Histoire : Chatouilles à la plage

Slt aujourd'hui je vais vous raconter une histoire vraie qui m'est arrivé il y a trois ans.



En plein été, j'étais parti à la plage avec une amie de longue date et sa famille. Nous avions passé la matinée pour venir jusque là et nous avions enfin atteint notre eau de mer tant désirée. J'avais espéré voir ses pieds durant tout l'aller et je ne fus pas déçu. Je vis d'abord des pied assez normaux, moi qui avait crain de voir des petons moches. Je ne fis pas plus emballé que ça. Nous avons joué dans l'eau de mer durant environ 45 minutes. Je m'amusais à plonger sous l'eau et à saisir les chevilles de mon amie et ses frères et soeurs tel un alligator ou un requin. Nous avons finis par quitter l'eau au profis des jeux de sable. Nous creusions des trous, construisions châteaux, ponts, tunnels, canneaux, etc...



Lorsque soudain, l'opportunité de pouvoir la chatouiller sans qu'elle ne puisse se débattre, vint à moi, toute seule, sagement. Nous avons décidé de l'enterrer sous le sable alors qu'elles s'était allongée pour bronzer. Nous avons passé une quinzaine de minutes à la recouvrir de sable. Notre construction finit vite par se solidifier avec tout ce qu'on avait mi et mon amie était bloquée sous ce carcan naturel. Je remarquais que le bout de ses orteils dépassement légèrement de la surface du sable et que veux-ci gigotaient. Je creusa autour de ses pieds et libera ces beautés auxquelles je ne mattendais pas. J'avais devant moi deux merveilleux pieds aux plantes des plus lisse qu'il pouvait y avoir ce jour là sur cette plage. D'une longueur phénoménale, ces plantes firent un parcours de choix pour mes doigts taquins. Et ses orteils... Ces magnifiques orteils. J'avais devant moi deux rangées d'orteils parfaits, assez fin et avec un espace marqué entre le gros orteil et l'index du pied. J'adore cette disposution. Je décida de chatouiller ses beaux pieds puisqu'elle ne me voyait pas à cause de l'imposant tas de sable. Je commençait par faire gigoter chacun sur sa longue et lisse plante. Elle rigola et agita ses pieds tant bien que mal. Heureusement, le vent et la mer assourdissaient un peu les paroles de n'importe qui alors son rire ne fut pas vraiment fort, de là où j'était en tout cas. Je faisait désormais glisser mon index sur la plante avec douceur.

"-Arrête ! Ha ha ha ha ! Nan s'il te plait."

Je ne répondit pas et savourais ce moment qui serait sûrement trop court. Je pris ensuite un petit râteau de son petit frère et le gratta sous sa belle plante. Elle gigotait encore et encore. Je passa à ses orteils. Je passais certaines dents du rateau entre ses doigts de pied mais elle bougeait trop pour que je puisse être "précis".

"-MAIS PUTAIN ARRÊTE LÀ!

- C'est pas moi, c'est ton frère."

Le petit de 10 ans, juste à côté, s'en foutait complètement que je puisse mentir à son sujet et continuait ses activités dans le sable.



Au final, je me detournais de ses pieds et jouais avec son frère, laissant à mon amie le temps de se libérer, lui glissant un ou deux petits chatouillements le temps qu'elles y arrive.



Voilà ma seule expérience, les autres n'étant que de simple pincements de côtes trop courts pour décrire. J'ai un peu "romantisé" ça bien qu'en vrai ce soit passé très vite.