Histoire : La fin de soirée arrosée (M/F)

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Histoire ajoutée le 28/03/2016
Épisode ajouté le 28/03/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

La fin de soirée arrosée (M/F)

Bonsoir à tous ! Je suis de retour aujourd'hui pour un one shot un peu particulier, puisqu'il mélange réalité et fiction. Toute une grande partie de cette histoire est véridique, et l'autre est davantage fantasmée, je pense que vos n'aurez pas trop de mal à deviner. C'est la première fois que je m'ose à quelque chose de davantage sexuel, je ne sais pas si cela sera très concluant. J'ai eu assez de plaisir à l'écrire puisque c'est en grande partie vraie, mais cela reste une histoire à un seul chapitre, bien que d'autres puissent se greffer. J'ai déjà prouvé mon incapacité à fournir régulièrement de nouveaux chapitres (bien que The serial tickler, ainsi que la vie rêvée, ne soient pas mortes du tout), alors je m'essaye aux histoires courtes.

N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, bonne lecture :)

C'était cet été, chez moi. On était posés dans le salon, moi et elle, que j'appellerai émilie. Une jeune femme sportive d'une vingtaine d'année, de longs cheveux blonds qu'elle attache régulièrement, mais qui sans ça lui tombe au milieu du dos. Des yeux bruns, pas spécialement un canon de beauté d'après mes critères. Elle n'est pas non plus spécialement photogénique, mais elle garde un charme certain, avec son sourire de chaque instant, son côté bon public qui fait qu'il n'est pas compliqué de la faire rire. Qui plus est, elle est très agréable pour discuter de tout, d'absolument tout. Potentiellement une très bonne amie donc.

Quand je dis sportive, je veux dire qu'elle fait du triathlon. Elle fait du vélo régulièrement, nage dés que possible, fait de l'accrobranche en club. Très active donc, son corps est très agréable à regarder. Plutôt grande, elle doit mesurer entre 1m70 et 1m75.

Afin de situer, je savais déjà que cette soirée s'étalerait dans deux endroits différents de la maison : Ma terrasse déjà, sur laquelle est installé mon petit barbecue. Deux porte-fenêtre y mènent : Celle de la cuisine et celle du salon, permettant de circuler facilement. Vu de haut, je dirais que la terrasse forme le quatrième quart du carré que forme ma maison.

À côté de cela, un petit jardin à l'herbe fraîchement tondue, très agréable pour se poser sur un transat, et prendre un bain de soleil. Le jardin du voisin étant séparé du mien par une haie, et par l'abri de bois de l'autre côté. La dernière face derrière la maison étant la mieux protégée : un bout de terrain en pente, surmonté d'une autre haie, rendant l'accès par ce côté très compliqué, excepté pour les quelques chats que leurs maîtres laissent en liberté la journée.

L'autre pièce est le salon. C'est vrai que c'est l'été, mais sachant que l'on crève de chaud à l'extérieur, alors que l'intérieur de la maison conserve assez bien le frais, le choix fut rapide. En y entrant par la terrasse, on passe à côté d'une cheminée, en face de laquelle est posé un rockin chair, ainsi qu'un petit fauteuil. Un peu plus loin est situé l'espace TV, avec un canapé en cuir noir, entouré de deux fauteuils du même style, une table basse au centre, et le meuble de la télévision en face. Le sol est une longue suite de carreaux couleur sombre, virant vers un mélange de jaune et de marron, très sobre.

Je pourrais sans doute décrire le reste mais cela serait long et sans intérêt.

Ce soir-là, j'avais prévu un petit barbecue auquel elle s'est jointe avec plaisir. Arrivée à 18h, il faisait encore très bon dehors, presque trop chaud. Lorsque j'ai ouvert la porte, je n'ai pu m'empêcher de la regarder de la tête aux pieds : un petit haut léger, sans manches, un pantalon moulant descendant jusqu'aux chevilles, et des petites sandalettes qui cachaient à peine ses petits pieds de taille 38, notamment ses ravissant orteils vernis de rouge.

Après l'avoir faite rentrée, je l'installe sur mon canapé de cuir noir. Elle s'assoit, toujours chaussée. Je lui propose un petit apéritif. De toute façon, ma maison est assez grande, donc les choses sont claires : On se la met, et elle dort ici. Je m'installe, de mon côté, sur un des fauteuils, celui installé à la droite du canapé, préférant ne pas l'intimider avec trop de proximité.

