Histoire : La déchéance de Black Widow (Scarlett Johanson)

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Histoire ajoutée le 12/07/2017
Épisode ajouté le 12/07/2017
Mise-à-jour le 03/07/2021

La déchéance de Black Widow (Scarlett Johanson)

Bonjour,



Je suis très heureux de vous partager ma première histoire : cette partie là n'aura aucun mal à mon sens à rester sur la partie "libre" du forum, je crains que la seconde partie doive rejoindre la section "privé" hihihi.



J'espère avoir vos commentaires, vos retours, vos remarques, c'est un vrai plaisir pour moi de pouvoir écrire sur cette délicieuse Scarlet Johanson (Alias Black widow). En éspérant que ça vous plaise :



Partie 1 :



Comme à son habitude, l’Agence (The Shield) était à nouveau sollicitée pour répondre à un besoin urgent : cette fois-ci, à la différence des missions quotidiennes, l’objectif était de taille : démanteler tout un réseau des Sbires de l’ombre. La mission avait tout naturellement été classée prioritaire par notre superviseur. Et pour cause, même si ce gang ne se revendiquait pas d’une quelconque doctrine extrémiste, il donnait très régulièrement des coups de mains gracieux à des personnalités peu recommandables. Annihiler toute leur structure en une fois serait une vraie victoire, et avec les informations que nous avions recueillie, l’Agence savait qu’elle pouvait frapper fort. L’équipe de l’agent Natasha Romanoff (Black Widow), composée d’agent(e)s spéciales ultra entrainées, approchait de la cible. Il fallait pénétrer un hangar et quoi de mieux pour surprendre l’adversaire que d’arriver par le toit. Le top départ était donné au sein de l’hélicoptère de l’agence, et les filles sautèrent toutes ensembles, déterminées à réussir cette mission en un temps rapide.



Dès qu’elle mit pied à terre, l’agent Romanoff se mit en condition, attentive à tout ce qui gravitait autour d’elle. Elle ferma les yeux pour ralentir son rythme cardiaque. Elle avait la responsabilité d’assurer la coordination des manœuvres sur le terrain, et elle excellait dans ce rôle stratégique. Les premiers ordres de Natasha fusèrent pour tenter d’annihiler la forte menace présente. Premier élément notable, les informations usurpées étaient de bonnes qualités : la présence ennemie était confirmée et en nombre. La mission ne pouvait plus être dès lors qu’un succès probant pour l’agence. Les agents se déployaient conformément au plan établi : l’agent Romanoff se voyait pleinement satisfaite de cette exécution.



Les sbires de l’ombre, en réponse à cette présence, se mirent à attaquer & à ravager les alentours, tirs de balles et jets de lumière irradiés dorénavant cette zone d’affrontement. Néanmoins leurs réactions laissaient tout de même perplexes notre héroïne : rien n’indiquait dans leurs attitudes qu’ils venaient d’être surpris. Ils semblaient même organisés, trop bien organisés sur cette immense surface. Cependant l’opportunité était trop belle, le doute ne pouvait pas être de guise, il fallait réduire les forces de cette faction et tentait de récupérer des informations de haute qualité. Comme à leurs habitudes, les agents surentrainés se répartissaient les ennemis à éliminer en les isolants en petit groupe. La procédure terrain était clairement définie : pas plus de 4 assaillants pour chaque agent, garantissant ainsi l’élimination de chaque menace. Tiffany, Mélinda, Claire & comparses avançaient avec vers leurs cibles respectives. Natasha repérait leur position respective sur sa montre électronique, son équipement le plus important.



Le schéma qu’elle voyait se dessinait sous ses yeux fut son premier réel signal d’alerte : les sbires reculaient tous progressivement, mais ce n’était pas le signe de leur défaite annoncée. Ces mouvements semblaient convenus pour être exécutés avec tant de coordination. Natasha voyait s’éloigner ses troupes : l’ennemi ne cherchait pas à éliminer l’agence, mais clairement à isoler les filles. Les tirs ennemis n’étaient pas exécutés pour tuer, ils auraient été équipés autrement. Là, on discernait des armements à pulsion électriques, des « foudroyeurs » dans le jargon militaire. Ils sont utilisés pour paralyser des adversaires dans les manifestations ou les missions d’enlèvement. Les sbires n’hésitaient donc pas à risquer leur vie simplement pour chercher à désarmer leurs « proies ».



