Histoire : Le bal des prétendantes[MF/F], Prologue

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Histoire ajoutée le 25/02/2015
Épisode ajouté le 25/02/2015
Mise-à-jour le 03/07/2021

Le bal des prétendantes[MF/F], Prologue

Bonjour à tous ! Voici une le prologue d'une histoire en partie inspirée par quelques connaissances, qui aura peut-être des suites si vos retours sont bons ! :) N'hésitez pas à me dire en commentaire ce que vous en pensez ! Il y a sûrement quelques coquilles par contre, suis un peu fatigué :moue:


Il ne se passait pas un jour sans qu’Elena ne maudisse son nom. Elle ne l’avait certainement pas choisi, et encore moins les contraintes qui l’entouraient.
Elena de Saint Ange considérait que cette vie de cour, profondément attachée à des valeurs archaïques qui n’avaient plus lieu d’être
Si les années passées dans son lycée catholique étaient remplis de bons souvenirs, elle avait méprisé ses valeurs passéistes, son attachement à la tradition. Elle détestait les vêtements ternes qu’elle devait y porter, ses ballerines inconfortables qu’elle laissait balancer aux bouts de ses pieds dès qu’elle en avait l’occasion.
Rebelle, mais pas inconsciente, elle s’était néanmoins attachée à construire une identité qui n’était pas vraiment la sienne, toujours d’une extrême politesse auprès de ses professeurs, toujours volontaire auprès des préfets et surveillants, déléguée à plusieurs reprises, et surtout aussi populaire qu’on puisse l’être dans ce genre d’établissements. Elle avait la chance d’être belle. Elle mesurait un mètre soixante dix, avait de longs cheveux blonds souvent attachés pour respecter les conventions vestimentaires de son lycée. Ses yeux étaient d’un vert profond, sa peau pâle. Elle était mince, mais certainement pas maigre.
Elle ne haïssait pas ce pouvoir qu’elle avait sur les autres, mais s’en serait bien défaite contre une vie plus fantaisiste.
Tout cela faisait partie de son projet d’émancipation, qu’elle avait établi à l’instant où elle était rentrée au lycée.

Alors qu’elle terminait sa dernière année de collège, l’obsession de ses parents à l’inscrire à tous ces rallyes, bals de prétendants au cours desquels jeunes bourgeois et nobles parisiens s’enivraient sous prétexte de trouver un bon parti, lui fit comprendre que le foyer parental ne lui permettrait certainement pas d’échapper à cet univers. Elle était coincée entre un père profondément attaché à la lueur faiblissante de son nom, obsédé par l’avenir de ses enfants, et une mère dévote pour les apparences, toujours affairée à préparer dîners et réceptions, porteuse d’une culture digne de la Restauration. Sans parler de son grand frère, déjà Polytechnicien, qui portait avec une fierté risible la chevalière familiale. Elle devait les vouvoyer, les appeler « mère » ou « père ».


Elle avait donc accepté tout cela pour trois dernières années. Elle avait serré les poings lorsque le directeur encouragea les lycéens à rejoindre la manif pour tous, souri poliment lorsque un prêtre zélé s’était emporté contre l’avortement lors d’un cours de catéchisme. Profondément littéraire, elle avait subi les longues heures de Physique de la filière S à laquelle ses parents l’avaient contrainte sans broncher. Tout en sachant que ce calvaire se terminerait bientôt.
Elle avait été acceptée à Sciences Po Paris par la seule force de son dossier. Grâce à son compte en banque déjà bien garni par une tentative assez futile d’optimisation fiscale par son père, elle pourrait louer un appartement, et s’émanciper définitivement.

