Histoire : J'ai chatouillé Manon !

Ceci est une autre expérience que j'ai eu après la plage. Bonne lecture.

Manon... J'aime bien ce nom.



Je dois là connaître depuis au moins 6 ans mais pour autant, on ne s'est jamais parlé. Elle ne doit probablement pas savoir que j'existe d'ailleurs.



J'ai moi même mi longtemps à la connaître et à m'intéresser à elle. Au départ, je la connaissais simplement de vue à force de la croiser vu qu'elles habite dans ma rue. Je ne m'interessais pas vraiment à elle, mais son visage était simplement resté dans ma tête.



Au fur et à mesure que le temps passait, j'en apprenais sur elle. Son école, son âge (2 ans de plus que moi), l'immeuble où elle habite, son nom de famille et un jour je connue son prénom.



Je la trouvais assez belle mais sans plus. Jusqu'au jour où j'entendis beaucoup de bruit en bas de chez moi. J'ouvrais la fenêtre pour regarder et tombais sur la belle Manon, en robe, avec des sandales ouvertes entrain de monter dans une voiture. Elle avait d'asses beau pieds, de taille moyenne, un talon bien rond et des petits et fins orteils. Bien que trop courtes, ces quelques secondes d'admiration de ses petits pieds m'ont fourni un petit instant de bonheur.



En entendant des véhicules s'arrêter devant chez moi, j'avais le réflexe de me précipiter à la fenêtre pour voir si il s'agissait de Manon et si elle portait des chaussures ouvertes. Mais il était rare que ce soit elle et quand c'était elle, il était rare qu'elle ai le genre de chaussures qui m'intéresse.



Je me souviens d'une fois où je rentrais de chez un ami et où je passais devant chez Manon. Celle-ci habitait au premier étage avec un petit rebord de fenêtre et une rembarde en feraille à motifs. Je passais pour rentrer et je tombais sur Manon, dos à la rue, pieds nus, un pied qui dépassait de la rembarde et sa plante bien courbée à la vue de toute la rue. J'ai ralenti mon allure pour pouvoir profiter du merveilleux spectacle. Spn petit jean slim descendait de ses fesse jusqu'à ses chevilles pour ne laisser dépasser juste ce qu'il y avait de magnifique. Ses pieds étaient un peu salis par la poussière de l'extérieur à cause de la pollution et des travaux. Mais elle avait de très beaux pieds.



Mais pourtant, j'allais un jour pouvoir voir ses pieds nus. Sans rien, sans aucune basket pour entraver ma vue, sans aucune distance trop lointaine m'empêchant de distinguer ses orteils, sa plante et son talon. Non, rien de tout celà, juste sa plante de pied, à quelques centimètres de mon visage. J'ai même pu la chatouiller en plus.



Ce fût en 2014, lors d'une fête de quartier. J'y étais allé avec quelques amis et Manon aussi. Ce jour là, elle portait des baskets basses type Vans avec des socquettes montant jusqu'aux chevilles. Ce jour là, j'ai eu l'occasion de jouer avec elle à un petit jeu en bois où il faut s'envoyer une palette en bois avec un élastique tendu et la mettre dans le but de l'adversaire. C'était une fille sympathique qui n'avait pas hésité à me parler comme à un ami proche pendant la partie, mais sans plus. Enfin si... plus.



À un moment, mes amis et moi nous sommes retrouvés derrière Manon et sa clique dans la file d'une activité. C'était une structure gonflable qui ne faisait pas trop gamin dans laquelle il fallait enlever ses chaussures. J'avais misé sur cette attraction pour peut-être voir les petits petons de manon de près et je n'allais pas être déçu...



À la fin de la file, Manon et ses amis passèrent et enlevèrent leurs chaussures pour pouvoir entrer. Les courtes socquettes de Manon ne pouvaient que s'enlever desagréablement dans cette activité, c'est pourquoi elle les enleva. Mes amis et moi enlevions à notre tour les notres et nous nous sommes précipités à l'intérieur. Des tonnes d'obstacles remplissaient ces espèces de "salles". Notre petit retard nous a tenu à l'écart de Manon et sa bande pendant quelques instants mais nous les avons finalement rattrapés.



