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- La fille supplémentaire
- Épisode 01
Histoire ajoutée le
11/11/2022
Épisode ajouté le
11/11/2022
Mise-à-jour le
10/02/2025
Bonjour à tous. Constatant que l'activité du forum est plutôt en baisse et un regrettable manque de récits fictionnels, je voudrais vous faire part aujourd'hui d'une histoire que j'ai trouvé en ligne en anglais et que j'ai beaucoup apprécié. Je me suis chargé de la traduire en français pensant qu'elle pourrait intéresser des membres du forum et en inspirer certains. Je précise qu'elle n'est pas de moi mais d'un nommé "FeatherHeart22" sur Deviantart. Si les administrateurs jugent que sa publication ne rentre pas dans le cadre de l'activité du forum, ils pourront la supprimer.
Daniela, ou Dani pour ses amis, est une jeune Portugaise de 20 ans. Peu encline à étudier, Dani gagne sa vie en travaillant comme serveuse dans un quartier très touristique de Lisbonne.
Dani est une fille d'apparence très simple et ordinaire, le genre de fille qui passe facilement inaperçue. Mesurant seulement 1,45 m, ce qui n'est pas inhabituel au Portugal, Dani est une petite fille mi-blanche, mi-latina, à la peau claire. Sa silhouette n'est pas particulièrement élégante, mais elle reste agréable à regarder. Son visage non plus n'a rien de particulier non plus, mais elle n'est pas laide : ses yeux sont marron, avec une petite touche de vert tandis que ses cheveux raides virent sur le châtain clair. Souvent, elle les garde attachés en queue de cheval jusqu'aux épaules.
Ses pieds, en revanche, possèdent une caractéristique remarquable. Malgré sa petite taille, ils font une pointure 44. Statistiquement parlant, c'est près de deux fois la pointure moyenne qu'elle devrait avoir. De plus, elle n'aime pas particulièrement leur forme, plutôt carrée, avec des orteils courts au style oriental. A cause de ça, Dani a toujours été un peu gênée par ses pieds. Elle trouve qu'ils ont l'air bizarre, disproportionnés, elle porte toujours des bottes ou des baskets pour les cacher.
Adolescente, la seule personne qui la voyait vue pieds nus régulièrement était son petit ami du lycée, quand ils traînaient dans sa chambre. Elle a toujours pensé qu'il était juste gentil, mais il lui avait dit plusieurs fois que ses pieds n'étaient pas moches. Grands et trapus, certes, mais pas repoussants ou quoi que ce soit. Surtout la plante de ses pieds, qu'il disait être aussi douce que celle d'un bébé. Il avait failli la convaincre une fois en lui offrant un massage des pieds. Certes, elle appréhendait beaucoup la chose, mais une fois le massage commencé, elle s'était tout simplement mise à fondre. Malheureusement, il avait choisi de terminer le massage en s'amusant à la chatouiller. Surprise, elle avait sauté du lit et était tombée au sol, retirant ses pieds de son emprise et le disputant. Cette réaction avait tué l'ambiance et elle ne l'avait plus jamais laissé toucher ses pieds malgré quelques autres tentatives.
Pourtant, malgré son insatisfaction quant à leur apparence, elle les entretient toujours assez bien pour rendre supportable le temps qu'elle doit passer debout en tant que serveuse. Chaque soir elle s’exfolie et se frictionne avec une lotion hydratante.
Un soir, alors que Dani rentre tard chez elle du bar où elle travaille, elle entend un bruit qui la pousse à regarder dans une ruelle sombre, où une autre jeune femme se débat contre deux hommes. Prenant un moment pour comprendre ce qui se passe, cet instant lui coûte cher. Au moment où elle se ressaisie, alors qu'elle s'apprête à s'enfuir pour aller chercher de l'aide, un troisième homme surgit de l'ombre et la pousse dans la ruelle en lui masquant la bouche avec une grosse main gantée. Dani hurle dans sa main et la mord, elle tente tant bien que mal de se débattre, mais le gant l'empêche de mordre et protège les doigts de son agresseur.
