Histoire : Fantazia Metaverse

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.
Histoire


Histoire ajoutée le 25/05/2015
Épisode ajouté le 25/05/2015
Mise-à-jour le 03/07/2021

Fantazia Metaverse

J'avais commencé à écrire l'histoire de Fantazia l'an dernier en présentant quelques personnages principaux.

Sinon, il y a deux ans, j'avais créé un forum dédié à un jeu de rôle autour de Fantazia que j'avais dû fermer.
Voici ci-dessous la description de la cité de Fantazia, que j'avais rédigé il y a deux ans et qui servait d'introduction au jeu de rôle (j'y ai rajouté ici le nouveau plan de Fantazia pour repérer les lieux) :


Tout commença dans une ancienne cité médiévale datant du XIème siècle, située près de Menton, à la frontière franco-italienne. Les remparts de cette cité délimite à notre époque le royaume de Fantazia, un petit état indépendant, qui malgré sa localisation géographique, ne fait pas partie de l'Union Européenne. Ainsi, Fantazia est comparable à Monaco, ou encore au Vatican. Fantazia est divisé en quatre provinces ou quartiers : Magnuzia à l’ouest, contiguë à la ville de Menton, Solerma au sud-est, donnant sur la mer méditerranée, Tickelli au nord-est, accolé à l’Italie, et enfin Costretto au centre fortifié de la ville, abritant le château fort de Kinkycardie.



Le quartier de Magnuzia ressemble à Monaco, constitué de buildings modernes, d’hôtels et de casinos, faisant de Fantazia une destination de loisirs accueillante dans un décor romanesque fusionnant une architecture moderne à des vestiges médiévaux remarquablement conservés pour de nombreux touristes venus du monde entier. Mais si le quartier de Magnuzia est réputé pour son niveau de vie aisé, réservé à une élite constituée de personnalités importantes et de riches hommes d’affaires, la jet-set n’est pas la seule à convoiter les luxueux casinos, car ils sont aussi un lieu privilégié pour la pègre locale, dans lequel les gangsters des différents cartels ont le contrôle des jeux de hasards truqués pour délester l’argent des riches touristes insouciants au profit de la mafia locale, source d’une économie parallèle méconnue du public, et encore moins de l’extérieur des remparts de Fantazia. Ces entrées d’argent colossales, blanchies et reversées aux dirigeants du royaume, font de Fantazia un paradis fiscal attirant encore plus de touristes. De même, si les buildings de Magnuzia abritent pour la plupart de luxueux hôtels, nombre d’entre eux dissimulent des maisons clauses très privées, dont la majorité est réservée à une clientèle lesbienne avertie, dont le plus connu est le Baccarat Brothel (nommé ainsi pour ses nombreuses clientes prenant rendez-vous discrètement dans un club de baccarat). En effet, la prostitution est illégale à Magnuzia, elle est seulement autorisée au sein de ces maisons clauses, règlementées par la Virgo Corporation (ayant elle-même plusieurs filiales multinationales, dont les studios de production de vidéos fétichistes « CLIPS 4 TRADE » basés à Magnuzia ainsi qu’une filiale annexe d’exportation au Japon, dirigée par Akira Akasa et Kimiko Kong, où les médias sont manufacturés et acheminés via le cargo « Seagate »). Les femmes arrêtées pour prostitution clandestine sont envoyées dans un centre pénitencier pour femmes, où des détenues lesbiennes en liaison avec la pègre sont chargées de reconditionner les nouvelles arrivantes en lesbiennes soumises, qui seront alors récupérées à leur sortie par le Baccarat Brothel pour devenir des prostituées lesbiennes de luxe. Les prisonnières les plus réticentes seront droguées par des gardiennes de prison corrompues au moyen du mystérieux « sérum L », aux propriétés aphrodisiaques très puissantes conduisant à une forte dépendance et provoquant comme effet secondaire une altération chronique des hormones, entrainant une attirance irrésistible pour les femmes (selon certaines rumeurs, l’usage fréquent de cette drogue dans Magnuzia serait à l’origine d’une clientèle essentiellement lesbienne dans les maisons clauses).