Dès qu’elle eût ce mot en tête, Natasha comprit le réel danger environnant. Leur situation n’était pas celle convenue : les cibles n’étaient pas en position de riposte. La mission initiale devait être abandonnée, mais il fallait passer le message :



« Nous ne sommes pas en train de démanteler un réseau organisé, on cherche à nous piéger !! ». Mais rien ne passa, pas un mot dans son oreillette signalant la compréhension du message. Les communications étaient brouillées & le vacarme de l’armement et des cris masquait toute possibilité de faire passer un message oral clair. Natasha devait rejoindre ses coéquipières pour les avertir. Il suffisait de s’approcher de l’une d’entre elles pour garantir le relai de l’information. Tout irait très vite ensuite : repli, extraction & débriefing de la situation.



L’agent Romanoff repéra alors un cri dans la masse qui la sortit de ses pensées : Tiffany se faisait littéralement enlevée sous ses yeux, 3 brutes la soulevant pour l’emmener en retrait. Les convulsions de son corps confirmaient l’utilisation d’un armement électrique paralysant. Cette scène validait ses craintes & il fallait y remédier. Natasha activa sa montre pour lui conférer une charge de puissance : elle sortit de sa position de supervision pour fendre le terrain. Elle repéra la zone la plus fructueuse à un rapprochement & estima devoir neutraliser 4 personnes pour aider Tiffany qui avait disparu de son champ de vision. Très facilement, elle se débarrassa de deux gardes. En pleine action, elle discernait plus nettement la tactique adverse : créer un cordon de sécurité pour masquer et protéger ce qui se passait derrière, en coulisse. Les ennemis maintenaient à distance l’agence. Notre héroïne dut esquiver plusieurs charges électriques en tentant de franchir cette barrière humaine, mais en vain.



Rapidement, elle prit quelques pas de recul pour sortir son pistolet mitrailleur et le pointa sur le cordon d’ennemi. Elle se devait de tenter de créer une brèche, qu’importe le nombre de victimes. C’est à cet instant qu’elle sentit qu’on lui saisit soudainement ses bras : un ennemi, arrivé dans son angle mort, tentait de sauver ses collègues. Il immobilisa les bras de Natasha en l’air, s’assurant que le pointeur de son arme visait le plafond. Son étreinte était solide, si bien que leurs deux corps ne semblaient faire plus qu’un à l’horizon. On entendait le bruit révélateur des frictions de leurs combinaisons en lycra, à chacun de leur mouvement. Natasha n’avait pas pour habitude de laisser un intrus si longtemps collé à elle, mais sa technique d’immobilisation était efficace. Elle sentit très nettement que son agresseur voulait établir une communication tant sa chaude respiration s’abattit sur son oreille. Il lui ordonna de lâcher son arme. Un conseil que notre héroïne préféra décliner. Elle tentait de remporter le bras de fer qui venait de s’engager.



« Je vais te faire lâcher, et après je te promets que je vais bien m’occuper de toi. Tu es un fruit bien pulpeux, j’ai décroché le gros lot », susurra-t-il à l’oreille de l’agent Romanoff. Concentrée sur son effort et déterminée à lui faire payer de telles insultes, elle fut pourtant estomaquée de sentir que l’autre main de son assailleur glissa progressivement le long de sa taille en profitant clairement de la situation. Au niveau de ses hanches, elle fut dès lors moins surprise de constater que cette main s’engagea pleinement sur son fessier. La caresse fut subtile, les doigts prenant leur temps d’effleurer chaque centimètre de sa combinaison. Arrivé à la commissure de ces fesses, Natasha reconnut le mouvement qu’engagea alors cet inconnu : tel un tireur ayant marqué sa cible, il ne lui restait plus qu’à exécuter la sentence. Elle sentit la main se détacher de son postérieur, prenant son élan, et elle était persuadée qu’elle allait la ressentir venir cette fois s’écraser violemment sur sa combinaison.



