Histoire : Ma première expérience, suite...

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.


Histoire ajoutée le 15/01/2015
Épisode ajouté le 15/01/2015
Mise-à-jour le 03/07/2021

Ma première expérience, suite...

Alors suite à vos nombreuses demandes, soit environ 1, je me suis décidé à écrire une "suite" à mon histoire. Comme j'en parlais avec une personne qui se reconnaîtra, cette suite sera "tirée de faits réels" mais fictive car j'ai du respect pour la petite victime (oh c'est mignon tout plein :rougis: )

"Dans le système judiciaire, les crimes sexuels sont considérés comme particulièrement monstrueux. A New York, les inspecteurs qui enquêtent sur ces crimes sont membres d'une unité d'élite, appelée Unité Spéciale pour les Victimes. Voici leurs histoires..."

TA DAM!!! (oui le bruitage à la con qui te réveille quand tu t'es endormi devant la télé lundi à 20h, tu sais celui que l'ingé son a poussé à 200% au montage juste pour toi! :lol: )

Dans l'épisode précédent...

"C'était il y a un peu moins d'un an pendant les vacances d'été.
Nous étions sur mon lit avec Élodie, ma copine à cette époque, à qui j'avais parlé de mon fantasme de l'attacher, sans en divulguer d'avantage.
Il faisait un temps pas terrible et nous avions lancé un film, extrèmement ennuyeux, ce n'était pas un flim sur le cyclimse... A la fin du film j'avais fais comprendre à Élodie que j'avais envie de jouer un peu (NON!!! déjà que j'avais somnolé devant un film ennuyeux, je n'allais pas accepter une partie de Monopoly! un beer-pong à la limite...), c'est alors qu'elle s'est retrouvée attachée nue sur mont lit, bras et jambes écartés... ("elle a glissé, chef!" :p )"

Après quelques minutes de chatouilles seulement qui lui avaient fait coulé quelques petites larmes, je m'étais allongé à côté d'elle, caressant ses petites joues encore rouges pour essuyer les larmes qui ruisselaient (j'aurais préféré continuer à la chatouiller un peu, mais je ne suis pas aussi sadique et elle n'y prenait pas plaisir).

Bien que j'avais fait preuve de tendresse à ce moment là, je n'étais pas décidé à la détacher malgré sa demande.

J'ai commencé par embrasser vigoureusement sa petite bouche, qui avait encore le goût salé des larmes qui avaient coulé le long de son visage d'ange, puis je descendis peu à peu tout en continuant de poser des petits baisers vifs, d'abord sur sa joue gauche, puis son cou, et enfin son épaule.

Je me suis ensuite dirigé vers sa poitrine en déposant des baisers un peu plus tendre sur le chemin, jusqu'à escalader la petite colline et atteindre ce petit bout de chair si tendre entre les dents et si dur au touché... J'ai senti peu à peu les battements de son cœur s'accélérer...

Pendant que je mordillais son sein gauche en la regardant dans les yeux et lui jetant un regard de braise, je caressais son autre sein avec ma main droite du bout de mes 5 doigts en faisant un mouvement en arc de cercle, venant parfois pincer délicatement son téton entre mon pouce et mon index, l'agitant un peu sur les côtés et appuyant délicatement dessus... Je sentais que la chaleur l'envahissait et elle réagissait à chacun de mes mouvements.

Elle ne disait pas un mot et sa respiration s'accélérait, seul son regard me suppliait à la fois d'arrêter, et à la fois de continuer...

J'ai alors retiré mes lèvres de son sein pour laisser la place à main ma gauche, et je me suis diriger vers le centre de sa poitrine lentement en y déposant d’innombrables petits bisous, plus ou moins longs, alors que mes mains continuaient leur petit jeu...

J'ai ensuite parcouru tout son ventre en zig-zag en le caressant avec le bout de mon nez, dégageant quelques petits souffles qui la firent rire lorsque j'approchais de ses côtes et de son nombril (j'en ai profité un peu quand même :D ) et quelques fois je l'embrassais furtivement...

Après que le GPS nous ait fait prendre la route à 3 grammes, nous voilà arrivé à destination sein et sauf, les lèvres un peu sèches à force de tous ces baisers :roll:

Continuant à faire un petit rond avec mon nez sur son bas ventre, je promène le bout de mon index droit doucement le long de son corps sans le lever, en faisant des petits passages sur ses côtes et vers son nombril pour la faire réagir, jusqu'à l'arrivée devant l'entrée de cette petite grotte mystérieuse... Je pose ma main droite à plat sur ses lèvres, je ressens déjà la chaleur, l'humidité et la souplesse de ces petites lèvres si délicates. Je commence un mouvement de haut en bas, très lent, elle pousse des petits gémissements très doux, se mordant légèrement les lèvres et me faisant un petit sourire très naturel de temps en temps.

Je continue ce mouvement pendant plusieurs minutes, en détachant mon majeur pour venir caresser délicatement son clitoris, soudain un petit gémissement plus important que les précédents. Un peu sadique je retire mon doigt, ne laisse que ma main posée alors que je remonte pour l'embrasser. Elle me demande de continuer à la caresser, mais je me contente seulement de la regarder en lui décrochant un petit regard sadique avant de redescendre en lui faisant des baisers et la chatouillant un peu. Elle tente de faire des petits mouvements avec son bassin pour atteindre ma main, mais les liens la maintiennent en place, limitant ses mouvements, et je recule ma main d'un petit centimètre ce qui fait qu'elle ne peut l'atteindre...

