Histoire : FM/F EXPLICIT Une autre fille offerte

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.


Histoire ajoutée le 04/08/2016
Épisode ajouté le 04/08/2016
Mise-à-jour le 03/07/2021

FM/F EXPLICIT Une autre fille offerte

Petite introduction:



Mes précédentes histoire ont eu des retours qui m'ont beaucoup intéressés et notamment qui m'ont appris l'importance des introductions et surtout des mises en garde.

Dans ce témoignage il y a de la nudité et du SM, mais surtout des pratiques que je condamne, car basées sur le mensonge et la tromperie.

Il est non négociable que dans tout nos jeux toutes les personnes soient informées de ce qui va se passer et de qui va participer afin d'accepter ou de refuser.

Cette histoire ne vise aucunement à encourager un des comportements présenté ci dessous, il s'agit juste d'un partage à la communauté.



Si après avoir lu ce paragraphe vous avez des doutes, je vous invite à ne pas lire cette histoire ou alors à la considérer comme une 100% fiction.



Pour des questions d'anonymat beaucoup d'éléments dans le récit qui suit ont été modifiés: noms, lieux, descriptions physiques et même nationalités.

Enfin c'était il y a assez longtemps et certains détails peuvent m’échapper donc je l'admet: ça sera en partie romancé.



Il y a quelques années je suis sortie avec cette fille de 26 ans (j'en avais 24). Notre histoire n'a pas durée car je voulais quelque chose de sérieux et ce n'était pas réciproque.

Elle était très branchée sadomasochisme, et nous avons pu réaliser des fantasmes communs et individuels.



Je dois préciser que cette fille, qu'on appellera Marie, était dans une relation de type ouverte: c'est à dire qu'elle s’autorisait à sortir avec d'autres personnes, fille ou garçon tant qu'elle assouvissait ses fantasmes, elle disait être dans le "trip" polyamoureux. Chacun son truc, je respect (et veux me mettre personne à dos) mais moi je suis plus exclusif.



Suite à une "séance" où Marie pour augmenter le côté extrême de nos jeux, et assouvir plus ses fantasmes que les miens, n'avait pas respecté toutes mes conditions en faisant intervenir plus de personnes que prévue...

Bref, suite à cette séance Marie m'avait promis une surprise et m'avait donnée rendez-vous chez elle un soir.



Avec les consignes qu'elle m'avait laissé je me doutais déjà de ce qui m'attendais: je ne devais utiliser ni interphone ni sonnerie, l'appeler sur son téléphone et attendre qu'elle vienne me chercher.

Après plusieurs appels sans réponses, alors que je m’apprêtais à faire demi tour, elle fini par descendre.



-"Excuse moi, mon téléphone était en silencieux, je n'ai pas vu sa lumière s'allumer"

-"Je viens pour une surprise avec interdiction de sonner et ton téléphone est en silencieux: je suppose que quelqu'un nous attend là haut?"

-"Puis-ce que tu es si malin, tu vas me suivre sans un mot et en faisant le moins de bruit possible" me répondit-elle avec son petit sourire.



Je sentais une sorte d’excitation et de stress naitre en moi, Alors que nous montions les marches vers son appartement, je ne savais pas comment formuler ma question, mais je lui demandais quand même si la personne que nous rejoignons était OK avec ma venue, mais la seule réponse que j’obtins fut un "chut!"



Arrivé dans l'appartement nous entrâmes dans sa chambre, de la musique était allumée sur la chaine, première précaution de Marie afin de couvrir d'éventuel bruit lors de ses jeux...

Elle avait un lit mezzanine en bois très robuste solidement fixé au sol et au murs, je le connaissait bien pour m'y être souvent trouvé attaché, mais là c'était une invitée qui s'y trouvait.



Attachée debout, nue, en Y à l'envers on dira, des boucles en cuir beige clair avec de la mousse dedans entouraient ses chevilles, et des cordes blanches passant dans des anneaux métalliques les tiraient vers chacun des poteaux de la structure.

Sur ses jambes nues de nouvelles cordes venaient au dessus de ses genoux et se tendaient jusqu'aux mêmes piliers du lit.

Elle s'était préparer pour cette séance j'imagine, son sexe et ses aisselles était parfaitement rasée. Je voyais sur sa petite poitrine blanche ses tétons qui semblaient déjà dressés, sa positon devait lui plaire.

