Histoire : Torture dans le métro

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Auteur
Histoire


Histoire ajoutée le 04/08/2019
Épisode ajouté le 04/08/2019
Mise-à-jour le 03/07/2021

Torture dans le métro

Bon, suite à un voyage à Londres, mon rpg a prit un peu de retard (surtout sachant que c'est pas le seul que je fais ^^'), et je me suis rendu compte que le nombre de mes fictions était assez moindre depuis les vacances. Alors, pour vous faire patienter avant l' arriver de mon rpg, voici une petite fiction, plus courte et plus "réaliste" que ce dont j'ai l'habitude (je met de gros guillemets sur le mot réaliste, vous verrez de quoi je vaux parler. Déjà que ma fin un peu limite pour du tout public XD. Enfin bon, n'hésitez pas à me donner des retours à ce sujet). Cette fiction m'a été inspiré par une femme que j'ai vu dans le métro à Londres, et sa description est presque identique à l'une des personnages, à vous de voir laquelle ;). Enfin bref, bonne lecture à vous, je m'efforcerai de sortir mon rpg le plus tôt possible o/

Oh, et, oui, je sais, j'étais sensé faire une fiction sur Saw, mais j'avais pas du tout d'inspiration, tout en ayant peur de faire ce qui a déjà été fait sur d'autres fictions de Saw.







Le jeune Mike a tout pour plaire. C'est un jeune homme de 18 ans, grand, blond, cultivé, réussit haut la main dans ses études, mais également dans ses relations sociales. En effet, très peu d'élèves réussissent à ne pas l'apprécier, malgré une timidité évidente. Cependant, un simple retour de chez lui, après les cours, risque de ne pas être couronné de réussite. Tout du moins, pour lui.



Tout commence un vendredi soir. Il est 18h, et Mike marche tranquillement dans les couloirs de la gare. Cependant, un détail le perturba déjà: la gare semblait déserte, malgré la présence des employés, qui elle, était bien normale, et le rassurait. Finalement, il ne devait sûrement rien y avoir de grave après tout. Sinon, même les employés ne seraient pas présents. Une fois dans son train habituel, Mike traversa les wagons, eux aussi vides. De plus, tout le long du trajet, les différents arrêts étaient totalement déserts. Tout cela faisait beacoup de vide pour un vendredi soir. Beaucoup trop, même. Cependant, dans le dernier wagon, là où s'était assis Mike, une personne entra. Une seule et unique personne. Il s'agissait d'un jeune femme d'origine africaine, grande et svelte, les ongles affreusement longs, et très légèrement pointus faisant pensé à de longues griffes accérées. De plus, la jeune femme arborait une paire de lèvres pulpeuses, ainsi qu'une importante coiffure afro bien épaisse. La jeune femme croisa le jeune homme, le visage inexpressif, jetant un regard froid sur ce dernier. Mike eu presque le souffle coupé face à tant d'hostilité de la part d'une inconnue. L'effrayante jeune femme parti ensuite s'assoir juste devant Mike, parfaitement droite, les mains sur les cuisses, avant de le fixer. Les arrêts se succédèrent, mais la jeune femme ne descendait pas, continuant de fixer Mike de son regard glaçant, intimidant de plus en plus le jeune homme. Au bout de quelques arrêts, la jeune femme cessa de scruter Mike, avant de sortir un téléphone, et de pianoter dessus, au grand bonheur du jeune homme, qui pu enfin se détendre, ne supportant que très peu que quelqu'un le fixe de la sorte. Au bout de quelques minutes, la jeune femme rentra son téléphone dans sa poche, mais celui-ci glissa de ses mains, pour atterir aux pieds de Mike. Naturellement, le jeune homme se baissa, et saisit le téléphone, avant de l'amener à sa propriétaire. La jeune femme saisit l'objet, puis le rangea, avant de se tourner vers le jeune homme.



Quel homme serviable...



Subitement, avant que Mike ne puisse réagir, la jeune femme l'attrapa par les poignets, puis les enroula dans les sangles par lesquelles les passagers peuvent se tenir.



...J'adore les gens comme toi.



Mike se mit à paniquer, le coeur battant à la chamade. Il n'avait pourtant rien fait à cette jeune femme, alors qu'allait-elle faire à un parfait inconnu ? Enfin, la jeune femme exécuta sa sentence. Les longs ongles de la jeune femme se mirent à courir le long des côtes de Mike.



Maintenant danse. Danse pour moi !



Les danses des ongles de la jeune inconnue agissaient tels des décharges électriques, forçant Mike à se tortiller dans tous les sens, comme le souhaitait son bourreaux. De plus, le jeune homme était obligé de serrer les dents pour ne pas éclater de rire, les doigts fins titillant ses zones chatouilleuses avec un effroyable savoir-faire.



Nan, ça va pas, ça. Remue-moi ces hanches.