Le quartier de Solerma dispose d’une station balnéaire très prisée par une jet-set souvent fétichiste du pied féminin affectionnant ses villas privées avec piscines, sa plage luxueuse ou encore son port de plaisance. Le quartier de Solerma abrite aussi l'Institut Gémini, qui est le centre administratif et diplomatique de Fantazia, où sont constitués notamment les passeports spécifiques à Fantazia (les seuls règlementaires pour les femmes) : il s'agit de passeports biométriques avec empreintes des plantes de pieds (appelées "empreintes Gémini"), issus d'une tradition locale où les nouveaux nés étaient identifiés de cette manière par les sages-femmes sur le registre des naissances du clergé. On y trouve aussi la zone industrielle, du fait de son ouverture vers l'étranger (Moyen-Orient), dans laquelle on peut trouver une marque haut de gamme de chaussures pour femmes typiques de Solerma, en particulier un modèle de "tongs massantes" très recherchées par les touristes ; ou encore les laboratoires Pavo Pharmaceutics mettant au point des cosmétiques à base de plantes médicinales pour les soins des pieds et du corps, ou plus généralement toute sorte de sérums et autres produits biochimiques ; et enfin les Industries Andromeda réalisant la monnaie de Fantazia ainsi que la bijouterie à base de métaux précieux, en particulier des bagues d'orteils « Andromeda ». Celles-ci sont un signe distinctif qui, selon le métal employé, permet d’identifier sa propriétaire comme étant une Dominatrice (bague en or), une soumise privée appartenant à une Dominatrice (bague en argent identifiée par un numéro de série identique à celui de la bague d’or de sa Maîtresse), ou encore une soumise publique à disposition des riverains (bague de cuivre). L’Institut Gemini dispose d’un « registre de soumission » référençant les propriétaires d’une bague d’orteil « Andromeda ». La possession de soumises est donc autorisée à Fantazia, règlementée par l’Institut Gemini, et n’étant pas considéré par la loi de Fantazia comme une forme d’esclavage, échappant ainsi à la vigilance d’Amnesty International. Par ailleurs, les bagues d’orteils en métaux précieux attirent les voleurs se faisant appeler les « Piedinudi Picciottos » (littéralement, « pickpockets des pieds nus ») travaillant pour la mafia locale, le Syndicat de Solerma (Solerma Soles Syndicate). Les Industries Andromeda sont aussi sollicitées par l’Institut Gemini pour réaliser des puces électroniques et des scanners miniaturisés destinés à être incorporées dans les « tongs massantes » de marque déposée « Solerma » ; par ce moyen, les scanners peuvent analyser les plantes des pieds numérisées et rechercher l’identité de sa propriétaire grâce à la base de données de l’Institut Gemini. De même, les services de police de Fantazia peuvent aussi, par de biais de ces puces, localiser les tongs et contrôler l’intensité des pulsations destinées normalement au massage pour générer des vibrations chatouillantes afin de déstabiliser voire immobiliser d’éventuelles contrevenantes par d’intenses chatouilles et limiter ainsi leurs possibilités de fuite.