Elle commence doucement avec un jus de fruits, je fais de même en prenant un soda. Nous discutons de choses et d'autres, je profite de sa naïveté, regardant régulièrement ses pieds sans que cela n'attire son attention. Elle ne sait pas que je suis fétichiste, et elle agite souvent ses petits doigts de pied à croquer pour mon plus grand plaisir. Hélas, me dis-je, la lanière de sa sandale tient bien le pied contre la semelle, bien que glisser un doigt soit une tâche aisée. Je préfère garder ça pour plus tard. Un autre jour peut-être, comme c'est le premier soir que l'on passe tous les deux, je ne voudrais pas l'effrayer. Mais je ne peux m'empêcher d'être attiré par leurs beauté : Des orteils ni trop longs, ni trop courts, bien rangés, des ongles auxquels je n'ai rien à redire, surtout quand je pense qu'elle est sportive, courant souvent, et que cela aurait pu les abîmer quelque peu. Le tout surmontant de très élégants pieds fins, se cambrant à loisir, dont la peau ne souffre aucunement de cicatrices de quelque sorte que ce soit. Bref, un plaisir à observer.

Je mets un peu de musique en fond, que j'ai transféré sur une clé usb au préalable, j'ai fait une petite sélection de musiques posées, idéales pour une petite soirée n'ayant pas vocation à faire danser tout le monde. Mon choix se porte sur un mélange de découvertes personnelles et de petits sons entendus partout : Ain't Nobody de Felix Jahen, A.T.T.Y.S. et Wind Blows de Château Marmont, Worth It de Fifth Harmony, Trumpets de Jason Derulo etc... Non pas que j'adore tous ces sons, il n'y en a que certains que je conserve pour les écouter de temps en temps, mais concernant les autres, je trouve qu'ils collent juste bien à l'ambiance.

Dés le second verre, j'ai sorti le rosé en bouteille, bien frais, sortant juste du frigo. Un rosé nature, bas prix, mais qui reste suffisant pour les gens au palet non entraîné, comme moi et elle.

Nous enchaînons déjà deux ou trois verres en discutant de tout et de rien. Une fois la première bouteille finie, je me rends compte qu'il est temps de m'affairer au barbecue.

Le repas en lui-même n'est pas très intéressant : saucisses, merguez, brochettes, morceaux de viandes, frites au four. Le seul intérêt étant la bonne odeur de grillade qui envahit la maison. Une deuxième bouteille de rosé bien frais y passe, les deux cadavres étant laissés à côté de la table basse dans un premier temps.

C'est après que l'on passe aux choses sérieuses. Je sors la vodka, elle en prend avec du jus d'orange, je fais de même. L'alcool montant, j'arrive à rester attentif à ne pas poser mon regard de façon trop insistante sur ses pieds, mais mes mains semblent commencer à développer une volonté propre. Et alors qu'elle me raconte son parcours, mes doigts s'agitent, mon verre change de main régulièrement, comme si il me brûlait la peau, tandis qu'elle continue de me parler en souriant, ses jambes croisées, la gauche surmontant la droite, agitant son pied en sandale presque devant mes yeux. Je les sens à ma portée.

La soirée avançant, étant tous les deux de plus en plus atteints, elle rit plus souvent, pour pas grand chose, et je suis plus jovial également, semblant avoir gagné en éloquence au fur et à mesure des gorgées. L'odeur de grillade persiste, n'étant pas remplacée par l'alcool. Je ne suis pas de ceux qui bégayent beaucoup ou cherchent leurs mots lorsque l'alcool m'atteint, je suis plutôt de ceux qui gagnent en efficacité lors de leurs répliques, capables de clasher quelqu'un à répétition sans faiblir, mais sans entrer dans la méchanceté, je m'autorise juste des remarques comiques, ou je dis des vérités de telle façon que la personne en face en rit plus qu'autre chose. Ici, ce n'est bien sûr pas le cas, je vanne émilie, mais je reste dans la gentillesse, je préfère vanner les gens que l'on connaît tous les deux, et qui ne sont pas là ce soir, en soulignant leurs défauts évidents, qu'il s'agisse de leur personnalité ou de leur comportement. Chaque réplique fait mouche, elle en est presque à recracher ce qu'elle ingurgite. Son visage rougit à vue d'oeil, elle me dit gentiment que je suis con, la seule chose qui ne change pas, c'est sa tendance à toujours agiter ses pieds.

Il est maintenant 23 heures. C'est encore tôt, mais après ce que nous avons bu, émilie dit avoir envie de dormir. Le barbecue est éteint depuis longtemps dehors, les porte-fenêtre aussi. Je vais fermer chaque volet de la maison, puis j'en profite pour me rasseoir à côté d'elle, dans le canapé.

Je ne me rapproche pas trop, étant encore capable de voir les limites à ne pas franchir trop vite. Même si, vu les rires qui se sont enchaînés depuis le début, on peut penser qu'une certaine complicité s'est installée entre nous, et peut-être que quelque chose est jouable. Mais même moi je ne sais pas ce que je veux, alors j'essaie de rester prudent, et de me concentrer sur ce qu'elle agite devant moi depuis le début de la soirée. Ai-je vraiment besoin d'en dire plus ?

