Histoire : L'INITIATION DE MARINE

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Histoire


Histoire ajoutée le 13/05/2006
Épisode ajouté le 13/05/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

L'INITIATION DE MARINE

Cette histoire est totalement imaginée mais elle est très réaliste.

J'étais au lycée dans une section Métiers du Secrétariat, en 1ère année de B.E.P., dans ma classe, il y'avais une fille, Marine. Elle avait les yeux brun mesurait 1,58 m ½ et chaussait du 39.

1ère partie : LE RENDEZ-VOUS BIEN-ETRE

Nous étions voisins de table dans certains cours, nous bavardions de choses et d'autres de temps en temps. Un jour, un professeur demanda à  la classe de faire un dossier sur les enfants. Je ne rentrerais pas dans le détail, là  n'est pas le sujet essentiel, avec Marine on avait décidé de faire ce dossier ensemble simplement en se regardant, nous étions très complices. Le rendez – vous était donc fixé pour samedi à  14 h chez moi, vous devinez pourquoi  j'ai insister pour que cela se fasse chez moi.

Deux jours plus tard, 14 h, Marine sonnait à  la porte, j'allais ouvrir, nous nous embrassons furtivement, comme à  l'habitude, pour nous dire bonjour. Je l'invitais à  se débarrasser de son manteau et à  se déchausser. Elle obtempérait puis je la fit monter. Elle était vêtue d'un t-shirt bleu et d'un pantacourt ainsi que des baskets.

Arrivés dans ma chambre, nous nous installons pour commencer à  travailler je la voyais remuer ses orteils, je jubilais et la pris par le bras et l'invitai à  se blottir contre moi. Elle semblait avoir quelques douleurs ; je lui proposais de faire une pause, elle accepta.

Marine s'assit à  mes cotés sur le lit ; je lui dis, avec un semblant d'innocence :
-    Tu as mal quelque part ? Elle répondit oui, j'ai mal au dos et aux pieds.
- Je peux te masser si tu le souhaites ? lui dis-je,
- Pourquoi pas, me répondit – elle.

Je la fit basculer sur le dos en un clin d'Å“il, je lui fit retirer son t-shirt, me mis à  califourchon sur ses fesses. Je pris dans ma table de nuit un produit appelé Monoà¯, huile de bronzage aussi utilisé pour les massages, il donne un aspect satiné et doux à  la peau. Je m'imprégnais les mains de ce délicieux liquide. Je débutais mon massage par un malaxage doux des épaules, je continuais en descendant jusqu'en bas du dos en faisant de larges gestes avec mes paumes.

Pour finir, elle me confia que mes massages lui avait fait beaucoup de bien et qu'elle n'avait plus mal. Ensuite, je lui dis de se retourner, mais elle ne devais pas remettre son T – shirt, je me mis assis sur les talons,  devant ses pieds et je mis une serviette sur mes genoux,

Elle me présenta ses pieds, -ils étaient fins, magnifiquement vernis et parfaitement manucurés et ses plantes de pieds étaient d'une blancheur laiteuse, qui trahissait une grande sensibilité, car la peau de cette zone  est très fine, elle devait chausser du 39 ce qui fut confirmé un peu plus tard.

Je commençais le massage par un malaxage complet de ses pieds, puis j'allais dans le détail en pressant chaque orteil entre mon pouce et mon index, je descendais en faisant des cercles avec mes pouces sur ses coussinets, ensuite, je lui malaxais les talons.

Enfin, je passais aux creux plantaires en lui massant plus vigoureusement, et j'en profitais en peu pour la chatouiller pour voir sa réceptivité : chaque passages de plumes ou de doigts lui donnait des réactions fulgurante, elle bougeait ses pieds en tous sens, elle  ne savait pas ce qui l'attendait, ceci n'était qu'un petit aperçu…

A la fin du massage, elle me dit qu'elle avait ressenti du bien-être et du plaisir et qu'elle aimerait recommencer. Je lui dis que si elle le souhaitait, j'était libre dés le lendemain.


2 éme partie :   LE SUPPLICE

Le lendemain 14 h, Marie sonna à  la porte, j'allais ouvrir, nous nous embrassons furtivement, comme à  l'habitude, pour nous dire bonjour !  Je lui demandais de garder ses chaussures et la fit monter dans la chambre. Marine était vêtue comme la veille.

