Histoire : Romantisme d'un soir.

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Histoire


Histoire ajoutée le 12/02/2011
Épisode ajouté le 12/02/2011
Mise-à-jour le 03/07/2021

Romantisme d'un soir.

Pour vous une petite histoire de Tickling comme je les aime. :p



Nous sommes un Vendredi soir.

Il est 22 :00 et il faisait très chaud, Julie et Thibaut reviennent d’un concert de And One. L’ambiance fut à son comble et sortant en chantonnant pour exprimer leur passion pour ce style musical, ils grimpaient aux poteaux, sautillait, Julie chantait, Thibaut faisait des mimiques que de guitariste.

Sous le regard joyeux de leurs camarades de concert qui les applaudissaient, les deux jeunots de 22 ans se donnèrent quelques minutes en spectacle en pleine rue, mais finirent par se lasser bien vite sous l’influence de la fatigue grandissante.
Julie se tenait le dos, il faut dire que rester des heures dans une position aussi inconfortable, cette posture droite, debout n’était pas le mieux pour ce genre de soirée…Thibaut l’enlaça alors en chevauchant son coup par ses bras gauche. Un regard tendre et plein de désir amoureux pour sa chérie . Julie le regarda alors avec un air tout aussi expressivement passionné et par de légères claudications due à la fatigue, ils rentrèrent chez eux.

Julie et Thibaut s’étaient installés ensemble suite à leur déménagement de Lyon et vivaient à présent a Chatillon, une petite ville paumée dans l’Ain, leur appartement était en face de la place de la mairie, un endroit où ils avaient passé beaucoup de moments très romantiques.
Notamment avec un petit restaurant, véritable Mozart du fruit de mer…

Ils rentrèrent, Thibaut désirait Julie et Julie désirait Thibaut. Elle retira ses ustensiles de trop, sac à main, bagues et s’allongea alors les bras au dessus de la tête en « U » et Thibaut se mis sur elle pour lui baiser le visage. Mais il avait autre chose en tête et elle l’avait bien compris.
Lentement mais sûrement, Thibaut longeât les jambes de Julie qui mises à nues avec son style vestimentaire se finissait par deux jolies bottes noires ornementée par graphiques sur velours.
Il commença à défaire les bottes de Julie ce qui provoquait l’hilarité prématurée de celle ci qui ne bougeait pas d’un poil et se contentait de sourire sincèrement à son amoureux.

Thibaut retira alors la chaussette gauche de Julie, lentement, très lentement mettant au grand jour une cheville dont le teint de peau était très clair, une peau laiteuse et douce comme de la soie. Découvrant peu à peu le talon lisse sur les coté et légèrement rugueux en dessous, la voûte plantaire, douce, blanche et très chatouilleuse. Thibaut ne résista pas à passer sur doigt volontairement sur ce trésor organique ce qui fit légèrement sursauter son aimée.

Puis virent après ce défilée de merveilles petonniques (vive l’imagination), les orteils, purement et simplement magnifiques, bien proportionnés, ni trop courts, ni trop longs, tous ayant un aspect subtilement naturels, un véritable délice pour les yeux de Thibaut qui ne put s’empêcher de ressauter sur Julie pour lui témoigner son admiration par un baiser vivifiant.

Il redescendit par la suite en direction de son objectif, s’assit entre les deux pieds de Julie qui était étendue sur le dos, confortablement installée depuis le début. Elle soupirait d’enthousiasme le sourire aux lèvres en regardant le plafonds et attendait le début de son ‘’châtiment‘’ amoureux.

Thibaut s’inclina sur la gauche de manière à poser le pieds gauche de Julie sur sa cuisse, il pouvait alors chatouiller à sa guise le 38 qui lui était offert.
Soudainement, la discrétion et la lenteur de Thibaut laissèrent leur place à des mouvements minimes mais frénétiques de ses doigts sur la base des orteils de Julie qui serra la couverture au départ de ce petit rituel.
Thibaut la regarda quelques secondes puis repris sa besogne, il gratouillait avec le plus artistiquement possible les orteils, puis le dessous du pieds de Julie allant lentement vers sa destination, le talon.
Elle se débattait légèrement tentant de se mettre sur le coté, tantôt à gauche puis à droite, Thibaut prenait beaucoup de plaisir dans cette petite expérience, Julie se savait chatouilleuse mais elle avait du mal à sonder ses limites.
Passant par le centre du pieds, où se trouver la belle voûte, ce fut l’explosion de rire de Julie qui frôlait les hurlement de rire en gardant les yeux fermés. Elle riait, se mordillait les lèvres mais ne semblait vouloir opposer aucune résistance aux chatouilles.
Thibaut qui était très attentif profita alors d’un des chavirements de Julie pour la mettre sur le ventre plaçant ses pieds entre ses jambes.
Julie reprenait son souffle en mettant ses avant bras sous son menton tandis que son bourreau faisait craquer ses doigts tel un pianiste prêt à interpréter pour une personnalité royale.

Il retira alors la seconde chaussette de Julie découvrant cette fois son pieds droit, une splendide réplique du pieds gauche, la même douceur, la même blancheur, la même harmonie.
Et les chatouilles reprirent de plus belle, cette fois Thibaut n’y allait pas de mains morte à faire courir ses doigts sur les pieds sensibles de Julie qui se débattait donnant à Thibaut l’impression de dresser un étalon sauvage.
Ils gratouillait, faisait des zig zag, croisait ses mains qui intervertissaient leur cible, mis plusieurs fois les orteils d’un pieds après l’autre en arrière de manière à obtenir une surface délicieusement lisse.
Julie tapait du poing le lit en hurlant de rire, elle mordait la couette, et finit même par se décoiffer lui donnant un air complètement hystérique.
Détail qui encourageait le jeune homme à continuer, les orteils de Julie bougeait frénétiquement, ses pieds remuaient de bas en haut et de droite à gauche, l’un après l’autre victimes du traitement que Thibaut imposait à sa dulcinée.
Julie commençait à tousser suite aux rires incontrôlés et les les mouvements ventraux de la belle qui essoufflée se laissa tomber sur le lit, presque amorphe, mais soufflant sa mèche rebelle et ricanant encore de son rire forcé.

Les chatouilles s’arrêtèrent quelques secondes auparavant, Thibaut se mis allongé sur le coté à la droite de Julie. Ils s’échangeaient des regards amoureux par de petits clins d’œil et diverses caresses dorsales que Thibaut offrait à son aimée.

Tous deux demeurèrent la nuit, et s’endormirent sans avoir le temps de se changer . Cette petite soirée avait encouragé les deux amoureux à s’enlacer des bras de Morphée rapidement et leur fit perdre le peu d’énergie qui leur restait.

C’était dans une salle blanche aux moulures exquisement romantiques que les deux amoureux s’éveillèrent le lendemain, se tenant la main chaleureusement et mélangés l’un à l’autre invoquant alors une des facettes les plus pures de l’âme humaine…



L’amour. :rougis:

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