Histoire : Ellyen, bonne royale

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Histoire


Histoire ajoutée le 06/06/2015
Épisode ajouté le 06/06/2015
Mise-à-jour le 03/07/2021

Ellyen, bonne royale

Bonjour tout le monde. J'ai le plaisir de vous présenter ma petite fiction interactive (et oui dans la vie faut faire des choix :p ). J'attends avec impatience vos commentaires. Du coup bonne lecture.

Ellyen, apporte le linge à mademoiselle, tonna la gouvernante. Tout de suite madame. Et hop je m’étais éclipsée dans le dédale des couloirs.

Le service au château est très strict, cependant je regrette en rien mon travail à l’auberge. Qui se plaindrait d’ailleurs d’être au service de son altesse, pensais-je un sourire aux lèvres.

La bâtisse était immense. Je me laçais cependant en rien des dorures et des armoiries qui jalonnaient les murs : buste et portrait des anciens propriétaires surveillaient aussi la demeure.

Malgré mon ancienneté (quelque semaine, il ne faut pas pousser), je portais encore un regard interrogateur sur la mystérieuse tenue verte présente sur un valet de la salle des documents… mais trêve de bavardage j’arrive vers la chambre à coucher de Mademoiselle.

Je toque… pas de réponse. Elle risque de se faire rosser par l’intendante si je ne la réveille pas. J’entre donc. Mademoiselle, il est l’heure de se lever, commençais-je tout en me dirigeant vers les rideaux encore fermés.

Le palais était déjà luxueux… mais là on atteignait un tout autre niveau ! Un gigantesque lit en baldaquin mettait en respect, depuis le centre de la pièce, tous les autres meubles. Les tapisseries dorées, mais pas seulement, caressaient la rétine de leurs sublimes couleurs. Roses, rouges, dorées et ébènes, les armoires et commodes croulées sous les cadeaux des prétendants. Et un tapis ornait de rosas était au sol en vue de protéger ça royale personne de la fraîcheur du sol.

A vrai dire le premier jour m’avait fortement impressionné mais dès lors je m’étais habituée au lux des lieux. Je poussais donc les rideaux, et recommençait mon appel… rien, si ce n’est un léger froissement de couverture, signe d’agacement.

Je m’apprêtais donc à …

1) Susurrer à l’oreille de Mademoiselle pour la réveiller
2) Découvrir Mademoiselle, le froid ça réveille
3) M’approcher en silence du lit (une idée fort languissante en tête)

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