Histoire : (HHHHHHHHHH/F) la vengeance 2

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Histoire


Histoire ajoutée le 29/01/2006
Épisode ajouté le 29/01/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

(HHHHHHHHHH/F) la vengeance 2

Je me souviens d'il y a un mois, quand j'avais sauvé mon honneur, devant ma petite amie et sa sÅ“ur. Trois racailles : Maxime, Julien et leur chef Steven avaient racketté Violette, la sÅ“ur d'Iris, celle que j'aime.
Aujourd'hui, on est lundi, je sors de l'école et rentre avec mes deux amies. Depuis l'incident, j'aime Iris plus que tout, Violette fait semblant de rien remarquer mais elle sait.
Nous marchons tout droit, après d'épais buissons, il y a une petite cour abandonnée.
- Oh ! Regardez ! s'écrit Violette.
Derrière la vieille maison abandonnée, un chat venait de se faufiler. Violette le poursuivit pour le caresser. J'en profitais pour regarder derrière moi, le quartier était désert, les maisons abandonnées ou fermées. Nous entendions le crie strident de Violette. Nous foncions vers la maison, Violette ni était plus, nous fîmes le tour pour revenir à  notre point de départ. Je vis Julien tenir Violette, étouffant presque dans son étreinte. Maxime m'attaqua par derrière et me tordit le bras en arrière. Ayant été prévenus de la férocité d'Iris, trois garçons dont les visages m'étaient inconnus s'emparèrent d'iris et la plaquèrent au sol. Nous criâmes tout trois. Violette s'arrêta de hurler quand son agresseur la serra encore plus fort qu'avant. Un garçon me mit la main sur la bouche pour que je me taise, Iris aussi. Violette fut attachée très facilement à  un arbre.
Un garçon encore me mit un chiffon dans la bouche. Je ne pouvais pas respirer par celle-ci. Ils étaient environ dix. Celui au tee-shirt vert qui tenait Violette lui mit la pointe d'un couteau sur la gorge en lui soufflant :
- Un seul cri …
Soudain, Julien, qui devait être à  présent le chef de la bande ordonna aux autres :
- Apportez la table !
Deux d'entre eux revinrent avec une table en bois apparemment lourde. Ils la posèrent sur le sol avec un soupir de soulagement. Brusquement, un garçon avec sept piercings déchaussa Iris, elle se débattait comme un beau diable ; Sans lui enlever ses chaussettes, il lui retira son jean. Deux garçons immobilisèrent les jambes de mon amour pendant que les autres lui enlevaient son pull, puis son tee-shirt, laissant découvrir à  nos agresseurs un magnifique soutif. Un garçon fit mine d'enlever la culotte d'Iris, elle supplia :
- Non !
Ils éclatèrent de rire, mais sa culotte resta sur elle, ainsi que son couvre nichon. Son poignet droit fut attaché à  une corde qui fur elle-même solidement attachée à  un pied de la table ronde. Son autre poignet au pied le plus proche. Ils la forcèrent à  écarter les jambes et les attachèrent chacun sur un autre pied de la table. Les membres en X, je vis de la peur dans les yeux de mon amie.
Maxime s'approcha de moi :
- Tu sais, dit-il calmement, j'ai calculé (tiens, il sait compter) depuis qu'on nous a arrêtés, la morveuse aurait du nous apporter 500 euros.
N'importe quoi ! Il ne sait pas compter !
- Donc, continua-t-il, tu vas courir chez toi et nous les rapporter ! Si tu ne reviens pas dans deux minutes, tu sais se qu'on lui fait !
Il désigna Iris. Tee-shirt vert se rapprocha d'Iris en jugeant bon que Violette avait comprit. Maxime s'approcha d'Iris et approcha ses mains des côtes de mon amie. Il ne la toucha pas mais Iris hurla quand ses doigts approchèrent de la peau :
- Non ! Non ! Pas ça ! Pas ça !
Il se tourna vers moi.
- Ca va, j'ai comprit.
Il prit un chronomètre et appuya 12 fois sur un bouton, le compteur afficha 2 minutes.
- Tu as 2 minute, si tu n'es pas là  dans 2 minute avec le fric, on la chatouille, si tu préviens la police, il y a un de mes pots qui est au bout de la rue, il préviendra sa bande et vous fera mourir de rire en vous chatouillant. Je lui aie bien sur dit de commencer par la petite puis par l'autre en finissant par toi !
- C'est de l'arnaque ! Il faut, en courrant très vite, trois minutes pour aller chez moi !
- Eh ben … c'est ça l'enjeu du but !
Cette phrase ne voulait rien dire, mais bon.
Deux garçons me tinrent fermement.
- Trois … deux … un … partis !
A « partis » ils me lâchèrent et je partis comme une flèche. Je courrai comme un dératé, sans regarder la fille qui occupait mon cÅ“ur, je tournai au coin de rue.
Une larme coula sur la joue d'Iris, qui savait que, malgré mon entraînement à  la course, je n'arriverai pas à  temps et qu'elle n'échapperait pas au supplice tant redouté.
Je courus, encore et encore, tandis que les secondes passaient, je fonçai dans ma maison et fonça, dans la chambre de mes parents, malheureusement, ils s'y trouvaient, je pris le sac de ma mère et dis à  mes parents :
- Je vais vous faire un tour de magie.
Une fois que j'étais sorti de la chambre de mes parents, je regardai dans la porte monnaies de ma mère, j'y trouvai un billet de 500 euros sachant que ma mère avait toujours de gros billets sur elle. Je les fourrai dans ma poche et pris mes jambes à  mon cou. Une fois dehors, je m'aperçus qu'il ne me restait que 10 secondes. Je vis une dame et sa petite fille sur un vélo trop grand pour elle mais parfaitement à  ma taille. Je couru (encore) vers cette fille et la fit, bien malgré moi, tomber de son vélo. Elle hurla pendant que j'enfourchai le moyen de transport et filai à  vive allure vers la direction imposée, je tournai et il ne me restait plus que 5 secondes. Je fonçai. Au moment ou j'allai tourner et brandir le billet en disant :
- Ne la touchez pas, je l'ai votre billet.
Quelqu'un me fit tomber du vélo et m'emmena dans les épais buissons dont je vous aie parlé. Je reconnu Steven. Il me fit presque avaler un torchon humide qui m'empêcha de parler. Steven m'attacha rapidement au buisson mais à  l'intérieur. De ce fait, personne ne pouvait me voir, ni un passant venant de l'endroit d'où je venais, ni les garçons qui fixaient le chronomètre avec un intérêt fatal.
- Zéro ! annonça Maxime avec un grand sourire.
- Pour qui sera la pire torture ? dit Steven, me fixant de ses yeux horribles, elle, ou toi ?

