Histoire : L'interview de Jennifer Love Hewitt

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Histoire ajoutée le 22/08/2006
Épisode ajouté le 22/08/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

L'interview de Jennifer Love Hewitt

Bon, je me lance alors et avec Jennifer Love Hewitt parce que je la trouve très sexy et que ses pieds sont extrèmement chatouilleux!!!!

  Je suis un journaliste et critique de cinéma pour un grand magazine de cinéma américain et, ce jour-là , je me rendais à  la résidence de Jennifer Love Hewitt, à  Beverly Hill. J'avais une heure de retard à  cause des embouteillages et je me doutais que l'agent de l'actrice serait passablement énervé; je l'avais senti au message qu'il m'avait laissé sur mon portable, néanmoins, j'arrivai bon gré mal gré chez la belle Hewitt.
  Jennifer et son agent m'attendaient dans le jardin en face de l'immense maison et je me confondis en excuse en arrivant.
  _ Ce n'est pas grave, fit l'actrice avec son sourire adorable, nous connaissons tous la circulation déplorable de Beverly Hill.
  Je la remerciai en m'inclinant un peu et je remarquai qu'elle portait des tongs à  ses adorables petits pieds, du 37 pensai-je à  vu de nez. Son large pantalon vert pomme ne laissait apparaitre que ses orteils parfaitement manucurés.
  _ Passe pour cette fois, fit l'austère agent, je dois partir car j'ai un déjeuné de prévu avec Neve Campbell. Ca ne te dérange pas si je te laisse en compagnie de Monsieur, Jennifer.
  _ Bien sur que non, fit l'actrice, vous n'êtes pas un dangereux psychopathe, monsieur le journaliste?
  _ Vous n'avez rien à  craindre de moi, lui assurai-je.
  _ Tout est pour le mieux, dit-elle en riant tout doucement, vous pouvez me suivre.
  Nous abandonnâmes l'agent dans le jardin et nous entrâmes dans la demeure. Dans le salon, elle me désigna le canapé.
  _ Nous serons bien ici, assura-t-elle.
  Nous nous installâmes sur le canapé et il se passa alors une chose que je n'avais pas prévu. Tandis que je m'asseyais à  une extrémité, Jennifer fit de même, mais elle retira ses tongs de ses pieds délicats, elle replia une jambe sous elle et étendit l'autre devant moi de sorte que j'avais la plante de son pied droit à  quelques centimètres de moi. Même un fétichiste tel que moi n'avais jamais imaginé une pareille situation et je sentis mon coeur s'emballé à  cette vision de rêve. Elle me demanda si j'avais soif et comme dans un rêve je répondis que j'accepterai volontier un verre d'eau car ma gorge s'était soudain asséchée. Elle se dirigea vers la cuisine et j'observai intensément le mouvement de ses pieds nus en pensant qu'ils devaient être gelés à  ce déplacé ainsi sur le carrelage. Comme je désirai ardemment les tenir dans mes mains pour les réchauffer!!!
Elle revint avec le verre d'eau et je bus à  grandes gorgées avant de déclarer :
  _ Bon, commençons!
  Après lui avoir avoué qu'elle était une de mes actrices préférées et que j'avais vu tout ses films et plusieurs fois "Beautés empoisonnées" (car nous pouvons vois tout notre saoul ses jolies pieds dans une scène, mais je lui tus cette remarque...), nous commençâmes l'interview pour son dernier film. Durant tout ce temps, je détournai difficilement le regard de la plante laiteuse de son doux pied et l'observai discrètement quand je jetai un oeil sur mon calepin pour faire mine que je lisais mes questions. A un moment, je lâchai une boutade et elle rejeta sa tête en arrière en éclatant de rire. C'était un rire sublime et excitant et je me demandai si elle rirait de la même façon si je faisais courir mes doigts sous ses pieds. Durant ce court instant, j'admirai ses orteils qui se tortillaient sous l'effet de son rire et je sentis mon coeur fondre. A un autre moment, je fis mine de faire tomber mon stylo et je m'approchai aussi près que possible de son pied pour le ramasser. Etait-ce le fugace et doux parfum de son petit peton que je sentis quand je me redressai?
  Trop rapidement à  mon goût, la fin de l'interview arriva et avant que je me lève pour disposer de Jennifer, elle me demanda en secouant de manière très sexy ses longs cheveux bruns:
  _ Puis-je vous poser une question avant que vous me quittiez?
  _ Je vous écoute, fis-je.
  _ Pourquoi pendant tout le temps où vous m'interrogiez vous ne cessiez de regarder mon pieds?
  Le sang me monta à  la tête et ne savant que répondre je fis celui qui ne comprenait pas.