Mais la fessée tant redoutée n’était pas la finalité de la manœuvre, elle n’entendit aucun claquement venir assourdir la pièce : contre toute-attente, il lui avait saisi sa côte droite : « Tu vas voir ce qu’on nous a appris sur vous, prépare-toi à souffrir agent ». Ses doigts se mirent à gigoter sur cette zone de la combinaison de Natasha, et elle fut prise d’une réaction qu’elle qualifia d’inattendue : elle sentait soudainement son corps se contracter, et un frisson la traversait de tout son long. Cet attouchement n’avait rien d’hasardeux, il avait été finement travaillé. Son action se poursuivait et le rythme de ses doigts s’accélérèrent, elle eut soudainement envie de pousser un rire incontrôlé. Son agresseur répéta ces gestes tout le long de sa côte en remontant progressivement vers le haut de sa combinaison. En quelques secondes, Natasha ne pouvait plus résister à cette sensation, et ses doigts se crispèrent davantage sur son arme à l’instant où les attouchements arrivèrent près de sa poitrine. Elle voyait cette main qui ne demandait qu’à lui délivrer cette technique sur son sein droit, les doigts du malfaiteur frétillaient de plaisir à l’idée de découvrir cette zone de son corps. Une tension sensuelle ressortait de ce tableau : une icône de beauté, réduite à l’immobilité totale, qui ne pouvait que recevoir les sévices de son agresseur. Son sein était recouvert de frisson, une goutte de sueur perla le long de son cou, et la vision de plus en plus nette de ces doigts qui allaient rentrés en contact avec l’épaisseur de sa poitrine l’apeura. Elle ne voulut connaitre la réaction que lui produirait cet effet. Elle se résolut à lâcher son arme : « Très bien je lâche, je me rends ».



Elle se demandait si tout cela est bien réel, elle avait été désarmée par de simples attouchements. Elle ne savait même pas si son ennemi l’avait fait réellement intentionnellement. La panique l’avait saisi, clairement. Mais la pause salvatrice qui s’en suit lui permit en cet instant d’urgence de reprendre un minima de clairvoyance. Son agresseur avait arrêté sa maléfique technique, et voulut lui menotter les poignets dans son dos. Cette situation avait fragilisée Natasha, dorénavant désarmée et rouge de honte, mais son malfaiteur n’avait plus la même vivacité dans ses gestes : l’excitation qu’il avait dû ressentir, et les pensées malsaines qui devaient envahir son esprit, faisait de lui une cible plus abordable. Les réflexes de l’agent Romanoff reprirent soudain le dessus dans cette période néfaste. Elle fit trébucher le sbire en utilisant à merveille une technique de fauchage. Pas le temps de réfléchir ou de récupérer son arme, elle devait absolument se mettre à couvert.



Elle réalisait en cherchant à se protéger, qu’elle était incapable de venir en aide à Tiffany qui semblait se trouver quelques mètres plus loin. Derrière elle, d’autres cris, d’autres agents qui se faisaient paralysées et qui disparaissaient dans l’ombre. Il fallait qu’elle sache où était emmené ses amies, pour mettre sur pied une nouvelle approche. Elle profita de son repli pour grimper le long d’une colonne. Elle aurait alors une vue d’ensemble et surtout pourrait voir ce qu’il se trame derrière ces barrières ennemis. Assurée de ne pas avoir été repérée, elle se saisit de sa lunette de vision pour tenter d’apercevoir Tiffany. Et ce qu’elle vit la saisit de frayeur.



En zoomant, ce n’est pas Tiffany qu’elle repéra en premier, mais deux tétons roses qui pointaient admirablement. En réglant la vue, c’est bien sa poitrine dénudée qu’elle vit. Tiffany était en position d’interrogatoire, plaquée au mur, les poignets liés et attachés au-dessus de sa tête. Tiff’ était en train de répondre à un malfaiteur qui s’approchait d’elle. Elle faisait clairement un signe négatif de sa tête. Le malfaiteur s’approcha encore, leva ses mains & Natasha fut d’abord convaincue que son amie allait se faire abuser sexuellement. Mais la réaction de Tiffany, masquée par le corps imposant de son interrogateur, ne traduisait pas qu’elle subissait un quelconque sévice sexuel. Elle voyait seulement sa tête qui se trémoussait dans tous les sens. Ce n’était pas logique, elle semblait avoir un large sourire, comme si elle était en train de rire aux éclats.

