Histoire : Ce n’est pas un hôpital...

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Histoire


Histoire ajoutée le 15/08/2017
Épisode ajouté le 15/08/2017
Mise-à-jour le 03/07/2021

Ce n’est pas un hôpital...

Bonjour ou bonsoir dépendant de quand vous lirez ça haha ;)

Pour la petite présentation je m’appelle Pikachu, j’ai 19 ans et je viens de Suisse ! Je n’ai pas été très active sur le forum mais j’aime beaucoup écrire et en lisant les divers histoires du forum cela m’a donné envie de me lancer moi aussi !

Je suis vraiment ouverte aux commentaires comme c’est ma première histoire n’hésitez pas à me dire ce qui va ou ce qui ne va pas ! :D



Sur ce je vous souhaite une bonne lecture et j’espère que cela vous plaira !





Chapitre 1







Je m’appelle Cassandre, je suis lycéenne et j’ai 16 ans, (bientôt 17 je précise) l’âge de l’adolescence qui est je devrais dire celui que préfère les parents. C’est la partie de vie où les choses les plus importantes pour eux sont les moins importante pour moi, comme par exemple bien travailler au cours, avoir de bonnes notes, trouver le métier que je voudrais faire plus tard…



Mais merde ils peuvent pas comprendre que ma priorité à moi c’est de connaître tout les petits ragots du lycée, participer aux meilleurs soirées et finir avec le plus beau mec de ma classe… (entre nous je ne peux pas me plaindre car la nature m’a quand même gâtée, je fais un 1m60 pour 58kg, je chausse du 37, j’ai de jolies cheveux légèrement ondulés tirant sur le roux arrivant aux épaules et de beaux yeux verts de quoi en faire craquer plus d’un !)

Apparemment non, donc ma meilleure stratégie pour vivre une vie ne serait-ce que convenable était de les ignorer.



Un soir de semaine comme les autres, je rentre des cours et comme à mon habitude je monte dans ma chambre pour foncer sur mon téléphone, je me fis rapidement arrêter dans ma course en entendant mon père hurler :

« Cassandre !!!! veux-tu descendre tout de suite ! »

Je sentais la prise de tête arriver…

« Ouais ya quoi ? »

« Nous venons de recevoir ton bulletin de note, 8/20 en Mathématique, 5/20 en Géographie, 9/20 en français…tu te fous de nous ??! »

« Non mais c’est difficile les cours tu sais et les profs on comprends rien de ce qu’ils disent ! »

« C’est n’importe quoi ! Si tu passais un peu plus de temps à étudier et à te concentrer au lieux d’être sur ton téléphone tu n’aurais pas de résultats pareils ! Je te jure que les choses vont changer ici ! »

Sur ces mots je ne répondis rien et fonça dans ma chambre en courant, je claqua bien la porte pour montrer ma colère ce qui termina la discussion.



La nuit tomba et je ne leur reparla même pas, je finis par m’endormir en repensant a tout ce qu’ils m’avaient dit…



Au beau milieu de la nuit, je sentis quelque chose m'agripper la cheville je n'arrivais pas à réaliser si c'était un rêve ou la réalité, du coup je tira un coup sec sur ma jambe mais en vain j'étais toujours maintenu. J'ouvris les yeux à moitié et devina une silhouette d'homme, je sentis qu'il me saisit mon autre cheville, à ce moment j’ouvris grand mes yeux en sursautant et fus prise de panique, qui étais ce bonhomme que je ne connaissais pas et qui tenais tant à ce que je ne me lève pas, je tenta de me relever mais sans prévenir un autre type se plaça derrière moi et me plaqua les poignets sur mon lit.



Aucune chance de pouvoir me relever, je regardais autour de moi et essayais de crier mais aucun son ne sortit de ma bouche j’étais pétrifié.



Je vis alors entré une troisième personne qui avait l'aire cette fois d'être une femme, je dû attendre qu’elle se rapproche de moi pour réussir à déceler quelques traits de son visage grâce à la faible lueur que dégageait la fenêtre de ma chambre. C’était une jolie demoiselle âgée d’environ 30 ans pas plus, elle avait de long cheveux blonds qui descendaient en cascade sur ses épaules bien dessinées. Son visage était en revanche très enfantin et n’avait pas l’air d’être en harmonie avec son corps de jeune femme.

