Histoire : Première expérience très mouvementé M/M

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Histoire ajoutée le 23/04/2020
Épisode ajouté le 23/04/2020
Mise-à-jour le 03/07/2021

Première expérience très mouvementé M/M

Salut j'espère que cette histoire vous plaira, elle raconte ma première séance que j'ai eu récemment et elle est totalement vraie a part un ou deux endroit ou j'ai rendu la chose plus intense mais dans l'ensemble c'est le reflet de la réalité.







Je m’appelle Tom, j’ai 40 ans.

Nous sommes le jour J.

J’arrive à l’hôtel, je récupère les clés de ma chambre auprès de l’hôtesse d’accueil.

Lorsque je rentre dans la chambre, tout est propre, je scrute chaque recoin, et mon attention se porte sur rapidement sur le lit, là ou tout va se passer. Un lit double, tout simple. C’est parfait.

Je regarde si je vais pouvoir passer mes sangles, aucun problème de ce côté là.

Il est 18h00, l’heure du rdv. J’envoie un texto à Mattéo, 19 ans, pour lui dire que j’arriverai dans 15 minutes.

Je reprends la voiture et vais récupérer ma victime du soir, à 6 kms de là !

Lorsque j’arrive sur le lieu du rdv, j’avance tout doucement, comme si je n’osais pas y aller. Arrivé vers un petit parking, j’aperçois un jeune homme qui attend, son sac sur le dos, téléphone en mains. C’est lui. Il est grand, blond, l’air sympa !

Il m’a aperçu et s’approche de la voiture.

On se salue, il monte dans la voiture et nous partons.

Tom « Alors, tu vas bien ? Prêt pour la séance ? »

Mattéo « Euh, oui ça va. Un peu stressé »

Tom « Ne t’en fait pas, ça va bien se passer »

Je gare la voiture devant le bâtiment de l’hôtel, et nous montons dans la chambre.

J’ouvre la porte et nous rentrons.

Tom « Tu veux boire quelque-chose ? Sers-toi dans le frigo »

Mattéo « Oui je veux bien, merci »

Pendant ce temps, je sors tout mon attirail. Des menottes, des sangles, une brosse à dents électrique, des brosses, et un carcan fabriqué maison.

Je le regarde discrètement, ses yeux sont surpris par tout ce matériel, je le sens inquiet.

Tom « Bon, on va commencer soft. Enlève ton pull, reste en tee-shirt, et allonges toi sur le lit »

Mattéo s’exécute, tranquillement. Il s’allonge sur le lit, je m’assieds à côté.

Mattéo « je mets mes mains derrière la tête ? »

Tom « Oui, je vais déjà voir ta réaction aux chatouilles »

Je commence à passer mes doigts vers ses côtes, tout doucement, et déjà il réagit en gigotant un peu.

Je remonte petit à petit, en passant par le nombril, la poitrine.

Il sait que je m’approche des aisselles, le point sensible, et commence à se crisper.

Tom « Ca va pour l’instant ? Pas trop dur ? »

Mattéo « Si, je crains vraiment, mais je me retiens. Quand tu seras sous les bras, je sais pas si je pourrais tenir »

Le prenant par surprise, je mets mes 2 mains sous ses aisselles et agite vivement mes doigts.

Mattéo « AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA non pas ça »

Il replis ses bras immédiatement.

Tom « Eh ben, qu’est-ce que ça va être quand tu seras attaché, et torse nu ! »

Il remet ses bras en arrière, et se tient à l’oreiller.

Mattéo « Vas-y, je suis prêt, je ne lâcherai pas »

Je lui chatouille à nouveau sous les bras, il gigote, rigole, mais tient bon pendant quelques minutes.

Tom « Bravo, tu vois que tu y arrives »

Mattéo « Oui merci »

Tom « Tu veux que je t’attaches maintenant »

Mattéo « Oui je suis prêt »

Tom « Tu préfères garder ton tee-shirt pour l’instant ? Autrement j’ai apporté un débardeur »

Mattéo « Je vais me mettre en débardeur, et tu pourras me l’enlever ensuite, sans me détacher »

Tom « Ok »

Mattéo enlève son tee-shirt. J’aperçois son joli torse. Peau blanche, pas trop musclé, pas maigre mais pas gros non plus, un bel équilibre. Et quasiment aucun poil, même sous les bras. Mon rêve ! Il enfile alors le débardeur, laissant ses épaules et une partie de ses côtes accessibles. Il s’allonge sur le lit, et se positionne en X. Je lui attache les 2 chevilles, puis les 2 poignets. Ses aisselles sont alors vulnérables, tout son corps en fait »

Tom « Je commence par tes pieds »

Mattéo « Comme tu veux »

Je commence alors à passer mes doigts sous ses pieds, il bouge et rigole alors que j’ai à peine effleuré.