« Que se passe-t-il ici réellement ? ». Natasha était perturbée, et l’évidence de la situation n’arrivait pas à son esprit instantanément. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes, à analyser l’attitude de son amie, que la réalité la saisit enfin. « Mais Tiffany est en train de se faire chatouiller !! ». Les bras positionnés au-dessus de sa tête & la nudité affichée de sa poitrine n’avaient que pour objectif de rendre ses aisselles & ses attributs accessibles. Le malfaiteur, dominant Tiffany par sa position, ne cherchait pas à profiter de la douceur de ses seins, mais y laissait danser ses doigts pour mieux la faire souffrir. Elle réalisait en observant ce spectacle qu’elle venait de subir le même traitement quelques instants plus tôt : c’était quelques chatouilles qui l’avait désarmée. Ces sbires ont été entrainés pour exécuter à la perfection cette technique. Et Tiffany semblait extrêmement sensible & réactive à ce traitement. « C’est une véritable torture », se dit-elle.



Bien que surprise par cette conclusion, Natasha avait donc identifiée clairement la stratégie adverse : isoler les agents pour les torturées. « Ils cherchent donc à nous extraire des informations, ça ne fait plus de doute, mais c’est une mascarade, comment peut-on perdre son temps à vouloir chatouiller une professionnelle de l’infiltration, entrainée à résister à toute les conditions ». Même si elle avait personnellement prouvée qu’elle pouvait se faire déstabiliser par cette torture, il était inimaginable d’envisager de se faire soutirer des informations de la sorte. L’agent Romanoff se souvint des sévices qu’elles avaient pu endurer durant ses entrainements, elle avait été préparée à ressentir tellement de forme de douleurs, physiques & mentales. Elle crût ressentir à cet instant une douleur vive sur les avant-bras, une réminiscence des résultats de ces entrainements spartiates. L’objectif était clair : ne pas se faire briser mentalement par l’ennemi, qu’importe la technique ou les subterfuges utilisés. Malgré ses certitudes, à l’instant où elle put enfin entrevoir Tiffany plus nettement – lorsque son bourreau s’écarta – Natasha revit intégralement son jugement : elle vit une personne en sueur & totalement à bout de souffle et ce, seulement après un court temps de torture. Elle semblait déjà clairement au point de rupture. Elle donnait l’impression de murmurer quelques mots, comme si elle cherchait à rassembler des forces pour… supplier.



Tiffany n’était pas en train de se faire violenter, brutalement. A cela, elles ont toutes été entrainées. Là, c’est tout autre chose, on est en train d’user d’une « faiblesse physique ». Quelque chose d’irrésistible, contre laquelle on ne peut pas lutter. C’est le pire des traitements. Natasha en prit réellement conscience, et se demanda à cet instant si elle pourrait supporter elle-même une telle expérience. Une question qui resta sans réponse dans son esprit.



« Ils ont trouvé un point faible en or.. ». Il était inéluctable que les agents ne devaient pas tomber dans ce piège, et il devenait prioritaire de venir au secours de Tiffany qui semblait hors d’état de nuire. A travers sa lunette, Natasha ne voyait plus sa coéquipière si redoutable, elle discernait une adolescente frêle, qui tremblait à l’idée de voir un index venir gratouillait son aisselle dénudée.