Elle me sourit et une petite fossette se dessina dans le creux de sa joue droite. Vue l’état dans lequel j’étais et qu’elle n’était visiblement pas là pour m’en sortir je me contenta d’un bon crie comme dans les films d’horreurs mais cela ne lui a pas du tout plus et son sourire se changea alors rapidement en un regard noir, je n’eu pas le temps de dire autre chose que l’un de ses gaillard me bâillonna avec un bout d’adhésif.



Elle reprit un air plus ou moins chaleureux et décontractée puis s’avança et prit soins de lisser la couette du lit avec la paume de sa main avant de s’asseoir dessus.

Cette attente était insoutenable qu’est-ce qui allait m’arriver, que me voulaient ces gens, est-ce que mes parents savaient ce que j’étais en train de vivre… 36'000 questions tournaient dans ma tête quand tout s’arrêta lorsque je vis d’un coup sa main se diriger vers mon tee-shirt, sans aucune gène elle le remonta jusqu'au dessous de mes seins et posa ses deux mains sur mon ventre.

Elle leva la tête et plongea son regard dans le miens puis d’un coup elle se mit a agiter tout ces petits ongles sur mes côtes, je fus parcouru d’un frisson dans tout le corps et finit par éclater de rire. Elle s’amusait en tournicotant ses doigts dans le creux de mes hanches et partout où elle sentait que j’étais sensible, une vraie torture. J’avais beau essayer de me débattre mais ses acolytes ne me laissaient pas bouger d’un centimètre.

Cela dura bien 30 secondes puis elle s’arrêta enfin, je reprenais mon souffle avec plusieurs respirations histoire de me remettre de mes émotions…

Elle sourit à nouveau comme fière de ce qu’elle venait de faire puis passa sa main dans mes cheveux en finissant sur ma joue pour la caresser. Elle m’observa un moment et finit par se rapprocher de moi pour arriver à la hauteur de mon oreille en me chuchotant : « Nous nous reverrons bientôt c’est promis ». Mon sang ne fit qu’un tour.

Elle se redressa et fit un hochement de tête que les types attendaient apparemment depuis un moment, il ne fallut pas leur dirent deux fois celui qui depuis le début me tenait les chevilles prit une corde et me les attacha ensemble, l'autre fit de même pour mes poignets. Le plus baraqué des deux m’attrapa par la taille et me porta sur son épaule telle un sac a patate, je ne pouvais même pas penser à me débattre vue comment j’étais ficelé.

En sortant de ma chambre je pensais à un dernier espoir ; auraient-ils entendus du bruit venant de ma chambre et donc appelé les flics pour dire qu’il y avait trois grand malade chez eux qui étaient en train de kidnapper leur fille ? Même pas…



Je vis mes parents regarder la scène sans rien faire sans riposter... je compris alors que tout cela venait d'eux ou du moins ils ne voulaient rien faire pour l'en empêcher, c'est à ce moment que je ressentais une haine incomparable à toutes les fois ou j'étais en colère contre eux.

J'avais cette sensation de haine et aussi désagréable qu'elle soit, la peur. Mais qu'est-ce qui allait m'arriver ??!



Jusqu’à la dernière seconde de mon champ de vision je pensais qu’ils réagiraient en faisant n’importe quoi mais… rien et ma dernière image d’eux avant que la porte d’entrée ne se referme fut, ma mère dans les bras de mon qui père qui avait l’air désespérée.



Une grande fourgonnette était garée devant la maison, il me jeta brusquement dedans et je vis les portes se refermer me laissant dans l’obscurité complète. Les trois personnes embarquèrent et juste avant que cela démarre j’entendis la douce voix de la jeune femme de tout à l’heure me chuchoter à l’oreille :

« Bonne nuit Cassandre ». J’eue à peine le temps de répondre quelle plaqua sur mon nez un mouchoir imbibé de chloroforme, j’essayais en vain de me débattre mais ses gaillards avaient bien fait leur boulot, je m’endormis doucement aux pays des rêves et peut-être que s’en étais vraiment un…





Voilà, j’espère avoir au moins pu mettre un peu de suspense et de matière malgré mon peu d’expérience ^^ mais j’ai prévue un 2ème chapitre qui est en cours !



A tout bientôt bisous ;)

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