Histoire : Un tournage avec Kristen Stewart

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.


Histoire ajoutée le 03/10/2012
Épisode ajouté le 03/10/2012
Mise-à-jour le 03/07/2021

Un tournage avec Kristen Stewart

Qui se souvient encore de moi ? Moi, le journaliste du cinéma. Moi, le bourreau de starlettes. Moi, Jason Leblanc.
Pour ceux qui ne me connaissent pas, je travaille pour un magasine sur le cinéma et durant certains interviews, j’ai pu assouvir mon penchant pour les jolis pieds sur de belles vedettes. Mais je me suis marié avec l’actrice Jennifer Love Hewitt, il y a cinq ans, et j’ai décidé de me consacrer qu’à elle et à personne d’autre. Pour moi, les pieds sont des choses trop personnelles et je ne voulais pas continuer ma carrière de serial tickler tout en étant marié. Bien entendu, vous l’aurez compris, si je suis ici, c’est que je suis sorti de ma retraite et je vais me faire un devoir de vous raconter à quelle occasion.
Quelques mois auparavant, je déjeunais dans un restaurant de Beverly Hills avec mon ami, le réalisateur Quentin Tarantino. Notre fétichisme à peine dissimulé pour les pieds et notre passion pour le cinéma nous avait rapprochés et il ne se passait pas une semaine sans que nous fussions en contact. Ce jour-là, je lui parlai de mon excursion peu concluante dans le métier d’acteur et lui avouai mon désir de passer à la réalisation d’un long métrage, mettant fais un peu la main sur des épisodes de série policière.
« Ecoute, me dit Quentin en s’essuyant la bouche avec sa serviette, je viens de mettre la dernière main à un scénario et je recherche un réalisateur. Veux-tu être celui-là ? »
Un peu impressionné car n’ayant jamais réalisé de film, je ne savais que répondre. Comprenez bien, Tarantino me proposait de faire un film ! Enorme ! J’hésitai longtemps, mais il parvint à me convaincre en m’assurant qu’il serait là pour me donner un coup de main.
Je devais donc réaliser un polar très noir. Le casting était presque bouclé, il ne nous manquait plus que le premier rôle féminin. Je voulais Rosario Dawson, mais elle était indisponible. Quentin voulait Uma Thurman, mais elle était souffrante. Du coup, nous sommes rabattus sur une jeune actrice qui voulait se débarrasser de l’image de ses derniers films, Kristen Stewart, l’héroïne de Twilight. De prime abord, Kristen était une jeune femme gentille et adorable, mais j’allais bientôt déchanter.
Je passai un tournage éreintant à cause des caprices de mon actrice principale. Sur le plateau, elle se transformait en monstre bouffi d’orgueil et de méchanceté. A une semaine de la fin du tournage et sur les conseils de mon premier assistant qui n’était autre que Quentin, je décidai d’avoir une franche discussion avec elle.
Nous travaillions dans un vieux hangar désaffecté de l’armée dans le désert du Névada pour les dernières scènes et je choisis la fin de la journée, quand chacun regagnait sa chambre d’hôtel à trois kilomètres de là pour convoquer Kristen. Avec son air suffisant qui brillait dans ses yeux bleus et le sourire pincé qui jouait sur sa jolie petite bouche, je me doutais que la discussion risquait d’être houleuse.
« Kristen, commençai-je avec des pincettes, je t’aime beaucoup, mais…
- Nous y voilà », me coupa-t-elle sèchement.
« Quoi ?
- Je vois depuis le début que tu as un problème avec moi, Jason.
- Je n’avais aucun problème avec toi, jusqu’à ce que tu commences à jouer les divas… »
Ce fut à ce moment là que la conversation s’envenima et que des noms d’oiseaux commencèrent à fuser. A la fin, elle me lança :
« Tu n’es qu’un parvenu pistonné dans ce métier !
- Et toi, une starlette sans une once de talent », lui répondis-je
Elle me gifla.
« Si tu me touches encore… », grinçai-je.
