Histoire : Toujours le bourreau

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Histoire


Histoire ajoutée le 25/09/2014
Épisode ajouté le 25/09/2014
Mise-à-jour le 03/07/2021

Toujours le bourreau

Le personnage central de cette histoire est une demoiselle que je nommerai ici Hannah. Nous nous sommes rencontrés à une soirée étudiante, et sommes sortis ensembles pendant quelques temps. Un soir, alors que nous étions en train de regarder « wonderful days », nous nous sommes avoué nos fétichismes respectifs. Elle c’était les mordillements, et moi les chatouilles. Vu que nous partagions le même lit à ce moment, nous avons essayé diverses choses en rapport avec ces révélations. Inutile de vous dire que je n’ai rien retenu au film. Toujours est-il que nous avions prévu d’exercer nos fantasmes respectifs de façon plus approfondie dans un futur proche.

   Le soir en question arrive donc. C’est Hannah qui se fait attacher en premier, On n’a pas de corde sous la main, donc on utilise des vieux vêtements à elle. Je contemple la scène : une fille que j’adore bras et jambes écartés, attachée à un lit par les chevilles et les poignets. Elle est vêtue d’un T-shirt, d’un jean et de chaussettes. Je reste là un moment à la contempler, comme un gamin qui entre dans un magasin de bonbons et qui cherche méticuleusement du regard ce qu’il va manger aujourd’hui.
« Bon, tu commences oui ? Je me sens bête comme ça.» me dit-elle. A ce moment, je commence à approcher lentement mes mains de ses côtes en remuant les doigts. Elle ferme les yeux et se pince les lèvres. J’effleure à peine son T-shirt et elle laisse échapper quelques gloussements, puis se calme. Je soulève alors cette protection ce qui révèle son joli ventre, et elle regarde d’un air intrigué en relevant la tête. Puis je commence à pianoter autour de son nombril en me rapprochant au fur et à mesure. Au début elle a l’air d’apprécier ça, mais au fur et à mesure que je me rapproche du centre je sens ses soubresauts s’intensifier. Au contact entre mon doigt et le centre de son système nerveux ventral, elle pousse un cri étouffé. Je fais une pause de quelques secondes, ravi d’avoir trouvé l’un des points faibles de ma proie et cherchant comment l’exploiter au mieux.

   Puis je passe à l’attaque.
Avec ma main droite, j’explore la crevasse de son nombril que je remue dans toutes les directions, pendant que ma main gauche parcours ses côtes de long en large. Hannah rit à gorge déployée pendant quelques minutes, en poussant plusieurs cris. Au bout d’un moment, elle finit par se calmer et lance entre deux petits rires « ah mais là c’est comme un de tes massages en fait » Je m’arrête alors, et je lui retire son T-shirt. « Mais-euh, c’était bien, t’es trop méchant en fait. »
Je contemple le haut de son corps. Un ventre bien visible que je commence à connaître, deux seins de taille raisonnable recouverts par un soutien-gorge un peu moins raisonnable, deux aisselles bien rasées (qu’est-ce que les étrangers peuvent avoir de préjugés sur les femmes françaises quand même !) et deux bras sur lesquels se trouve encore son T-shirt, qui repose derrière son cou. Je commence donc à explorer cette nouvelle région.

   Je pose un doigt sur chaque dessous de bras, et j’effectue des mouvements circulaires, à la recherche des points sensibles de la demoiselle. Qu’est-ce qu’elle rit ! J’arrive alors à situer précisément où finit la zone agréable (qu’elle apprécie comme tout à l’heure aussi bien qu’un massage) et où commence la zone chatouilleuse. Puis je teste cette limite par la pratique. Je place 4 doigts de chaque côté de son torse, que je remonte progressivement mais en m’arrêtant quelques centimètres avant la limite, et je recommence le mouvement. A chaque itération, je diminue la vitesse de mes assauts mais en allant de plus en plus près de la frontière. La respiration d’Hannah s’accélère.
« C’est horrible ton truc, je sais que les chatouilles vont arriver mais en fait elles viennent paaaaaAAAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHHAHAHAHHAHHAHAHAHHAHA »

   Effectivement je m’attendais à ce qu’elle baisse sa garde. Au moment précis où elle comprend ma stratégie, je commence des chatouilles violentes, en utilisant l’ensemble de mes doigts sur toute la surface chatouilleuse disponible. Elle rit, elle se remue, elle cri « stop » en se débat dans tous les sens, que du bonheur. Puis elle commence à avoir un rire silencieux et je m’arrête là.

