Histoire : La dette

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Auteur
Histoire


Histoire ajoutée le 18/03/2006
Épisode ajouté le 18/03/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

La dette

Voila, j'espere que vous trouverez cela pas trop long. Toute critique, positive ou négative, est la bienvenue.
Et si une fille du forum est intéressée par ce genre de torture, qu'elle n'hésite pas à  me contacter par message privé, lol, on peut toujours réver!!!

- J'ai vraiment besoin d'argent, me répète une nouvelle fois Marie, vraiment…
- Et que veux-tu que j'y fasse, je lui réponds, tu veux quand même pas que je t'en donne, pourquoi je ferais ça ?
Nos relations n'avaient jamais été très proches, je ne me sentais pas obligé de faire ça pour elle, pourtant je sentais que je pouvais tirer profit de cette situation.
- De combien as-tu besoin au fait, je lui demande, beaucoup et pourquoi ?
- Bah pas mal, me dit-elle, 50€, c'est super important et très urgent.
- Ah oui, c'est pas une petite somme, mais pourquoi tu me demandes à  moi ?
- Parce que j'ai déjà  demandé à  plein de monde et personne ne peut. Et tu es une des seules personnes à  qui je peux demander pour avoir l'argent à  tant.
- J'ai peut-être une solution mais c'est pour quand cet argent ?
- Ce soir, 18h, j'ai une dette et je veux pas en contracter une nouvelle.
Je regarde ma montre, il est 16h, en effet, il faut qu'elle trouve vite son argent.
- Bon alors, je peux te donner cet argent mais je veux quelque chose en échange, qu'es-tu prête à  faire en échange ?
- Euh… Je sais pas trop, me dit-elle, ça me fait bizarre de me retrouver dans cette situation, vas-y demande, j'ai pas trop le choix.
- Bon alors, ça va peut-être te choquer mais tu en fais ce que tu veux…
- Euh, tu me fais peur là , vas-y dis…
- Bon alors, tu me laisses te chatouiller les pieds pendant 1 heure et je te donne tes 50€. J'ai ma voiture, on peut faire ça dedans si tu veux et après je t'emmène où tu as besoin pour rembourser ta dette.
Elle me regarde extrêmement surprise. Elle regarde ses chaussures, l'air hésitante et les yeux grand ouverts. Elle me demande alors :
- Qu'est-ce que ça va te donner de me faire ça ?
- Bah je sais pas, ça m'est passé par la tête, comme ça, et puis je crois que tu es chatouilleuse donc c'est l'occasion …
Je ne voulais en effet pas lui avouer que depuis les 2 ans que je la connaissais, j'avais toujours eu envie de la chatouiller. Peu convaincue elle me répond alors :
- En effet, je suis super chatouilleuse…
- C'est quoi ta réponse alors ?
- Bah j'ai pas trop le choix, je comprends pas trop ton trip mais je vais le faire s'il y a que ça qui peut te faire plaisir…
- Ok, suis-moi alors.
On se dirige vers ma voiture, je la fais s'asseoir sur la banquette arrière et lui demande de passer ses pieds sous le repose-tête que j'ai au préalable relevé. Quand elle l'a fait, je les rabats et prends le scotch, les cordes et cordelettes que j'ai toujours dans mon coffre, on sait jamais… Elle me regarde, assez surprise, stressée, mais en même temps amusée.
- Tu me payes quand, me demande-t-elle, à  la fin ?
Je lui fais signe que oui et lui demande si elle est bien installée. Elle me fais aussi signe que oui.
- J'ai jamais été chatouillée plus de trente secondes et pas attachée, me dit-elle, je sais pas comment je vais réagir.
Heureusement qu'on est dans un coin assez isolée. Je lui dis de se mettre à  l'aise, si elle veut pas avoir trop chaud. Elle enlève donc son gilet et se retrouve en débardeur. Je lui prends alors les poignets pour les scotcher ensemble.
- Pourquoi tu veux me faire ça, reprend-elle.
- Ca me fait marrer, j'aime bien faire ça, j'ose me lancer.
- Ok, ya pas de problème, je te prostitue mes pieds alors.
On rigole tous les deux, l'atmosphère est assez détendue.
- Promets- moi juste un truc, demande-t-elle. Tu arrêtes quand je te demande.
- Bah non, sinon tu vas me demander tout le temps.
- Ouais mais je sais que ça va être trop dur, faut que tu fasses des pauses, je supporte vraiment pas tu sais.
- J'ai une idée, dès que tu en peux plus, tu dis le mot « gymnastique » ok ?
- Ok. Bon alors, tu attends quoi pour me déchausser, tu vas m'attacher beaucoup encore ?
- Tu vas voir, lui dis-je simplement.
Je décide alors de lui enlever la chaussure droite, puis la gauche. Je me retrouve face à  une pair de chaussettes de sports. Je n'attends pas longtemps avant de lui enlever la droite et je suis stupéfait de la beauté de son pied. Il est magnifique, littéralement splendide. Petit, du 37 je pense, je vérifie d'ailleurs sur la chaussure. Peu de courbes, juste une légère cambrure. Ses pieds sont assez fins, elle a les orteils bien proportionnés par rapport au reste du pied. Je laisse glisser délicatement mon index sur le pied. Elle bouge aussitôt son pied de droite à  gauche et commence à  rigoler.
- Tu es chatouilleuse à  ce point, je lui demande.
- Oui, je sens que ça va être horrible, me dit-elle.
Ses orteils sont peints en rouge, c'est tout mignon. Pour finir, je remarque qu'elle est capable de plier son pied énormément, ça doit être la danse ça. Je lui enlève alors sa deuxième chaussette. Elle me regarde toute rouge et en souriant.
- Tu vas bien te faire plaisir ptit pervers, me dit-elle en rigolent.