Sur son visage, en plus d'un harnais complet équipé d'un bâillon plat en cuir type muselière et de cache yeux complètement occultant, le tout relié par une corde allant d'un anneau situé au sommet du crane jusqu' à la traverse haute du lit; elle avait également une étrange installation: un casque de chantier pour isoler les bruits. Se dernier était scotché autour de sa tête, le scotch passant devant les caches yeux. Je pouvais voir des fils sortant au niveau des oreilles, des écouteurs à l'intérieur du casque pour isoler encore plus du monde extérieur, les fils se rejoignait sur le matelas au deesus où devait être posé un MP3.

Au dessus d'un chignon de cheveux blond ses bras était tendus, liés au niveau des coudes et des poignets à la rambarde du lit tout en haut de la mezzanine, par le même système de cordes de de boucles en cuire rembourrées de mousse.



Marie se pencha à mon oreille et malgré toute les précautions prises pour qu'on sa victime n'entende rien, elle me murmura:



-"C'est Cécile, elle ne sait pas que tu es là alors pas un mot, si tu es sage alors tu auras le droit de jouer avec elle"



Je connaissais "un peu" Cécile, 24 ans comme moi, 1m65 environs, elle était anglaise et faisait ses études ici. Marie la connaissait depuis plusieurs années, elles étaient correspondante depuis le collège. Marie m'avait confié que Cécile comme elle était très branchée SM, qu'il leur étaient déjà arrivé d'expérimenter plusieurs choses ensemble, et même avec l'ex de Marie qui l'avait initié à ce monde.

Mais surtout Cécile faisait partie des personnes ayant participé à la séance en retour de laquelle Marie me faisait cette surprise ce soir.

Et bien que pour cette séance passée j'étais censé être consentent, cette sadique à mon avis avait pris particulièrement de plaisir à me tourmenter.



La voir dans cette position me plaisait donc particulièrement mais n'étant pas censé être là je n'étais pas complètement à l'aise: avais-je le droit de la voir nue, attachée et bâillonnée ainsi sans qu'elle ait donné son consentement? C'était limite, comme toujours avec Marie ses jeux pervers étaient toujours plus que limite, mais j'étais trop faible pour m'y opposer ou dire quoi que ce soit: la scène était trop excitante.

J'avais honte mais au fond de moi j'avais même envie qu'on retire les caches yeux, qu'elle puisse me voir moi tout habiller en train de scruter chaque parcelle de sa peau nue.



Marie m'indiqua un chaise où m'asseoir et la séance commença.

Je ne m'attarderai pas trop car c'était principalement du SM, coup de cravaches, morsures, pinces sur les tétons et ailleurs, stimulation sexuelle avec et sans accessoires.

Marie avait de l'expérience et savait alterner les moments forts et calmes.



A un moment alors que Marie faisait languir Cécile en lui caressant doucement le sexe, cette dernière commença à claquer plusieurs fois des doigts, leur signal surement.

Marie s’arrêta et retira du harnais de sa victime le bâillon.

De ce que disait cette dernière en anglais, entre deux sanglots je cru comprendre un désespéré "please please please let me cum".

C'est alors que Marie commença à faire courir ses doigts sous les aisselle de Cécile, cette dernière après un bref gloussement commença une longue plainte répétitif à base de "oh no no no" à laquelle Marie mis un terme en l’embrassant puis en rebouclant son bâillon.

Alors que Cécile tirait sur ses liens en laissant passer quelques sanglot étouffé dans son bâillon, Marie me fit signe que c'était à mon tour.



Je pu enfin m'approcher l'excitation était à son comble mais le malaise aussi,encore une fois cette fille était nue attachée aveuglée assourdis et bâillonnée, mais offerte à Marie, pas à moi. C'était elle qui avait la droit de toucher et de jouer avec chaque parcelle de sa peau nue offerte, pas moi.

Mais l'excitation était trop forte, et le souvenir de ce que Cécile s'était amusé à me faire effaçait petit à petit mes états d’âmes, de plus quand on acceptait de s'offrir de la sorte à une personne comme Marie il fallait être d'accord pour en subir toutes les conséquences.



Je commençait donc par faire remonter mes doigts et mes ongles depuis ses côtes, sur les bords extérieur de ses jolie petits sein puis sous ses aisselles. je continuais ainsi, doucement, de haut en bas, prenant du plaisir à la voir se contracter, essayer de se tortiller, mais Marie l'avait trop bien entravé, je sentais son corps trembler sous mes doigts.