Elle avait pris grand soin de s’établir un réseau dans le milieu qui l’intéressait, celui de la culture et de la nuit.
En effet, dès qu’elle en avait l’occasion, elle s’enfuyait des rallyes avec quelques amis qui partageaient ses points de vue - trouvés sans mal au milieu d’étudiants si conformistes - pour se rendre dans ces endroits où elle pouvait être ce qu’elle voulait. Elle avait fait de boites telles que le Rex Club ou encore le Social ses quartiers généraux nocturnes. Elena ne se sentait vraiment libre que dans ces espaces, où titres et richesses n’importaient pas, où tout le monde était égal face à la musique. Elle avait hâte de faire de ces moments fugaces sa réalité, loin de la fadeur de la rue de Passy, où encore de l’hôtel particulier familial rue du Ranelagh.

Il n’avait pourtant fallu qu’une conversation pour remettre en cause son plan parfait.
Ses parents l’avaient convoquée dans le salon familial, paré de tapisseries centenaires et de fauteuils Louis XV. Pas de télévision, bien entendu.
Elena supposait qu’ils souhaitaient la féliciter pour son entrée à Sciences po.
Elle prit place face à ses parents, qui la regardaient avec un air concerné. Son frère se tenait à côté d’eux.
Son père frottait frénétiquement son crâne dégarni, tandis que sa mère arrangeait sa tenue dans un insupportable cliquetis de bijoux dorés.
« Bien, commença son père. Tout d’abord bravo pour ton entrée à Sciences Po…
-Même si tu aurait pu aller préparer Polytechnique à Ginette, comme ton frère, interrompit sa mère.
-Vous m’en voyez profondément désolée, Mère.
-J’ai eu dû mal à expliquer ton choix aux mères de tes camarades…Ton amie Justine n’a pas hésité elle. Ses notes n’étaient pourtant pas aussi bonnes que les tiennes.
Son « amie »…Elena eut bien du mal à contenir un rictus méprisant, et ravala une remarque acide sur cette prétendue amitié.
-Je vous promets de choisir un Master qui vous accommodera, Mère, répondit-elle d’une voix teintée de sarcasme. Rien ne m'importe plus que votre satisfaction, ajouta-t-elle en insistant sur chaque mot.
-J’espère bien !
-Il suffit, Celeste. Elena, si nous t’avons convoquée, c’est pour une affaire autrement plus grave, reprit son père. Quelques mauvais choix financiers nous ont mis dans une situation délicate…
-S’agit-il du compte en Suisse ? C’est tout de même un peu démodé, ironisa-t-elle.
-Ne sois pas insolente !, beugla son frère, en bon chien de garde parental.
-Non Melchior, cela me blesse de l’admettre, mais elle a raison. Je dois une certaine somme d’argent au fisc. Somme qui risquerait de nous placer dans une situation inconfortable. Je n’ai pas eu d’autre choix que de récupérer l’argent placé sur ton compte.
-C-comment…? Mais…Pourquoi pas celui de Melchior…?
-Je suis l’héritier de la famille chère soeur, ce à quoi il faut ajouter que je compte bien lancer mon entreprise, répondit-il, le coeur gonflé de fierté.
-C’est…injuste…
-Chéri, parlez-lui de l’autre chose…
-Oui, en effet. Monsieur de Langeois, dont tu connais le fils si je ne m’abuse, vient de libérer une place à la tête de son fond d’investissement. J’ai été contacté, mais je ne suis pas le seul candidat. Aussi, j’aurais besoin d’entrer dans ses faveurs.
Les Langeois. Famille richissime, pilier du seizième arrondissement. Madame de Langeois régnait sans partage sur l’écosystème très policé des mères de famille de ce ghetto de riches.
-En quoi cela me concerne-t-il ?
-Et bien figure-toi que sa mère, Eglantine, t’a sélectionnée parmi de nombreuses filles pour accompagner son fils au grand Bal des Bourbons !, lança sa mère, visiblement surexcitée.Tu es invitée à passer quelques jours dans leur résidence d’été, aux côtés des autres prétendantes, de Madame de Langeois elle-même ainsi que de son fils. Bien entendu, tu vas devoir renoncer à ton festival de hippies en Corse…Calvi sur les rochers…?
-Calvi on the Rocks. Il serait peut-être temps d’apprendre l’Anglais, en 2015, Mère. Et je ne compte pas y renoncer. Je pense y avoir droit.
-Je ne te permets pas de me parler ainsi. Et je ne vois pas en quoi le fait d’aller dans une école de bobos gauchistes te donne un quelconque droit.
-Mais…Hubert est un imbécile…!
-C’est un garçon très bien. Tu devrais être heureuse qu’on te donne la chance de prétendre à son bras.
C’en était trop. Voir non seulement son avenir, son école et ses propres capacités remises en cause, mais aussi se battre contre une bande de greluches dans l’espoir d’être au bras d’un imbécile dans un bal pathétique pour les beaux yeux d’une famille qui la révulse…
-Allez…Allez vous faire foutre !
Elle n’eut pas le temps de savourer sa rébellion que la main couvertes de bagues de sa mère s’abattit sur sa joue.
-Il suffit ! Va dans ta chambre ! Tu ne sortiras de cette maison que pour aller chez les Langeois ! »