Je continue plus vivement.

Mattéo « Ahahahahahahahahahaha non pitié ahahahah c’est horrible arrête »

Nous avions ensemble défini un mot de passe. Tant qu’il ne le prononçait pas je continuais, même si il me suppliait d’arrêter. C’est ce qu’il voulait.

Je lui enlève ensuite ses chaussettes, et passe ma main sous sa plante. Vive réaction de sa part.

Mattéo « Ohohohohohohoh non non non je t’en prie attends »

Je n’attends pas et chatouille les 2 pieds en même temps. Et discrètement je sors la brosse à dents électrique que je démarre et passe entre les orteils. Il m’avait dit qu’il adorait ça.

Tom « Surprise ! »

Mattéo « AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH quelle horreur c’est terriiiiiiiiiiiiiiiiible AHAHAHAHAHAH OHOHOHOHOHOH Arrête j’en peux plus AHAHAHAHAHAHAH »

J’arrête et me mets maintenant à cheval sur lui.

Tom « Alors, on continue. Je m’occupe de ton torse maintenant »

Mattéo « Laisse moi 1 minute pour récupérer stp »

Comme il n’a pas dit le mdp, j’attaque direct sous les aisselles bien dégagées et bien tendues.

Mattéo « AHAHAHAHAHAH salaud AHAHAHAHAHAH tu devais AHAHAHAHAH me laisser 1 minute. AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH Pitié arrête AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA »

Je descends vers les côtes, puis soulève un peu le débardeur qui laisse apparaître son nombril, entouré de touts petits poils très fins.

Tom « Guili guili guili guili »

Mattéo « AHAHAHAHAHAH non je t’en supplie pas ça AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH »

J’arrête et descends du lit, me dirige vers la tête de lit, attrape le débardeur et lui retire doucement. Je le fais passer par sa tête et le laisse au niveau de ses avant-bras.

Je reviens à cheval sur lui, et admire son torse nu, ses bras tirés en arrière et attachés.

Tom « Alors, tu fais moins le malin maintenant, hein ? »

Mattéo « Ah oui, c’est sûr, mais c’est tellement bon »

Je commence à chatouiller à partir du coude, et descends doucement le long du bras, passe vers l’épaule (j’évite volontairement les aisselles pour l’instant !), descends le long des côtes, reviens vers le nombril, remonte vers la poitrine, et finis par les aisselles ou je m’attarde et accélère le mouvement.

Mattéo « AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH au secours pitié AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH j’en peu plus laisses moi AHAHAHAHAHAH OHOHOHOHOHOHOHOH AHAHAHAHAHAH c’est terrible AHAHAHAHAH »

Je continue comme ça pendant 10 minutes. Puis il dit le mdp, essouflé.

Mattéo « J’en pouvait plus, mais qu’est-ce que c’est bon ! »

Je le détache et il s’assied au bord du lit, épuisé mais tellement heureux.

Après plusieurs minutes de repos, il était temps pour moi de reprendre sa torture.

Et comme j’avais envie d’expérimenter plus de choses, je lui ai demandé de se mettre nu, ce qu’il a fait car on s’était mis d’accord auparavant.

Cette fois, pour accentuer encore plus les chatouilles et qu’il soit totalement sans défenses, je décidai de l’attacher les deux mains tendues derrière la tête et les jambes écartées, pour avoir accès à tous les points sensibles de son corps.

Tom « J’ai bien envie d’essayer ce carcan, pas toi ? »

Mattéo « vas-y, je vais essayer de résister mais je ne te garantie rien ! »

Je lui ai donc mis les pieds dans le carcan et attaché les orteils. C’était un rêve, des pieds totalement attachés et extrêmement chatouilleux, rien que pour moi.

Je commençais seulement avec un doigt et il riait beaucoup, ce qui en disait long sur la suite

Tom « Et si j’essayais de passer la plume sous ton pied, tu en dis quoi ? »

Mattéo « Non pitié, pas la plume, je ne peux pas bouger du tout, c’est horrible. »

Sans vraiment l’écouter, je passai la plume sous sa plante bien tendue et là, il eut une réaction comme si il allait en mourir.

