Histoire : Keira Knigthley

  Je m'appelle Jason Leblanc et je suis fétichiste. J'ai eu le privilège de chatouiller les pieds de l'actrice Jennifer Love Hewitt. Je suis également critique et journaliste pour un grand magasine de cinéma américain : le Star Light. D'après mon rédacteur en chef, je suis un des plus jeunes et un des plus prometteurs journaliste du cinéma.
  Ce soir-là , j'étais dans un des plus grands restaurants de Beverly Hill, le Boulevard of Dreams. L'après-midi, j'avais interwievé l'équipe du film Pirates des Caraà¯bes 2, puis j'avais cordialement été invité au restaurant par le réalisateur du film, Gore Verbinski, mon ami depuis la sortie de son film, The Ring. J'avais accepté l'invitation avec plaisir.
  J'étais assis à  la table très longue de l'équipe entouré par Gore, à  ma droite, et l'acteur Orlando Bloom, à  ma gauche. Ce dernier était un jeune homme fort sympathique avec un grand sens de l'humour. En face de moi, se trouvait la jeune et jolie actrice Keira Knigthley. Elle m'avait tout de suite conquis avec son côté garçon manqué que même sa longue robe marron ne pouvait dissimuler et son franc parlé. Je déplorais, cependant, l'absence de Johnny Depp qui avait dû repartir en France pour retrouver sa famille. J'aurai aimé mieux connaître cet OVNI du 7ème art.
  Durant une bonne partie de la soirée, je discutai avec Keira et je frissonnai imperceptiblement chaque fois que son pied chaussé d'une ballerine noire me frolait tibias. Elle s'excusait, mais le balancement de sa jambe croisée sur l'autre entrait irrémédiablement en contact avec mon tibias et j'avoue n'avoir rien fait pour l'éviter. Alors, au bout d'un moment, elle cessa son balancement et coinça son pied avec mon mollet en m'adressant un sourire complice.
  Pendant notre conversation, Keira m'apprit qu'elle avait retardé son retour en Angleterre car elle s'était brouillée avec son compagnon. Je trouvai cette information fort interressante, personnellement.
  A la fin du dîner, l'orchestre du restaurant joua des airs plus entraînant et tout le monde commença à  danser. Plusieurs fois, Keira me proposa de danser avec elle, mais je refusai étant un piètre danseur et que je ne voulais pas me ridiculiser. Je l'observai donc tout le temps où elle dansa avec Orlando jusqu'à  ce qu'elle vienne s'asseoir à  côté de moi, essoufflée et toute suante. Elle se déchaussa et étendit ses jambes sur une chaise devant elle de sorte que ses splendides pieds se trouvaient exposés bien à  ma vue. Elle agita faiblement ses orteils et m'annonça innocemment :
  _ J'ai les pieds en feu.
  Si ses pieds étaient en feu, mon esprit était consumé par les flammes de l'enfer. Des images sur ce que je pouvais faire subir à  ces pieds se bousculaient dans ma tête et menaçaient de me faire perdre contact avec la réalité.
  _ Tu veux un verre d'eau, bafouillai-je.
  _ Je préférerai du vin, dit-elle en souriant.
  A la fin de la soirée, Keira, ayant abusée du vin, je me proposai, en parfait gentleman, pour la ramener à  son hotel.
  Au bas de son hotel, l'actrice me proposa :
  _ Veux-tu monter dans ma suite? Il doit y avoir du champagne de France dans un seau de glace.
  _ Tu as peut-être assez bu...
  _ Allez, amènes-toi, Jason, dit-elle en souriant.
  Dans la suite, Keira se déchaussa et s'étendit directement sur le lit.
  _ Je suis épuisée, annonça-t-elle.
  Je m'approchai un peu et pus sentir le doux parfum qui s'élevait de ses ballerines et de ses pieds fatigués et qui enfumait délicieusement ma conscience. Près du lit, je commençai à  caresser ses longs cheveux chatains, puis son jolie visage aux yeux fermés et aux lèvres pulpeuses. Ma main descendit progressivement sur son corps en s'attardant sur ses seins qui transformaient sa robe en paysage de nuit, ensuite sa jambe et, enfin, sa soyeuse plante de pied. Je caressai du bout des doigts sa peau laiteuse, la chatouillant à  peine et faisant naître un sourire sur son visage. J'appuyai un peu plus mes chatouilles et elle agita son pied adorable.
  _ Non, gémit-elle faiblement sans ouvrir les yeux.
  Profitant de sa faiblesse physique, je réunis ses chevilles sous mon bras gauche et fit courir impitoyablement les doigts de ma main droite sur ses deux petits pieds mignons et odorants. Son dos s'arc-bouta et elle éclata de rire.
  _ HA HA HA HA HI HI HI, NOOOON!!! PI HI HI HI TIER, JASON!!! PAS CA HA HA HA HA!!!!
  Ses cris m'encouragèrent et je redoublai d'ardeur. Je m'acharnai sur ses orteils, subjugué par leur perfection. Je les chatouillai un par un et les tortillai en me délectant des rires de ma victime, cette douce musique. Tout en tordant son corps, Keira avait réussi à  attraper la manche de ma veste de smoking et tirai dessus pour m'empêcher de continuer son calvaire, mais dans l'état de transe où je me trouvai, l'esprit embrumé par ses pieds magnifiques et excité comme un chien de chasse par l'odeur qu'ils dégageaient, je me trouvai dans l'incapacité de m'arrêter. Une seule idée s'imposait à  moi : profitez de cet instant, la chatouiller tant que je le pouvais.
  Soudain, comme un vampire se jete au cou d'une jolie vierge, je pris son gros orteil dans ma bouche et le suçai avec délectation, goutant le sel de sa sueur.
  _ STOOOP, JASON!!! HA HA HA HA!!!
  Impossible!
  Ma langue s'insinuaient entre ses orteils qui se crispaient et se décrispaient tandis que ma main droite chatouillait la plante de ses pieds sans répit.
  Tout à  coup, une douleur éclata das mon épaule et elle me fit revenir à  moi. Je me rendis compte que Keira avait planté ses dents dans mon épaule et que son visage était tout rouge. Je la relâchai et elle s'étala sur le lit, épuisée.
  _ J'en peux plus, lâcha-t-elle.
  Je m'excusai et elle me demanda d'approcher. L'actrice prit mon visage dans ses mains et m'embrassa.
  La nuit passa et je la quittai le lendemain à  l'aeroport. Depuis, je n'ai plus de contact, mais j'ai appris dans les journaux à  scandale qu'elle était revenue aux côtés de son compagnon.
  C'est bien.


  Voilà  une nouvelle histoire, j'espère qu'elle vous plaira et si vous désirez que Jason Leblanc chatouille une nouvelle célébrité, faites-le moi savoir et je lui transmettrai le message...