Histoire : Mr Tickler.

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Histoire


Histoire ajoutée le 21/12/2015
Épisode ajouté le 21/12/2015
Mise-à-jour le 03/07/2021

Mr Tickler.

Nous sommes dans une petite chambre. Ni lustre, ni lampadaire, juste un néon blafard au dessus du lavabo. L'homme se tient parfaitement immobile devant ce fauteuil, qui lui sert de lieu de travail. Comme il fait chaud, il enlève sa veste de cuir noire, laissant apparaître un t-shirt fin, dévoilant ses muscles parfaitement dessinés. Il soupire. Puis il s'assied sur la seule chaise de la pièce. L'attente lui est insoutenable. Cela fait plusieurs heures qu'il est là. Il attend, ne serait-ce qu'un mouvement de sa part. Il a traversé la pièce une centaine de fois, en long, en large et en travers. Il a vérifié une dizaine de fois s'il avait bien tous les instruments nécessaires, s'il n'en avait pas oublié un dans la voiture par mégarde. Tout est là, il en est absolument certain. Il est maintenant assis sur une chaise, à attendre que sa patiente montre un quelconque signe de vie.

Soudain, pour son plus grand bonheur, il entend le cuir du fauteuil grincer. Sa patiente remue doucement et ouvre les yeux. Il la regarde avec un grand sourire, comme s'il avait attendu ce moment toute sa vie. Elle le regarde avec de grands yeux affolés, elle voudrait lui poser des tas de questions mais le tissu, positionné sur sa bouche l'en empêche. Elle essaye de comprendre ce qui s'est passé, mais elle ne retrouve pas la mémoire. Elle se rappelle qu'elle était chez elle en train de regarder la télévision, et puis plus rien.. Le trou noir. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle est attachée sur un fauteuil de cuir, les bras écartés, reliés au siège par des anneaux de cuirs, et pareil pour ses chevilles. Des sangles retiennent son corps. Et ce qui lui fait le plus peur, c'est qu'elle est en sous-vêtement. Qu'est-ce que cet homme avait bien pu lui faire lorsqu'elle était vulnérable? Et qu'est-ce qu'il allait lui faire maintenant?

Il balade ses yeux le long de son corps, passant de sa plante de pied rosée superbe jusqu'à ses cheveux blonds épais et soyeux. Il s'imagine déjà dans le feu de l'action. Mais il veut faire durer le suspense pour sa pauvre patiente déjà totalement apeurée. Il regarde ses yeux vert magnifique, embués de larmes. C'est ce qu'il préfère, l'angoisse dans les yeux de la victime, il n'y a rien de plus excitant. Il la regarde essayer vainement de casser les liens qui la tiennent captive. Elle ne peut rien faire, elle est à lui à partir de maintenant et il compte bien en profiter.

Il se lève doucement de sa chaise et se dirige lentement vers sa prisonnière. Elle s'affole, tire sur ses liens, elle a peur. Il enlève le tissu qu'elle a sur la bouche et le positionne sur ses yeux. Elle bouge la tête, lui donne du fil à retordre, mais à sa grande surprise elle ne l'harcèle pas de questions, comme toutes les autres auraient fait. Il parvient finalement à nouer le bandeau autour de ses yeux. Il tourne autour de sa victime en silence, il la contemple. Elle est si belle, les yeux bandés, attachée de la sorte, ses cheveux en bataille tombant sur ses épaules. Elle est si vulnérable aussi, c'est tellement excitant. Il regarde ses aisselles parfaitement épilées, elles ont l'air si douce. Son ventre est mince et son nombril ressort légèrement. Ses longues jambes fines n'ont aucune imperfection, elles ont l'air si douce elles aussi. Il finit sa longue observation par ses pieds. Ses plantes sont rosées comme il les aime, aucune trace de corne sur le talon ou la base des orteils. Et pour couronner le tout, il n'y a aucune trace de vernis. Il entend sa captive respirer fort, sûrement le stress de l'attente, c'est ce qu'il voulait. Il va pouvoir commencer.

Il se dirige vers la petite table, décorée de tous les instruments qu'il possède. Il s'empare d'une plume noire, longue et soyeuse, c'est la plus belle de sa collection. Il s'approche de sa prisonnière et commence son travail. Il fait glisser la plume, très lentement le long de son bras droit, jusqu'à atteindre l'aisselle. La jeune femme sursaute. Le corps tout entier de la captive est parcouru de frissons. L'homme décide d'exploiter cette zone qui semble être très sensible. Il approche la plume de son aisselle nue et la fait glisser, il dessine de grands cercles, n'épargnant aucune parcelle de peau. La victime respire fort elle ne veux pas rire, elle se mord la lèvre inférieur depuis que la plume parcoure son corps. Au bout de quelques minutes la plume descend le long du côté droit de la jeune femme. Elle fait de longs va-et-vient pendant quelques secondes. Puis elle descend le long de son ventre, elle fait des cercles autour de son mignon petit nombril, plus ou moins grands. La jeune captive respire très fort, et elle bouge sa tête de droite à gauche. Sa plume décide maintenant de s'amuser avec son nombril, elle tournoie sur celui-ci, il ressort de plus en plus. La prisonnière éclate de rire, elle se débat, essaye de soustraire son nombril à la torture, sans résultat, elle ne peut que supporter les démangeaisons. La torture s'arrête pour la jeune femme à sa grande surprise. Mais elle reprend aussitôt le long de ses jambes. La plume glisse de ses aines jusqu'à ses chevilles pendant de longues secondes. Puis tout s'arrête d'un coup, la victime se tais, les démangeaisons se stoppent, puis le plus lourd des silences tombe sur la pièce. Le bourreau se positionne devant les plantes de pieds de la victime, elle sont si parfaites, il ne veut pas utiliser sa plume il veut toucher sa peau qui semble si douce. Ses doigts s'agitent dans les airs, puis s'approchent dangereusement de ses plantes de pieds. Il fit glisser ses index sur la peau douce de sa captive. La réaction ne se fit pas attendre, elle sursaute, et gigote dans tous les sens. C'est une réponse plutôt positive.

Il agite d'un coup ses dix doigts sous les plantes de pieds de sa captive. Elle a sursauté de surprise. Les démangeaisons semblent insoutenables pour elle, elle se débat, hurle, rit à gorge déployée, elle me supplie d'arrêter. A sa demande j'arrête, mais si elle savait ce qui l'attends.

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