Alors que la discussion se poursuit sur tous les sujets qui nous viennent., je finis par oser glisser mon index entre son pied et sa semelle. N'ayant pas prêté attention à mon mouvement de bras, elle se laisse surprendre, et sursaute en lâchant immédiatement un rire aigu, bien que très court. Elle ne retire même pas son pied, me laissant l'occasion de reprendre, mon index se glissant encore, et s'agitant contre sa plante de pied douce. Elle rit de nouveau, mais elle ne proteste pas, bonne surprise :

« -Tu es chatouilleuse à ce que je vois.
-Ben oui.

Son large sourire ne s'efface pas, mais elle ne semble pas forcément y prendre de plaisir pour autant, elle n'est juste pas contre ces quelques chatouilles spontanées. Son rire envahit ainsi petit à petit la pièce, bien que cela ne soit que de courte durée. En effet, ne souhaitant pas trop tirer sur la corde ou attiser sa suspicion, je préfère m'arrêter un peu, et attendre la suite des événements, qui ne se fait pas attendre.

Elle commence à me dire qu'elle se sent fatiguée, qu'elle aimerait s'allonger, ce que je la laisse faire sans aucun problème. Seul le haut de son corps bouge, elle n'ose bien sur pas s'étaler sur moi comme ça. J'ai un meilleur accès à son joli fessier qu'à ses pieds. Elle s'étale ainsi, s'appuyant sur le côté gauche. Mais, sachant déjà que cette position n'est pas la plus confortable qui soit, je m'autorise à toucher ses pieds : Sa peau est froide, très froide, et c'est justement ce que j'espérais :

« -Tu voudrais que je te réchauffe les pieds ? Ça te détendrait et ça te permettrait de vraiment t'allonger, pour être plus à l'aise. 
-D'accord. »

Bonne surprise, aucune hésitation, comme si la chose était naturelle, elle ne bouge pas, me laissant l'initiative. Je ne me fais pas prier pour attraper ses deux pieds d'un coup, et les disposer comme je l'entends, ses mollets sur mes cuisses, ses pieds sur l'accoudoir du canapé. Elle est maintenant allongée totalement, toujours sur le même côté, ses plantes de pieds me faisant face, bien que celles-ci soient encore rendues invisibles par les semelles des sandales.

Je passe alors tranquillement mes mains autour, caressant de dessus de ses pieds patiemment, comme si je m'occupais d'un bibelot fragile nécessitant la plus extrême précaution. Mais je ne me prive pas pour à nouveau glisser mon index sous son pied, la faisant encore rire rapidement, pour mon plus grand plaisir, alimentant mon imagination, et mon excitation grandissante depuis son arrivée.

C'est vrai que je prenais un risque à trop m'occuper de ses pieds, mais j'en étais à un point où j'avais envie de « vivre dangereusement », d'aller au bout, de profiter, et de ne pas regretter. Après tout, aucune protestation, bien qu'elle n'ait pas non plus manifester d'envie pour que cela continue. Cela me semblait alors suffisant pour poursuivre mon œuvre.

Après quelques minutes à faire ainsi, je tente ma chance :

« -ça serait plus simple de réchauffer tes pieds si je t'enlevais tes sandales.
-Ben vas-y, enlève-les. »

Encore une bonne surprise, décidément, elle monte très haut dans la classement des amies à garder à proximité. Je ne me gêne pas bien sûr, je replie une de ses jambes, la recroquevillant sur elle-même, et j'approche mes doigts de la lanière, que je défais patiemment, pour ne pas brusquer les choses, mais également pour ne pas risquer de la casser, et pour bien me rendre compte de la manipulation à effectuer pour la défaire... En vain.

En effet, après une dizaine de seconde à essayer de défaire ce lien au niveau de sa cheville, sans succès. Elle elle tend sa main pour m'aider à défaire l'attache, il ne lui faut quelques secondes pour défaire. Je la remercie et lui assure que je saurai me débrouiller pour l'autre chaussure. Elle retire alors sa main, me laissant tout le loisir te finir le travail, attrapant la sandale par les deux côtés, et la faisant glisser ; l'impatience m'ayant gagné, je ne tarde pas à révéler sa jolie plante, ainsi posée sur mes cuisses. Une plante de pied lisse, tendue, quasi-parfaite à mes yeux, il n'y a même pas une petite saleté pour venir gâcher ce tableau, ou du moins, je ne la vois pas.

Alors je continue ma tâche sur la deuxième sandale, que je défais facilement, laissant se révéler le pied tout aussi rapidement. Ses deux sandales posées à côté de mon canapé, les choses sérieuses peuvent commencer. Je ne sais pas si c'est l'alcool, ou juste une bonne capacité à me retenir, mais je n'ai clairement pas la gaule à ce moment là, même si intérieurement, je suis excité comme une puce.

Ses deux plantes de pieds me font face, le pied droit surmontant le gauche, comme si elle les mettait en ligne exprès, enfin, en colonne plutôt. Je les parcours du regard : Ses petits talons, ses plantes de pieds pâles, ses dix petits orteils ne demandant qu'à être sucer de longues heures. J'avais des tonnes d'envies qui me traversaient l'esprit, mais je voulais d'abord faire les choses bien.

