Histoire : Hypnose tickle

L'histoire se passe dans une petite ville de la Lorraine: Dieuze une charmante ville autrefois dynamique jusqu'à ce que la baisse du secteur industriel eut raison de l'usine de sel(chimique), une des sources principales d'emploi dans le secteur. Dieuze s'est retrouvée alors peu à peu désertifiée de sa population d'autant plus que celle-ci se paupérise au fur et à mesure. Cependant, la ville possède toujours son collège/Lycée accueillant pas mal de monde.

Ceului-i accueil aujourd'hui, un jour de printemps un nouvel élève: Gianni Chicha. Il est algérien mais son père est pied-noir resté dans sa terre natale. Gianni mesure 1m80, peau mate, 19 ans et est venus en France d'une part pour les études voulant faire un BTS, d'autre part il a appris que des membres de sa famille vivaient dans le coin. Arrivé au lycée, il ne tarda pas à retrouver quelqu'un de son sang, en effet on lui demanda très vite s'il n'avait pas un lien de parenté avec un autre élève, Antoine, 17 ans et en Terminale ES, un garçon plutôt timide .A vrais dire,"chicha" étant un nom de famille peu commun, On ne se posait pas trop de doutes. Gianni retrouva Antoine à la cafeteria à l'aide d'une fille: Fiona, une fille d'origine sicilienne à la peau bronzée, âgée de 18 ans plus tôt espiègle. Elle était avec Antoine en Espagnol

-Fiona: salut chichi(surnom d'Antoine)
-Antoine: yo Fiona
-F: y a un mec qui a le même nom que toi c'est pet quelqu'un'el el de ta famille
-A: C'est qui?
-Gianni: Moi, Giani, salut
Antoine ouvrit les yeux grands écarquillés, il n'en revenait pas, il lui ressembla assez pour qu'on croie qu'ils soient frères: même yeux, même bouche, même cheveux...
-A: euh... Salut, dis est ce que t'à des origines pieds noirs?
-G: Ouais, par mon père
-A: euh...s'appelle comment ?
-G: Joseph, il est resté en Algérie
-A: bon, t'est des jas par mon frère. Et ton grand-père tu sais comment il s'appelle?
-G: Moïse. En fait mon père l'a vu juste quelques fois parce que ma grand-mère était son amante et il était marié alors...
A: ouais je vois truc. Bah dense que mon grand-père paternel, c'est le même que le"tien
-G: donc ton père serait le demi-frère du mien et je suis donc ton cousin
-A: Bah voila c'est ça. le reste de la conversation passa sur la famille, le lycée etc., jusqu'à ce que...
G: dis, y a pas mal de gars et meufs du bahut qui m'ont dit que t'aimaient les pieds,. C'est vrai?
A: son non c'est des conneries.
Mais les joues d'Antoine rougissantes l'avaient trahis et cela, Gianni l'a deviné
G: T'inquiète, pas la peine de le cacher avec moi je suis pareil
A: sans dec !?
G: sans dec
A: Putain! je savais pas qu'il y avait des fétichistes dans la famille, enfin un mec comme moi...fin...c'est une bonne et une mauvaise nouvelle parce que yen à pas mal qui se moquent de moi à cause de sa donc, il ne faut pas trop qu'ils sachent pour toi
G: T'inquiète, je sais comment faire pour qu'on soit pépère avec ses histoires
A: Comment?
G: Je te dirais ça plus tard. Sinon, ils ont l'air pas mal, les pieds de ta camarade
A: ouais, parfois elle me laisse les masser,ptet aujourd'hui après les coursd
La sonnerie retentisse alors
A: Bon faut que j'aille en cours, ça t'dis d'aller chez moi après?
G: Non désolé, je commence les cours que demain et j'ai des-jas prévus quelque chose cette aprèm. La prochaine fois peut être
A: ouais à plus
En vérité, si Gianni avait quelque chose de prévu, il s'agissait juste de préparatifs. Il aurait très bien pu passer le reste de la journée avec son nouveau cousin, mais il avait tête, autre chose, et dans cette autre chose il y avait une victime qui n'est rien d'autre que la camarade d'Antoine.

Lorsque celui-ci sortit des cours vers 4 h 30, Fiona le suivait ce qui voulait dire qu'il allait lui masser les pieds. Ils allèrent dans une zone autrefois habitée par des officiers d'un régiment militaire, partis eux aussi. Gianni les avaient suivis, il observa d'ailleurs les chaussures de la Sicilienne: des chaussures à talons compensés laissant apparaitre de jolis doits de pieds dotés d'un vernis rouge. En attendant la fin du massage, il c'était caché derrière un buisson. Après 10 minutes de massage, Antoine s'en alla en premier car Fiona ne voulait pas qu'on la voie avec lui, Gianni en profita alors pour se précipiter sur elle et l'endormir avec du chloroforme.

