Histoire : Piscine et frustration...

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Histoire


Histoire ajoutée le 25/02/2016
Épisode ajouté le 25/02/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

Piscine et frustration...

Salut à tous !
Je m'en vais vous raconter ma seconde histoire... Voilà ^.^
Il s'agit là, si je me souviens bien, de ma première expérience réellement vécue dans le domaine du fétichisme, alors autant dire qu'elle regorge d'émotions et de sensations... :D
Anjoua ! ;)

C'était l'été de seconde, j'avais alors 16 ans, lorsqu'une amie entame une conversation sur Facebook...
L'objectif est simple : motiver les troupes pour se rejoindre à la piscine, histoire de passer un peu de temps ensemble avant que tout le monde parte en vacances.
Ça tombe bien, tout le monde est d'accord, l'idée a du succès. Malheureusement, les jours passe, et chacun leur tour, ceux qui avaient au début accepté finissent par décommander.
Il ne reste plus qu'elle et moi. Je finis par me dire que ce ne sera pas pour cette fois...
J'étais en train de lui rédiger un message pour lui dire qu’apparemment, c'était mort la piscine pour demain... Lorsqu'un message apparaît sur la boîte de dialogue :
"Bon, hé bien c'est tant mieux ! Tu seras mon grand frère du jour !"
...
L'aubaine !
Je ne vous cache pas que depuis le début, l'idée de voir ses pieds, que je n'ai jamais vu jusque là, se balader sous mes yeux toute la journée m'enchante au plus haut point !
L'enthousiasme porté à con comble, c'est après avoir fixé l'heure du rendez-vous que je fini ma soirée dans mon lit, plein de petits rêves et d'espoirs.


Rendez vous en bas de chez moi, c'est sa mère qui nous emmène. Je ne suis pas en retard, et nous arrivons à la piscine de bonne heure.
Personne.
L'endroit et désert, c'est vraiment un jour de chance !
Midi approchait. Sa mère en profita pour nous trouver un coin d'ombre et d'herbe fraîche afin d'entamer le pique-nique.
Arrivée sur l'herbe, elle commence à se déchausser et se mettre en maillot, je fais de même.
C'est une très jolie fille. Un corps parfait, à la fois tonique, et en même temps possédant les courbes aux meilleurs endroits possibles.
Mes yeux dérivent alors vers ses pieds. Je fais lentement glisser mon regard, afin de conserver une sorte d'excitation permanente à l'idée de les découvrir.
Je ne fut pas déçu.
Des pieds, pour ainsi dire, parfaits. Petit, bien proportionnés, des pieds de danseuse, à la plante rosée et aux cheville fines, et au dessus d'un blanc laiteux.
Mais je ne veux pas qu'elle me remarque, et encore moins que sa mère se pose des questions en me voyant reluquer sa fille !
Je passe le repas en parlant avec elles, tout en jetant quelques regards vers les pieds de mon amie. Le spectacle de ses orteils se mouvant dans l'herbe est hypnotisant, mais je m'efforce de ne pas trop m'y attarder.