Écoeurée, Elena partit s’enfermer dans sa chambre, la joue encore rouge, seulement rafraîchie par ses larmes.
La tête enfouie dans son oreiller, elle pensa à tous ces rêves d’avenir qui s’effondraient un à un.
Puis le visage prétentieux de ce blondinet traversa son esprit.
Hubert de Langeois. Ce gosse de riches prétentieux, rentré en classe préparatoire grâce à sa fortune. Cette caricature de bourgeois, toujours grimé de Ralph Lauren et de mocassins Burberry. Le genre à flirter avec les petites soeurs de ses amis aux Planches de Paris, autour d’une bouteille à deux mille euros.
Ses yeux bleus méprisants, parfois teintés d’un désir malsain. Celui qui l’avait humiliée face à ses amis. Elle ne put empêcher le douloureux souvenir de refaire surface.

C’était aux premiers jours de la rentrée de Terminale. La rumeur circulait qu’Hubert était fétichiste des pieds. Elle n’en avait que faire, n’étant pas prompte à juger les passions des autres.
Néanmoins, le regard qu’il fixait souvent sur ses pieds la mettait mal à l’aise. Elle avait un jour décidé de lui rendre la pareille en salle de classe.
Alors qu’il avait une vue de choix sur l’objet de ses désirs, elle avait commencé à jouer avec ses ballerines de cuir noir, au cours d’une interrogation écrite. Elle commença par remuer ses orteils à l’intérieur, laissant parfois entrevoir les arches élégamment prononcées de ses pieds, qui faisaient un bon 39. Elle avait ensuite doucement révélé ses talons nus, de couleur rose clair. Pendant de longues minutes, elle les avait rentrés et sortis, troublant manifestement Hubert. Elle révéla ses pieds progressivement, libérant sa voute plantaire, d’une couleur laiteuse. Puis ses orteils, ni trop long ni trop grands, vernis de rouge, qu’elle appuyait nonchalamment sur ses semelles, recroquevillés.
Puis elle les retira franchement, donnant de petits coups dedans, jouant innocemment avec. Avant de les remettre et de recommencer son spectacle. Elle savait sans regarder qu’elle le tenait en son pouvoir. Certitude qui fut rapidement confirmée par la voix forte de leur professeur de Maths.
« Puis-je savoir ce que les pieds de mademoiselle de Saint Ange ont de si captivant, Hubert ? », provoquant l’hilarité générale.
Elle rendit sa copie avant de quitter la classe, non sans lancer un regard satisfait à l’adolescent, qui bouillonnait de rage.
Il n’avait malheureusement pas tarder à se venger.