Le bourreau attrapa alors la tête de Tiffany, après lui avoir laissé un court laps de temps de récupération, et il sembla clair qu’il lui posait une question qui déterminerait la suite des évènements. Il fallait que Tiffany résiste. Le « non » significatif que Natasha perçut sur les lèvres de son amie la rassura. Ce moment fugace de soulagement fut, malencontreusement, balayé en quelques secondes. Le bourreau se glissa dans le dos de Tiffany, non pas pour s’en aller. Il changeait d’angle d’attaque. Tiffany commença instantanément à paniquer, et essayait de se défaire de ses liens. On avait dû lui signifier que son refus d’obtempérer aurait une conséquence désagréable. Elle ne voyait plus son agresseur distinctivement, mais pouvait percevoir nettement où ses doigts se poseraient. Il jouait avec Tiffany en faisant durer l’instant, une tension que le corps de la belle blonde avait du mal à encaisser. Dès qu’il exécuta une nouvelle salve de chatouilles, Natascha put admirer toute la force de cette torture : les gesticulations de son amie, sa poitrine se dandinant à chaque ressenti, sa bouche grande ouverte laissant imaginer les hurlements de rire qui en sortait. Elle les entendait dans esprit et se demandait si ce n’était pas les siens qu’elle imaginait à cet instant.

Le bourreau sembla perdre patience quelques minutes plus tard, il était clairement pressé par le temps et la situation. Il aurait certainement préféré avoir cette beauté enfermée dans une salle de torture pour avoir tout le loisir d’en profiter. Là, improvisé un tel traitement sur un champ de bataille, cela pousse à vouloir rapidement briser sa victime. C’est certainement cette motivation qui le fit arrêter quelques instants pour revenir près de Tiffany équipé : Natasha devait faire un réel effort de clairvoyance pour admettre que ce fut bien une brosse à dent électrique qui était dans la main du sbire. La suite fut d'une intensité saisissante : la brosse se posa sur la pointe du sein de Tiffany et ne cessa d’en faire le tour. Elle gesticulait tant qu’un autre sbire dut la maintenir par la taille. Tiffany allait craquée, c’était certain. L’arrêt soudain de la brosse confirma cette hypothèse : elle était en train d’avouer, de donner une information capitale. Mais laquelle ?



L’agent Romanoff cherchait encore une possibilité d’intervenir mais désarmée et clairement apeurée par ces agissements, elle était une simple spectatrice du spectacle proposé. Son mutisme prit fin lorsque les sbires s’activèrent soudainement. Ils en avaient fini avec Tiffany, et semblait chercher quelque chose ou quelqu’un autour d’eux. Lorsqu’un ennemi pointa alors le doigt en hauteur en direction de Natasha, notre héroïne comprit un fait évident : Tiffany venait de donner son nom, un aveu qui avait fait d’elle la clé de toute cette opération. Elle serait la prochaine victime à se faire torturer si elle ne prenait pas immédiatement la fuite.

Natasha fuyait la zone à toutes enjambées, essayant de ne pas penser aux supplices que pouvaient encourir ses amies à ce même moment. Elle se répéta sans cesse qu’elle était la clé de l’opération et qu’elle n’avait pas le droit de tomber entre les mains de ces ennemis ; surtout ceux-là, les plus sournois et les plus pervers qu’elle avait rencontré. Et pourtant elle avait connu moult méchants redoutables au cours de sa carrière. User des faiblesses physiques, torturées comme si elles étaient des enfants de 4 ans, Natasha se rendait à l’évidence qu’elle n’était pas préparée à ce type d’évènements. Elle ressentait à nouveau les quelques chatouilles qu’elle avait enduré et qui lui avaient fait lâcher son arme en un laps de temps démesuré. Un index a désarmé l’une des plus redoutables agents au monde, et pour la première fois, la crainte l’envahissait. Une peur bleue, abyssale, face à laquelle elle perdait ses moyens.



Encore quelques enjambées et elle n’entendrait plus les rires de Tiffany, ou les gémissements de ses autres comparses. Elle devait se protéger et se convaincre que c’était sa priorité : si ces ennemis la veulent, elle, c’est pour une raison précise. Un secret qu’elle seule détient. Elle devait garder cette idée en tête et continuer à fuir. Le chemin qu’elle avait pris pour prendre un maximum de distance n’était pas répertorié sur son radar, et elle sentait qu’elle s’enfonçait en profondeur vu les grésillements de son oreillette.



De la lumière apparue devant elle, une sortie ou autre chose. Mais aucun doute ne l’habitait, elle ne réfléchissait plus en espionne mais en proie. Elle courut donc en direction de cette pièce et s’aperçut en y arrivant que ce ne fût pas l’échappatoire espéré. La lumière venait d’une sortie, certes, mais placée à des centaines de mètres au-dessus de sa tête. C’était un puit de lumière dans une pièce circulaire qui faisait penser à une arène. Aucune sortie, il faudrait vite rebrousser chemin.



