Histoire : Prévention Routière

Vous utilisez un bloqueur de publicités

Ce site diffuse uniquement des publicités non-intrusives et sont vitales pour son développement.
Histoire


Histoire ajoutée le 21/07/2019
Épisode ajouté le 21/07/2019
Mise-à-jour le 03/07/2021

Prévention Routière

Davina était une jeune fille de 18 ans avec les cheveux raides, blonde cendré qui s’arrêtaient aux épaules, des yeux ronds bleus claires, elle mesurait environ 1m62, elle avait la peau claire et un visage enfantin avec un nez court. Davina était une élève sérieuse à l’école, ces profs ne se sont jamais plein de son comportement mise à pars que parfois elle rêvassait en classe. Elle a toujours été considéré comme une fille très gentille par son entourage, mais malheureusement elle a beau avoir un cœur tendre elle peut-être également très irresponsable et elle a dut le payer chère.



Davina avait passé son bac 2 mois avant l’accident et elle venait d’obtenir son permis après conduite accompagné. Elle était en train d’écrire un sms pendant qu’elle conduisait sur l’autoroute sur la voie du milieu. Cette idiote n’avait pas fait attention que sa voiture se déporta sur la droite et percuta un autre véhicule avant qu’elles ne fassent tous les deux une tête à queue. Davina et l’autre conducteur on eu tous les deux la frayeur de leurs vie et ils furent tous les deux emmené à l’hôpital par hélicoptère, Davina a pus survivre à l’accident mais l’autre conducteur qui avait une cinquantaine d’année n’avait pas eu cette chance.



Après sa guérison et sa sortie de l’hôpital Davina fut immédiatement arrêté, reconnue responsable de ces actes malgré son jeune âge et condamné à 6 ans de peine. La femme de la victime regarda Davina et lui dit énervé :



-« J’aurais peut-être quelle que chose à te dire quand tu sortiras. »



Davina s’était mis à se reposer dans sa cellule après que le juge lui ait prononcé sa peine, elle était terrifiée à l’idée d’être séparé de ces parents et de ces ami(e)s et particulièrement des autres détenues qui pourraient abuser d’elle. Heureusement il lui avait était expliqué qu’elle pourrait avoir des visites et que les détenues les plus dangereuses était mises à l’écart. On était le premier samedi du mois et Davina fut interpellé par le bruit de serrure de la porte de sa cellule qui s’ouvrit. Un geôlier se teint devant l’entrer de sa cellule.



-« Suis-moi. » Lui-dit le geôlier d’un ton sec.



Davina se leva de son lit et chercha ses chaussures.



-« Tu n’en aura pas besoin, tu peux venir en chausson. » Lui interrompit le geôlier.



-« Ah bon ! » S’exclama la jeune fille.



Elle se dirigea vers la sortie de sa cellule où une seconde geôlière l’attendit également.



-« Par ici je vous pris. » Lui dit la geôlière en tendant le bras vers la direction souhaité.



Davina marcha le long du couloir escorté par les deux gardiens derrière elle. Ils l’accompagnèrent jusqu’à une porte. Le geôlier passa devant et ouvrit la porte avant de rentrer, la seconde geôlière poussa le haut du dos de Davina pour la faire rentrer dans la pièce.



-« Venez par ici s’il vous plait. » Lui dit la geôlière avec un signe de la main.



Davina la suivit, la pièce dans laquelle elles se trouvaient était asses grande et rectangulaire et surtout très sombre. La jeune fille la suivit jusqu’à un objet dont-elle ne pouvait qu’à peine voir les contours à cause de l’obscurité. La geôlière saisit Davina par les bras.



-« Mettez-vous en face. » Lui dit la geôlière en la plaçant bien en face de l’objet en question.



La geôlière fit signe d’un cercle de son doigt à son collègue pour qu’il se retourne et c’est ce qu’il fit.



-« Maintenant retirer votre haut pour un test. » Lui ordonna la geôlière.



-« Je suis vraiment obligé ? » Demanda Davina inquiète.



-« Ce serait mieux ! » Répondit la geôlière.



Davina s’exécuta et donna son t-shirt de détenu à la geôlière qui la garda à la main.



-« C’est bon tu peux allumer la lumière ! » Cria la geôlière en direction de son collègue.



Dès que la lumière fut allumée Davina découvrit un dispositif spécialement conçus pour attacher les gens à genoux les bras attaché au dessus de la tête et une boite en bois pour y placer celle-ci. Davina fut frappé de stupeur et tenta de s’enfuir, mais la geôlière la retint ainsi que deux autres qui venait de faire leurs apparition et elles l’attachèrent sur le dispositif.



-« Non, ne faite pas ça. » Supplia Davina paniquée qui ne savait pas ce qui l’attendait, pendant que les trois geôlières attachèrent la jeune captive et placèrent sa tête dans la boite avant de la refermer.



Après l’une des geôlières se dirigea derrière Davina et lui enleva ses chaussons et ses chaussettes. Davina pouvait voir devant-elle grâce à la vitre qui ce tenait sur l’avant de la boite et en dessous du quelle il y avait un micro. Davina était attachée à genou les bras au dessus de la tête et les plantes des pieds orienté vers le ciel. Les geôlières prirent de l’huile de massage sur leurs mains et la répandirent sur le corps de Davina et l’une d’elle alluma un interrupteur qui se trouva derrière la boite où était logée sa tête. Une lumière apparut derrière la tête de Davina et elle pouvait voir à moitié son reflet et quand le geôlier qui était venus la cherchez baissa la lumière de la pièce pour se retrouver dans la pénombre Davina ne put voir que son reflet car il s’agissait d’une vitre sans teint.



