Histoire : MoN HiStOiRe (inventé maiiis trop dégaine quand mm)

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Histoire ajoutée le 19/04/2006
Épisode ajouté le 19/04/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

MoN HiStOiRe (inventé maiiis trop dégaine quand mm)

je ne v pa vous raconté les histoire qui me son arrivé, sa prendre trop de temps (ué j'aime pas me vanter vous voyé ^^)
alors voici une petite histoire inventé.

Ici les mur sont de pierre cet endroit ressemble fort a une base militaire car tout y est triste et sombre. Seul quelques privilégié savent ou se trouve cet endroit certains même y travaille sans connaître sa localisation exacte. Il y a des couloirs ou des dizaines de cellules sont alignés seul un hublot fermé orne leur porte d'acier. Les cellules sont molletonné de tissus et de mousse a l'intérieur, comme dans les asiles, pour évité que les déments ne mettes fin a leurs jours. Mais ici quand vous y rentrez vous êtes parfaitement sain d'esprit. Dans ses cellule exigu il y a aussi comme lit une sorte de banc qui sort du mur.

Une femme fut un jour emmené ici elle ne se souvenais pas de la façon dont elle s'y était retrouvé mais un jour elle se réveilla dans une de ses cellule emprisonné dans une camisole. Je vais vous faire une brève description physique et morale de cette femme : elle avais les cheveux long il lui allait jusqu'à  la fin des épaules il était d'un noir intense et lisse tellement soyeux que il se remété toujours dans un ordre. Elle avait les yeux sombre on se noierait presque dans ses yeux en amande le bas de son visage légèrement carré, ses lèvres d'un rouge cerise naturel soutenus par son teint pâle. Cette fille splendide a la personnalité ingrate car coléreuse et jalouse, avait le regard perdu sur le plafond blanc de sa cellule.

