Histoire : Ma première séance, avec didwamp comme bourreau

Bonjour à tous,

Je vais vous raconter aujourd’hui la séance que j’ai eue le 27 Août 2012 avec didwamp. Pour ceux qui ne me connaissent pas je suis un homme et j’ai (au moment de cette séance, c’est-à-dire environ au moment où j’écris ce texte) 18 ans.

Voilà, sur ces bonnes paroles, je vous livre mon récit.


Je rentrais sous peu en Prépa, et mon envie de me faire chatouiller était devenue très puissante, je n’avais jamais eu autant envie de me faire attacher et torturer de toute ma vie. J’avais donc pris la résolution de m’inscrire sur ce site, que je consultais depuis un moment déjà, afin de faire une rencontre dans la semaine de grandes vacances qu’il me restait.

Après de nombreux MP, des séances qui étaient quasiment fixées s’annulaient, les déceptions s’enchainaient. Puis un jour, j’ai reçu un MP d’un certain didwamp, que je ne connaissais pas. Il me disait être un homme de 28 ans qui était expérimenté dans le domaine du ligotage et des chatouilles et qu’il était disponible pour me torturer dans la semaine.

Nous nous sommes donc donné rendez-vous non loin de chez lui. J’étais un peu stressé. Je l’ai attendu à l’endroit convenu et au bout de quelques minutes je le vois arriver. Il me conduisit chez lui. Nous discutions des Prépas sur la route, puis pendant quelques temps encore dans son appartement. Au bout d’un moment, nous sommes tombés d’accord pour commencer la séance. J’avais pris, au cas où je sois vraiment tendu, mon pyjama. Je l’ai donc enfilé avant de commencer la séance. C’était plus confortable que les habits que je portais.

Sa chambre possédait un lit double dont la tête et le pied étaient en métal. Cela était donc très pratique pour m’attacher. Après avoir allumé la radio et enlevé son T-shirt, didwamp me fit croiser les mains au-dessus de la tête, puis me les attacha ensemble assez haut sur la tête de lit. Il m’avait dit qu’au début, il ferait soft, juste pour évaluer mes zones sensibles.

Il commença par me chatouiller le torse à travers mon pyjama. Je ressentais quelques gratouillis, et au bout d’un moment je bougeais un peu pour essayer de les esquiver. Mes pieds étant libres, ce fut donc chose facile. Mais je n’avais encore émis ni rires, ni aucun bruits. Après s’être un peu amusé avec mon torse, il descendit un peu et essaya les différentes parties de mes jambes ? Je n’eus pas de réactions. Puis il commença à me chatouiller les pieds, d’abord comme ça, puis ensuite en me les attachant au pied du lit. Là non plus, je n’eus pas de réaction. didwamp fut assez surpris. Il essaya divers outils pour essayer de m’arracher un sourire, rien. Là, je redoutais qu’il ne me fasse découvrir que j’étais insensible aux chatouilles. Abandonnant pour le moment mes pieds, il remontait et, passant ses doigts sous mon haut de pyjamas, il commençait à me chatouiller le bas du ventre. Cela entrainait déjà un peu plus de réactions. Mon ventre se rétractait tout seul lorsque ses doigts se baladaient dessus, mais sans plus. Il souleva alors un peu mon haut de pyjamas et me le ramena à mi-hauteur, et commença à me chatouiller les côtes. Je me débâtais un peu plus, mais cela ne provoquais pas le moindre petit bruit de ma part. Il finit par ramener complètement mon haut sur ma tête et attaqua les aisselles. Déjà, je réagissais plus. J’essayais de me tourner, de les fuir. Mais toujours sans rire. J’étais dépité. Je m’attendais dans cette séance à le supplier d’arrêter, à me tordre dans tous les sens, … et là rien.

Il me détacha alors, me donna de l’eau, puis me demanda ce que je voulais changer pour la position suivante. J’avoue que je n’avais été très loquace jusque-là. Didwamp me demanda si c’était comme je l’imaginais ce à quoi je répondis que je m’attendais à quelque chose de plus intense comme réaction. Il me dit que je ne devais pas m’inquiéter et que ce n’était que le début. Je parle très peu avec des gens que je connais mal. Au bout de plusieurs minutes, finalement, je proposais d’enlever mon haut. C’est ce que je fis pendant qu’il choisissait les cordes pour ma nouvelle position.

Il avait bien vu que les zones où je réagissais étaient mes aisselles, mes côtes et mon ventre. Il mit une serviette sur la tête de lit et me demanda de m’y adosser. Ensuite, il attacha solidement chacun de mes poignets à l’extrémité de la tête du lit de manière à former avec mon corps un T. Puis il passa une corde autour de mon torse afin de le maintenir contre la tête de lit. Ensuite il tendit mes jambes et relia mes pieds au pied du lit avec deux cordes.