- Tu peux pas imaginer, lui dis-je.
Je prends alors la grande corde pour lui lier les chevilles au repose-tête. Elle me regarde toujours aussi souriante mais je sens l'anxiété qui monte. Quand c'est fait, elle plie les orteils, prête au supplice. Je lui dis alors que ce n'est pas fini et que j'ai pas envie de la voir bouger ses pieds et plier ses orteils pendant toute l'heure et que je vais donc lui attacher les orteils. Là , elle est déjà  moins d'accord.
- Mais ça va être horrible, tu te rends pas compte, t'es un vrai sadique.
Elle se débat mais comme elle a les mains scotchées, elle ne peut pas faire grand chose. Je prends alors une des cordelettes, je lui enroule autour du pouce gauche et tire vers l'arrière. J'attache l'autre extrémité au dessus du repose-tête. Je lui attaches ensuite les deux orteils suivants de la même façon puis fait cela avec le pied droit. Elle se retrouve donc face à  moi totalement immobilisée et cette fois-ci assez terrorisée.
- Bon, on va y aller, lui dis-je, t'es prête ?
- On est jamais prêt pour ça, répond-elle, quand tu veux quand même.
Je m'approche donc de ses pieds et laisse glisser l'index sur chacun des pieds. Immédiatement elle se met à  rigoler et chercher énergiquement à  plier les orteils. Son rire est contenu, la sensation n'est pas insupportable mais mes deux index font déjà  de l'effet. Après deux minutes de cela, elle dit déjà  le mot « gymnastique ». Comme promis, j'arrête. Elle met quelques secondes à  retrouver son souffle avant de ma dire :
- Je pensais pas que ce serait si dur, ralentit stp.
Je lui signifie alors qu'au contraire ce n'était que le début, que j'allais tout doucement et que je ne m'arrêterai plus si elle me le dit si vite. Je recommence alors mon travail pour la fatiguer. Je décide de ma concentrer sur le pied gauche mais cette fois-ci avec les 5 doigts de la main droite. Elle se tortille pour essayer d'éviter la sensation. Son rire est de plus en plus fort : AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH…. Je crois bien que je n'ai jamais vu une fille aussi chatouilleuse. Après à  peine deux minutes, elle dit à  nouveau le mot « gymnastique ». Je stoppe à  nouveau mais lui dit :
- Tu vas pas arrêter toutes les 2 minutes.
- J'en peux plus, c'est horrible, sont ses seules paroles.
Je me réattaque donc à  ses deux pieds à  la fois, avec les dix doigts. Sa réaction est fulgurante. Elle hurle réellement, me supplie d'arrêter tout en tentant désespérément de plier ses orteils, mais en vain. AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH, gym…, AHAHAHAHAHAHA, nas…., AHAHAHAHAHA, tique…… AHAHAHAHAHA. Sauf que cette fois-ci, je décide de ne pas m'arrêter. Je continue ainsi plus de cinq minutes. Elle est rouge écarlate, elle semble vraiment souffrir. Elle commence à  pleurer au bout de dix minutes tout en me hurlant d'arrêter. Après environ 15 minutes, je décide quand même d'arrêter.
- Alors, comment ça va, je lui demande assez ironiquement.
- Horrible, c'est horrible, dit-elle à  nouveau, vas-y recommence, perds pas de temps, fais le temps qui reste sans t'arrêter, je vais prendre sur moi, il reste combien ?
- 45 minutes, je lui dis.
- Oh non, dit-elle exaspérée. Allez go.
Je recommence donc comme elle semble me prier de faire. A nouveau elle rigole, crie, tente de se soustraire à  ce qui est pour elle une vraie torture. Ses beaux petits pieds commencent à  être recouverts d'une fine pellicule de transpiration. Je regarde alors son corps, je vois des tâches de transpiration sur son débardeur. Son visage est rouge encore plus foncé que tout à  l'heure. Après dix minutes, elle commence à  me supplier :
- Je t'en supplie, j'en peux plus, …. C'est insupportable arrive-t-elle à  articuler parmi des rires.
Cela est vraiment horrible pour elle. Mes dix doigts continuent de courir sur sa peau nue, incroyablement immobile à  cause des cordelettes. Je décide d'arrêter de la faire hurler après 30 minutes, lui faisant cadeau des 10 ou 15 dernières minutes. Sans rien lui dire, je lui détache les orteils puis les chevilles. Elle ne bouge pas, totalement épuisée. Je lui demande comment ça va. Elle me demande juste ses 50€ que je lui donne. Elle sort alors de la voiture, pieds nus, et commence à  marcher dans la rue en se regardant les pieds, sans se rechausser.
Le lundi suivant, elle vient en cours en tongs, alors que l'on est qu'au mois d'avril. Elle me regarde bizarrement, je n'ai qu'une peur, qu'elle parle de tout cela au reste de la classe. Mais à  ma grande surprise, que fait-elle à  la première heure, elle s'assoit à  côté de moi et à  ma grande surprise, me pause, sans que personne ne puisse voir puisqu'on est au fond, son pied gauche sur le genou.
- Qu'est-ce que tu attends, me dit-elle, je sens que cette heure de maths va être pénible, j'ai besoin de rigoler un peu et en fait, ça a beau être une torture, c'est génial comme sensation.
Sans me faire prier, je lui ôte sa tong et commence délicatement à  lui glisser un crayon sur le pied. Pendant une heure, elle essaiera de ne pas bouger son pied. Elle ne le bougera que 4 fois, pour éviter d'avoir à  hurler de rire dans la classe.

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