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Histoire ajoutée le
16/03/2024
Épisode ajouté le
16/03/2024
Mise-à-jour le
16/03/2024
Dans l'appartement feutré d'Hercule Poirot, l'atmosphère était inhabituellement tendue.
Cette fois-ci, le détective se retrouvait dans une situation délicate, capturé dans sa propre demeure par sa meilleure ennemie, la comtesse Rossakoff, attaché au lit de sa chambre avec des foulards, avec pour seuls vêtements son caleçon et son nœud papillon.
La comtesse Rossakoff, aussi belle que machiavélique, s'approcha de Poirot d'un pas félin, son regard pétillant de malice fixé sur lui. Son ventre, déjà proéminent, semblait encore plus rebondi après le copieux repas qu'ils avaient partagé, un repas au cours duquel le vin avait été subrepticement drogué par la comtesse pour endormir le détective.
« Très cher Hercule, où avez-vous caché l'émeraude ? » demanda-t-elle d'une voix suave, tout en s'approchant de son oreille.
Poirot, les yeux mi-clos, tenta de lutter contre l'effet soporifique du vin. Mais avant qu'il ne puisse articuler une réponse, la comtesse Rossakoff, pleine de malice, commença à chatouiller doucement son ventre rebondi. Un gloussement s'échappa des lèvres de Poirot alors que les doigts agiles de la comtesse s'activaient sur sa peau délicate. Les chatouilles incessantes semblaient trouver les points faibles du détective, le faisant gigoter sur le lit, impuissant mais hilare.
« Je vous en supplie comtesse, arrêtez, arrêtez !!! » hurla t-il entre deux éclats de rire.
Puis, d'une voix taquine, la comtesse Rossakoff se mit à titiller le gros nombril de Poirot avec une plume légère, répétant inlassablement : « Dites-le moi, Hercule. Dites-moi où elle se cache ! »
Ces chatouilles se transformèrent en un véritable supplice pour le détective, dont les hurlements de rire emplissaient la chambre.
Finalement, après de longues minutes de torture, Poirot ne put résister davantage. il finit par avouer où l'émeraude était dissimulée. Sans plus tarder, elle se dirigea vers l'endroit indiqué par le détective pour récupérer l'émeraude tant convoitée.
La comtesse Rossakoff, satisfaite de sa victoire, déposa un baiser espiègle sur le nombril d'Hercule, puis posa délicatement la plume sur sa peau chatouilleuse avant de disparaître dans l'obscurité de la nuit...