Lorsque fiona se réveilla, elle avait les bras et la taille attachée à une poutre de fer, bizarrement, ses jambes étaient toujours libres. Elle apercevait une silhouette s'approcher
-F: Où est-ce que je suis? libérez-moi!
-nous sommes dans l'usine de sel désaffecté, eh non, je ne vais point te délivrer
Fionna reconnu le visage de Gianni
-F:Putin Gianni, arrête ce ne suis pas marrant, je décone pas là!
-G: Moi non plus. Je vais te demander d'avaler cette pilule si tu ne veux pas, alors je t'administrais les contenus par piqûre
-F: Vas chier!
G: Tu en serais sur? bon je te préviens, je risque de rater la veine plusieurs fois et tu vas avoir très mal mais bon, c'est toi qui choisis
à la vue de la seringue Fionna changea brusquement d'avis
-F: eut...finalement, je veux bien prendre ta pilule
-G: Et bien voilà!
-F: Et sa fais quoi là ta connerie
-G: Je peux juste te dire que tu seras plus sensible et plus excité
Il lui passa alors la pilule qu'elle avala avec un verre d'eau
-G: Alors?
-F: j'ai juste l'impression d'avoir pris un extazy
-G: Bon alors commençons
Il commença à lui enlever ses chaussures et faillit se prendre un coup en pleine face
-F: Arrêtes ça! tu es comme Antoine je vois
-G: Ouaip
Gianni parvient à bloquer les jambes de Fionna pour qu'elle finisse pieds nus. Il admira les petons faisant à voir du 39, et commença à gratouiller la plante. Elle n'est habituellement pas chatouilleuse mais l'effet de la pilule l'a rendue plus sensible
-F:HIHIHIHIHI!Arreeeeeeeeete sa chatouiiiiiiiiiiiiiiiille HAHAHA!
-G:Hooo que non
Giani avait laissé libre les jambes de sa victime car il aimait la voir se débattre, ce n'était pas très marrant pour lui de chatouiller une fille sans défiances.
-F:Pité j'aime pas les chatouilles stop steeeeeeeep HIHIHIHI
-G: dis tois que tu vas finir par me supplier de te chatouiller
Fiona Tantait de retirer ses jambes, bouger ses pieds, plier ses orteils mais rien n'y fait, son bourreau lui tient fermement les jambes avec les siennes et parvient à glisser ses doits entre les orteils de sa victime, gigotant tout en riant. Au bout de 15 minutes, il décida de passer à la vitesse supérieure, il laissa une pause à la jeune Italienne pour aller chercher d'autres outils. Elle eut juste le temps de souffler que son tortionnaire Revin avec une crème et un peigne, vous devinez la suite....
-F:HAAAAAAAAAAA!Arettes,arette AREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEETTE!
Des cris commençaient à se mêler aux rires et une drôle de sensation était aussi en train d'apparaitre, une sorte de plaisir.10 minutes plus tard, Gianni alla encore plus loin, il sortit une plume de sa poche, il fesa des mouvements de cas et viens sur le pied, droit. Le titillement paraît anodin au départ mais petit à petit, il conduit la personne à la folie
-F:Hehehehe hihihihihi HAHAHAHA HIIIIIIIIIIIIIIIII HHIHIHIHI!
Il passa la plume entre les orteils exacerbant encore plus le supplice
-F:STOP STOP STOP STOOOOOOOOOOOOP!
-G:Guiliguiliguili
Le simple mot "guili" faisait perdre à Fiona sa concentration ainsi que sa raison comme si elle commençait à devenir folle, c'était également un effet de la pilule. Les chatouilles quant à elles devenaient peu à peu un plaisir. Voyant qu'elle était en train de craquer, Gianni décida de passer au stade ultime, il alla chercher une sorte de rouleau à peinture auquel on aurait implanté un millier de petites plumes duveteuses. À la vue de l'engin, Fiona ne peut s'empêcher de pousser un cri de terreur. Il appuya sur un bouton faisant tourner le rouleau
-F:HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!NON NON PAS SA NOOOOOOOOOOOON!
les chatouilles étaient insoutenables, le duvet parcourait du talon jusqu'à la base des orteils en passant par la plante. Elle sentait monter la sensation de plaisir monter en elle ce qui lui faisait perdre toute raison
-F:HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII HYAHAHAHAHAHA HA OUI ENCORE N'ARETTE PAS HAHAHAHA
Elle avait finit par craquer, elle était devenue accro aux chatouilles, elle bougeait son pied non plus pour arrêter mais pour en demander encore
-G: He bien voila je t'avais bien dit que tu finirais par me supplier de chatouiller
Giani avait réussi à en sorte hypnotisée Fiona, mais elle n'était que la première, son objectif englobait une partie des filles du lycée
-G: Bon à qui le tour maintenant?

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