Ainsi, je commençais un massage, entourant d'abord le pied droit de mes deux paumes de main, il était gelé. Je frottais avec patience tout autour, autant la plante que le dessus. L'entourant bien, je prenais plaisir à sentir sa douce peau au contact de mes mains, et je ne comptais pas la laisser filer ainsi. De toute façon, l'alcool aidant, je pouvais l'empêcher de partir sans me dire que j'étais un pervers, cela aurait été vraiment imprudent.

Pendant une bonne heure, sans interruption, mes mains passent et repassent autour de chaque pied, la peau se réchauffe petit à petit. Nous continuons de discuter, mais l'ambiance est désormais au plus calme, la musique continue de tourner, donnant une ambiance sympathique, agrémentée par cette grande lampe à pied dont j'ai réglé la luminosité pour obtenir un résultat tamisé, presque intime. Nous ne sommes que deux dans cette maison jusqu'à demain, autant dire que les possibilités offertes sont multiples.

Je m'amuse à ajouter quelques légère guilis à ce massage, mais ses réactions sont de moins en moins vives. Peut-être la fatigue, ou le fait d'avoir habitué ses pieds au contact de mes mains qui font qu'elle ne craint plus les chatouilles comme lors du début de soirée, mais elle reste de marbre face à mes petites guilis,là où j'espérais qu'elle serait d'autant plus réactive. Elle sombre petit à petit dans le sommeil, s'endormant en silence, les seuls sons restant étant ceux de nos respirations, couplés aux frottements de ma peau sur la sienne.

Après encore une bonne heure de massage, alors qu'il est 1H du matin, et que je commence moi aussi à ressentir une fatigue, je décide de tenter quelque chose que je trouve risqué. Je pose ses pieds sur le canapé, je me lève, et je vais chercher quelque chose dans ma salle de bain. J'en reviens avec un de mes accessoires préférés : Une brosse à cheveux à poils durs bleue. La queue est cassée, on attrape donc cette brosse à pleine main.

Je remets ses pieds sur mes cuisses et commence directement à passer la brosse le long de ses plantes de pieds. Et là, surprise ! Aucune réaction... Je ne saurais l'expliquer, j'ai passé lentement la brosse, appuyant sans trop forcer, le long de sa plante des talons jusqu'à la plante. Aucun petit rire, ses pieds restent inertes. Je veux bien ne pas être un spécialiste du maniement de la brosse, mais je n'avais jamais eu besoin de plus pour créer l'hystérie les rares fois où je m'en suis servi. Émilie ne réagit même pas, toujours en train de dormir paisiblement.

Démotivé par ce manque de réaction, je décide de laisser la brosse sur la table basse, et de reprendre le massage, toujours en essayant d'agrémenter de quelques guilis inefficaces elles aussi.

Après une intense réflexion, ralentie par mon taux d'alcool, je décide de prendre un autre risque, afin de ne pas louper complètement le coche. Je soulève alors son pied droit, dont la plante me fait face, j'approche mon visage doucement, et je pose mes lèvres sous le centre de son pied, j'attends quelques secondes, puis mes lèvres dépose un long baiser. J'apprécie ce contact de mes lèvres sur son pied nu, et je répète plusieurs fois l'opération. Lorsque je regarde à nouveau en direction de son visage, elle a les yeux ouverts, mais ceux-ci ne sont pas tournés vers moi, elle semble regarder la télévision toujours allumée, dont les haut-parleurs diffusent ma musique, réglée à un volume modéré, afin que ça ne gueule pas.

Surpris de ce manque de réaction, je continue avec quelques baisers. Puis je lui dis

« -Tu voudrais peut-être aller te coucher ? »

Elle acquiesce, et se lève, laissant ses sandales par terre, que je porte jusqu'à la porte d'entrée, à côté de mes propres chaussures.

Je lui montre sa chambre à l'étage, une pièce sobre, aux murs peints en gris, un lit deux places en bois, le plafond suivant la courbe du toit, mais n'obligeant pas a se baisser lorsqu'on atteint l'extrémité de la pièce. Une longue armoire remplit tout un pan de mur, en bois elle aussi, contenant de nombreuses portes coulissantes. Et enfin, une table de chevet posée sur un tabouret. Le strict minimum, en même temps, il s'agit de la chambre d'amis.

Craignant d'être trop entreprenant, je préfère l'installer là. Après l'avoir laissée se mettre dans le lit, tout en laissant la porte ouverte, je redescends au rez-de-chaussée, afin de ranger la vaisselle un tant soit peu. Je ne lave rien, je me contente de mettre la vaisselle dans l'évier pour le lendemain, de jeter les bouteilles vides, et de remettre dans leur meuble celles qui sont encore à moitié pleines.