Le climat étant encore clément à cette période de l’année, il était commun pour les étudiants d’aller déjeuner sur les pelouses. Le repas terminé, Elena discuté tranquillement avec ses amis, allongée sur le ventre, remuant ses pieds chaussés en l’air. Elle portait un jean serré, et un chemisier blanc.
Elle sentit des pas hostiles derrière elle, mais n’y prêta guère attention. Elle en fut obligée lorsqu’elle sentit ses ballerines être arrachées.
Elle se retourna pour voir Hubert et ses laquais.
« Bah alors, Saint-Ange ? Si t’aimes tant les montrer, t’as qu’à rester pieds nus !, aboya-t-il.
-Tu sais que t’arranges vraiment pas ton cas.
Elle tenta de garder un ton confiant, mais sa voix tremblait légèrement. Elle avait aimé taquiner Hubert, et elle aimait bien se déchausser, mais elle n’appréciait pas vraiment que ses plantes soient exposées contre sa volonté.
Son ennemi respira profondément une de ses ballerines, dans un geste gauche.
-Putain, tu pues des pieds…Tu te laves, parfois ?
-Alors pourquoi tu les sniffes comme la coke qui a sauvé ta scolarité ?
Elle savait en plus que c’était faux. Si ses chaussures dégageaient un légère odeur, elles ne puaient certainement pas.
-Tu te prends pour qui, meuf ? T’es personne ?
-Et alors, t’es qui ? Tout ce que je vois, c’est un imbécile habillé comme un écolier des années cinquante. C’est ton Papa qui te les as offerts avec ton bac de Français ?
Le visage d’Hubert se tordit de haine, faisant légèrement frémir Elena. Ces derniers mots étaient de trop.
-Tu vas voir…Tenez là, les gars. »
Elle se débattit, mais fut rapidement maîtrisée. Elle pouvait difficilement lutter contre les meilleurs sportifs de l’école. Ses amis non plus, malgré leurs vaines tentatives.

L’un d’eux maintenait ses bras en arrière, tandis qu’Hubert avait enlacé sa cheville droite. Un dernier comparse faisait de même avec la gauche. Elle comprit rapidement ce qu’ils avaient en tête.
« Mais vous avez quel âge ?, s’exclama-t-elle.
Elle espérait que la panique n’était pas trop perceptible dans sa voix.
-Bah tiens, tu fais moins la meuf maintenant, hein ?, lança-t-il sur un ton mesquin.
Il commença à effleurer son pied droit avec ses doigts, touchant la plante de haut en bas. Elle frémit.
-C’est chiant d’observer, hein…? De ne pas savoir quand ça va arriver, de fixer désespérément quelque chose en espérant obtenir satisfaction, ou au moins de s’en débarrasser ?
Ce ton caressant inquiéta Elena. Cela ne lui correspondait pas. Elle ne savait pas à quoi s’attendre. Cet instant étrange fut interrompu par le frottement acharné de brins d’herbes sur son pied gauche, par le comparse d’Hubert.
Elle commença à se débattre, gardant contenance.
-Doucement mec ! C’est pas comme ça qu’il faut s’y prendre…
Il prit la cheville dans sa main gauche avec sa main libre, avec fermeté. Il la souleva au niveau de sa tête, exposant la plante nue aux yeux des autres. Il fit rouler son pouce sur la plante. Prit chaque orteil entre ses doigts, examinant sa prise sous toute les coutures.
-Joli vernis, dit-il en maintenant un orteil entre deux doigts.
Doucement, il fit glisser l’index de sa main libre sous le pied sans défense. Avec beaucoup de tact, de haut en bas, grattant à peine la base des orteils.
L’attente était insupportable. Il voulait la faire craquer. Alors qu’elle employait toute son énergie à rester digne, il dessinait de petits cercles sur son talon.
-Faut pas rougir comme ça, Saint Ange !, fit-il, générant quelques rires dans l’assemblée beaucoup trop nombreuse au goût de la suppliciée.
Il commença à pianoter sous la plante, ce qu’imita son ami.
-Hm…Pffff…Arrêeeete…
-Quoi, qu’est-ce que tu dis ? J’entends pas !, s’exclama-t-il avant de commencer à gratter franchement le pied.