Je faisais quelques détour par l’intérieur de ses seins, décrivant de long cercle qui se rapprochait peu à peu de ses tétons pour venir les pincer.

Les attouchements précédemment subi par Marie lui avaient donné chaud et des gouttes ruisselaient le long de son corps.

Je fini par m'agenouiller pour passer mes mains le long de ses hanches, sur son ventre et son bas ventre. Elle était sensible ici, ses gloussements se firent plus aiguë dans le bâillon, je décidais de m'y attarder un peu plus avec mes doigts et mes ongles, je ne me lassais pas de la voir se tortiller.

Alors que mes main descendaient de plus en plus j'entendais ses plaintes se transformer en gémissements, je lui grattais doucement l'intérieur des cuisses, faisait courir mes doigts autour de son sexe sans jamais le toucher, le long de sa raie des fesses.

Il était clairement visible que son excitation montait, elle n'était plus qu'une boule de désir, le travail précédent de Marie l'avait clairement mis en condition, alors je choisi ce moment pour remonter et lui chatouiller plus sadiquement les aisselles et ses côtes.

Les plaintes étouffées dans son bâillon et ses tentatives désespéré de se libérer ne firent qu’augmenter mon excitation.



Ça dura ainsi un moment, mes doigts qui pianotaient et couraient sur ses côtes, ses aisselles, ses seins, son ventre. Elle essayait de se débattre de sauter, mais ne pouvais rien faire, s'en était mignon. De la bave commençais à couler de son baillons, peut-être quelque larmes sur ses joues aussi? Il faut dire qu'en plus d’être complètement entravé elle ne pouvait ni parler ni voir ni entendre, si ce n'est que les parasites en boucle qui devaient passer dans les écouteurs du MP3 sous le casque de chantier.

Elle ne pouvait que ressentir les chatouilles sans rien y faire.

Je savourai en repensant au jour où j’étais à sa merci où elle me fixait avec son sourire tellement heureuse de m'avoir à sa merci attaché et nu. les rôles étaient inversés mais elle n'en savait rien.

Alors j'insistais sur les chatouilles en sentant son désespoir monter à travers ses plaintes dans son bâillon.



Un coup d’œil et je vis Marie assise sur ma chaise une main dans son pantalon, ça l’excitait de me voir torturer son amie.

Nos regards se croisèrent, je commença alors à caresser doucement le sexe de Cécile en continuant de la chatouiller de mon autre main tout en fixant Marie dans les yeux.

Elle s’arrêta et commença très rapidement et silencieusement à se déshabiller.

Elle s'approcha de moi rapidement puis me murmura de me déshabiller vite et sans bruit. Alors que je m’exécutais je la vis sortir son rouleau de duct tape préféré pour fixer un vibromasseur contre le sexe de la pauvre Cécile qui allait enfin avoir droit au plaisir.

Puis elle se jeta sur moi et mis au sol sans un bruit, elle ne pu s’empêcher de me lier les main au dessus de la tête avec son scotch, puis de relier au pieds d'une armoire plus loin dans la pièce. je sentais qu'elle était excité et ne pris pas le temps d'entraver mes jambes, elle me mis un morceau sur la bouche et commença à me chevaucher doucement alors que d'une main elle augmentait la vitesse sur le vibromasseur de son amie qui gémissait de plus en plus fort de plaisir.

Alors qu'avec ses hanches elle augmentait son mouvement de va et vient mes gémissement augmentait aussi, je ne pouvais plus tenir, je la vis augmenter une dernière fois la vitesse sur le vibromasseur de son amie avant qu'a notre tour nous atteignirent l'orgasme.



Le vibromasseur resta en marche sur Cécile qui était agité de soubresauts régulier tout le temps où il fallut me rhabiller rapidement et vérifier que j'ai oublier aucun objet trahissant ma présence.

Un au revoir rapide et je me trouvais déjà dehors tel un voleur, me demandant ce qui allait se passer maintenant là haut. Je ne pouvait que garder dans le recoin le plus sombre de mon âme le fantasme de retirer ses caches yeux à Cécile pour voir son désespoirs et sa honte alors qu'elle était à ma merci.

Ils aiment : Toi ?