Une fois ceci fait, je m'arrête devant les sandales d'émilie, posées innocemment sur le tapis, à côté de la porte d'entrée. Je m'accroupis, et les porte à mon visage. Je ne suis pas un fan des odeurs de pieds, mais je ne peux m'empêcher de sentir une paire de chaussures féminines quand j'en vois une. Évidemment, paires de sandales oblige, aucune odeur. Celles-ci étant manifestement assez neuves, pas de traces d'orteils sur la semelle, rien. Elles semblaient presque sorties du magasin de chaussures. L'excitation me gagna encore, je remontai, me préparant déjà à me masturber en pensant à ce que j'aurais pu lui faire.

Mais une fois dans ma chambre, elle se relève, et me demande si je pourrais la dépanner d'un bas de pyjama. Toujours habillée avec son débardeur et son pantalon moulant, s'appuyant contre le mur de ma chambre, un pied à plat, l'autre gesticulant, posé sur ses orteils, je lui donne mon bas de pyjama personnel, qui n'a rien de sexy : un short bleu sombre estampillé « Les Simpson ». Elle se ferme dans ma chambre pour se changer. Pendant ce temps, je réfléchis intensément, assis sur mon lit : Nous sommes tous les deux, seuls, dans ma maison, elle va dormir dans la chambre faisant face à la mienne, un bout de couloir nous sépare, pourquoi est-ce que je ne tenterais pas de bien finir la soirée avec elle, au lieu de me masturber comme je le fais habituellement.

Cette idée me travaille, j'essaie de voir si une stratégie est à élaborer. Après quelques minutes, je me dis que je n'ai qu'à prétexter le truc le plus con du monde, tout simplement.

J'attends un peu d'être sûr qu'elle se soit couchée, puis je tape doucement à sa porte, lorsqu'elle me répond « Oui ? » j'entrouvre suffisamment pour voir son visage, sa tête posée sur un coussin, me regardant avec ses petits yeux fatigués, et je tente maladroitement de proposer :

« Est-ce que ça te dirait qu'on dorme ensemble ? Histoire de discuter un peu. »

Vu son état de fatigue, je n'y crois pas trop, et effectivement, elle décline poliment ma proposition, disant que ce n'est pas qu'elle ne veut pas, mais qu'elle est crevée, et qu'elle va s'endormir dans la seconde. Je me retire alors, sans fermer complètement sa porte, ayant déjà un plan B en tête, bien que je ne sache pas si j'oserai le mettre à exécution.

Je me mets dans mon lit après m'être déshabillé, et je réfléchis encore. Avant de repartir de sa chambre, j'ai vu qu'elle s'était mise sur le ventre, cette position serait idéale pour profiter de ses pieds. Je commence à fantasmer de jouir dessus, mais je me dis que si jamais elle se réveille, je ne suis pas prêt de la revoir. En même temps, d'un autre côté, elle est complètement crevée, elle va dormir comme une masse, pour peu que je sois discret, cela pourrait se passer comme sur des roulettes.

Après un certain temps à peser le pour et le contre, et à imaginer ses pieds nus sous la couette, tout en me remémorant le contact prolongé que j'avais eu avec eux juste avant, je remarque que l'excitation m'a suffisamment gagné pour avoir une érection. Je commence à passer ma main sur mon caleçon, sans aller chercher mon sexe caché sous le tissu. En plus de l'alcool, mon désir va finir de me rendre assez stupide pour prendre le risque.

Je me lève alors, j'essaie d'avancer sur la pointe des pieds, de ne pas faire le moindre bruit. Je pousse doucement la porte, sans allumer la lumière bien sûr. J'ai mon portable avec moi, afin d'éclairer correctement l'objet de ma convoitise. Je remarque qu'elle est toujours sur le ventre, elle dort à poings fermés, j'entends à sa respiration que mon arrivée ne l'a aucunement dérangé. Je me mets au bout du lit, puis je commence à relever la couette, sans savoir jusqu'où je devrais aller pour... En fait il n'aura fallu que quelques secondes pour révéler ses petits orteils, et à peine plus pour que les deux pieds soient totalement à l'air libre.

J'allume la lampe torche de mon portable, faisant attention de bien viser ses deux merveilles. Tendues, la peau toujours aussi lisse, et appétissante, je les regarde quelques minutes sans trop savoir comment procéder. Ses deux pieds sont écartés, cela rendra donc certaines choses compliquées. Mais mon érection est toujours présente, alors je ne compte pas venir jusqu'ici sans rien faire.

Cependant, je préfère prendre le risque de la réveiller avec autre chose que ma bite sur ses plantes de pieds.

C'est alors que, à ma grande surprise, j'entends

« -Qu'est-ce que tu fais ? »

Elle s'est réveillée, et sans bouger, elle me parlait. Je n'ose rien répondre, des fois qu'elle serait juste en plein rêve. Mais je vois ses petits pieds se rapprocher l'un de l'autre, et son bras se tendre pour soulever la couette, à côté d'elle. Toujours sans me regarder, elle me dit

« -Viens... »

Je me glisse alors à côté d'elle dans le lit. Gêné comme je suis, je préfère faire profil bas, et peut-être passer la nuit à lui faire du pied par exemple. Je m'allonge sur le dos, à côté d'elle, la bosse de mon caleçon ayant réduit. Je remets gentiment son bras sous la couette pour qu'elle n'ait pas froid. Elle semble recommencer à s'endormir, remettant bien la couette sur ses pieds.