Elle me gifla de nouveau et, à cet instant, je vis rouge. Je remarquai des câbles qui traînaient sur le sol, laissés par des techniciens et je me souvins d’une histoire que m’avait racontée mon cousin Dante pour ligoter une présentatrice. Je m’en saisis et fondis sur Kristen qui ne comprit pas ce qui se passait. Elle se débattit farouchement, mais je parvins à lui attacher bras et jambes, puis je l’allongeai sur une table du décor.
« Qu’est-ce que tu fais, Jason ? Détaches-moi !
- Tu as été une vilaine fille », dis-je.
Je n’étais plus moi-même, je me sentais possédé. J’ôtais ses petites ballerines bleue nuit et les laissai choir, puis je m’agenouillai devant ses deux magnifiques pieds. Ô, comme ils étaient splendides, avec une plante laiteuse comme je les aime et légèrement rougie au niveau des orteils et du talon.
« Jason, que fais-tu », s’inquiéta Kristen.
Sans lui répondre, hypnotisé, je commençais lentement à lui caresser le dessus du pied. Ses orteils se crispèrent et je pus constater que ses ongles étaient vernis de rouge. Du bout des doigts je parcourus le côté de ses petons.
« Non », couina-t-elle.
Je câlinai la plante de ses pieds puis, soudain, n’y tenant plus, mes doigts se métamorphosèrent en serres et je la chatouillai impitoyablement. Elle bondit de la table en hurlant, mais je maintenais bien ses jambes.
« AAAAAAAAH !!!!! NOOOOOOON !!!!!!! AU SECOUR !!!!! »
Mes ongles dansaient une gigue endiablée sur sa peau sensible offerte et je me délectais de ses cris et de ses rires comme s’il s’était agi d’un bon opéra. Je n’oubliai aucune parcelle de ses pieds, la grattant ici, la pinçant là, jusqu’à ses orteils que je triturai inlassablement, mon péché mignon. Je les écartai fermement car Kristen tentait de les garder serrer, mais je parvins néanmoins à gagner cet espace exigu et si réceptif à mes caresses appuyées.
Et ce rire. Ce rire qui résonnait dans ce grand hangar et qui se répercutait en mille sons cristallins sur les murs.
« HA HA HA HA HA HA HA !!!! PITIER !!!!! A L’AIDE !!!!! QUELQU’UN !!!!! HI HI HI HI HI HI !!!!!
Je m’arrêtai un moment pour qu’elle reprenne son souffle. Elle me fixa, haletante, puis ses beaux yeux bleus s’écarquillèrent quand je portai ses orteils à ma bouche. Elle secoua vigoureusement la tête et hurla quand ma langue explora ses petits doigts de pied, un par un, lentement, langoureusement. J’explorai l’espace entre eux en me délectant de leur goût, de leur douceur et des rires de l’actrice. Incapable de me contrôler, je lapai le sel de sa sueur accumulé sous la plante de ses pieds, dessinant du bout de ma langue des hiéroglyphes inconnus, mais magiques qui la mettaient au supplice. Je mordillai ses talons et les bords de ses petons, profitant de leur saveur comme une denrée rare.
Je ne sais combien de temps dura cette discussion, j’avais perdu tout sens des réalités, mais je libérai Kristen quand elle ne parvint plus qu’à couiner comme une souris apeurée et à se débattre mollement, des mèches de cheveux noirs collées à son front humide. Comme une somnambule, elle ramassa ses ballerines et tituba vers la sortie. Pauvre petite chose, j’eus pitié d’elle et me demandai si je n’avais pas été trop dure avec elle.
« Laisse-moi te raccompagner », lui proposai-je.
Elle ne répondit pas, mais se laissa faire.
Finalement, je bouclai mon film et, contre toute attente, se fut un succès. Kristen avait changé du tout au tout avec moi. Elle était d’une extrême gentillesse, mais gardait ses distances.
C’est dommage, mais je crains de ne plus jamais pouvoir travailler avec elle.

Voilà un retour inattendu de Jason Leblanc!!! J'espère que cette histoire vous plaira autant que les autres!!! A bientôt!!! :)

Ils aiment : Toi ?