Les doigts de la jeune femme glissèrent jusqu'aux hanches de sa victime, avant d'y planter les ongles, et de les remuer avec acharnement. Mike poussa un petit cri de retenue, avant de se déhancher comme un diable, se mordant à présent les lèvres pour ne pas succomber aux chatouilles.



Oui, oui, c'est ça ! On se déhanche, on se déhanche !



Pendant les chatouilles, les questions se bousculaient dans la tête de Mike. Pourquoi des chatouilles ? Pourquoi lui ? Pourquoi tout le réseau de métro de la ville était désert ? Cependant, Mike ne pouvait pas se payer le luxe de penser à autre chose qu'aux chatouilles, risquant de rire, et par extension, de très certainement donner satisfaction à son bourreaux, ce qui la motiverais à intensifier la torture. Mais plus facile à dire qu'à faire. Entre les gestes méticuleux et les moqueries de la jeune femme, Mike peinait de plus en plus à se retenir, rougissant de plus en plus. Malheureusement, le pire restait encore à venir. La jeune inconnue se saisit du t-shirt du jeune homme, et le releva pour avoir accès à son ventre, utilisant le t-shirt pour couvrir la tête de Mike.



Paaarfait ! Maintenant, on va pouvoir s'amuser.



À ces mots, la jeune femme baissa la tête, caressant le ventre et les côtes du jeune homme avec sa chevelure frisée, mais horriblement douce. Au contact de cette luxuriante chevelure, Mike se mit à trembler de tout son corps pour lutter contre la sensation de caresses.



Eh bien, tu tremble comme une feuille. T'aimes pas mes cheveux ? Mais ils sont très bien pourtant ! Frisés et épais à souhait. Un vrai coussin doux qui chatouille la peau. Mais c'est pas grave. Avec le temps, tu vas aimer. Même si ça doit prendre deees heuuures.



La jeune femme continua alors de remuer la tête se gauche à droite, variant la vitesse, laissant sa chevelure embrasser les courbes du corps de Mike. De plus, son nombril n'était pas non plus épargné, la chevelure remplissant ce dernier, et les boucles le titillant de l'intérieur. Au fur et à mesure que cette torture durait, des larmes commençaient lentement à couler le long des joues de Mike, tandis qu'il se mordait les lèvres jusqu'au sang, attirant l'attention de la jeune femme.



Houlala, mais tu saigne ! Faut pas se faire mal comme ça ! T'es timide ? Tu oses pas te laisser aller ? T'en fais pas, va. Je vais t'aider à te libérer un peu. Tu verras, tu vas pas tarder à en redemander. Ils finissent toujours par en redemander.



La jeune femme enroula alors ses jambes autour de celles de Mike, l'empêchant de bouger ces dernières, ne serait-ce qu'à cause des remous du métro, qui gênaient la jeune femme pendant les chatouilles, l'obligeant à enrouler ses bras autour de la taille de Mike pour le garder immobile. Cependant, à présent, la jeune femme était quasiment libre de le chatouiller de la manière qu'elle souhaitait, ce qu'elle fit en faisant danser sa coiffure afro sur le ventre du jeune homme en toute liberté, et dans tous les sens, tout en lui grattant les aisselles avec sauvagerie. Au bout de seulement quelques secondes, Mike craqua, se tortillant comme un diable, hurlant de rire, au grand bonheur de son bourreaux, qui afficha un large sourire satisfait.



Voilààà. Rigole, rigole encore un peu plus fort, je suis sûre que tu peux mieux faire.



À ses mots, la jeune femme enfonça davantage ses longs ongles dans les aisselles de Mike, tout en arrêtant les chatouilles capillaires pour lécher avec gourmandise le ventre du jeune homme, laissant parfois sa langue traîner dans le nombril de sa victime. La réaction ne se fit pas attendre. Les rires de Mike s'intensifièrent, au grand bonheur de son bourreaux. Cependant, le pire n'était toujours pas arrivé. Lors d'un énième arrêt, deux femmes de la même origine que le bourreaux de Mike entrèrent dans le wagon. Elles étaient toutes les deux aussi grandes que la jeune inconnue, à la différence que les deux arrivantes possédaient une longue et épaisse chevelure lisse à l'extrême, et aux pointes parfaitements entretenues. Les deux jeunes femmes prirent la parole l'une après l'autre.



Eh ben, on a déjà commencé ? C'est moche, ça.

-Grave. On prévoit un truc, bien carré, nickel, et madame commence dans son petit coin.



La jeune inconnue retira sa langue du nombril du jeune homme pour répondre à ses camarades.



Mon petit, je te présente Ina et Esi. Oh, et où sont mes manières. Je m'appelle Yeleen. Et, pour votre information, les filles, j'ai commencé sans vous parce que je ne pouvais tout simplement plus me retenir. Sérieusement, regardez-moi ce joli corps chatouilleux.



Yeleen fouilla alors de nouveau le nombril de Mike avec sa langue pendant quelques secondes, arrachant de force quelques rire de sa proie.



Ça vous donne envie, hein ? Aller, avouez.