Une chaussure tape sur le sol le bruit de cette chaussure résonna jusque dans la cellule de la jeune femme. Elle a reconnu ce bruit, comment aurait elle put ne pas le reconnaître ? elle reconnaissait le pas de son bourreau. Le bruit de l'homme qui était venu la torturer tant de fois, tant de nuit en la laissant a peine respirer. La jeune femme transpiré elle était au bord des larmes a l'idée que cela allé recommencer ses cheveux ce collé sur sont front trempé ses yeux ceux d'une petite fille qui a peur du noir, sa mâchoire claquai malgré qu'elle serré les dents. Elle voulu se laissé tomber sur sont banc mais elle ne pouvait plus bouger et quand la porte s'ouvrit elle sursauta presque une larme coula sur sa joue et elle dit en un sanglot : « Non pas encore. » L'homme qui était entré était vêtu d'une chemise noir il était chauve et devais avoir la quarantaine. Les traits si sévère et effrayant de sont visage ne remuèrent pas.
La jeune femme qui était d'une force de caractère inou௠se ressaisi et elle murmura en serrant les dents: « je vous est dit tout ce que vous vouliez savoir... »
L'homme dit de sa voix grave : « Oui et il a était arrêtai il sera bientôt juger. »
La femme regardait maintenant dans le vide persuadé que sont calvaire était terminé elle chuchota : « enfoiré. »
L'homme la reprit : « Allons pas de sa avec moi dit t'il en s'approchant d'elle il lui parlait maintenant a l'oreille la nuque de la jeune femme tremblait.
« Tu es plus rebelle que je le pensais, je te croyais totalement soumise... peut être faut il que je te rappelle que tu me dois le respect. »
elle l'interrompis presque : « Non, non je le sais, je le sais. »
Tu sais ce qui t'attend cette nuit ? demanda t'il.
Sa nuque tremblait encore plus.
Je vais demandé a ce qu'on te descende au niveau inférieur tu connais bien le niveau inférieur n'esse pas ? tu y est allé si souvent.
Elle pleurait maintenant et elle sanglotait « N... non. »
Tes main seront attaché et t pied sur un chevalet, je viendrait en suite avec deux cordelette et je t'immobiliserai chaque orteil pour être sur que tu ne pourras altéré ton supplice par le moindre frétillement. En suite je demanderai a ce que on m'apporte ce même bocal de plastique blanc rempli d'eau a moitié et du savon. La je métrait du savon sur t pied en prenant soin de juste t'effleurait pour que tu laisse s'échapper quelques petit gémissement étouffé. Puis mes ongle se baladerons d'avant en arrière il glisseront sur ta plante mouillé et la tu rira, tu rira au éclats tu balancera ton corps d'avant en arrière comme tu le fait tout le temps vu que ces le seul mouvement que tu peut faire. En suite je gratterais plus fort et plus vite et peu après t rire deviendront presque des cris. Tu aimerais bien pouvoir t'arrêtais de rire pour pouvoir respirer, mais tu ne peu pas et même si tu attend avec hâtes que je m'arrêtes quelques secondes tu redoute pourtant cette instant car tu sais que j'aime gardé le meilleur pour la fin et tu sais aussi que j'aime l'originalité et que j'aime te surprendre. Là  je prendrai dans mon saque cette broche a cheveux que j'utilise tout le temps celle qui te fait rugir c qui te fait presque mal a la gorge tellement tu cri. Je la frotterais lentement contre ton pied et je m'arrêterais tout particulièrement sur ton talon je sais que tu adore sa. Puis je remonteré jusque à  la base de tes orteils et la je frotterais énergiquement le savons moussera presque quand tu hurlera « je t'en supplie » ou que tu sangloteras alors que ton visage se crispera et que tu commencera a pleurer « ayez pitié. » Combien de temps c déjà  passé maintenant a toi il te semblera une éternité mais pour moi les deux petite heure que je t'aurai réservé seront bien trop courte. Maintenant tu es fatigué tu aimerai dormir je te laisse quelque seconde pour reprendre ton souffle et tu laisse tombé totalement ton corps en arrière juste t bras attaché le retienne. Je sais dorénavant que tu n'as plus aucune force tu t tant débattus alors je te détache les orteils t pied tombe de quelques centimètres en avant tu es en sueur et tu crois que c fini que tu peu te reposer la commence ma parti préféré tu es bien trop fatigué pour te débattre tu peu a peine remuer les pied je prend alors une serviette et pour te sécher la tu es presque en train de dormir et tu pousse un petit gémissement alors que je te sèche. Et la je prend ma brosse a dent électrique je l'allume et quand tu entend ce bruit je sais que tu a peur tu ne me le montre pas mais tu a peur tu même si tu est beaucoup trop épuisé pour le montré. La j'utilise la brosse a dent électrique a l'endroit ou t sens ne sont pas encore émoussé c a dire sur l'autre face de t pied t plante on suffisamment était mit au supplice elle ne ressente presque rien par contre quand je passe la brosse a dent sur les cotés que j'insiste dans ce long mouvement circulaire la tu ne le supporte pas mais surtout quand tu ne bouge pas parce que tu a mal quand tu utilise ton articulation et que tu me laisse tout le plaisir de chatouiller une victime inerte qui murmure quelques plainte mais qui na même pas la force de tenter un acte désespéré pour tenté de se soustraire a mon supplice. Après une petite demi heure tous est fini je te laisse dix bonne minute pour te remettre je me contente de te regarder attaché a cette table pendant tout ce temps. Une fois le moment venu je te réveille en te mettant un peu d'eau sur le visage la t yeux rougi s'ouvre enfin et tu la première chose que tu vois en t'éveillant c moi et la tu te demande ce que je te réserve encore et la tu sais que c a ce moment précis que j'aime redoubler d'originalité. Tu te souviens que je me suis lentement approché de te pied tu te souvient quand g eu tout le mal du monde a te les attaché tellement tu avais peur. Je tenais dans ma main du lait sucré avec un pinceau je t'en est enduit les pied je me suis appliqué je m'en souvient encore car c la première fois que je testé ce procédé et esce que tu te souviens de tas surprise quand g pris cet adorable petit chat dans mes bras qui commencé a te lécher les orteil tu te souvient comme tu a mugis de surprise ? tu était la et tu mugissait c t exquis en suite le je suis parti en laissant le chat tu savais bien que tu passerai en sa compagnie toute le reste de la nuit tu savais que les six prochaine heure ton supplice allé continué mais le moment le plus mémorable de cette journée c quand g laché tout les autre chat il devais bien en avoir une dizaine la quand tu les a vus arrivé tu a crier quelque chose comme : « Non non pas saaaa ! » je me souviens comme ta vois était aigu quand tu a dit sa je ne l'oublierai jamais.
Et mes gardes venais de temps en temps rajouté du lait cela a duré toute la nuit jusque a ce que tu perde connaissance j'avais bien envi de faire duré sa quelque heures de plus. Je me souviens que il y avait des nouveau arrivant ce soir la ils ont tous était réveillais par des cris il était terrorisé de savoir que le même sort les attendais « NON NON PAS ENCORE NON JE N EN SUPORTERAI PLUS NOOON FAITE LES PARTIR J... JE... JE VOUS EN SUPLIS PITIIIER ! »

L'homme était resté a lui parler a l'oreille durant toute la description son regard était perdu dans le vide l'homme sorti juste après lui avoir enlevé sa camisole elle savais que on allé venir la cherchais dans trois quart d'heure tout au plus pour une autre séance de torture elle agrippa un morceau de tissus comme un nounours et se balança d'avant en arrière. Elle avait perdu la raison.
L'homme lui avançait dans le couloir en sifflotant et se dit a lui même : « je crois que je suis en train de tomber amoureux. »

FiN


c bon vous pouvé remballer popol lol

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