« Une envie de repartir Mme Romanoff ? »



« Trop tard » pensa-t-elle, « je suis coincée et je ne peux plus m’enfuir ».



Elle rassembla ses forces et se retourna pour apercevoir deux hommes qui ne lui étaient pas inconnus. Loki, arborant comme à son habitude une stature fière, surgissait dans la pièce. Il avait son armure d’Azgard & était équipé de son sceptre maléfique. A côté de lui, se trouvait Ant-Man, qui le suivait à la trace tel un esclave. Natasha, une fois la stupeur passée, comprit qu’Ant-Man ne pouvait pas agir de son propre libre arbitre. Il avait dû être manipulé & soumis au pouvoir de Loki, comme bien de ses confrères dans d’autres aventures. Une fois sous le pouvoir du sceptre de Loki, il n’y a plus de conscience humaine. Cet état se traduit par un regard d’un bleu vif.



« Tu as dû comprendre que mon acolyte ici présent, n’est pas là de son plein gré », ricana Loki. « Je suis très heureux de te voir tu sais, tes compagnons nous ont donné une information de taille, et qui m’intéresse : toi seule saurait au niveau du Shield où se trouve une puissante arme. Et je la veux cette arme Natasha ».



Natasha ne désirait pas rester plus longtemps pour les présentations & tenta de s’échapper immédiatement. Elle venait de repérer une corniche sur la droite de la pièce. Elle actionna son grappin pour s’y hisser et contourner par la voie des airs ses deux assaillants. Le grappin s’accrocha parfaitement, l’affaire semblait bien engagée, lorsqu’elle vit soudainement Ant-Man bondir à sa hauteur. Ce saut n’était humainement pas faisable, mais la situation était pourtant bien réelle : Natasha les bras en l’air, agrippée à sa corde, ne pouvait que constater la situation. Il la saisit en plein air par la taille, arbora un sourire malicieux, et lui montra la paume de sa main tout en agitant les doigts.



« Pas encore ça » pensa-t-elle. Elle ne fut pas surprise lorsqu’elle sentit son corps entier se crispait lorsque ses doigts vinrent se poser sous son aisselle droite pour entamer leurs folles chorégraphies. Les chatouilles que son nouvel agresseur pratiquait, étaient nettement différentes : il cherchait à s’amuser avec elle, et non pas à la faire craquer. Les doigts redescendaient sous sa côte pour inexorablement remontaient sous ses bras, et ainsi de suite. Les gestes circulaires pratiqués n’avaient pour but que de lui faire perdre toute concentration, mais elle s’y refusait. Elle ferma les yeux, serra les dents et se mordit la lèvre inférieure pour ne pas céder aux rires convulsifs qui montaient en elle. Elle resserrait tout ce qu’elle pouvait : ses cuisses, ses bras… mais ces attouchements allaient bientôt la faire gesticuler. Elle mettait pourtant une énergie débordante pour contrôler son corps. Elle ne voulait pas se dandiner naïvement pour tenter misérablement d’esquiver 5 doigts. Elle refusait ardemment d’offrir ce spectacle à son ennemi. Puis tout se calma, tout s’évapora. Elle ouvrit alors les yeux et vit que cette attaque lui avait surtout fait perdre la maitrise de sa fuite aérienne : elle allait heurtée un mur en pierre. Elle tenta de se protéger, lâcha son équipement et s’écrasa au sol.



Rien de casser certes, mais le combat psychologique était mal engagé. Le premier round avait été facilement remporté par « le maitre des fourmis ». Sans armes à feu et sans tour de passe-passe, elle allait devoir leur faire face lors d’un combat à mains nues. Le corps à corps ne l’emballait pas pour le moment au regard de la tactique adverse. Natasha s’entrevoyait un instant, attachée, dénudée et torturée comme elle l’avait vu avec Tiffany. Cette pensée lui fit à nouveau ressentir une chair de poule sur tout le long de son corps, et plus encore sur ses attributs généreux. Reprenant avec force le contrôle de ses émotions, elle se mit en position de garde pour indiquer à ses ennemis qu’elle ne redoutait pas l’affrontement. Elle décida tout de même, par sureté, d’attendre le premier geste ennemi. Loki prit la parole, pour briser le silence en place, d’un ton hautain & tyrannique : « Vous semblez quelques peu déstabilisée Mme Romanoff, vous connaissez pourtant bien mon collaborateur : vous savez qu’il peut se glisser où il le souhaite ».