Il commença cette fois-ci directement par mes aisselles. J’essayais de me dégager, ce que je ne pouvais faire et il continua sans problèmes ces chatouilles en descendant sur mes côtes puis sur l’ensemble de mon torse. Il revint ensuite sur mes pieds, ce qui n’eut aucune réaction. Puis, il remonta en me chatouillant toutes les parties de mes jambes à travers mon pantalon de pyjama. D’abord les mollets, puis le dessous du genou, il passa sa main sous mon pantalon et re-chatouilla ces zones. Ensuite, il sortit ses mains et commença à chatouiller mes cuisses. Et là, ce fut l’instant de révélation. Alors qu’il me chatouillait avec ses dix doigts, je m’entendis expulser mon air par mon nez, car mon ventre venait de se contracter. Il le remarqua également et commença à monter sa main le long de ma jambe, dans mon pantalon de pyjama tout en me chatouillant. Il remontait le bas de mon pantalon au fur et à mesure afin de pouvoir monter toujours plus haut. Et il commença à chatouiller mes cuisses. Je commençais alors à sourire, puis à être parcouru par des petits spasmes. Il sourit lui aussi. Il continua, en essayant divers endroits de mes cuisses. Je commençai à essayer de glisser entre les liens qui maintenaient mon torse plaqué contre le mur mais didwamp était très bon ligoteur. Il décida de changer et attaqua mon torse et mes aisselles. Là, des bruits étranges, qui ressemblait à des râles de plaisir commencèrent à échapper de ma bouche. Je levais la tête vers le plafond, tout en continuant à m’agiter entre mes liens et à pousser des bruits étranges pendant que diwamp s’amusait avec mon torse nu. Au bout d’un moment, il revient vers mes cuisses et prit mon pantalon de pyjama et le remonta au maximum de ce qui lui était possible tout en me disant : « On va en faire un short, ce sera plus pratique ». Le résultat était plus un croisement entre un slip et un boxer mais il ne cachait presque plus mes cuisses et c’était ce que didwamp voulait. Il prit la brosse à dents électrique que j’avais apporté et commença à la balader un peu partout sur mes cuisses. Là je me suis vraiment débattu, mon torse ayant légèrement coulissé vers le bas, j’avais dégagé un peu de mou sur les cordes qui retenait mes jambes. J’essayais donc d’esquiver ses chatouilles comme je pouvais mais rien n’y faisait. Lorsque ma position devenait trop extrême pour me torturer sur mes cuisses, il revenait aux aisselles et là, ma position ne me protégeais plus de rien. Il m’attacha alors un foulard autour des yeux et continua ses chatouilles un peu partout, alternant mes cuisses et mon torse. A un moment, un petit rire m’échappa. « Quand même » me dit didwamp amusé, « Laisse toi aller ». J’avoue que là, je n’ai plus bien suivis. Ce que je sais, c’est que je me suis un peu débattu, que mon bandeau a fini par glisser. A un moment, didwamp m’a glissé « Tu voulais plus intense ». Un peu après, alors que didwamp s’amusait avec mes côtes et mes aisselles, ma main droite réussit à se dégager. Sur ce, il jugea que l’on arrêterait là pour cette position.

Il me détacha d’abord la main droite puis revint sur mes pieds. « C’est quand même bizarre » disait-il. Il prit mon pied gauche, toujours maintenu par une corde. Et commença à me les chatouiller. Au début, cela ne changeais rien à la première fois, mais au bout d’un moment, le réflexe d’enlever son pied me vint. Didwamp eut un petit sourire en coin et me le maintint près de lui. Il continua à passer ses doigts sous mes plantes de pieds et je commençais enfin à sourire, puis à rire discrètement. Il était déjà content d’avoir réussi à m’extirper ça, et moi aussi.

Pour la suite des opérations, nous étions tombés d’accord sur le fait que je devais passer quelque chose de plus commode pour me chatouiller les cuisses. Je passais alors un slip de bain que j’avais amené. Après avoir bu quelques gorgées d’eau, je me rallongeais sur son lit et il m’attacha alors en I. Il me banda les yeux et immobilisa mes plantes de pieds en reliant mes deux gros orteils à sa tête de lit à l’aide d’un lacet.

