Histoire : La boîte de nuit.. Très mauvaise idée.

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Histoire ajoutée le 24/12/2014
Épisode ajouté le 24/12/2014
Mise-à-jour le 03/07/2021

La boîte de nuit.. Très mauvaise idée.

Coucou! Je suis nouvelle sur le forum et c'est la première fois que j'écris ce genre d'histoire, soyez indulgent! :rougis:


Ce soir, j'ai pas envie de rester enfermée.

«Amandine, ça te dis de sortir en boîte avec moi?
- …
-On à qu'à dire à 21h30 t'es devant la porte de chez moi?
-...
-Bah niquel, à tout à l'heure
-...»

Je me prépare grossièrement, je prend mes clefs de voiture et je descend, Amandine va bientôt arriver. Je descend les marches quatre à quatre et j'aperçois mon amie. Je lui fais la bise, et en route, direction la boîte!
On arrive devant ce beau bâtiment illuminé. La musique est à fond. On entre et on se commande à boire. Quelques heures passent, on alterne entre boisson et danse. On passe une bonne soirée jusqu'à ce que je vois.... Christopher, mon ex petit copain. Il s'invite à notre table et commence à me draguer. Je l'ignore aussi fort que je peux mais il nous paye un verre. On ne va pas le refuser, alors on le suit jusqu'au bar. Je le bois cul-sec, j'aurais mieux fait de ne pas faire la maligne, parce que j'ai un gros coup de fatigue. Je propose à Amandine de rentrer, et Christopher insiste pour nous accompagner, il appelle un taxi. La voiture roule, je suis bercée par la douce musique qui s'échappe de la radio. Je finis par m'endormir.

Lorsque je me réveille, je remarque que je suis attachée. Mes bras sont tendus et attachés par mes poignets à une poutre en bois, laissant mes aisselles en évidence. Mes pieds sont enfoncés dans un mur. J'essaye de plier mes orteils, je n'y parvient pas, ils sont tous attachés un à un. Je suis en sous-vêtements et j'ai un baillon dans la bouche. Je vois que je ne suis pas toute seule, il y a aussi Amandine, attachée aussi, mais elle est sur une table, attachée en X, chaque pied est dans un carcan et ses orteils sont aussi attachés un par un. Elle est en train de se réveiller, elle essaye de hurler mais aucun son ne sort de sa bouche, elle a un baillon. Elle essaye de bouger ses pieds, ses poignets, ses bras, ses jambes... Ce qui lui est impossible... Des sangles retiennent tout son corps, elle est sans défense, tout comme moi. Dans la pièce d'à côté j'entends du bruit... A moins que ce soit mon esprit qui me joue des tours..

«Mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmppppffff.» Criai-je à travers mon baillon.

Ce n'est pas du tout mon esprit, il y a bien quelqu'un à côté, et il est en train de me chatouiller les pieds, avec ses doigts. C'est horrible cette sensation d'impuissance, je ne peux pas esquivez ses attaques de chatouilles, je ne peux que supporter ses démangeaisons attroces. Il s'arrête vite... Trop vite, selon moi. Amandine me regarde avec de grands yeux, l'air de me demander ce qu'il se passe. Je tourne la tête, je viens de comprendre qui nous a emmenées ici, et ce qu'il va nous faire subir. Je n'aurais jamais dû accepter qu'il nous raccompagne hier, et j'aurais dû refuser qu'il nous paye ce satané verre.

Quelques heures d'attentes plus tard, j'aperçois la porte qui s'entrouve doucement, laissant apparaître deux hommes assez séduisants. Mais ce n'est pas le moment de penser à ça. Ils s'approchent d'Amandine, elle les regarde avec de grands yeux inquiets.

«Amandine, tu es très jolie tu sais. On va t'enlever ton baillon, comme ça on va pouvoir discuter un peu.

Aussitôt dis, aussitôt fait, en deux temps trois mouvements le baillon fut enlevé de sa bouche. Elle respirer déjà plus calmement que précédemment.

