Histoire : F/F Deux copines le soir

Cette histoire se passe en Gaspésie. J’y ai passé une fin de semaine chez mon amie Josée qui habite cette région. À ce moment là, je ne m’attendais pas à ce qui allait suivre! J’arrive donc chez elle le midi, nous allons manger et le reste de la journée se déroule dans la joie de s’être retrouvée après une longue séparation. Arrive le soir, nous allons dans sa chambre et nous installons mon lit pour la nuit. Nous avons mis de la musique et on dansait en faisant les folles sur «Last Friday night» de Katy Perry. Plus tard, nous nous sommes couchées (mon lit était par terre, juste à côté du sien). Je faisais semblant de dormir et elle l’a bien vu. Elle se penche alors vers moi et me dit :
-Je sais que tu ne dors pas
Je reste de glace et continue de faire semblant de dormir, tout en retenant un sourire en coin.
Tout d’un coup, je sens un poids sur moi! Mon amie venait de me sauter dessus et n’avait pas l’intention de me lâcher. Étant couchée sur le ventre, il est impossible pour moi de me lever ou d’essayer de bouger! En deux temps trois mouvements, Josée a commencé à me chatouiller les côtes. Me voyant éclater de rire et me tortiller dans tous les sens, elle me chatouille sous les bras, ce qui me met dans une hystérie totale! Je la supplie d’arrêter mais elle ne veut rien entendre.
-Alors, tu dormais, hein?
-D’accord j’avoue!! Je ne dormais pas! Hahahaa! Aaaarête ça chatouille trop hihihi!
Elle se tourna ensuite vers mes pieds, mes pauvres petits pieds sans défense! Son poids étant maintenant dirigé sur mes jambes, j’eu l’occasion de me dégager de son emprise. Son visage, lorsqu’elle comprit que j’avais réussi à me dégager, blêmit. Le mien en revanche affichait un air diabolique.
Elle ne mit pas long avant de se mettre à courir partout dans la maison, moi à ses trousses. Arrivée la cuisine, la table nous séparait. Nous étions toutes les deux à bout de souffle tellement nous avons rie et couru. Un sourire apparu alors sur son visage.
-Tu sais, je peux recommencer moi aussi si je t’attrape en premier…
La terreur s’empara de moi et, en un instant, elle fut sur moi, à me torturer en riant. Je riais aux éclats et nous passions un bon moment. Quand elle eu terminé, nous étions toutes les deux par terre, épuisées.
Le lendemain, je me suis réveillée avant elle….Je vous laisse imaginer la suite