   Pendant qu’elle reprend son souffle, je commence à me rapprocher de la partie la plus inférieure de sa personne. Je retire alors lentement une de ses chaussettes et contemple son pied droit. Le rythme de sa respiration ralentit, puis finalement, elle dit « C’est bon, je suis prête, ça devrait aller maintenant, je crains moins des pieds »
Je commence alors une investigation de sa belle plante de pieds que j’ai pu admirer à de nombreuses reprises dans le passé sans jamais pouvoir les toucher. Hannah n’a que de très faibles réactions, mais j’arrive néanmoins à isoler quelques zones sensibles, en particulier au centre de sa plante et sous ses orteils.
J’essaye alors la technique « de la spirale », c’est-à-dire que je fais glisser un doigt autour de son pied en me rapprochant des points faibles très lentement. Elle ne rit pas mais bouge tellement le pied que je suis obligé de le maintenir en place avec mon autre main. Je lui pousse les orteils en arrière, ce qui a pour effet de tendre sa peau et je commence à entendre quelques rires discrets. Je me déplace alors de l’autre côté du lit (oui, ses pieds sont assez loin l’un de l’autre) et je tente les mêmes gestes avec à peu près les mêmes résultats.

   Puis, je me mets au milieu, et j’attaque les deux cibles mouvantes simultanément. Au début elle résiste, mais lorsque je commence à désynchroniser mes mouvements (rapides avec la main gauche et lents avec la main droite) et que j’introduis des sursauts aléatoires, elle craque. S’ensuit alors une bonne minute de rires assez agréables à l’oreille. Malgré tout ses pieds, comme elle le disait, ne sont pas très sensibles et il faut que j’y mette toute mon énergie pour la faire rire. Je retourne donc en terrain plus connu pour lancer l’assaut final.
Phase de préparation d’abord, je place mon pouce droit dans son nombril, mes 4 autres doits étant prêts à attaquer. Ma main gauche, elle, s’occupe des deux surfaces que j’ai explorées dans la deuxième phase de mon plan.
« C’est bon ? Je vais te finir là !
-Attends, attends, je suis pas prête…..
-…
-C’est bon vas-y » Dit-elle en fermant les yeux fortement et avec une grimace assez hilarante.

   Je laisse quelques secondes interminables s’écouler. Puis, au moment où elle entrouvre les yeux je passe à l’attaque. De ma main droite, je tourne le pouce à l’intérieur de son nombril pendant que mes autres doigts parcourent aléatoirement la plus grande surface possible de son ventre. De ma main gauche, j’alterne de petits assauts entre ses deux aisselles, en augmentant l’intensité à chaque fois. J’inverse les mains de temps en temps, ce qui a pour effet d’intensifier ses rires pendant quelques secondes. Ses rires, d’ailleurs sont retenus mais audibles. Il lui arrive même de pousser un long cri entrecoupé de respirations haletantes. Puis je sens que sa respiration se bloque alors que son corps continue à rire. Je m’arrête donc.

   Alors qu’elle est encore attachée, je réalise pendant quelques minutes son fantasme à elle, c'est-à-dire que je lui mordille les bras, les seins, le cou, les oreilles, puis elle me fait signe de la détacher et nous passons à des actes un peu moins descriptibles ;)
Plus tard dans la soirée, c’est moi qui me retrouve attaché et elle tente de me chatouiller sans grand succès. Probablement la combinaison de plusieurs facteurs tels que ma résistance trop élevée aux chatouilles, le fait qu’elle manque d’expérience dans ce domaine et aussi peut-être la fatigue parce qu’il commence à se faire tard et qu’on s’est bien dépensés avant.

   Elle me dira plus tard que c’était une expérience très sympathique mais qu’elle ne retentera pas. Par contre, à partir de ce moment et jusqu’à la fin de notre relation, on glissera toujours quelques chatouilles dans nos massages ou nos actes préliminaires.

   J’ai toujours été bourreau mais depuis ce moment, j’attends de rencontrer une personne expérimentée pour vraiment voir ce que ça fait d’être la victime !

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