Elle observa autour d’elle & dû se résoudre au fait qu’elle l’avait perdu de vue. Le combat psychologique se poursuivait : elle semblait éprouver des frissonnements partout sur elle, comme s’imaginant être enseveli de milliers de fourmis qui gravitaient sur sa peau nue. Heureusement, Ant-Man réapparu près de Loki, et les frissons disparurent un instant.



« Mais pourriez-vous, pour combler ma curiosité, me dire ce que vous souhaitez ? Je croyais que les sbires de l’ombre n’agissaient que pour s’enrichir. Depuis quand souhaitez-vous obtenir des informations secrets défenses ? »



Loki répondit, tout en arborant continuellement ce sourire : « Miss Romanoff, je pensais que vous aviez compris que ce n’est pas vous qui posez les questions aujourd’hui. Votre manque de renseignement à notre égard prouve que nous avons bien joué notre rôle d’organisation mineure. Nous voulions cela, pour mieux nous préparer. Je vous révélerai peut-être l’histoire intégrale en temps voulu. Je ne vais pas endosser le rôle stéréotypé du grand méchant qui avoue tous ses plans trop rapidement. Pour le moment, j’apprécierai particulièrement me nourrir de quelques-uns de vos cris, j’en serai ravie même. Il semblerait selon les informations que nous avons recueillies, grâce à vos somptueuses collègues, que vous avez une certaine faiblesse pour toutes les tortures physiques. Voyons un peu jusqu’où nous pouvons vous pousser. Prenez cela comme mise en bouche. ».



« Vous voulez me chatouiller ? Réellement ? Mais vous me prenez pour une enfant ? »



« Telle une enfant, je souhaite très vite vous voir me supplier Miss Romanoff. Vous allez dans quelques minutes vous retrouvez dans une telle position de faiblesse que je vous ferai dire tout ce que je souhaite. Je n’ai ainsi pas à vous dévoiler mes intentions : vous me direz tout une fois en ma possession ».



Natasha savait que Loki était sérieux sur les mots utilisés : le risque était grand pour elle d’être prise sous le pouvoir de son sceptre : la torture physique devait être un moyen pour faciliter la soumission de sa victime. Elle devait en finir, et au plus vit.



Le visage déterminé, Natasha programma son nouvel équipement : une montre décuplant les capacités physiques sur un temps déterminé. Elle savait qu’elle disposerait avec cette configuration de 10 minutes pour se débarrasser de ses agresseurs. Le timing était serré, mais elle souhaitait ardemment sortir le plus promptement possible de ce pétrin. Elle espéra, pour ce faire, qu’elle ne devrait pas engager la première action, c’est toujours dans cette situation qu’elle avait vaincu Ant-Man aux entrainements. Les yeux dans les yeux, nos deux prétendants se jaugeaient à distance. Et un soulagement l’a parcouru quand Loki fit un bref signe de tête à son soldat pour lancer l’assaut. Les deux combattants prouvaient de ce pas leur agilité et leur dextérité : dès que Natasha portait un coup bien placé, Ant-Man se miniaturisait pour mieux réapparaitre un peu plus loin. Et à l’inverse, la souplesse de la veuve noire se faisait admirer pour esquiver les coups portés. Tous deux se neutralisaient, et 3 minutes d’affrontement s’étaient déjà écoulées. Natasha devait tenter de toucher son adversaire. Elle prit pour la 1ère fois l’initiative, lança deux shurikens pour obliger son ennemi à se couvrir le visage, ainsi il ne vit pas le coup de poing que lui préparé Natasha. Mais même avec cette préparation minutieuse, le coup ne parvint pas à effleurer le soldat. Ce dernier rétrécit pour esquiver et se glissa cette fois-ci entre les jambes de la veuve noire pour prendre position derrière elle. Cette manœuvre de contournement masquait une intention dissimulée chez le soldat jaune, qui ne put s’empêcher de profiter de l’aubaine : en passant entre les jambes de la plantureuse rousse, il admira pour la première fois la moulure de ses fesses dans cette combinaison noire. Il désirait goûter ce fruit défendu et indiquait à Natasha à quel point il pouvait la dominer à sa guise. En retrouvant progressivement sa taille normale, peu après avoir franchi son entrejambe, il laissa alors sa main droite saisir la fesse de son adversaire.