  Nous discutions, lorsque le téléphone retentit, j'allais répondre, c'était Alice une amie ège que je voyais tous les dimanches après-midi, dans le cadre de nos séances hebdomadaires. Nous pratiquions tous deux, le fétichisme, depuis quelques années.

Elle souhaitait passer l'après midi chez moi, mais je lui dis que j'avais une invitée, pour qui j'avais prévue une vraie séance de chatouilles.  Je demandais donc à  Alice si elle acceptait d'être de la « fête », elle ne se fit pas prier et me dis « je suis là  dans 15 minutes, dans les conditions habituelles »

Alice arriva 15 minutes plus tard, elle était vêtue d'un tee-shirt rose et une jupe fendue bleue ainsi que des bottes de cuir noir, elle se déchaussa et nous rejoignit dans cette chambre qui lui était familière. Nous fîmes les présentations

Il était temps de passer aux choses sérieuses. Pour aujourd'hui concentrons nous sur les points faibles de Marine, les aisselles, le nombril, les côtes, et les pieds. 

Alice sortit d'un sac, tout un tas d'accessoires (sangles, cordes, bracelets, en passant par les plumes, pinceaux etc.) Marine se laissait docilement « bonder » par mon amie.
Notre charmante « suppliciée » était à  présent couchée sur le dos, jambes et bras écartés et attachés ensemble au moyen de bracelets eux-mêmes liés par des sangles avec mousquetons,  aux barreaux du lit (« Spread An Eagle », terme anglais). Alice s'était assise devant les pieds de Marine et procédait à  la mise pieds nus, nous découvrions au fur et à  mesure ses talons, ses plantes, ses coussinets et ses orteils.

Puis je pris place sur les hanches de Marine en lui demandant si elle était prête. Je n'attendis même pas sa réponse, son T-shirt fut retiré ; mes doigts courraient par de longs va-et-vient sur ces côtes, elle se retenait de rire. J'intensifiais et elle se mit à  rire.

Alice prit une plume dans chaque main et vint chatouiller ses aisselles. Mes doigts continuaient à  courir, puis ils cédèrent la place aux plumes,  se déplacèrent sous son ventre. Marine essayait en vain d'échapper aux démangeaisons. Les « ahhh pitié jt'en supplie » commencèrent à  se faire entendre.
Alice fit tournoyer une plume autour et dans le nombril de notre chère « suppliciée ». Ses rires devenaient de plus en plus fréquents, elle transpirait et suffoquait.


Nous fîmes une pause… et Marine confia qu'elle avait d'une part, détesté les chatouilles, mais, d'autre part, cela l'avait excitée.

Passons maintenant aux pieds…

Alice demanda à  Marine de se coucher sur le ventre et de mettre les bras derrière son dos.  Alice lui attacha les poignets et les chevilles, à  l'aide de deux paires de bracelets de cuir, et relia les deux menottes par une sangle à  mousquetons Ses pieds furent surélevés par une corde accrochée au plafond ; pour finir, une cordelette vint  attacher ensemble ses gros orteils et la cordelette fut tirée vers l'arrière et accrochée aux liens des chevilles. Cette astuce permet de tirer et les plantes de pieds.

Alice prit une plume et vint chatouiller les doigts de pieds de Marine qui commençait à  rire, cela promettait, pour assister Alice dans sa tâche, mes doigts vinrent gratouiller la base des orteils ; puis ma « collègue » prit ma place et fit courir ses doigts sur les plantes de pieds de Marine.
Moi je décidais d'attaquer ses aisselles avec la tête d'une brosse électrique.
Marie nous suppliait d'arrêter (une règle d'or des fétichistes : lorsque que quelqu'un supplie, ne jamais arrêter au contraire intensifier ! ) Marine alternait cris, pleurs, rires ; Alice pris les chaussettes qui traînaient parmi le tas de vêtement appartenant à  Marine et en fit un bâillon à  l'aide d'un foulard et l'introduit dans la bouche de mon invitée. Elle faisait des huuummm,haaa, a tort et à  travers. Je troquais la brosse avec Alice, elle vint taquiner les creux avec la brosse et de ses doigts, la base des orteils. Alice s'occupait du haut du corps et moi des pieds ; nous nous sommes amusés à  taquiner à  notre plus grand plaisir, le corps de Marine.

Le supplice avait bien duré 2h30.

A la fin, Marine nous dit qu'elle aimerait renouveler l'expérience. 


Vous en pensez quoi ?

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