Il commença alors à me chatouiller un peu partout. Je réagissais désormais plus vivement, même au niveau des plantes de pieds, et parfois, je sautais sur le lit, mes mains et mes pieds fixes, lorsque cela était trop insupportable. Comme je faisais beaucoup de bruit, didwamp, ne pouvant plus monter le volume de la radio trop fort, me demanda si cela me gênait qu’il me bâillonne, si quelque chose allait mal, je n’avais qu’à claquer des doigts. J’ai accepté et il a alors retiré mon bandeau, m’a fit boire un peu, ma fourré une chaussette propre, selon lui, dans ma bouche. Cependant, la chaussette devait être prévue pour des bouches plus grandes que ma bouche car elle avait du mal à tenir. Il mit ensuite un bout de gros scotch gris pour maintenir le tout.

Puis didwamp enleva ses chaussures et se mit à califourchon sur mon torse et commença à me chatouiller. Je hurlais sous mon bâillon, qui ne devait apparemment pas convenir puisque tous les sons sortaient très bien. Didwamp enlevât alors mon bâillon et le remplaçât par un double tour de scotch autour de ma bouche, bien plus efficace. Sous ces chatouilles, je me cabrais dans tous les sens. Je sautais. Je poussais des hurlements sous mon bâillons ce à quoi didwamp répondait : « Qu’est-ce que tu dis » amusé. A un moment, il prit ma brosse à dents électrique, se mit sur les genoux, et commença à me chatouiller les cuisses.

Utilisant le long manche de la brosse à dents, il passait la tête qui tournait sans cesse de ma brosse sur les parties de mes cuisses les plus sensibles. Je ne pouvais même pas sauter puisqu’il m’immobilisait. Au bout d’une trentaine de minutes, il arrêta ma torture. Il m’enleva mes liens et mon bâillon, et je m’écroulai alors sur le lit trempé par ma sueur, avec un sourire béat en essayant de reprendre mon souffle. « Tu as aimé ? » me demanda-t-il avec le sourire. Je lui fis oui de la tête. C’était tout simplement génial. Ce n’était pas le type réaction à laquelle je m’attendais, mais c’était tout aussi génial. Je mis plusieurs minutes à m’en remettre.

A la suite de ça, il a pris ma place sur le lit pour que j’essaie à mon tour de le faire rire. Je passerais sous silence cette partie de la séance où je n’arrivais à … rien, ou presque. Mais didwamp m’avait prévenu, il n’était pas du tout sensible et personne n’avait jamais réussi, à son grand regret, à le faire rire avec des chatouilles.

Je le détachais au bout d’un peu de temps. Je croyais la séance terminée lorsqu’il me demanda si cela me gênait de me faire chatouiller dans une dernière position, pour lui faire plaisir. J’étais très fatigué et, je lui dis que je ne me sentais pas d’en refaire une maintenant. Il me demanda alors s’il pouvait juste m’attacher et me bâillonner. Il voulait tenter une nouvelle position de ligotage et prendre une photo pour la tenter lors de ces prochaines séances. J’acceptai car cela m’amusait.

Il me fit passer dans la pièce d’à côté qui était son bureau. Il étendit une couverture par terre et me demanda de m’agenouiller. Ensuite il utilisa de nombreuses cordes et, au final, je me retrouvai en hogtie, la bouche entouré d’une double épaisseur de scotch.

Didwamp prit quelques photos puis passant les ongles de ses doigts lentement sous mes plantes de pieds ce qui me tira un hurlement étouffé par le bâillon, et me dit : « Et puis ce qui est bien avec le hogtie c’est que ça expose parfaitement les pieds. ». Ensuite, il commença à me chatouiller de partout. Mes côtés, mon dos, mes pieds, mon torse, tout y passait. Seules mes aisselles furent quelques peu épargnées car c’est la seule chose à peu près protégé dans cette position. Alors que j’avais mis plus d’une demi-heure à tremper le lit de didwamp, je mis très peu de temps à suer et à mouiller la couverture. Je ne sais pas si c’est grâce à la position ou si c’était mon état de fatigue, en tout cas, ce fut très très intense. J’ai adoré ça. Pour ceux qui n’ont jamais essayé, le mieux est de tenter ça avec un ligoteur expérimenté disposant de cordes non abrasives comme didwamp. C’est tout simplement redoutable quand on sait bien le faire.

Après dix minutes de chatouilles, il me libera et je repris mon souffle sur la couverture, tout comme la première fois. Après cela nous avons un petit peu discuter de la séance, puis nous nous sommes rhabiller et didwamp m’a conduit jusqu’à la sortie de chez lui. J’étais fatigué, très fatigué, mais aussi très heureux.

Bonne chance à tous dans vos futures recherches.

Ticklatius