Le repas fini, il est l'heure d'aller se baigner !
C'est ainsi que nous plongions et testions tout les toboggans de la piscine, ouverts rien que pour nous (et quelques autres personnes aussi...) !
Puis nous décidons de nous diriger vers le coin "détente" de la piscine, fait de siège immergés et de remous.
Elle sait à quel point je peux être timide et introverti, et surtout, à quel point je peux être gêné quand les conversations tournent autour de thèmes quelques peu sexuels, et elle s'en est bien trop souvent amusée, à l'aise qu'elle était par rapport à moi avec ce genre de conversations.
C'est la raison pour laquelle elle commençait à adopter cette attitude de femme fatale, plus un jeu qu'une réelle tentative de séduction. Elle passa son temps alors, lorsque je lui parlait, à mordiller ses lunettes de plongé avec un regard aguicheur. Cela la faisait rire, et je fit mine d'être amusé/gêné.
Sauf que ces jeux n'avaient jamais duré plus de trente secondes, et comme on était que tout les deux, elle ne s'arrêtait pas... Et cela finit par avoir son effet sur moi...
Je sentait la température de mon corps qui montait. Elle était vraiment jolie en fait... C'est bizarre que je ne m'en soit pas rendu compte avant !
Aussi, je la savais assez, voire très chatouilleuse, car j'ai plusieurs fois l'occasion, dans le cadre du jeu, de lui chatouiller les côtes et le ventre. Les seules conclusions que j'ai pu en tirer jusque là, c'est qu'elle avait un joli rire.
Ainsi, le cadre s'y prêtant, et un peu désinhibé que j'étais à cause du chaos que son comportement provoquait en moi, je lui proposait un jeu : je la chatouille, et elle doit résister !
"D'accord !" Me lança-t-elle simplement.
Pas très original certes, mais je ne voulais pas être gênant.
Je commençais par son cou, en passant par ses oreilles (très sensibles chez elle), puis ses côtes, son ventre. Son rire, plutôt mignon, atténuait ses postures et mimiques qu'elle abordait depuis déjà une bonne vingtaine de minutes, ce qui eu, paradoxalement, pour effet de me calmer.
Puis, après un bref moment d'hésitation, dû à l'excitation encore présente en moi, je me décidais à lui chatouiller les cuisse, en les lui pressants assez rapidement, sans y aller trop fort (la fameuse technique de la bise de cheval !) pour ne pas lui faire mal.
Sa réaction eu son petit effet sur moi...
En effet, à chaque fois que ma main se serrait sur sa cuisse, ces dernières se rapprochaient, son buste de courbait en arrière, mettant en valeur sa jolie poitrine, et elle lâchait un "cri", très, très proche de ce que l'on pourrait décrire comme un râle de plaisir...
Elle essayait de résister.
Cette vision, et cette emprise que j'avais sur elle me poussèrent à recommencer encore quelques que fois, et à chaque fois, son buste se tordait de nouveau, accompagnés des même râles, jusqu'à ce quelle me glisse un "arrête..." riant et à peine soufflé...
Je m'exécutais, ma tête bourdonnait et je fis un effort surhumain pour calmer mon rythme cardiaque et ma respiration.
"Ça chatouille vraiment trop ton truc, c'est horrible !" me lâcha-t-elle en riant.
Elle proposa ensuite que l'on aille nager à travers la piscine, tout en parlant. Elle recommença à adopter sa fameuse attitude aguicheuse, en nageant assez près de moi, ma gêne à peine caché l'amusant, l'empêchait de s'arrêter.
Nous nous dirigeâmes ensuite vers la partie intérieur de la piscine, où se trouvait un coin "piscine à courants". Alors qu'elle essayait de remonter le courant, je m'amusais à chatouiller ses aisselles afin de lui faire lâcher prise. Ce qu'elle fit, plusieurs fois, en se laissant tomber et glisser dans mes bras, ce qui eu pour effet de me faire rougir. Elle riait beaucoup.