- Putain ! Les gars ! Dépêchez-vous de m'aider avec celle-là !
Bientôt, un autre homme se joint à la lutte. Ensemble, ils bâillonnent Dani, lui mettent un sac en tissu noir sur la tête et lui attachent les poignets avec des câbles. Les deux filles sont ensuite emmenées dans une voiture et conduites dans un entrepôt, où elles rejoignent plusieurs autres personnes, entassées dans un conteneur attaché derrière camion.
- C'est quoi cette fille ? - Dani entend un homme demander, d'une voix brusque et autoritaire.
- Elle nous avait vu enlever la blonde... - répond sans sourciller un second
- Bon. Plus on est de fous, mieux c'est, j'imagine.
Soudainement, le container est conduit vers le port où il est rapidement chargé dans un petit cargo à l'allure douteuse. Quelques heures plus tard, les portes du conteneur s'ouvrent et les filles, effrayées et se tortillant, sont traînées une par une vers la cale du bateau où elles sont déshabillées, ne gardant que leurs sous-vêtements.
- MRRGG ! LÂCHEZ-MOI ! A l'AIDE ! - crie Dani quand on lui enlève son bâillon.
- Erm... les gars... vous étiez censés amener des touristes ... - L'homme qui s'occupe d'elle commente
- Ouais on sait, mais elle nous a vus et on a dû improviser.
- Bon... Qui sait... Peut-être que tu lui plairas - Lui dit un homme, visage dissimulé et à la carrure imposante.
- Heh bah, tu as de grands pieds, la Portugaise ! - Commente avec amusemennt celui qui enlève ses chaussures.
- Laissez-moi partir ! Qu... qu'est-ce que vous me voulez ? - Dani demande en anglais, terrifiée.
Personne ne lui répond. Dévêtue, laissée en culotte et chaussettes, sans son soutien-gorge, les poignets et les chevilles attachés avec des menottes en cuir, elle est emmenée dans une zone de détention, où elle est enchaînée à un mur de métal froid avec les autres captives. En regardant autour d'elle, elle comprend enfin la remarque de son ravisseur. Toutes les autres filles sont plus jolies qu'elle. Certaines sont de vraies bombes... alors qu'elle est tout au plus dans la moyenne.
Une demi-heure s'écoule. L'homme imposant se promène pour vérifier l'état des filles et leur offrir de l'eau. Enfin, un autre homme entre dans la pièce et dit simplement :
- C'est prêt. Apportez-en deux.
Dani observe, alors que deux jeunes filles étrangères sont déchaînées par leurs ravisseur et emmenées. L'une d'entre elles est la blonde dont elle a assisté à l'enlèvement, sans qui elle ne serait pas là, mais chez elle, a siroter un thé en lisant. L'autre est une jolie fille chinoise.
- Où est-ce que vous les emmenez ? ! Laissez-nous partir, salauds ! Vous ne vous en tirerez pas comme ça ! - crie Dani.
Moins de dix minutes plus tard, la Chinoise est ramenée, pieds nus, toute transpirante et haletante. Une fois qu'elle est renchaînée au mur, les gardes de son escorte regarde les autres filles, jusqu'à ce que leurs yeux s'arrêtent sur Dani.
- Toi. La fille en plus, c'est ton tour.
- NON ! Qu'est-ce que vous lui avez fait ? Laissez-moi partir ! NON ! - Dani proteste, se débat.
Sa résistance s'avère futile : ils la soulèvent sans effort et l'emmènent dans la chambre voisine. Dani regarde frénétiquement autour d'elle, essayant de comprendre ce qu'il va lui arriver. Les murs, le sol et le plafond de la pièce ont été rembourrés avec du matériel insonorisant en mousse grise. De toutes façon, personne ne peut l'entendre dans ce fond de cale de navire, pense-t-elle. Ses yeux s'arrêtent sur la blonde, qui n'était pas revenue avec l'autre fille. Elle est attachée sur ce qui ressemble à un appareil de torture médiéval. C'est une sorte de chaise à haut dossier, avec des repose-jambes et des cale-pieds intégrés.
