lui barrant le visage, ses petites ballerines, découvrant de beaux petits pieds fins. Un 37 rosé, avec des orteils bien dessinés. Il remonta doucement du bas du talon jusqu’en haut de la plante, ce qui fit sursauter la jeune fille qui éclata de rire.

-Eh ben, eh ben ! C’est pas mal du tout ça ! Je vais rester un peu là, qu’est-ce que t’en penses ?

Sans attendre de réponse, qu’il saurait de toute façon négative, il lui remit son bâillon et lui mit en plus un bandeau sur les yeux, histoire qu’elle ne puisse rien anticiper. Il retourna à son poste, l’air visiblement satisfait d’avoir découvert une telle sensibilité chez sa victime. Il passa la main dans ses cheveux, sourit et commença, d’abord tranquillement, à gratouiller la plante si sensible de la jeune suppliciée. Quoique douces, les chatouilles déclenchaient une cascade de rires étouffés chez elle. Elle tentait de se débattre mais Zack lui tenait fermement les orteils tirés en arrière afin d’offrir la plante au maximum. Progressivement, le plus lentement possible, il prit un malin plaisir à intensifier ses attouchements, à les accélérer, en ne restant jamais au même endroit du pied pour le torturer au maximum. Au vu des gémissements et autres rires et cris étouffés par le bâillon, le jeune homme en déduisit, non sans un grand sourire, que la jeune fille avait vraiment une grande sensibilité à cet endroit.

Plus d’une heure s’était écoulée depuis le début de la séance. Zack jeta un œil à Sakura, trempée, écarlate et essoufflée. Il décida alors d’écourter la séance, à contrecœur. Il prit son portable, vérifia que les vidéos qu’il avait prises étaient bien enregistrées, prit quelques photos supplémentaires avant de détacher l’adolescente exténuée. Il lui retira son bâillon, son bandeau sur les yeux. Il la fixa intensément, et son regard devint vide. Elle retomba sur son lit, le jeune homme récupéra vite ses affaires avant de s’enfuir par la fenêtre tandis que la victime se relevait péniblement, en se demandant bien où elle était. Plus un seul souvenir, aucune trace de cette séance. Aucune ? Non, il restait bien au bourreau les photos et les vidéos de la torture de Sakura.

Satisfait malgré la courte durée de ce moment d’éclate (pour lui bien sur, la jeune fille n’avait pas dû en penser la même chose), il continua à déambuler dans les rues à la recherche d’un hôtel pour la nuit. Après avoir trouvé, il loua une chambre, se laissa tomber dans le lit et s’endormit en rêvant du programme de la prochaine torture.

Le lendemain, après un petit-déjeuner rapide dans la grande salle de restauration, il paya à la réception et repartit à la recherche d’une nouvelle proie. Arrivé au niveau d’un lycée, il marqua un arrêt. C’était presque l’heure de début de cours. Il ne laissait pas les jeunes filles indifférentes, qui le regardaient avec insistance. Il leur sourit et les vit rougir.

-Elles sont mignonnes à cet âge-là, pensa-t-il.

Il parcourut les filles des yeux, pour voir un peu ce qu’il y avait en boutique. Son regard s’arrêta sur une ado à l’écart des autres, dont certains garçons semblaient se moquer. Elle était pourtant jolie : cheveux blonds, aux épaules, beaux yeux bleus clair, les traits fins, débardeur blanc, jupe bleu foncé et veste en jean. Aux pieds, des ballerines blanches qui attirèrent immédiatement l’attention de Zack. Un petit 36.

- Elle me plaît bien, se dit-il. Bon, proie identifiée ! C’est parti !

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