«Enlevez aussi le baillon de mon amie s'il vous plaît. Implora Amandine.
-Non pour le moment, c'est toi qui nous intéresse.» Répondit le plus petit des deux.

Amandine se tais et me regarde avec des yeux remplis de détresse. Elle me rend triste, je détourne le regard. Je sais ce qu'ils vont lui faire, et dans un petit moment, ce sera mon tour. J'espère que je me trompe sur notre sort.
Des cris et des rires retentissent d'un coup dans la pièce. Je jette un coup d'oeil sur ce qui provoque ses bruits. C'est ce que je pensais... Le plus costaud glisse ses doigts sous les pieds d'Amandine, l'autre garçon glisse les siens sous ses aisselles. Déjà qu'elle est extrêmement sensible sur ses zones là, si en plus elle ne peux plus du tout bouger...

Ils continuent de la chatouiller pendant plus de vingt minutes, Amandine est déjà trempée de sueur. Ils s'arrêtent exactement au même moment et ils prennnent des plumes de paon, très douces, j'imagine. Ils échangent les postes, le plus costaud se poste à côté de ses aisselles et le plus petit, à ses pieds. Le costaud passe délicatement les plumes sous les aisselles chatouilleuses d'Amandine qui se remet à rire à gorge déployée, tandis que le petit passe les plumes aussi doucement que possibles entre ses pauvres petits orteils désemparés. Il continuent comme cela pendant une trentaine de minutes. La pauvre, elle est essouflée, elle n'en peux plus. Ils la laissent un peu se reposer et sortent de la salle. Elle a du mal à reprendre une respiration calme et régulière. Je la comprend... C'est horrible de se faire chatouiller comme cela pendant un peu plus de cinquante minutes. Ces pensées me font remonter quelques souvenirs, des mauvais souvenirs.

Lorsque j'étais encore en couple avec Christopher, je me souviens qu'il aimait bien m'attacher et me chatouiller lorsque je l'embêtais. Il m'emmenait dans le sous-sol, et il m'attachait dans un carcan, il mettait mes pieds à l'intérieur et il m'attachait les mains dans le dos pour ne pas que je puisse me détacher si jamais il tournait le dos. Il me chatouillait sous les pieds pendants des heures et des heures, que ce soit avec ses doigts, ses ongles, des plumes qu'il me passait entre les orteils, des brosses à cheveux, des brosses à dents électriques ou encore sa langue. Il aimait cela, il aimait me voir souffrir pendant des heures sous sa terrible torture. Il intensifiait parfoit le supplice en chauffant ma plante de pied avec un sèche-cheveux, ou encore en me passant de l'huile de massage. Cétait quinze fois pire. Je suis sure que c'est lui qui est derrière tout ça.

Les deux mecs de tout à l'heure rentre dans la pièce où nous sommes encore attachées sans défense. Je suppose que cette fois-ci, ils sont la pour moi. Bingo! Ils s'approchent de moi, m'enlèvent mon baillon. Il y en a un qui se poste à mes aisselles, mon point faible, et un autre à mon ventre. Ils se mettent à me chatouiller mais bizarrement il y a aussi quelqu'un qui me chatouille les pieds, de l'autre côté du mur. Super! J'ai trente doigt qui me chatouille de part et d'autre du corps. Je ris aux éclats, je suis si sensible. Ils continuent pendant plus de 45 minutes. Ils soont tellement sadiques. Puis tout se stoppe d'un coup, je n'ai plus aucunes démangeaisons qui me traverse le corps. La porte s'ouvre et Christopher est là, devant moi. Il me souris et ordonne à ses hommes de s'en aller. Ils s'éxécutent nous laissant donc Amandine et moi, et Christopher.

«Alors, ma chérie, je vois que t'es toujours aussi chatouilleuse.
-Pourquoi tu nous a emmenées ici? Questionnai-je.
-Ohh, je voulais juste m'amuser un peu avec vous, et avec votre corps.
-C'est bon, tu t'es assez amusé je pense là, non? Maintenant tu nous relâche. Lui ordonnai-je.
-Non mais t'as rêvé? C'est que le début.»

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