Mais quelques secondes plus tard, elle se tourne sur le côté. Et c'est alors que je sens sa main, qui était déjà à proximité, glisser sur mon caleçon, et me caresser le sexe, qui ne tarde pas à grossir à nouveau.

La surprise est telle que l'excitation est immédiate : fatiguée comme elle est, elle se met à me stimuler, comme si c'était quelque chose de normal, qu'il n'y avait pas besoin d'en parler avant... Et elle a sûrement raison de penser ça.

Après quelques minutes, elle me dit, toujours en train de dormir à moitié :

« -Enlève ton caleçon... »

Je ne me fais pas prier, je le fais glisser, le retire complètement, et le pose à côté du lit. Elle reprend directement, glissant sa main sur ma bite dure, et commença à me masturber plus franchement. Maladroitement, son poignet entourait mon sexe, et un va et vient rapide commença. Autour de nous, le silence, uniquement troublé par les petits bruits de la masturbation qu'émilie me prodiguait. J'avais une sensation très agréable au niveau de l'entrejambe, mais étonnamment, je me sentais relativement mal à l'intérieur. Je me demandais si c'était une bonne chose de faire cela avec elle, si cela n'allait pas être sujet à regret. Qui plus est, l'alcool m'était un peu resté sur l'estomac, je n'arrivais donc pas à profiter pleinement de ce moment.

Néanmoins, je la laissais faire, elle maintenait le rythme à une vitesse modérée, et cela me convenait très bien. J'essayais de rapprocher mon visage du sien, et lorsque mes lèvres étaient assez prête, je déposais un baiser, auquel elle répondait. Le cœur ne semblait pas y être, elle semblait davantage dans l'automatisme, mais le baiser était là, ses doigts s'activaient encore pour me donner du plaisir, et mes pieds touchaient désormais les siens.

Après quelques instants, j'arrête sa main pour lui signaler que la masturbation m'a suffi. Je lui demande alors, sans trop y croire :

« -Je vais chercher les capotes ? »

Pas de réponses, j'entends juste sa tête boucher grâce au frottement sur l'oreiller, je repose alors la question, chuchotant comme si on pouvait nous entendre :

« -J'ai pas compris... Je vais les chercher ?
-Si tu veux... - Répondit-elle avec une voix un peu fatiguée. »

Je décide de ne plus trop me poser de question. Je me lève, et vais dans ma chambre. Je reviens immédiatement avec mon paquet de préservatifs plein. Elle n'a pas bougé. Moi, j'ai toujours une érection. Je prends une des capotes en main, dans son emballage, puis je me remets sous la couette. Sur le dos. Ma main caresse son petit ventre, puis va chercher sous mon short. Je caresse sa petite culotte du bout de mon index, commençant un début de stimulation à travers le tissu. Je ne tarde pas à passer sous cet ultime vêtement avec la main, et à caresser son entrejambe avec le doigt. Je constate avec une joie non dissimulée que mon doigt s'humidifie très rapidement au contact de son vagin. Je cherche un peu maladroitement le clitoris, je l'entends respirer un peu plus fort. Puis je lui chuchote :

« -ça serait plus simple si tu te déshabillais toi aussi... »

Ni une, ni deux, elle plie ses jambes, et se sert de ses deux mains pour enlever son short, emportant un peu sa petite culotte en même temps. Mais celle-ci ne descend que jusqu'aux genoux, elle doit donc s'y reprendre à deux fois. Après quoi, elle jette ces deux vêtements par terre, ne gardant ainsi que son débardeur, et un soutien-gorge par-dessous.

Après quoi, je recommence ma fouille, lui indiquant d'écarter un peu les jambes pour m'aider. Je n'ai jamais été très doué pour trouver immédiatement le clitoris, ou même la fente pour introduire mes doigts. Ce soir ne fait pas exception. Sauf que je n'ai pas envie de mal finir quelque chose d'aussi prometteur. Je me mets donc à glisser sous la couette, en effectuant une série de baisers sur son petit ventre, de sous la poitrine jusqu'à dépasser le nombril. Je lui fait davantage écarter les jambes, ce qu'elle fait assez vite. Je me retrouve enfin face à son entrejambe, déposant encore quelques baisers pour le plaisir, avant de sortir ma langue chaude et humide, pour parcourir ses deux lèvres sur la longueur, avant d'axer davantage mes coup de langue au niveau du clitoris. C'est après quelques secondes que j'entends un premier petit gémissement de plaisir, qui me met en joie et m'excite comme rarement. Je me mets à la tâche avec beaucoup de persistance, et de patience, je n'hésite pas à alterner les coups de langue s'enfonçant dans son vagin, et les léchouilles circulaires au niveau du clitoris. Je vois qu'elle se caresse la poitrine avec une main, tandis que l'autre vient me caresser les cheveux. Elle gesticule un peu, et ne tarde pas à faire ce que j'espérais, à savoir : Plier les jambes.