- QU'EST CE QUE C'EST QUE CE BORDEL ?! - crie Dani en portugais.
Quelques secondes plus tard, son attention est attirée par une sorte de matelas sur le sol. Non, pas un matelas. C'est comme une large planche de bois rembourrée avec des anneaux métalliques stratégiquement boulonnés sur les bords. Dani recommence à se débattre alors qu'ils l’emmènent vers le matelas. Une fois de plus, malgré ses efforts, ils y fixent son corps frêle dans une simple position en "I" sans qu'elle ne puisse rien y faire.
Pendant ce temps, les gros orteils de la blonde sont attachés ensemble et ramenés en arrière. Un homme repositionne une caméra de façon à ce qu'elle soit pointée directement sur ses plantes de pieds, petites et élégantes, l'opposé total des grands pieds de Dani. Il s'assied ensuite devant un ordinateur portable. Sur son écran, Dani apperçoit deux onglets, un pour elle, un pour l'autre fille.
- Ok, ça a l'air bien. Début du prochain tour - L'opérateur vidéo dit dans le microphone de son casque.
- Pas plus... pas encore... MRRRRGGhehehehehehehe... pitié... - La blonde éclate de rire quand un homme commence à lui chatouiller doucement les pieds du bout des doigts.
Dani regarde la blonde avant de remarquer l'homme qui est à genoux à côté d'elle-même. Celui-ci approche ses doigts de son ventre.
- Ne me touche pas, putain ! NON ! NOOOOON ! IRRRKKK HEHEHEHEHE ! - Elle pousse un cri quand il commence à lui taquiner les côtes.
Dani se tortille immédiatement pour échapper au chatouilleur, mais ses doigts remuants la poursuivent, sondant doucement ses côtes et son dos.
- Elle est très chatouilleuse ! - s'exclame son chatouilleur.
- VA TE FAIIRE FOUTRE HOHOHOHO STOOAP AHAHAHAHA PITIEEEHEHEHEHE ! - Elle rit aux éclats, ses joues rougies par les rires et par le sentiment d'humiliation qui s'emparent d'elle.
L'homme continue, la taquine, lui pique les côtes. Les chatouilles s'intensifient, tout comme les éclats de rires et la lutte désespérée de Dani pour échapper aux doigts. Dani se retourne vers son bourreau, cherchant désespérément à protéger ses points les plus sensibles, mais elle ne réussit qu'à lui donner un accès plus facile à son autre côté.. Bientôt, la jeune Portugaise rit à gorge déployée sans insulter ni protester, se concentrant sur les chatouilles pour tenter de leur résister.
Après quelques minutes, le chatouilleur de Dani remonte jusqu'à ses aisselles. Cette nouvelle sensation la fait hurler de rire, lui déclenche des bouffées de chaleur partant du ventre jusqu'à la tête. Ses aisselles deviennent humides de sueur, alors que quelques larment perlent sur ses joues.
- AAARGH NO ! PAS LA HAHAHAHA !
- Oh, c'est génial ! - L'opérateur vidéo dit - Essaye de t'asseoir sur ses bras.
Le chatouilleur s’exécute, s'agenouillant au-dessus de Dani, ses bras hâlés coincés entre les jambes, ses aisselles, suantes, frémissantes à cause du froid de la cale . Elle couine dans l'attente des chatouilles lorsque les doigts agités descendent sur ses aisselles tendues et impuissantes.
- IIIIIIRK NONONON JE DÉTESTE ÊTRE CHATOUILLÉE BWAAAAHAHAHAHAHAAAA ! - Elle éclate de rire, noyant complètement le rire de la blonde, toujours torturée aux pieds juste à coté.
