Histoire : La C.P.E

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Auteur
Histoire


Histoire ajoutée le 23/06/2016
Épisode ajouté le 23/06/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

La C.P.E

Bonjour ça fait un petit moment que je me connecte en invité et j'ai décidé de me créer un compte. L'histoire que je vais vous raconter est en partie réelle pour les bases de l'histoire et les personnages. Bonne lecture, j'espère que ma première histoire va vous plaire.



J'étais en troisième et me préparais pour le brevet qui était, à l'époque, le premier grand événement de mon parcours scolaire. Ces derniers mois marquaient la fin de mes années collèges. Fini le collège pas loin de la maison, fini les profs qui écrivent encore le cours au tableau, fini la belle vie quoi.



Au fils des années, j'avais eu pas mal de profs qui m'avaient attiré. De la prof de S.V.T à celle de français, j'avais vu quelques paires de pieds pas trop mal. Mais celle qui persistait au fil des ans fut la C.P.E.



Arrivée lors de mon année de 4ème, je fus d'abord indifférent, ne voyant là qu'une nouvelle personne du staff, rien de bien particulier. Lorsque l'été arriva, je fus surpris de la voir changer de style. Habituellement vêtue de longs jeans, vestes d'hiver, et converses basses usées, je fus surpris de la voir à l'école avec une robe qui descendait jusqu'aux genoux et avec une paire de ballerines. Même si je dois avouer que ce n'est pas le top de la mode, la simple vue du dos de ses pieds me ravit.



Laissant, comme tout le monde, le style hivernale de côté, ses venues avec ce genre de vêtements se firent plus fréquentes et plus habituelles. Si bien qu'un soir, en allant à un rendez-vous avec des amis, je passa devant un café. Je ne le savais alors pas à l'époque mais les profs de mon collège avaient pour habitude, pour la plupart, de se rendre dans ce café le vendredi soir et de blablater de tout et de rien (surtout de nous, les élèves). Ce fut alors que je la vit. Assise avec celui qui deviendrait l'année suivante mon prof de S.V.T, la C.P.E bavardait sur la terrasse du café. Surpris de la voir, j'eu ce petit réflexe de baisser mon regard. Mes yeux suivirent rapidement la trajectoire des pieds de la chaise sur laquelle elle était pour finalement voir ses deux ballerines au sol, laissant alors à ma vue ses deux magnifiques plantes. Ses orteils étaient encore logés, à l'abrit dans les ballerines surplombés de plantes arrondies, me laissant imaginer mes doigts lui caresser ou chatouiller cette surface qui m'avait l'air si sensible. Histoire de concerver une allure normale, je continua à avancer, me disant que je les reverais un autre vendredi à ce café (spoil: je ne les ai jamais revu dans ce café).



L'été passa et je me desinteressa d'elle car la période était propice à de nombreuses tongs sublimaient n'importe quelle fille qui n'était pas pudique.



Mon année de troisième commença alors ! Étant alors dans une periode où la chaleur était encore de mise, la C.P.E arriva à l'école avec des sandales. À mon moindre passage près d'elle, mon attention lui était dédiée. Moi qui n'avait eu l'habitude de voire que les chevilles, le dessus et brièvement la plante de ses pieds, je pouvais désormais tout voir! De ses orteils qui se pliaient à chaque pas, a son talon qui se decollait de l'arrière de ses sandals quand elle marchait, ou encore de ces sangles qui retenaient ses pieds que je ne demandais qu'à voir sortir de cette prison pédestre.



Enfin bref, l'hiver me remit vite au goût du jour. Bottes, jeans usés, tel était son apparence maintenant, n'excluant pas quelques beaux jours en ballerines de temps en temps.



L'été approchait à grand pas et allait me permettre de reprendre mes observations. Une fois de plus, j'observais ses magnifiques petons si près et pourtant si loins de moi.



C'est alors que vint ce vendredi soir. Comme chaque vendredi à 16 heures, la queue pour sortir était d'une longueur remarquable. Les surveillants devaient alors réguler les entrées et sorties.



C'est alors que la C.P.E prit son rôle à coeur et resta derrière la porte du hall qui menait à la sortie du lycée pendant que les élèves faisaient la queue dans la cour. En descendant l'escalier pour rejoindre la cour, je vit immédiatement la belle C.P.E et ses magnifiques et tant désirés pieds près de la porte. Pris alors d'une irrésistible envie de les voir, ou de les chatouilles malgré auune ocasion, je m'appuya discrètement contre un mur près de la C.P.E. Là, la magie opéra, tel un voeux exaussé, la C.P.E croisa les jambes, exposant ainsi son pied gauche à ma vue. C'est alors que mon regard pu se plonger sur la merveille. Une trajectoire toute tracée, une merveille sur terre, je vis son talon, décollé de la semelle de sa sandale, me laissant ainsi une vue imparable sur sa longue et si attirante plante qui, parallèlement, suivait la semelle de la sandale à laquelle elle s'était decollée. Ainsi, subsitait 1 cm entre son pied et la semelle, juste assez pour me constituer un espace par lequel j'aurais pu glisser mon doigt entre plante et semelle pour pouvoir la chatouiller! La chatouiller sans mercie. Titiller, caresser, gratter cette sa belle plante prisonnière de sa sandale que les sangles ne se gèneraient pas à maintenir dans mon piège. Elle serait hystérique, elle me suplierait d'arrêter, mais il n'en serait rien, je lui chatouillerait sa si douce, si belle et si sensible plante, ne laissant aucune chance à ses orteils de se retrousser pour attenuer la sensation, ne laissant aucune chance à la plante captive de se soustraire à ce suplice. Mais au lieu de celà je restait debout a la regarder naïvement.



La fin de l'année était proche et à moins de redouler, ce qui serait bête juste pour des pieds, je ne pourrais jamais la chatouiller. C'est alors que j'envisageais de passer à l'acte. Je la chatouillerai!

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