L'intérieur de la piscine comportait une sorte d'estrade, juste derrière la partie courants, à peine immergé. Elle décida de s'y installer. Elle était donc allongé sur ce promontoire, et je restait dans l'eau, à genou et à moitié immergé, en lui parlant.
Soudain elle se tourna, s'assis en tailleur face à moi, sans dire un mot, puis s'adossa à moitié sur le mur derrière elle, et étendit les jambes.
Le supplice commence...
Ses pieds nus, aux ongles couleur violet, sont à moins de 5 centimètres de mon nombril.
Je sais qu'ils sont là, je peux presque les toucher, mais je refuse de les regarder. Mon regard est tourné vers le vide. Je suis presque sous le choc, je ne sais pas quoi faire devant une telle occasion. Ma tête se remet à bourdonner, puis quelque chose me sort de mes pensées. Je sens quelque chose juste en dessous de mon nombril...
Elle n'est plus adossée au mur, elle repose maintenant sur ses coudes, et un de ses pieds est en train de toucher mon ventre avec ses orteils et une partie de sa plante, juste en dessous de mon nombril... !
"Contracte les abdos." Me dit-elle. Je peux voir qu'elle aborde à nouveau ce regard séducteur, en plus de mordiller lentement ses lunettes de plongée qu'elle tient dans sa main.
Je sens alors une énorme décharge en moi, un frisson extrême, qui part de ma poitrine, descend peu à peu, de plus en plus bas...
"Heureusement qu'elle ne peut voir que mon torse...", me dis-je intérieurement, le promontoire l'empêchant de voir plus bas.
Elle augmente le contact de son pied sur mon ventre en se répétant, et en ajoutant :
"Je suis sûr que tu en as quelques uns !"
Je m'exécutais, en contractant le peu d'abdos que j'avais. Elle répéta la pression avec son pied plusieurs fois, afin de tester la solidité de ma "musculature", puis avec l'autre, puis avec les deux en même temps, ce qui m'arracha un petit rire étouffé.
"Ah ? Ça te chatouille ? Tu crains ? "
"Oui." Répondis-je simplement, ne sachant pas quoi répondre d'autre. Ma tête bourdonne trop pour que je puisse réfléchir, mes gestes se font tout seuls.
Je suis sur une autre planète, peut-être au paradis...
Je saisi un de ses pieds, en faisant parcourir mon pouce délicatement sous son pied. Elle le retira rapidement, puis accepta que je lui saisisse, toujours sans dire un mot. J'en profitais pour lui masser délicatement, presque discrètement, la plante des pieds.
Je suis aux anges.
J'ai beaucoup trop chaud.
Elle apprécie, elle sourit.
Puis je sens de nouveau ses pieds sur mon ventre, toujours avec mes mains posées sur chacun d'eux. Elle les faits se balader pendant quelques instants. Autour de mon nombril, puis remontant lentement, jusqu'à mes pectoraux. Je suis au bord de l'explosion, je prie mon corps et ma conscience de ne pas craquer. J'ai en même temps des images, des situations, qui défilent dans mon esprit.
J'aimerais les porter à ma bouche, les lécher. Mais je résiste...
Je vois aussi d'autre situations, dont mon esprit, timide, gêné, s'était alors jusque là censuré, pour des raisons évidente...
Je suis à deux doigts la supplier, ou de craquer, je ne sais pas, je ne sais plus.
Que dois-je faire ?
...
...
...
Ses pieds finissent par redescendre, puis quitter mon ventre, et se glisser hors de mes mains, sans que j'oppose la moindre résistance.
Elle se rallonge dans l'autre sens, le long du mur cette fois.
J'en profite pour la regarder, puis, une fois calmé, je ressens une énorme fatigue, et fini par m'affaler sur le promontoire.
On discute de choses et d'autres, comme si rien de s'était passé, moi regardant par moment ses pieds, sans me soucier du fait que je sois le moins discret possible.
Je viens de passer le meilleur moment de ma vie.


Il se fait tard. Sa mère, qui s'était endormi dehors au soleil, vient nous chercher pour nous indiquer qu'il est l'heure de partir.
On s'est changé, avons un peu parlé des cours et de ceux qui n'ont pas pu venir à la piscine aujourd'hui durant le trajet du retour, puis nous nous sommes quitté, de la manière la plus normale.
Le soir, sur Facebook, elle m'a remercié d'être venu.
Je lui ai demandé si j'avais été un bon grand frère.
"Oh oui, j'ai adoré ;) !".


Voilà, c'est la fin ^^
J'espère que ce n'est pas trop mal écrit, j'ai essayé de rendre cela le plus lisible possible, et je m'excuse d'avance s'il y a des fautes que je n'ai pas relevé à la relecture.
Mais bref, j'espère que cette histoire vous plaira ! :D
D'ailleurs, petites infos : Aujourd'hui, cette amie sait tout de mon fétichisme, et c'est d'ailleurs la seule personne de mon entourage (hormis mes exs-copines évidemment), à le savoir. Elle a été amusée et s'est moquée de moi en me disant qu'il y avait des fantasmes bien plus bizarres que les caresses de jolis petons. Elle a toutefois tenu à savoir si je ressentais quelque chose quand je lui chatouillait les pieds. Et bien sûr, j'ai répondu par l'affirmative, et cela ne l'a pas le moins du monde dérangé !
Je l'ai même récemment surprise à mettre discrètement, l'air de rien, son pied, nu, à ma disposition pendant plusieurs minutes, lors d'une fête dans le jardin d'un ami durant l'été. Après quelques minutes, je me risquait à quelques caresses du bout des doigts sur sa plante. J'eu en retour un tressaillement de ses orteils et un sourire complice, sans qu'elle ne retire son pied ! :D

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