Elle devait résister. Son honneur était en jeu. Elle était complètement rouge. Elle ferma les yeux, tenter de penser à autre chose. Mais impossible d’ignorer les fourmillements sous son pied droit, bientôt subis à gauche, quoique moins experts.
-STOOOOOHOHOHOOOP !, céda-t-elle finalement.
Cela ne fit que galvaniser leurs efforts. Hubert coinça le pied sous son aisselle, et se servit de ses deux mains pour maintenir les orteils qu’elle tentait de maintenir recroquevillés, afin d’atteindre cette partie si sensible de son pied.
L’autre, quand à lui, s’était mis en tête de frotter le glaçon de sa boisson contre sa plante, avec plus ou moins d’efficacité.
Elle se tordait, tentait de soulever ses jambes, de retirer ses pieds mis au supplice.
Ce n’étaient que ses pieds, mais Elena avait l’impression qu’on dévoilait quelque chose d’intime, de privé, aux yeux de tous. L’embarras se mêlait à la torture.
-JE T’EN SUPPLIIIIHIHIIHIHI !
Hubert s’arrêta brusquement.
-J’ai bien entendu ? Tu m’as supplié ?
-Oui…content…?, haleta-t-elle.
-Mmmmh…Nan. Va falloir faire mieux que ça. Dis Monsieur, et s’il vous plait. En me vouvoyant bien sûr. Mais garde la supplique, c’était plutôt cool.
Il allait trop loin.
-Va…Te faire…foutre…
-Si tu veux !
La torture reprit de plus belle. Le glaçon fondu, le comparse réutilisait ses doigts, de manière assez gauche comparée au toucher expert d’Hubert. Il s’arrêtait de temps en temps, pour donner l’espoir d’une libération prochaine. Il remplaçait les chatouilles par des caresses, comme pour soulager la plante rougie par le supplice. Avant de la prendre par surprise en recommençant à gratter et pianoter.
-Bon, qui veut m’aider à la faire rire comme une gamine ? Les filles ?
Il interpella le groupe de filles populaires, qu’Elena avait auparavant dirigé. Elle avait préféré s’éloigner d’elle et de leurs combines pathétiques. La blonde se débattit de plus belle en les voyant s’approcher.
Elle ferma les yeux, elle ne voulait pas voir ce qui allait se passer. Des ongles longs avaient commencé à gratter maladroitement ses aisselles.
-Utilise ta brosse Marguerite !, lança Hubert en maintenant ses orteils en arrière.
Un frottement insupportable se fit sentir.
-PUTAIN PUTAIN NOOOONONONONON !!!
-T’es bien vulgaire pour une noble !, taquina Hubert.
Les frottements s’accéléraient. C’en était trop. Elle préférait salir son honneur plutôt que d’être torturée plus longtemps.
-M-MONSIEUR….
-Ouiiiii ?, répondit Hubert avec un sourire narquois. Il fit signe aux autres de s’arrêter.
-Je vous supplie d’arrêter, Monsieur…S’il vous plaît…
-Bah voilà, c’était pas si difficile ! Allez laissez là partir.
Elle sentit sa bouche effleurer ses orteils, avant qu’il lâche son pied. L’instant était fugace, personne ne s’en était probablement rendu compte à part elle.
Elle resta longtemps ainsi allongée, entourée par ses amis qui tentaient de la réconforter. Sa meilleure amie avait giflé Hubert, une autre était allée insulter les filles qui s’étaient jointes aux bourreaux. Elle ordonna aux autres de ne pas aller se battre, pour éviter d’autres problèmes.
Ils durent tout de même batailler pour récupérer ses ballerines, même après leur départ du parc, la forçant à faire une partie du trajet pieds nus.

Ils n’avaient plus vraiment parlé depuis. Hubert venait de temps en temps se moquer d’elle avec les quelques vidéos qu’elle avait sur son portable. Elle avait préféré l’ignorer.

Allongée dans sa chambre, Elena poussa un long soupir. Ces quelques jours risquaient d’être longs, très longs.

Ils aiment : Toi ?