Je pouvais observer toute la scène de mon buisson. Les garçons s'approchèrent d'Iris.
- Non ! Non ! Non ! Pas ça ! Non ! Pitié ! Pitié ! Je vous en supplie ! Noooooooooon ! criai-t-elle avant même qu'ils ne l'ai touchée.
Puis, elle hurla mon nom.
- Jean ! Jean ! Jean ! JEEEEAAAAAAAANNNNNNN !!!!!!!
Julien s'approcha de ses pieds non découverts, il retira doucement la chaussette, laissant glisser ses ongles fins sur la peau fraîche. Tous les muscles d'Iris se contractèrent. Quand ce fut au tour du pied droit, elle fit un soubresaut prometteur. Tout d'un coup, comme une horreur inévitable, les doigts des garçons touchèrent la peau sensible. Chacun voulait la toucher, la chatouiller la faire crier. Ils étaient tous autour de la table.
Il y en avait un sur chaque pied. L'un n'était pas très habile sont but étant que toute le pied d'un coup doit martyrisé, il partait du haut du pied et descendait très vite au talon. Ce répété plusieurs fois, de très nombreuses fois. L'autre pied, au malheur d Iris, était le droit et de loin le plus chatouilleux des deux. Son bourreau était d'une délicatesse et d'une connaissance en ce domaine extraordinaire. Il contourna avec les ongles, d'une lenteur infinie, la plante du pied, chatouillant les bords de celui-ci. Au bout de quatre minutes, il s'attaqua à  la plante des pieds, juste au milieu, la où le pied d'Iris est le plus chatouilleux puis à  la base des orteils.
Deux autres faisaient une torture immonde au entrejambe d'Iris. L'un partait du bas de la jambe, revenant vers le haut en appliquant de petits coups du bout des ongles sur le peau douce de mon amie, il s'arrêtait au niveau de la culotte et redescendait, puis recommençait. L'autre, le pire des deux, Maxime, appliquait ses ongles sur la peau au niveau de la culotte et redescendait jusqu'au dessus de la jambe. Il passait malheureusement sur les côtés des cuisses car le dessus était moins chatouilleux.
Julien avec un autre s'occupait des côtes, lui, des droites, il avait ses deux mains sur les côtes et exerçait des petites pressions, courtes et continues entre les os, créant une désagréable démangeaison. Son compagnon, partait du haut des côtes pour arriver jusqu'en bas, laissant glisser ses ongles sur la surface la plus sensible du corps de celle que j'aimais. Il s'y prenait avec les deux mains, caressant aussi le ventre qui frémissait à  chaque passage.
Au début, Julien avait apporté un sac remplit de plume, mais chacun, qui avait laissé pousser ses ongles en attendant ce jour, ne les avait touchées. Personnes sauf les deux bourreaux chatouillant les aisselles d'Iris. Les deux s'étaient appropriés chacun deux plumes colorées et torturaient les dessous de bras d'Iris.
Les autres chatouillaient les épaules, le cou, les bras et les poignets.
Elle hurlai et se débattait, en vain.
Pendant ce temps, j'étais coincé dans mon buisson, incapable de l'aider. Violette pleurait. Son supplice dura une heure pendant laquelle nous nous débâtâmes tout trois pour tenter quelque chose, au bout de cette heure, Iris respirait avec difficulté. Elle ne riait plus, ne pleurai plus et ne hurlai plus.
