Histoire : Les pensées d'un supplicé (Fictif F/M)

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Histoire ajoutée le 11/10/2018
Épisode ajouté le 11/10/2018
Mise-à-jour le 03/07/2021

Les pensées d'un supplicé (Fictif F/M)

Bonsoir !

Voilà je me lance ! J'ai écrit une première histoire. Je n'ai écrit que le début, mais j'ai énormément d'idée pour faire évoluer l'histoire. J'attends vos retours avant de me lancer dans la rédaction d'un nouveau chapitre. Je prends toutes les critiques du moment qu'elles sont constructives !

Bonne lecture !  

Préambule


Lorsqu’il ouvrit les yeux ce matin-là, Amaury s’assit sur sa planche de bois humide. Il ne s’étonnait plus depuis longtemps de se réveiller dans cette sombre cellule, au sol sal, au mur suintant de liquide non identifié et à l’odeur de moisissure. Une fois n’étais pas coutume, il avait froid. Mais il était habitué à cette sensation.

Amaury ne se souvenait même plus depuis combien de temps il vivait dans cet endroit. Il ne s’avait pas non plus combien de temps il y vivrait encore. Il difficile d’imaginer qu’au 21e siècle, ce genre de prison existe encore. La pièce devait mesurer environ neuf mètres carrés. Des barreaux épais et rouillés empêchaient toutes personnes dépourvues de clef d’entrer ou de sortir. Sur le mur de droite, trois planches de bois l’une au-dessus de l’autre, retenues par des cordes noircies par le temps, devaient faire office de lit pour trois prisonniers. Tout au fond de la pièce, une petite lucarne de 10 centimètres sur 20 était la seule source de lumière de la pièce. Dans le coin de gauche, un seau, sanitaires rudimentaires, mais seul élément qui permettait à Amaury de conserver un peu de dignité et de garder sa cellule propre.

Cet endroit lugubre était le sous-sol d’un ancien château médiéval, aujourd’hui réaménagé en école. Il ne s’agissait pas cependant de n’importe quelle école. Ici, on formait des soldats. C’était un peu la dernière étape de leur formation : il venait ici pour apprendre à faire parler leurs prisonniers. Dans le cursus, il y avait un cours particulier, dispensé par Mlle Miranda. Amaury secoua sa tête. Si cette femme savait qu’il n’avait rien que songé à son prénom, il serait puni plus que sévèrement. Pour lui, elle était « Madame ». Il ne devait pas l’appeler autrement qu’ainsi. Il était son esclave personnel, et elle avait choisi de venir enseigner avec lui pour servir de modèles aux exercices pratiques et permettre aux élèves de s’entrainer.

Nous étions mardi, il était 8h. Dans 10 minutes, la porte de sa cellule s’ouvrirait. Il se lèverait et sortirait, se dirigerait vers la gauche où se trouvait une salle de bain immense. Là, une femme serait là et contrôlerait l’épilation de tout son corps. Elle le laverait et pratiquerait divers soins visant à conserver sa peau souple et douce. Ensuite, il se rendrait en haut de l’escalier, vers la salle de classe 8B et s’agenouillait près du bureau du professeur, le bureau de madame, et attendrait 9h le début du cours. Une fois tout le monde installé, madame expliquerait les règles et le contenu du cours, et Amaury saurait alors ce qui l’attend.

Seul, assis sur sa planche, il se demandait comment il aurait pu éviter de se retrouver là. Il pensa alors à sa rencontre avec Madame, et à cette première séance…  

L’enlèvement


Amaury marchait seul dans la rue. Il était tard. Il rentrait chez lui après un film, qu’il était allé voire seul. Il vivait seul et côtoyait peu de monde, ce qui est rare pour un jeune homme de 19 ans. Ce qui se passa ensuite, Amaury s’en souvient très bien : deux personnes arrivaient dans sa direction. Deux hommes pour être plus précis. Lorsqu’ils arrivèrent à la hauteur d’Amaury, chacun d’eux se saisirent d’un de ses poignets pour les liés ensemble dans le dos. Avant qu’il n’ait le temps de crier, l’un d’eux plaça sa main sur sa bouche tandis que l’autre le piqua avec une aiguille. Amaury sombra sur le champ.

Lorsqu’il se réveilla, il était entièrement nu, allongé sur une grande table. Il tenta de bouger en vain. Ses mains étaient solidement fixées ensemble au-dessus de sa tête. Ses jambes, fixé de l’autre côté, chacune de part et d’autre de la table. Deux sangles bloquaient ses jambes au niveau des cuisses, une le maintenait au niveau de la taille, et une dernière sur son front l’empêchait de boucher la tête.

Il parvint cependant à voire une femme, debout à côté de lui. Elle le dévisageait de la tête au pied. Son regard trahissait ce que la vue du corps nu d’Amaury lui inspirait. Amaury était grand : il mesurait 1m90. Il avait le corps bien fait, des abdos parfaitement dessinés, les épaules larges. Sa peau très blanche s’accordait parfaitement avec ses yeux verts et ses cheveux roux.

- Bonjour Amaury, je m’appelle Miranda, mais pour toi ce sera Madame.

- MMMMMMHHHHH, tenta de répondre Amaury avant de se rendre compte qu’il était bâillonné.