Mattéo « NON PITIÉ PAS SOUS LA PLANTE AHAHAHAH NON JE T’EN SUPPLIE PAS LA AHAHAHA »

Et moi, continuant de balader cette plume sous son pied, le faisant hurler de rire sans qu’il ne puisse rien faire. Quand une idée titilla mon esprit : Et si je scotchais deux brosses à dents électriques sous ses plantes de pieds ?

J’exécutai mon idée et juste avant d’activer les deux brosses, il me supplia de ne pas le faire.

Mattéo « Non pitié, pas ça, la plume c’était déjà insupportable, mais la je vais mourir vraiment ! »

Tom : « Ah, mais ça il fallait y réfléchir avant », lui dit-il avant d’activer les brosses à dents.

Et là, sa réaction ne se fit pas attendre. Il se tortillait de partout, rigolant de toutes ses forces, essayant de s’extirper de cette torture plantaire mais en vain. Il devait rester avec ses pieds torturés par les brosses jusqu’à ce que je décide de m’arrêter.

Environ 10 minutes plus tard, je stoppai les brosses et lui laissai quelques minutes pour récupérer. Il était en larmes et à bout de souffle, transpirant de sueur.

Tom « Eh bien, tu es extrêmement chatouilleux au niveau de la plante des pieds toi ! »

Mattéo « Ouais, je sais, c’était vraiment insupportable ce que tu m’as fait. Mais ça te dit pas qu’on essaye de faire le post orgasm torture ? J’ai vraiment envie d’essayer ! »

Tom « Si tu veux, mais je te préviens, tu va souffrir ! »

Mattéo « Je suis prêt à prendre le risque ! »

Le but était de le faire jouir pour ensuite frotter son gland, qui sera devenu hyper sensible, ce qui le fera péter un câble. Je commençais donc à le branler doucement pour le faire bander, pour ensuite le branler de plus en plus rapidement.

Au bout d’environ 10 minutes, il commençait à être proche de l’orgasme. Le moment «était venu de le torturer un petit peu.

Je pris la plume et me mis à la faire glisser sur le sexe, ce qui le faisait réagir immédiatement, provoquant un mélange d’excitation et de chatouilles.

Après plusieurs passages, je fis glisser la plume sur son gland et là, il se mit à bouger pour essayer de s’écarter de la plume. Je compris donc que c’était une zone extrêmement sensible et donc une zone où je devais m’acharner !

Mattéo « Non pitié pas le gland, ça chatouille trop arrête. »

Tom « D’accord, je vais te faire jouir et ce sera encore pire pour toi après ! »

Je me remis donc à le branler et juste au moment où je sentais qu’il allait se libérer, je lâchai son sexe, le laissant à l’abandon.

Mattéo « Qu’est-ce que tu fais, j’étais si proche ? Branles moi stp stp stp. »

Tom « Je ne sais pas si tu l’as mérité ! », dis-je en glissant mes doigts sous son pied encore attaché.

Mattéo « Fais-moi ce que tu veux après, mais laisse moi jouir je t’en prie ! »

En entendant ces paroles, je repris son sexe en main et le branlait à toute vitesse, pour ensuite le relâcher au dernier moment, et ce 4 ou 5 fois.

Mattéo « J’en peux plus, laisse moi jouir, je t’en prie, je ferais tout ce que tu veux ! »

Tom « Allez, tu as assez souffert, prépare toi pour la touche finale. »

Je me remis donc à le branler cette fois pour de vrai, le laissant aller jusqu’à l’orgasme.

Mattéo « Aaaah merci ! J’en pouvais plus. »

Tom « Ah mais c’est pas fini, crois-moi ! »

Je pris d’une main son sexe et avec l’autre main commençai à passer mes doigts, l’un après l’autre, sur le bout de son gland, lui faisant avoir des petits spasmes incontrôlables.

Mattéo « AHAHA C’EST HORRIBLE ARRÊTE DE FROTTER MON GLAND JE T’EN PRIE C’EST BEAUCOUP TROP SENSIBLE »

Tom « Ah bon ? Et si je fais ça, par exemple ? »

Je pris ma main et la positionnai sur son gland, l’entourant complètement, avant de commencer à tournoyer autour de son sexe et la c’était une vrai torture pour lui.

Il se tortillait dans tous les sens en me suppliant d’arrêter, car la sensation juste après l’orgasme rend le gland hyper sensible.

Mattéo « ARRETE, PITIÉ PITIÉ STOP »

Tom « Tu m’avais dit que je pouvais faire ce que je voulais, si je te laissais jouir. Donc c’est de ta faute ! »

Et après environ 5 minutes insoutenables, j’arrêtais la torture et le laissai se reposer.