La palpation étonna Natasha qui ne réagit pas immédiatement, laissant ainsi l’opportunité de se faire saisir l’autre fesse instantanément. Le soldat les fit remonter légèrement dans ses mains pour bien mesurer leur parfaite forme : ni trop plates, ni trop prononcées, elles semblaient sortir d’un rêve. N’importe quel homme se retrouverait transporté au paradis face à cette sensation.



Le visage de notre héroïne caractérisait la surprise qui l’avait saisie, toutefois elle comprenait l’objectif de cet acte : « Il veut me faire comprendre qu’il fait ce qu’il veut de moi », songea-t-elle. Sentant progressivement les mains du soldat saisir de manière plus prononcée ses fesses, elle devait réagir et contre-attaquer. Il allait inévitablement profiter de cette situation pour tenter de l’immobiliser. Natasha pris une ample respiration pour concentrer son prochain coup et l’attaque fut éclair. Elle se retourna pour asséner une frappe chirurgicale de son pied droit en plein thorax de son adversaire. Ce coup le mettrait à terre et le reste ne serait que pure formalité. Seulement ce plan n’était que théorique ; en réalité, à peine eut elle entamer sa vrille qu’elle perdit de vue sa cible. Son geste se poursuivit dans le vide complet cherchant du regard ce minuscule soldat qui pouvait se cacher n’importe où. Ce qui frappa notre héroïne fut alors un sourire narquois, celui de Loki qui observait de loin cette scène. Pourquoi semblait-il si serein et attentif à ce moment ? Elle se rappelait alors ce qu’il lui avait promis il y a quelques instants : une torture, froide & foudroyante. Cet élément lui avait quelque peu échappé. Mais lorsqu’elle se concentra sur les détails de son visage, elle remarqua son regard : il n’était pas destiné à capter les yeux de Natasha, il fixait un point de son corps : et pour cause, il regardait Ant-Man qui, miniaturisé et pratiquement invisible, s’était attaché en haut de la fermeture de notre agent. D’une action rapide démontrant la force qu’il avait même à cette taille d’insecte, il réussit à faire descendre la fermeture éclair de la combinaison jusqu’au nombril de la veuve noire.



Sa bouche s’ouvrit d’ébahissement à la même allure que se dérobait sa combinaison moulante. Toute sa poitrine, recouverte d’une lingerie noire des plus discrètes et légères, se donna en spectacle. Le premier réflexe de Natasha fut celui d’une demoiselle gênée et pudique, et croisa ses bras pour masquer sa poitrine. Ce mouvement eut pourtant comme effet de faire remonter bien plus encore généreusement ses deux magnifiques seins.



« Quel teint rougeâtre vous arborait Miss Romanoff ? Quelque chose vous manque ? »



Cette voix semblait venir de son esprit, mais elle aperçut très vite le minuscule Ant-Man posé sur son épaule. C’était la première fois qu’elle entendait sa voix, elle dénotait tout l’amusement qu’il ressentait alors, mais aussi de l’excitation pour ce qui allait certainement suivre.



« Alors, selon nos informations recueillies, vous auriez malheureusement pour vous, une grande difficulté à résister à toutes chatouilles sous vos bras. Cette information n’est pas nouvelle me diriez-vous, j’ai déjà pu le constater tout à l’heure lors de notre partie de jambes en l’air. Mais je n’avais pu tester votre sensibilité que lorsque vous portiez votre costume, je suis tellement curieux de voir ce que cela donne sur votre peau nue ».

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