Le quartier de Tickelli est un situé au pied des Alpes du sud ; c’est un quartier modeste resté très traditionnel, où les autochtones parlent parfois un dialecte mêlant différentes langues environnantes. Tickelli est aussi un quartier touristique connu pour son carnaval pittoresque durant lequel les habitants sont vêtus de costumes folkloriques de Fantazia. Les forces de l’ordre du quartier de Tickelli sont des chevaliers appelés Tickelli Troopers, surnommés aussi « Tickle Troopers » pour leur manière singulière d’appréhender les contrevenantes, ou « décimateurs » à cause de la taxe en rigueur. En effet, les riveraines sont soumises à une règlementation draconienne : elles peuvent à tout moment être contrôlées pour présenter leur passeport fantazien en règle (pouvant être fourni à l’Institut Gemini dans le quartier de Solerma), et dans le cas où elles seraient enregistrées comme « soumises » dans les registres, leur carte d’immatriculation Andromeda est aussi requise, pour vérifier le numéro d’identification figurant sur leur bague d’orteil (qui doit être obligatoirement visible, en portant des tongs « Solerma » ou autres chaussures ouvertes règlementaires, sous peine d’amende). Les contrevenantes sont systématiquement soumises au supplice des chatouilles, châtiment destiné aux femmes, suite à quoi une taxe de 1 Décime (monnaie locale du quartier de Tickelli, une pièce d’argent de 1 Décime ayant une valeur approximative de 36 euros) est prélevée. Outre les délits courants (tel que le vol, par exemple), l’adultère, la prostitution clandestine ou le refus de soumission aux forces de l’ordre (ou à leur maître, si elles sont soumises) sont aussi considérés pour les femmes comme une violation de la loi fantazienne. La plupart du temps, le supplice des chatouilles est appliqué directement par les Tickelli Troopers à l’aide de plumes ou pinceaux, la prisonnière étant immobilisée dans un carcan ; mais dans certains cas, le supplice des chatouilles est pratiqué sur la place publique du quartier de Tickelli, et exécuté par des bourreaux assermentés : les Hootchie Hoods (les Chatouilleurs Cagoulés), utilisant parfois le supplice de la chèvre sur la prisonnière pour un effet plus spectaculaire (les hauteurs montagneuses alpines de Tickelli abondent de chèvres, bouquetins, chamois, chevreuils et autres ongulés) en utilisant une saumure salée sur les pieds de la soumise (une saumure à base saline est spécialement confectionnée à cet effet par les laboratoires de Pavo Pharmaceutics dans le quartier de Solerma, où durant l’époque médiévale, le sel était une denrée rare, récupérée au port de Solerma et acheminée en Europe en passant par les montagnes de Tickelli en suivant la « route du sel » ou « Salt Street », traversant le village de Tickelli et sa place publique). Dans les montagnes de Tickelli se cache aussi une secte appelée Hootchie Koo Klan, dont les adeptes sont des chatouilleurs sadiques et pervers, pratiquant le supplice des chatouilles pour des rituels fétichistes occultes. C’est durant les croisades contre les Cathares vers le XIIème siècle que cette secte aurait vu le jour, et Simon de Montfort aurait été l’un des inquisiteurs et fondateurs de la secte. Le repère de la secte Hootchie Koo Klan est implanté dans des tunnels secrets dissimulés sous la montagne, utilisés pour la ligne Maginot durant la seconde guerre mondiale et supposés abandonnés aujourd’hui. Le prolongement de ces tunnels conduit jusqu’au quartier de Solerma, plus exactement jusqu’aux sous-sols des laboratoires de Pavo Pharmaceutics, donnant accès à l’asile psychiatrique et au laboratoire de recherche dans lequel sont expérimentée des drogues destinées aux maniaques atteints de perversion sadique et de déviances sexuelles incontrôlables. Suite à une fuite de gaz dans l’entrepôt de stockage de déchets toxiques, la majorité du personnel des laboratoires Pavo Pharmaceutics aurait respiré une toxine contenue dans ce gaz, perturbant l’organisme en provoquant l’effet inverse des drogues synthétisées par les chercheurs, devenus eux-mêmes plus pervers encore que leurs patients. Les plus grands chercheurs en psychiatrie et neurologie de Pavo Pharmaceutics ont alors réorientés leurs recherches pour synthétiser des sérums catalyseurs de déviances sexuelles à base de cette toxine inconnue pour les expérimenter sur leurs patients. Ainsi, les Hootchie Hoods (Chatouilleurs Cagoulés faisant office de bourreaux) seraient tous des maniaques fétichistes des chatouilles issus des expérimentations démentes des savants fous de Pavo Pharmaceutics (synthèse de drogues expérimentales en tout genre, expérimentations sur l’hypnose, conception de prothèses cybernétiques…), devenant alors des membres de la secte Hootchie Koo Klan.