Manon n'était pas très agile. Elle tombait souvent, mettant ses plantes de pieds à ma vue, mais trop loin et dans une trop grande agitation. À un moment, il y avait une sorte de mini-mur d'escalade avec des prises molles gonflables. Les amis de Manon furent en haut en moins de deux. Quelques-uns des miens aussi. Mais Manon montait plutôt lentement et m'empêchait de monter à mon tour. Quoiqu'elle me permettait autre chose... quelque chose de mieux... Ses pieds étaient courbés, prenant appuis avec les orteils sur les prises gonflables. Ainsi, j'avais juste devant moi ses plantes creuses, son talon rond et ses orteils courbés en plein effort. Elle peinait à monter et j'avais ces petites merveilles devant moi. Je passais maladroitement mon doigt sous sa plante du pied gauche et lui chatouilla la plante. Elle était chatouilleuse à en dire par son petit sursaut et son pied qui se retira. Elle regarda en bas et je fis mine de l'avoir touché par erreur en attrapant une prise proche. Elle avait une plante lisse et pas trop transpirante malgré les efforts qu'elle fournissait. Un pur moment de bonheur !



Une fois nous deux en haut, nous continuions en rejoignant nos amis. Nous avons continué le parcours sans que rien de spécial ne se passe jusqu'au moment où nous avons atteint la fin du parcours. La "porte" de sortie était une espèce de fente étroite entre deux murs assez durs et il fallait se faufiler pour en sortir. Je fis en sorte de me mettre en dernier histoire de pouvoir profiter une dernière fois de la vue de ses pieds. Elle passa dans la fente et se bloqua elle forçait, toujours plus, elle poussait en arrière avec son pied qui était par terre et se courbait pour lui permettre de sortir. Manon ayant déjà la tête dehors et étant tout seul dans la dernière pièce, je décidais, sur un coup de tête, de regarder ce pied de plus près : une pure beauté ! La courbure de sa plante la lissait à merveille, ses orteils forçaient pour lui permettre d'échapper au danger de mes doigts chatouilleurs dont elle n'avait même pas conscience. Allais-je la chatouiller ? Nan je ne pouvais pas. Deux fois d'affilé et trouvant à chaque fois la même personne derrière elle, Manon aurait eu des doutes. Je décidais de laisser passer ma chance bien qu'intérieurement j'y réfléchisse encore. D'un coup, Manon traversa la fente, mais sa chevilel restait coincée et celle-ci semblait être tombée de l'autre côté. C'était un signe du destin ! Je ne l'avais pas chatouillée à la dernière occasion et elle demeurait encore là, m'offrant une nouvelle opportunité de taquiner sa plante. Je me relevais et me rapprochais de son pied. Stressé qu'elle puisse tenter de savoir qui a fait ça, je chatouillais sa plante de mes 10 doigts extrêmement vite. Son pied sursautait encore et encore, la chatouilleuse étant surprise à chaque nouveau contact de mes doigts. J'eu quelques secondes en plus pour tourmenter la pauvre fille bloquée et chatouilleuse jusqu'à ce qu'elle se dégage. Je restais à l'intérieur. Je ne sortirais pas de si tôt ! Si elle me voyait sortir elle m'aurait reconnu et m'aurait engueulé en le prenant pour un malade c'est sûr. Je restais 30 secondes encore à l'intérieur et ressortait avec la flopée de clients qui venaient de faire ce même parcours. Manon était encore dehors et remettait ses chaussettes, me laissant l'occasion, une dernière fois, d'observer ses petits pieds chatouilleux.



La suite de la fête se déroula tranquillement. Ma seule frustration fut de la voire dans une activité où les concurrents enfilaient des gros costumes de Sumo et devaient mettre l'autre à terre. Manon avait fait cette attraction pied nus. J'aurais certainement eu beaucoup d'occasion de faire quelques choses intéressantes avec ses pieds. Mais quoi qu'il en soit, je l'avais chatouillée, je ne m'étais pas fait remarquer. Nickel! La journée parfaite !