- Stop ! cria Maxime, elle s'est habituée !
- Comment faire ? demanda un de ses potes.
- Simple, pour rendre quelqu'un beaucoup plus chatouilleux qu'il ne l'est déjà , il faut qu'il ait de l'orgasme, donc, soit on la fait prendre une douche à  l'eau froide, soit on fait l'amour avec elle, puisqu'il n'y a pas d'eau froide je vais faire l'amour avec elle.
- Non ! supplia-t-elle doucement, non, je vous en supplie…
- Simple, si ton héro n'arrive pas, tu mourras de rire.
Il fallait que je lui évite cette torture insoutenable, je fis un brusque mouvement de la tête et je cognais contre en bout du buisson, une branche coupée qui me fit mal. Je regardais vers le bas et vit que mon bâillon avait un trou. Je fis passer la branche dans le trou et tirai, tirai. Le torchon partait peu à  peu de ma bouche. Les cordes qui serraient mes poignets me faisaient mal.
Maxime s'approcha d'Iris, attrapa les extrémités de la culotte et la baissa. Il mit ses ongles sur le cou et regarda Iris dans les yeux, il fit glisser les ongles sur le cou, les aisselles, les côtes, les cuisses et les pieds. Il approcha son pénis du vagin après s'être déshabillé. A ce moment, mon bâillon lâcha. Je hurlai à  plein poumon. Ils se tournèrent vers moi, me virent et vinrent me délivrer. Iris sourit, pour elle, le supplice était fini.
- Où sont les 500 euros ?
Je mis la main dans ma poche et ne trouvai pas le billet. Je cherchai dans l'autre poche. Vide ! Rien !
- Euh ! Je … je …
- Jean ! cria Iris, tu l'as ! Hein ! Dis moi que tu l'as.
Tout le monde voyait bien que je ne l'avais pas. La supplicié poussa un cri quand chacun lui chatouilla de nouveau ses endroits respectifs. Une demie heure passa. Je n'eu pas le réflexe d'aller chercher un autre billet. Je regardai ma future femme se faire torturer.
A ce moment là , une sirène retentit, la police ! Chacun tendit l'oreille pour écouter, au moment où un garçon voulait arrêter de la chatouiller, il passa sur une zone particulièrement sensible du ventre. Iris hurla. Le garçon recommença, une bonne dizaine de fois. Iris hurlait tellement que les garçons n'entendirent pas sept voitures de police arriver. Ils se firent tous arrêter. On m'expliqua qu'une dame s'était plainte que sa fille s'était fait voler son vélo. La police avait un peu de retard. Iris et sa sÅ“ur étaient allées pleurer chez leur mère. ;(
L'HEURE DE LA VENGEANCE AVAIT SONNà‰ ;
Ils étaient tous chez la police, dans une salle fermée. Je vis en contournant le poste qu'il y avait dans leur cellule un grand trou dans lequel je pouvais passer ma main. J'avais emporté mon matériel.
Je pris dans mon sac une assiette et une fourchette et frotta en appuyant la fourchette sur l'assiette. Un crissement immonde se produisit. J'entendis les garçons gémir. Je regardai ma montre et frotta les ustensiles l'un contre l'autre pendant une heure et demi. Je les torturai comme ils avaient fait à  Iris. Quand j'enlevai la cire, ils hurlaient.
Je rentrai chez moi heureux et téléphonait à  Iris et lui racontait tout.
La journée la plus horrible de ma vie s'était produite. :ralala:

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