Histoire : F/F Deux copines le soir: La suite

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Histoire ajoutée le 01/06/2012
Épisode ajouté le 01/06/2012
Mise-à-jour le 03/07/2021

F/F Deux copines le soir: La suite

À la demande, voici la suite de mon histoire: «Deux copines le soir».
Le lendemain matin, je me suis réveillée avant Josée. Je n’avais qu’une chose en tête : ma revanche. Me creusant la tête pour trouver un moyen de l’immobilisée (elle est plus grande et forte que moi), aperçue la corde de son peignoir (pas vraiment une corde mais vous voyez le genre). Elle était assez longue pour que je puisse lui attacher les 2 mains ensembles. En m’assoyant sur elle, cela viendrait donc compléter la phase un de mon plan. Je l’attachais donc aux barreaux de son lit très discrètement afin qu’elle ne se réveille pas tout de suite. Quand j’eu terminé, j’attendis qu’elle ouvre les yeux, puis bondi sur elle! Étant futée, elle comprit assez rapidement ce qui allait venir.
«Oh non je t’en supplie! Pas ça!»
Je fis mine de ne rien entendre. Je commençai par m’attaquer à ses côtes (extrêmement sensibles), ce qui la fit littéralement exploser de rire. Elle ne pouvait plus arrêter et cela me faisait moi-même très rire. Elle était prise au piège et le savait.
«Arrête je t’en supplie ça chatouille trop hahahahaaa!»
«Ah oui? Et ÇA, est-ce que ça chatouille trop aussi?»
Je dirigeai mes doigts sous ses bras, où la réaction ne se fit pas attendre : elle hurla de rire. La voir comme ça était un drôle de spectacle. Elle pleurait de rire! Étant sa zone la plus sensible, je ne l’ai pas ménagé! Elle se tournait dans tous les sens, espérant éviter mes chatouilles.
Pour terminer, j’attaquai ses pieds, qui étaient assez sensible dans le creux (milieu). Je passais mes doigts très lentement, puis de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus.
Je l’ai finalement détaché. Elle était épuisée, pauvre petite. Je me moquais d’elle pendant une partie de la journée, devant les membres de sa famille et nous échangions des regards complices.
Plus tard, nous avons décidé d’aller manger à la cantine près de la plage. Non loin de là se tenait un terrain de jeu. Une idée m’est alors venue en tête.
«Hé Josée! Je viens d’avoir une idée. On fait une compétition et la perdante devra payer le repas de l’autre!» :p
Avide de relever un défi, mon amie accepta avec plaisir.
Il y avait, au terrain de jeu, une échelle où l’on peut grimper et où il y a des barreaux où l’on peut se pendre et faire le parcours jusqu’à l’autre côté. En un regard, elle comprit où je voulais en venir. Nous nous sommes placées l’une en face de l’autre, toute les deux suspendues à un barreau.
«La première qui lâche a perdu!»
Nous étions toutes les deux relativement fortes, alors le seul moyen de ne pas faire durer le défi éternellement était de faire rire l’autre afin que celle-ci lâche la première. Josée a commencé à faire de drôle de tête, toutes plus amusantes les unes que les autres. Cela me faisait bien rire, mais pas au point de relâcher ma force. J’ai alors commencé à le balancer, dans le but de la pousser un peu. Cela ne fonctionnait pas plus. Un sourire est alors apparu sur son visage. En un instant, j’ai cru comprendre où elle voulait en venir. Elle lâcha l’une de ses mains et commença à me chatouiller frénétiquement les côtes et remontant sous mes bras. Prise au piège, j’ai malheureusement très vite lâché les barreaux et suis tombée en premier. Et voilà! Je devais maintenant payer la facture! (Mais, entre vous en moi, ça en a valu la peine!)
Voilà! J’espère que vous avez aimé mon histoire! :rougis:

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