Je me retrouve avec ses deux pieds à portée. Mes mains ne tardent pas à les rejoindre, je les caresse tout en continuant mes coups de langue. Mes doigts vont grattouiller le petit espace entre le matelas et les plantes, la réaction est inexistante, mais je continue un peu, avant de finalement tourner mes mains pour qu'elle servent de socle à ses pieds, autant pour garder un certain contrôle sur l'écartement de ses cuisses, que pour le plaisir de sentir ses plantes de pieds sur mes paumes, et ses orteils s'agiter, ainsi que ses pieds se plier et se déplier au rythme des léchouilles.

Les gémissement commencent à se multiplier. Bien qu'ils restent encore assez discrets, sa petite voix se faire bien entendre, et je suis bien content qu'on soit seuls dans la maison, car elle peut ainsi se lâcher et faire autant de bruit qu'elle le veut. Cela ne tarde pas, les gémissement sont de plus en plus rapprochés, et amplifiés. Ses deux mains sont désormais posées sur ma tête, et me prodiguent un massage crânien qui ne fait que rendre cela encore plus agréable.

De mon côté, je ne ralentis pas, bien au contraire, je lui lèche avec intensité son vagin, profitant de sa saveur, et du plaisir que j'ai de donner du plaisir à ma partenaire de cette façon. Je comprends qu'elle est assez sensible, et qu'elle apprécie vraiment ma façon de faire, car des petits « oui » se mélangent aux gémissements, et ses cuisses ont tendance à bien se resserrer sur ma tête, comme un étau. Je continue à pénétrer son intimité avec mon organe buccal. Bien que je sente que le frottement de mes dents fait que je ne pourrais pas continuer des heures, je fais fi de cette sensation désagréable qui est largement compensée par les petits soupirs et cris de plaisir que m'offrent émilie. J'insiste davantage sur le clitoris avec des séries de coups de langue court et rapides, que je mélange à d'autres plus lents, durant lesquelles j'éloigne parfois un peu mon visage, pour lécher du bout de ma langue, mais dans de grands glissements qui me permette,t au choix, de redescendre davantage vers le vagin, ou d'alterner avec une nouvelle série rapide. Autour de ma bouche s'est étalée la mouille d'émilie, je profite de chaque goutte avec un grand plaisir. Je ne sais pas si elle est proche ou moins de l'orgasme, cela fait maintenant 10 bonnes minutes que je m'active pour mon plus grand plaisir, et le sien manifestement, toujours avec ses petits pieds sur mes paumes de main qui me communiquent autant les réactions de mon amie que ses bruits, ses mains et ses cuisses.

Clairement, je pourrais faire cela des heures, j'aime cette sensation de pouvoir ainsi procurer des sensations intenses avec ma bouche. De la même manière, j'adore qu'une fille me fasse une fellation, mais je ne compte pas trop dessus pour ce soir. Bien que je n'ai pas besoin d'être ivre pour avoir envie de m'adonner à la pratique du cunnilingus, que j'apprécie au plus haut point, mon état me permettait d'y aller de façon peut-être encore plus intense, mais maladroite sans doute, et d'ignorer la petite douleur sous ma langue à force de frottements sur mes dents.

Pendant encore 10 bonnes minutes, je n'ai rien lâché, faisant quelques séquences à toute vitesse en apnée, de quelques secondes, qui faisaient leur petit effet, et durant lesquelles ma langue s'enfonçait le plus profondément possible, mon nez collé à l'entrejambe, ne me permettant donc pas de respirer.

C'est alors que je sentis l'étau se resserrer comme jamais autour de ma tête, ses cuisses la coinçaient comme si elle voulait l'écraser, ses mains tenaient ma tête comme un ballon, et ses gémissements étaient de vrais cris qui auraient pu s'entendre dans toute la maison, surtout avec le silence qui y régnait. Son corps se tendit d'un coup, ses jambes se plièrent encore plus, son torse se raidit. Ma langue n'arrêtait pas son travail pour autant, bien au contraire. Elle finit par se relâcher, alors que je continuais comme si de rien était, buvant tout ce qu'émilie pouvait me proposer pendant son orgasme. Elle finit par desserrer l'étreinte, en me disant, toujours fatiguée :

« -J'ai joui... »

Je remontai alors à son niveau, l'embrassant avec plaisir. Je lui chuchotai alors :

« -Et moi dans tout ça ?
-Tu veux que je te fasse pareil ?

C'est après cette question que je pris mon courage à deux mains :

« -... Je voudrais jouir sur tes pieds... »

Quelques secondes d'attente, craignant qu'elle s'endorme, qu'elle le prenne mal ou autre, qui furent finalement suivis par un prévisible :

« -Je sais pas faire.
-T'en fais pas, je vais te montrer – répondis-je du tac au tac.

