Histoire : L'odyssée du tickling, partie 3

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Histoire ajoutée le 23/07/2017
Épisode ajouté le 23/07/2017
Mise-à-jour le 03/07/2021

L'odyssée du tickling, partie 3

Légèrement fatiguée par ces heures de piscine, elle bredouillait avec peu de conviction pendant qu'il la transportait, tel un vulgaire colis. Ils atteignirent le bureau du maître nageur, qui la déposa sur un matelas en mousse. D'une pression de sa tong sur un point précis du mur, le sol s'ouvrit, pour laisser place à un escalier menant à un sous sol.



Un dongeon dédié au tickling, via un passage secret dans une piscine municipale.. HAL a de l'imagination, finalement. Toujours muet mais souriant, il lui détacha les jambes, l'assit sur une chaise. Le revêtement du siège de de celle-ci était bombé et fait de telle sorte quelle devait, pour tenir sur place, décoller ses pieds du sol, replier ses jambes sous le siège et pencher le buste en avant. Cette position plutôt inconfortable mettait encore plus en tension son maillot une pièce, occasionnant un frottement encore plus pressant au niveau de l'entrejambe. Elle resta ainsi une bonne minute, le temps qu'il mette en place son dispositif.



Celui-ci était une structure dotés de plusieurs liens-ouverts- et qui permettait à la "victime" de s'asseoir à genoux, le dos contre un "poteau" rembourré, les bras passés dans le dos autour de ce poteau, et les pieds attachés à la base de ce même poteau. Hanches, cuisses, torse, aisselles, cou, mollets, pieds : les zones offertes telles des offrandes au tickler.



C'est sur cet instrument que Sasha commença sa "séance". Il s'agissait d'effleurements légers, destiner à tester ses défenses et déceler ses points faibles. Elle connaissait bien cette méthode :elle l'avait elle-même peaufinée lors de séances jouées en tant que tickler. HAL n'avait plus qu'à analyser et retourner contre elle ses propres techniques. Et ça commençait à porter ses fruits. Tout en taquinant (« et là ? Et ici tu crains ? », il inspectait ses zones de peau découverte. Elle ne put réprimer un gloussement quand il frôla l'intérieur de ses cuisses. Le début de la fin ? Non, juste la découverte d'un point faible parmi d'autres. Si elle était chatouilleuse absolument partout, elle craignait encore plus au niveau des pieds, des aisselles, du ventre, sans oublier l'intérieur des cuisses.



C'était la fin de la phase de l'exploration. Il vérifia ses liens, s'assura qu'elle était confortablement installée. C'était le cas. Il se retourna alors pour saisir une boîte. Maniée avec précaution, elle accueillait, tels des couverts en argent, divers instruments de chatouilles. Il lui demanda avec le sourire de choisir le prochain instrument de son supplice. C'était une innovation très maline de la part d'HAL. Dans la logique de réserver le meilleur (ici, le plus intense) pour la fin, Sasha laissa de coté les brosses et huiles, et choisit un ensemble de plumes.



Il s'attela à la tâche avec bonne humeur, en commençant par les pieds. Ceux de Sasha petits ( 35 en pointure), étaient très féminins et parfaitement entretenus. En tant qu'amatrice de chatouille, elle appréciait que les pieds de ses victimes soient propres et lisses, sans corne, aux ongles taillés. Étant en quelque sorte à genoux avec un poteau dans le dos, ses pieds étaient impitoyablement exposés. Il alla du moins au plus sensible, du talon aux orteils, sa plume effleurant de plus en plus lentement. Il s'attarda avec volupté entre les orteils, en dessous... Ces allers-retour furent répétés plusieurs fois sur chaque pieds. Puis il s'attaqua aux aisselles. De haut en bas, autour, décrivant des cercles de plus en plus rapprochés. Sasha retenait sa respiration, avant de glousser dans un large sourire. Ces petits rires étaient de plus en plus fréquent. Il n'oublia pas l'intérieur des cuisses. Plus il effleurait haut, plus elle gigotait, plus elle y était sensible, et il le voyait bien, prenant encore plus son temps. Il épargna son ventre, protégé par le maillot. Ces attaques sur les points les plus chatouilleux de Sasha étaient entrecoupées de petites escarmouches. En feignant de toucher ici, il chatouillait là. Parfois deux points en même temps. Ces petites surprises, sur le cou, les mollets, les cotes, l'étonnaient toujours et elle en riait d'avance. Elle remuait de plus en plus, sa respiration était plus rapide et elle était plus rouge. Quant à lui, il semblait avoir plus chaud également. Quand il enleva son T shirt, dévoilant ainsi une plastique très agréable à regarder, ce fut le signe de la deuxième pause.



Il déclara qu'on allait passer aux choses sérieuses. Et sortit du coffret un flacon d'huile de massage. Il en déversa généreusement sur le torse de Sasha, sur sa largeur. L'huile sentait bon, était translucide, quasi-transparente et froide. Malgré la tension du une-pièce sur son corps, la lotion passait entre le maillot et la peau. La sensation de picotement sur sa poitrine, causé par le froid, laissait peu à peu place à celle, tout aussi agréable, de l'huile glissant vers son bas ventre, ruisselant jusqu'à l'intérieur de ses cuisses. Il déposa de l'huile également sur ses talons, de manière à ce que l'huile descende vers les orteils et les points les plus chatouilleux. Puis il commença à étaler. D'abord de bas en haut en partant des cuisses jusqu'au cou, puis de haut en bas en passant par les cotés. Cela allait de plus en plus vite. Il étalait même l'huile en aventurant les mains sous son maillot-l'occasion de taquiner buste, nombril et bas-ventre. Sasha tenait de moins en moins en place, et toutes ces frictions lui donnaient de plus en plus chaud. Les sensations de chatouilles étaient incroyables. Elle fut recouverte rapidement, sans rien oublier de son corps, d'une fine couche d'huile. Les fibres de son maillot étaient imbibées aussi. Mais elle constata avec satisfaction que son vêtement -noir-, s'il la moulait encore plus, était tout de même presque opaque.

Armé maintenant d'une brosse à cheveux et d'une brosse à dents électriques, il entra dans le vif du sujet. La brosse à cheveux chatouillait même à travers le maillot. La brosse électrique était parfaite pour les creux et petits recoins : cou, creux derrière le genoux, entre les orteils. Elle n'était plus que frémissements, respiration retenue quelques secondes avant d'exploser dans une hilarité incontrôlable. Son corps était gainé, arqué, comme si cela la rendrait moins chatouilleuse. Ou au contraire elle se tortillait frénétiquement, ne faisant qu'accentuer le frottement de son maillot. Maillot qui ne protégeait plus grand chose. Elle hurlait de rire, ça la démangeait, ça la rendait toute chose, elle prenait son pied. Cela dura un temps indéfinissable.

Mais ils commençaient à fatiguer tous les deux. Pour ne pas finir brutalement, il joua sur la cadence de ses chatouilles, qui ressemblèrent de plus en plus à des caresses, qui s'atténuèrent avec en fond sonore sa respiration pantelante et quelques petits rires. Il la détacha et et elle se laissa tomber sur un pouf. Quant son souffle se fut calmé, Il lui indiqua qu'elle ferait bien de prendre une douche, ou un bain. Elle était d'accord et se dirigea vers la salle de bains. Sachant que la perception du temps en « simulation » a peu à voir avec celle du réel, elle ne s'inquiétait de rien.



HAL avait plus que bien fait son boulot. Elle avait oublié à quelle point elle était chatouilleuse ! Après une telle séance, que pouvait il lui arriver de mieux ?



A suivre

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