L'homme qui chatouille la blonde intensifie ses chatouilles, comme s'il voulait que le rire de sa suppliciée entre en compétition avec celui de Dani, mais le rire hystérique de Dani demeure, quoi qu'il puisse faire à sa victime, bien plus intense. Après quelques minutes, l'opérateur vidéo interpelle les chatouilleurs :
- Bon travail jusqu'ici les gars. Le client veut que vous essayiez quelques outils sur les pieds de la blonde, et il veut voir les pieds de la nouvelle fille.
Le chatouilleur qui travaille sur la blonde approche une boîte à outils de lui et commence à lui chatouiller les pieds avec une brosse. Pendant ce temps, la caméra pointée sur Dani est déplacée pour donner un grand plan de ses ses pieds.
- Hehehehe... Qu... Qu'est-ce que c'est ? Pourquoi est-ce que tu fais ça ? - demande-t-elle à son bourreau.
Son chatouilleur enlève ses chaussettes blanches, révélant une paire de plantes de pieds extrêmement lisses.
- Oh, très joli ! - remarque l'opérateur.
- Ne touche pas mes pieds, pervers ! - Dani proteste, cachant un pied derrière l'autre alors que les doigts du chatouilleur commencent à taquiner ses plantes en gesticulant dessus.
- MRRRGGHHHEHEHEHEHEHE JE NE PEUX PAS JE DÉTESTE Ca STOAAAP AHAHAHAHA ! - Elle éclate en essayant de retirer ses pieds.
Dani recroqueville ses petits orteils et commence à jouer au jeu du chat et de la souris avec le bout des doigts du chatouilleur. Cela semble amuser ce dernier, qui ne fait aucun effort pour les tenir en place.
- Comment sont ses pieds, Gilbert ? - demande l'opérateur.
- Étonnamment parfaits. Je ne dirais pas qu'ils sont élégants, mais ils sont doux comme ceux d'un bébé, sans callosités ni déformations, manifestement très bien entretenus, et manifestement chatouilleux. Tout à fait ce que nous cherchons.
- Merci Gilbert. Vous avez entendu, monsieur ? - demande-t-il en pressant un de ses écouteurs sur son oreille
- Oui monsieur, tout à fait inattendu - réponds une voix dans l'écouteur.
Gilbert attrape soudain d'une main le pied droit de Dani, le maintenant immobile pendant qu'il le torture de l'autre main.
- BWAHAHAHAHAHA STOAPHAHAHA ! - S'écrie-t-elle, repoussant la main avec son pied gauche.
Avec un grand sourire, il s'amuse à pourchasser le pied gauche avec d'autres chatouilles, avant de se lancer à nouveau sur le pied droit.
- AARGAHAHAHA NONONOOHOHOHOHOO ! - Elle hurle dans un flot de rires incontrôlables.
- Vous êtes sûr, monsieur ? Très bien - L'opérateur dit dans le microphone - LES GARÇONS ! Notre client a pris une décision ! La blonde a été disqualifiée. Déplacez la nouvelle fille vers les entraves où était la blonde, puis amenez-en une autre.
Les deux chatouilleurs cessent de tourmenter leur victime, qui soupire de soulagement. La blonde se laisse conduire hors de la pièce sans faire d'histoires, visiblement extrêmement heureuse d'avoir été libérée, malgré ses jambes tremblantes quand elle marche. Dani, par contre, devient folle ! Bien que ses poignets et ses chevilles soient attachés ensemble, elle se débat tellement qu'il faut plusieurs minutes aux deux chatouilleurs et à l'opérateur pour la forcer à s'asseoir sur la chaise de torture et lui enchaîner les poignets au-dessus de la tête.
- Uff... c'est une excitée, n'est-ce pas ? - commente l'opérateur en tenant les entraves ouverts pour que les autres hommes puissent enfin y placer ses chevilles dans les trous rembourrés.
Lorsqu'il retourne à son ordinateur portable, il apprend que le "client" trouve la combativité de Dani extrêmement séduisante et qu'il aimerait que ses orteils soient attachés dès le début.
- Très bien, monsieur... ce sera fait. Nous allons reprendre dans quelques minutes-
A suivre