Je levais alors la couette, révélant son corps et le mien, et j'allais à genoux jusqu'à ses pieds, qui semblaient presque m'attendre. Elle s'était mise sur le ventre, je me mis en tailleur, et pris ses pieds sur mes jambes, elle me laissa faire. Je la chatouillais légèrement avec les doigts, ses pieds s'agitèrent, accompagnés d'un petit rire qui m'excitait encore davantage, si c'eut été nécessaire. Je continuais quelques secondes, elle finit par dire :

« -Pas de guilis... »

Ce à quoi je répondis, pris pas l'excitation :

« -Demain les guilis ?
-... D'accord. »

Cette dernière réplique me mit en joie. Puis je m'occupais des choses sérieux. Mon sexe en érection à quelques centimètres d'une si jolie paire de pieds féminins de taille 38, vernis de rouge, je devais être en train de rêver. Cependant, lorsque je me servis de mes mains pour que ses plantes de pieds entrent en contact avec mon gland décalotte, je compris que ce n'était pas un rêve, mais un fantasme qui se réalisait.

Je sentis ses doigts de pieds s'agiter sur mon pénis pour mon plus grand plaisir, je m'avançai un peu pour rendre cela plus facile. Je fis en sorte que ses deux petites merveilles entourent mon sexe, et elle commença immédiatement à les agiter dans un petit mouvement de va et vient très agréable. Je profitais quelques instants, tranquillement, aux anges. Elle me demande gentiment :

« -Comme ça ?
-... C'est parfait... »

Pendant quelques minutes, je la laissais faire sans souhaiter intervenir. Mon sperme montait lentement, mais sûrement, je savais qu'il ne faudrait pas grand chose pour que je jouisse et que je recouvre ses deux pieds de mon liquide. Alors je pris assez vite le partie de rendre ça plus agréable encore :

« -Mets-toi sur le ventre s'il te plaît... »

Elle s'exécuta, les pieds à plat sur mes cuisses, plantes de pieds tournées vers moi, bien que la pénombre m'empêchait de le voir. Je me tournais perpendiculairement à elle, ainsi, il était plus simple d'effectuer un mouvement de masturbation pour émilie. Cela ne tarda pas : Ses deux pieds entourèrent mon sexe, avec une pression certaine, elle continua à me faire un footjob, donc chaque seconde était un avant-goût de paradis. Le mouvement restait assez maladroit, de par son manque d'habitude et sa fatigue, mais il ne m'en fallait pas plus pour être dans tous mes états. Le mouvement se poursuivi de haut en bas. Je m'amusais à faire glisser mes doigts sur ses plantes de temps en temps, provoquant un petit rire qui ne décourageait pas mon amie à me plaisir à son tour. Elle semblait accepter mon fétichisme le plus naturellement du monde, et cela me faisait vraiment chaud au cœur.

Après quelques minutes à remontrer le long de mon sexe et de redescendre avec ses pieds, je sentis mon liquide s'apprêter à sortir. Je lui dis alors, dans un soupir de plaisir :

« -Ne t'arrêtes surtout pas avant que je te le dis s'il te plaît... »

Elle ne répondit rien, mais je comprenais qu'elle acquiesçait. Elle avait trouvé un mouvement satisfaisant qu'elle répétait en boucle pour me masturber, et qu'elle le continuerait aussi longtemps que nécessaire. Mais elle n'eut pas besoin de le faire très longtemps.

Quelques secondes plus tard, je me laissais aller à des gémissement de plaisir non dissimulés, alors que mon sperme jaillissait de mon sexe comme un feu d'artifice. Beaucoup de mon liquide finissait sur ses pieds, le reste giclait sur mon torse. Elle continuait le mouvement comme je lui demandais, faisant sortir jusqu'à la dernière goutte de sperme. Après quelques instants à respirer, je me levai, pour aller chercher un mouchoir en papier dans ma chambre. J'essuyai mon torse et en prenait d'autres pour ses pieds, je revins avec mon portable, pour me servir de lampe-torche afin de bien essuyer ses pieds, mais aussi voir ses jolies plantes chatouilleuses couvertes de mon foutre. Je regardais toutes ces gouttes couler sur ses plantes, d'autres avaient finies sur la housse de matelas. Bref, un petit geyser avait recouvert cette zone de liquide. Après avoir bien essuyé avec mon mouchoir, je déposais un baiser sur chaque plante de pied, puis je faisais glisser mes doigts pour de rapides chatouilles qui ne manquèrent pas de la faire rire, et de faire gesticuler ses pieds et ses orteils.

Dans ma tête, j'étais apaisé. Je redoutais un peu le lendemain, mais sans plus au final, car clairement, ce qui s'était passé était sans déplaisir, autant de ma part que de la sienne. Je remettais donc la couverture sur elle, tout en m'allongeant à ses côtés, lui faisant du pied pendant toute la nuit...

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