Ina et Esi se regardèrent l'espace d'une seconde, avant de répondre en coeur.



Bon, ok, c'est vrai !



Les deux arrivantes se mirent alors au travail, et retirèrent les chaussures et les chaussettes de Mike, dévoilant 2 fantastiques pieds d'un superbe 43, attirant les bonnes grâces d'Esi.



Hmm, regardez-moi un peu ces petooons ! Grands, immaculé, et aux orteils qui se tortillent, suppliant qu'on les chatouille ! Aller, on commence ? Je veux vraiment trop en profiter !



Les 3 jeunes femmes commencèrent alors un compte à rebours en coeur.



4...



Yeleen se replaça devant le nombril du jeune homme, se léchant les lèvres d'impatience, tout en remuant ses longs ongles dans le vide, tout près des aisselles de Mike.



3...



Esi et Ina tirèrent les jambes de Mike vers l'arrière, immobilisant leur proie dans les airs.



2...



Yeleen approchait sa bouche du ventre de Mike, langue sortie et remuant dans les sens, sous les yeux terrifiés de sa victime.



1...GO !



Et le supplice commença. Yeleen alternait entre de langoureuses léchouilles, et d'imprévisibles caresses capillaires sur le ventre vulnérable de Mike, tout en fouillant ses aisselles avec ses longs ongles. Pendant ce temps, Esi et Ina torturaient chacune un des pieds de leur victime en alternant ongles, langue et cheveux sur toute la surface des petons sensibles, y comprit entre les orteils où les deux jeunes femmes aimaient laisser traîner leur chevelure lisse, qui s'y infiltrait volontiers. Cette torture arrachait des rires déments à Mike qui hurlait, pleurait des torrents de larmes, et suppliait ses bourreaux, le visage rouge à l'extrême. Seulement, ses bourreaux s'amusaient de ses réactions, et en riaient bien volontier, destabilisant encore un peu plus leur victime. Enfin, au bout de 30 minutes de cette torture sadique et intense, Mike, trempé de sueur, bégayant des supplications inaudibles, senti une chaleur dans son entrejambe avant de sentir un flot d'urine se déverser dans son caleçon, laissant une importante tâche circulaire sur son pantalon, qui grossissa pendant plusieurs secondes. Une fois le flot d'urine interrompu, les 3 jeunes femme arrêtèrent les chatouilles, avant que Yeleen ne dépose quelques baisers sur le ventre de Mike, lui insuflant de dernières décharges.



Yeleen: Eh bien, le petit bébé a mouillé sa couche ?

Esi: Grave. C'est dégueulasse ! Tu devrais avoir trop honte quoi !

Ina: On devrait même le chatouiller encore un peu, histoire de lui apprendre à être propre.

Esi: Oh, et si on le chatouillait en lui faisant avalé des diurétiques !

Yeleen: Esi, ne soit pas idiote. Ce gros bébé va inonder le wagon si on fait ça. On va plutôt le laisser souffler un peu, hein ? Hein mon gros bébé trempé ?



Mike se contenta de hocher la tête en aletant, seule chose qu'il pouvait faire correctement. Yeleen en rigola à gorge déployée.



C'est bien ce que je pensais. Aller, je crois qu'on l'a fait assez souffrir. On s'en va.



Esi et Ina se retirèrent alors, non sans gratter un dernier coup chaque pied, faisant sursauter Mike, tandis que Yeleen sorti une petite carte de sa poche, puis la glissa dans la poche arrière du pantalon du jeune homme.



Je dirige un club fétichiste. Viens nous voir, si tu t'ennuie. On fera de toi notre casse-croûte. En attendant, voilà un petit souvenir.



Yeleen glissa des patchs vibrants sous les pieds et dans le caleçon de Mike, qui se tortilla en gémissant, au grand bonheur de Yeleen, qui lui fit avaler une bouteille d'eau, puis une seconde, mais remplit, cette fois-ci, de liquide diurétique.



Quoi ? Ça chatouille ? T'as envie d'aller aux toilettes ? Désolé, je comprend pas ce que tu dis, je dois partir rattraper les filles.



Yeleen ponctua sa phrase par un rire moqueur, laissant Mike seul dans le wagon, torturé par les patchs, se retenant d'uriner à en avoir mal à la vessie.

Quelques temps plus tard, Mike avait réussit à se libérer, non sans mal, et avait laissé une gigantesque flaque d'urine à son emplacement. Il pu cependant rejoindre son appartement, tout en évitant de se faire voir par les passants. Quelques jours plus tards, Mike retrouva sur internet un article parlant d'un groupe de fétichiste qui aurait arrêté le trafic ferroviaire pour une raison inconnue, et qu'une flaque d'urine aurait été retrouvé dans le wagon d'un des trains. Mike rougit de gêne face à cet article, tout en regardant la carte que Yeleen avait glissé dans la poche de son pantalon.



"La plume baladeuse.

Venez comme vous êtes: chatouilleux"

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