- Je vais t’expliquer comment se passe les choses ici : désormais tu m’appartiens et tu ne partiras jamais d’ici. Dans un an je dois partir enseigner et j’ai besoin d’un « assistant » pour mes cours. J’ai besoin de savoir si tu feras l’affaire. Je vais donc passer cette année à te tester, situer tes limites et les transcender pour faire de toi le supplicié idéal. J’attend de toi le plus grand respect et la plus grande soumission. Chaque manquement aux règles sera sévèrement puni. Nous allons commencer par une séance plutôt longue, pour dissuader tout acte de rébellion. Je vais donc te retirer ton bâillon car je souhaite entendre tes suppliques durant la « séance ». Mais ne commence pas à t’époumoner avant : personne ne peut t’entendre ici et tu auras besoin de ton souffle plus tard.

Sur ces mots, l’un des deux hommes qui avaient enlevé Amaury plus tôt lui retira son bâillon tandis que l’autre actionna un levier qui tendit ses liens d’avantages. Amaury protesta, cria et tenta de se libérer en vain.

Madame s’approcha et lui banda les yeux sans prêter attention à ses hurlements. Elle lui versa un liquide froid et visqueux sur tout le torse et commença à l’étaler.

- Qu’est-ce que vous faîtes ? Qu’est ce que c’est questionna Amaury.

- De l’huile mon cher ami, répondît Miranda naturellement. C’est pour te rendre fou, tu vas voire, ça fonctionne très bien.

Lorsque le liquide fut étalé sur tout le torse d’Amaury, Miranda commença à faire courir ses doigts le long des côtes du pauvre Amaury, qui compris tout de suite ce qui l’attendait.

- Non hurla-t-il, s’il vous plaît Miranda…

- Miranda, tu es sûre ?

Elle remonta alors ses doigts fins quand le creux de ses aisselles quelle frotta sans relâche ce qui arracha un éclat de rire un éclat de rire à Amaury. C’était parti, il ne pouvait plus s’arrêter de rire.

- Non s’il vous plait madame ! Je n’en peux plus s’il vous plait arrêtez çaaaaa !

- J’espère que tu n’en peux déjà plus, car crois moi, ça va durer encore !

Après un bon quart d’heure passer à chatouiller ses aisselles, elle farfouilla dans une caisse sous la table. Amaury entendit alors un bruit de vibration, et soudainement, ses vibrations se déposèrent sur ses tétons. Armé d’une brosse à dent électrique dans chaque main, Miranda mettait ses mamelons à l’épreuve.

- Ça suffit, supplia Amaury, que voulez-vous ! Je ferai tout ce que vous voulez mais arrêtez par pitié !

Cette fois Miranda ne répondit pas et continua son ouvrage. Tantôt, elle dérivait de petits cercles autour de la pointe de ses tétons, tantôt elle posait simplement les poils vibrant de la brosse sur ces derniers. Amaury devenait fou ! Il riait et suppliait en même temps. Miranda ne faisait plus attention à ses suppliques pendant plusieurs minutes.

Cela faisait une bonne demi-heure que Miranda s’acharnait sur les tétons de sa victime puis déclara vouloir passer aux choses sérieuses. Elle sortit plusieurs objets de sa boite et les déposa entre les jambes d’Amaury. Elle monta alors à califourchon sur lui, dos à la tête. A ce moment Amaury senti que sa culotte était mouillée. Il comprit alors qu’elle prenait du plaisir à le voire souffrir ainsi : il était fichu !

Elle claqua des doigts et Amaury senti alors que sur chacun de ses pieds, quelqu’un lui tendait les orteils en arrière, dévoilant ainsi la plante.

- Non pas ici, pas ici pitié s’il vous plaît madame.

Toujours aucune réponse. Il reconnu qu’on lui appliquait la même substance que sur le torse plus tôt. Il s’attendait à se faire chatouiller les pieds de façon imminente, mais il fut surpris de sentir des poils doux, comme veux d’un pinceau lui caresser l’intérieure des cuisses. La encore la réaction ne se fit pas attendre : rire à gorge déployée, supplication, Amaury ne souhaitait qu’une chose : que ça s’arrête. Les deux bourreaux à ses pieds commencèrent alors à lui brosser frénétiquement la plante des pieds.

Amaury hurlait. Madame à califourchon sur lui faisait parcourir ses pinceaux sur ses cuisses et sur ses testicules. La sensation était horrible ! Il en pleurait.

- Pitié Madame arrêtez ! Je vous en prie !

- J’avais prévu de continuer encore deux heures Amaury, répliqua Miranda, mais je te laisse le choix : deux heures de plus ou une seule en augmentant le niveau ?

- Une seule madame, pitié une seule !

Miranda claqua de nouveaux des doigts et trois autres bourreaux s’approchèrent : l’un s’occupa de torturer les aisselles d’Amaury, le second de ses tétons, avec une roulette dentée cette fois, et le dernier jouait avec son nombril et deux brosses à dent électriques.

- Ahahahah ! Non pitié Madame !

- Tu as choisi ! Maintenant il est temps de songer à ta punition pour m’avoir appelée Miranda et non Madame tout à l’heure…. Mmmmm messieurs, le supplice de ce jeune insolent ne durera donc ni une ni deux heures mais trois !

- Noooooon ! Madame pitié ! Je vous appellerai toujours Madame ! S’il vous plait Madame !

- Au moins je suis sûre qu’après ça tu te souviendras que je me prénomme Madame pour toi !

Le supplice continua donc pendant trois heures à la suite desquelles Amaury fut détaché et enfermé dans une petite chambre très sombre. Epuisé, il s’endormi immédiatement.


***



« Finalement, songea Amaury, cette séance n’était pas si horrible par rapport à tout ce que j’ai enduré depuis … ».

La porte de la cellule s’ouvrit, le supplice du jours allait bientôt commencer. Amaury se leva et résigné, se dirigea vers sa prochaine séance…

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