Je la laisse environ une minute comme ça, en continuant de jouer avec son ventre, puis je recommence à la caresser avec ma main pendant environ 5 minutes sans effleurer le clitoris. Je sens que l'excitation l'envahit, elle aimerait que je replace mon majeur sur ce petit bout de chair extrêmement sensible, mais je me contente de venir pincer ses petites lèvres humides (oui ces lèvres là, je sais qu'il y a beaucoup de lèvres chez une femme, mais si je ne te dis pas que je me suis déplacé, c'est que je suis toujours au même endroit! :p ) entre mes lèvres à moi (aucune confusion possible cette fois-ci! :xp: ) et j'en profite pour mettre un petit coup de langue à l'endroit souhaité pour la faire réagir...

Aussitôt le petit cri poussé, je me retire totalement et lui place la couverture sur les yeux. Je me lève et vais chercher de quoi lui bander les yeux, qui soit plus résistant que les lunettes de soleil. Elle me demande ce que je fais mais ne lui réponds pas. Je prends un vieux T-shirt gris "de chantier" que je découpe en bas et dans la largeur, pour faire un bandeau en anneau (avec le trou le plus large), que je recoupe pour faire un long bandeau. J'en profite d'être à proximité du tiroir pour prendre un pinceau.

Je reviens à hauteur de son visage, je retire la couverture et lui recouvre immédiatement les yeux, et le noue correctement.

Je me redirige vers son entrejambe, et je recommence à la caresser quelques minutes, en passant un peu plus sur son clitoris. Une fois que celui-ci ressortais un peu plus, je le saisi entre mon pouce et mon index et commençai à le caresser avec le pinceau. La sensation l'excita d'autant plus que ce que je l'imaginais, et elle se mit à essayer de se débattre avec ses genoux. Je me suis donc assis en travers sur ses genoux pour limiter ses mouvements avec mon poids, tout en continuant mon petit jeu, qui semblait aussi la chatouiller puisqu'elle essayait de se retenir de rire en même temps qu'elle me disait d'arrêter.

Une bonne dizaine de minutes passa, et sentant que l'excitation montait en elle je me suis allongé sur elle, lui ai retiré le bandeau des yeux et l'ai pénétré, en insistant sur son clitoris avec la nervure de mon sexe, ce qui la rendit folle et la fit crier mon nom, alors que son corps semblait tendu et ses yeux regardaient ailleurs, trouvant ça excitant j'ai continué à jouer ainsi jusqu'à ce que je vienne à bout.

nous étions en sueur, elle semblait épuisée, moi un peu moins. Elle me demanda de la détacher, je lui ai demandé comment elle se sentait, elle me répondit simplement qu'elle avait soif. Je lui ai donc apporté un verre d'eau (je vous passe l'étape du rabillage, attendre que je puisse enfiler un slip...) toujours sans la détacher. Je me suis rediriger vers son sexe, j'ai fait un petit mouvement "arraignée" avec mes doigts et elle poussa un gémissement et me jeta un regard de feu. J'ai commencé à la carresser à nouveau, à peine 2 secondes et elle me demandait d'arrêter.

Je me suis dirigé vers mon armoire, ai pris une petite paire de chaussettes et repris le bandeau qui était à coté d'elle. Je l'ai caresser à nouveau pour lui faire ouvrir la bouche et lui glisser la paire de chaussettes avant de placer le bandeau par dessus et l'attacher.

Elle tenta de me dire quelque chose en essayant de se débattre mais rien ne sortit de sa bouche. Je me dirige à nouveau vers son sexe et j'y glisse deux doigts, en caressant son clitoris avec le pouce, en tapotant et faisant des petits cercles. Je vois dans ses yeux qu'elle n'en peut plus.

Sans retirer ma main je remonte vers elle et lui chuchote, "je sais où est ce petit point sensible si mystérieux..." elle me regarde avec des grands yeux, comme terrifiées, et essaye de me dire d'arrêter.

Je ne comprends pas ce qu'elle me dit (et comme on dit "pas vu, pas pris!") mais je me dirige entre ses jambes, et je commence à replier mes doigts, je la sens qui tend son corps, elle sait ce qui se prépare.

Je place simplement mes doigts sur le point G sans même le caresser qu'elle parvient à pousser un cris, je commence donc le va et viens, ce qui la rend hystérique, des larmes commencent à couler de son, elle tente de se défaire de ses liens. Je continue quelques minutes toujours en l'entendant crier à travers le bandeau quand soudain je vois un jet et sens un liquide étrange couler sur mon bras, je venais de déclencher quelque chose dont on ignorait tous les deux l'existence.

Elle n'en pouvait plus, elle était rouge et j'ai bien cru qu'elle ne survivrait pas, je lui ai retiré le bâillon, elle m'a traité de cinglé, je me suis assis sur son bassin et lui ai chatouillé le ventre pendant 5 bonnes minutes, avant qu'elle essaie de me dire qu'elle avait envie de faire pipi et qu'il était trop tard lorsque j'avais fini de la détacher...

Ils aiment : Toi ?