Le quartier de Costretto est le centre fortifié de la cité de Fantazia, entouré de tours et donjons reliés par des remparts. C’est un quartier typiquement médiéval, avec ses chapelles, ses manoirs, ou encore ses rues pavées se croisant à une grande place au nord de Costretto. Le quartier de Costretto est surtout connu pour ses nombreux manoirs réaménagés en « clubs de jeux » dans lesquels se déroulent des tournois internationaux d’échecs, de poker et autres, à l’exception du dimanche, jour de marché. Le soir, à partir de 20h, une grille referme chaque porte d’accès à Costretto : personne ne peut entrer ni sortir du quartier avant le lendemain matin 8h. Durant le couvre-feu, les clubs de jeux sont fermés au public, tandis que les manoirs deviennent des clubs BDSM fétichistes, des passages secrets conduisant jusqu’aux catacombes, reconverties en salles de torture aménagées en équipement de bondage, instruments de chatouilles et autres gadgets érotiques, dans lesquelles seront torturées de nouvelles victimes durant toute la nuit. La grande place au nord de Costretto est la place du Marché aux Esclaves, dans laquelle sont louées aux enchères chaque dimanche des prostituées de Magnuzia, des touristes égarées de Tickelli dont le passeport n’est pas conforme, ou encore des soumises privées portant une bague d’orteil argentée.
Au sud de Costretto, les remparts ainsi que les deux routes entourant le château fort délimitent le domaine de Kinkycardie, demeure de la famille royale de Fantasya. Le Roi et la Reine de Fantazia dirigent une franc-maçonnerie fétichiste occulte datant du VIIème siècle : la Société Secrète du Péché (Secret Society of Sin). Cette société secrète perpétue un ancien rituel fétichiste occulte censé permettre aux adeptes d’absorber le « Karma » de leurs victimes (sorte d’aura astrale propre à chaque individu), car une personne obtiendrait un pouvoir de domination d’autant plus important que son Karma est élevé, et à l’inverse, une personne dont son Karma serait épuisé deviendrait entièrement soumise et dépendante à son maitre. Les victimes sont en général de jolies femmes (mais il peut arriver aussi que des jeunes hommes soumis soient choisis comme victimes). Les deux tortures les plus couramment employées dans le rituel sont les chatouilles (souvent aux pieds) ou la privation d’orgasme (voire les deux simultanément), dans le but de procurer un mélange de plaisir et de torture chez la victime jusqu’à son épuisement physique afin d’atteindre la phase de « singularité sexuelle » : un état de transe chez la victime, qui devient excitée par les chatouilles tandis que cette excitation la rend encore plus sensible à ces même chatouilles, conduisant à une augmentation exponentielle de son plaisir, un point de non retour durant lequel le plaisir et la torture se confondent, et c’est durant cet état de semi-conscience que le Karma de la victime peut se transmettre à ses tortionnaires.
La Société Secrète du Péché est une véritable organisation dirigée par le monarque de Fantazia, protégé par son immunité diplomatique, dans une forteresse de la taille d’un petit état soumise à ses propres lois. Les membres de la Société Secrète sont des personnalités importantes occupant les postes clé de la cité : des nobles propriétaires des clubs, des gérants de casinos, des proxénètes dirigeants les maisons clauses, des PDG (Virgo Corporation, Solerma Shoes, Gemini Institute…), le grand patron de la pègre de Costretto, le parrain du Solerma Syndicate, les chercheurs de Pavo Pharmaceutics, le leader de la secte Hootchie Koo Klan…

Ils aiment : Toi ?