  Elle leva alors sa jambe de sorte que la plante de son pied fin se trouva à  hauteur de mon visage. Elle tandis vers moi ses délicats orteils et dit:
  _ Moi je trouve mes pieds très jolies, pas vous?
  _ C'est vrai qu'ils sont sublimes, bafouillai-je.
  _ Prends le dans tes mains, si tu veux...
  Je m'executai, les mains tremblantes et je crus défaillir quand je saisis ce pied fabuleux, ce pied de star. Je commençai à  masser son peton et elle ferma les yeux et bascula sa tête en arrière. Elle déplia sa jambe gauche et déposa son autre pied sur ma jambe tout offert à  mes caresses. Mais désirai-je seulement ça? Au fond de moi, une voix me poussait à  fondre sur les pieds de Jennifer et de les chatouiller sans pitier jusqu'à  ce qu'elle me demande grâce et même là , je ne pensais pas que je pourrai m'arrêter. Je pris un pied dans chacune de mes mains et lui grattai la plante avec l'ongle de mon pouce. Sa réaction fut immédiate, elle replia ses jambes en éclatant de rire. Elle m'observa en souriant devant mon visage penaud.
  _ Nous y voilà , enfin, dit-elle, suis-moi.
  Elle me mena dans sa chambre où trônait au centre un lit à  baldaquin. Elle fouilla dans son armoire et en sortit plusieurs long foulards de différentes couleurs. Elle me les tendis.
  _ Que dois-je faire avec, demandai-je.
  _ Voyons, tu ne devines vraiment pas?
  Je pris les foulards alors qu'elle s'étendait sur son lit, toute offerte à  moi. Je ligotai ses poignets, puis ses chevilles et m'agenouillai au pied du lit. J'étais en arrêt devant la beauté des pieds de l'actrice, je contemplais cette peau laiteuse tellement attirante et, tout à  coup, je saisis une cheville et commençai à  faire travailler lentement mes doigts coupables. Son pied s'agita lentement au rythme de ses gloussements, et ses rires devinrent plus prononcés quand je m'approchai de ses orteils. Je les saisis et les tirai en arrière pour que la peau soit bien tendue et m'acharnai sur la base de ses doigts de pieds. Elle cria littéralement et se convulsa sur le lit. Elle se débattait férocement mais j'intensifiai mes chatouilles jusqu'à  faire glisser mes doigts sur toute la longueur de son pieds.
  _ HA HA HA HA HA!!!! NOOOOON!!!! PAS CAAAAAA!!!!!! HAHAHAHAHAHA!!!!!!!
  Mais dans ses supliques, j'entendais la plaisir que lui procurait cette torture et je redoublais encore mes chatouilles tant que s'était encore possible.
  Le corps solidement attaché de Jennifer bondit du lit quand je passai mon index entre ses orteils et elle me supplia encore plus d'arrêter, mais cela m'était impossible. Tu l'as voulu, tu l'as!!!
  Je lui accordai une pause à  un moment le temps que j'explore la salle de bain à  côté. Près du lavabo, je trouvai ce que je cherchai : une brosse à  dent électrique. Le meilleur défenseur des dents, mais le parfait complice des fétichiste de mon accabit. Je m'en saisis et me regardai dans le miroir.
  _ Je chatouille les pieds de Jennifer Love Hewitt, dis-je à  haute voix.
  Et mon reflet me rendis un sourir carnassier.
  Je revins dans la chambre et contemplai le corps en sueur de l'actrice. Elle respirait à  grande goulée d'air.
Elle me vit et je lui montrai la brosse à  dent.
  _ Il est temps de passer à  l'autre pied, dis-je.
  Elle me sourit.
  _ Non, dit-elle dans un souffle.
  Je pris ça comme un acquiessement et me précipitai sur son pied. La brosse rotative effleurait à  peine sa peau, mais donnait de formidable résultat en particulier quand je m'approchais des orteils, encore. Ce supplice dura plus dune demie heure et, au bout d'un moment, n'y tenant plus, encouragé par le parfum ennivrant de ces pieds superbes, je détachai ses chevilles, réunis les deux plantes et plongeai mon visage dedans pour me délecter de leur odeur délicieuse. Je lui léchai les pieds avec application, me délectant de leur gout salé et des éclats de rire de ma victime. Ma langue passa dans tout les sens, en longueur, en largeur, en diagonale, tout... Mais le meilleur fut entre ses orteils, quand j'ai cru que l'actrice allait mourir de rire. Je décidai difficilement de m'arrêter là . Je la détachai et l'abandonnai dans sa chambre alletante, mais reconnaissante.
  Au plus profond de moi, j'espérai que d'autres interviews commune ponctueraient notre carrière.

Voilà , l'histoire, j'espère qu'elle vous plaira, j'attend vos commentaires.

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