La pièce dans laquelle elle se trouva elle-même attaché au centre avait plusieurs chaises devant elle, deux portes, une sur le coté dont elle était rentrée et une autre sur le devant et une vitre sans teint à coté de la seconde porte caché derrière un rideau qui fut enlevé rapidement par un geôlier. Un des geôliers ouvrit la porte et laissa rentrer un groupe de personnes qui avait payé 15€ exprès pour l’occasion. D’autre pouvait observer gratuitement derrière la vitre sans teint. Certain d’entre eux connaissaient la victime et avaient besoins d’évacuer leurs frustration et d’autres étaient venus exprès pour s’amuser. Les gens se dirigèrent vers une table qui était juste à coté de Davina où se trouvaient des brosses à dents électrique à poil dur, des brosses à cheveux en poils de sanglier et des grattes dos télescopiques. Ils prirent chacun un ustensile et se dirigèrent vers Davina qui ne pouvait pas voir ce qui se passait. Les personnes utilisèrent chacun un de ses outils pour chatouiller chacune des parties du corps de la pauvre Davina. La jeune fille craqua dès les premières sensations.



-« Haha, nooon, hahahaha, ahaharêteeeer, hahahahahahahaahaaha, maaaaaaaaamaaaaaaaan, hahahahahahaha. » cria Davina



Les gens autour d’elle continuèrent de la chatouiller, s’échangeant parfois d’outils ou changent de partie de son anatomie. Toutes les personnes qui la chatouillaient semblaient apprécier le rire de la jeune fille, allant même jusqu’à oublier la raison pour laquelle elle a été arrêtée.



-« Non, s’il vous plait, arrêter ça ! Hahahaha, je suis vraimant désolé pour ce que j’ai fais. » Supplia la jeune fille entre deux éclats de rire.



Malheureusement pour elle, sa peau était bien trop douce, ses rires bien trop agréable et le fait de la dominer et de voir son expression de terreur à travers le vitre sans teint étaient bien trop plaisants pour qu’ils aient pitié d’elle.



Quand les brosses, les brosses à dents ou les gratte-dos enlevèrent trop d’huile sur le corps de Davina, une des geôlières intervint et réappliqua de l’huile sur son corps pour maintenir la sensation des chatouilles au max. Davina continua à endurer ce supplice durant une heure. Une fois la session de torture terminé, les gens qui était venu pour la chatouiller retournèrent chez eux et Davina fut raccompagner dans sa cellule. Une fois dans sa cellule Davina s’assit sur son lit, replia ses jambes contre elle et se mit à trembler en repensant au supplice qu’elle venait de subir. Elle était littéralement dans un état végétatif.



Le mercredi suivant deux geôliers rouvraient la porte de la cellule où étaient détenue Davina.



-« Viens avec nous ! » demanda le geôlier qui venait d’ouvrir la porte.



-« Pour quelle raison, si je puis me le permettre ? » Demanda la jeune fille.



Le supplice des chatouilles qu’elle avait subit était encore frais dans sa tête alors elle était méfiante. Le geôlier qui venait de s’adresser à Davina regarda sa collègue qui lui hocha la tête, alors il sortit un flacon de formol, le versa sur un mouchoir, s’approcha de Davina qui essaya tant bien que mal de sans n’éloigner et le plaçât devant ses voix respiratoires.



La pauvre jeune fille fut contrait d’être chatouiller tous les mercredis et samedis durant une année entière contre son gré. A la fin de son année en prison, Davina qui avait subit un traumatisme psychologique fut envoyé dans un centre de rééducation militaire où elle y resta durant 2 ans. Les chatouilles qu’elle avait eues en prison servaient à la traumatiser suffisamment pour pouvoir faciliter sa rééducation.



Après ses 2 ans elle dut passer encore 3 ans en assignation à résidence, le juge en avait décidé car Davina ne semblait pas faite pour la vie avec les codétenues et elle n’était pas agressive. Elle fit même la demande de faire du bénévolat pour pouvoir se racheter. Davina ne fut finalement obligé de passer qu’un an en assignation à résidence et le juge décida de lever sa peine pour bonne conduite.



Quelques jours plus-tard à 22 ans, quand Davina sortit de chez elle, elle tomba sur la femme de l’homme qu’elle avait accidentellement tué 4 ans plus-tôt. La dame s’approcha de la jeune fille qui était apeuré, tremblante, les mains moites et tétanisé.



-« Tu as compris ce qui c’était passé ? » Demanda calmement la femme.



-« Oui. Je suis vraiment désolé pour ce qu’il c’est passé. » Lui répondit nerveusement Davina.



La personne voyait bien que Davina était très mal à l’aise et elle se souvenait bien qu’elle s’était beaucoup amuser à chatouiller la jeune fille en profitant de son état de stupeur. Surtout que comme c’était la femme de la victime elle n’avaient pas à payer les 15€ pour pouvoir la tourmenter.



-« Tu te souviens que j’aurais peut-être quelque chose à te dire quand tu sortiras ? » Lui demanda la dame.



-« Oui, je crois. » Répondit Davina



La dame lui dit ces derniers mots.



-« Je te pardonne. »



FIN

Ils aiment : Toi ?