Histoire : Le blues d'Eva Longoria

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Histoire


Histoire ajoutée le 27/08/2006
Épisode ajouté le 27/08/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

Le blues d'Eva Longoria

  Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Jason Leblanc, critique et journaliste pour un magasine de cinéma américain. Je suis également fétichiste et j'ai eu la chance de chatouiller les pieds de trois charmantes actrices.
  Ce soir-là , j'étais dans mon duplex de Beverly Hills à  travailler sur mon ordinateur à  un article particulièrement assassin sur le dernier film de Tom Cruise. Après deux interviews avec lui, je le savais complètement azimuté du cortex cérébrale à  cause de ses préceptes scientologues et cela avait empiré depuis que sa maison de production l'avait mis à  la porte. De plus, son film mettait en avant une moralité douteuse. Bref, l'acteur allait se faire réduire en charpie par les dents acérées de la critique. J'avais des remords à  être aussi dure car je trouvais sa femme, Katie Holmes, fort sympathique, mais je n'avais pas le choix si devais bien faire mon travail.
  Dehors, je remarquai qu'il pleuvait averse et je pensai que j'étais bien mieux chez moi, bien au chaud, quand la sonnette de l'entrée retentit. Je me levai de mon bureau en me demandant qui pouvait bien me déranger à  cette heure indue. J'ouvris la porte et découvris un spectacle qui me fendit le coeur. Eva Longoria était là , devant moi, toute dégoulinante de pluie, ses longs cheveux bruns gouttant sur mon paillasson, son mascara avait coulé de ses grands yeux marrons et laissé des trainés noires sur ses joues. Elle ne portait qu'un simple débardeur noir, un pantalon en stretch qui lui arrivait à  mi-mollet et des tennis. Elle tenait ses bras fins serré contre sa poitrine et elle grelottait de tout son corps. Je la pris délicatement par les épaules comme s'il s'était agie d'une statue de cristal et la fit entrer chez moi.
  _ Eva, que fais-tu ici, à  cette heure, demandai-je. Entre donc et viens te sécher ou tu vas attraper la mort.
  Je pris une serviette dans ma salle de bain et la remis à  l'actrice.
  _ Qu'est-ce qui se passe, Eva?
  _ Je me suis disputée avec Tony...
  Eva Longoria et le basketteur Tony Parker étaient de bons amis et j'étais d'autant plus proche de ce dernier car il était français et que mon père l'était également.
  _ Viens m'en parler, proposai-je en désignant le canapé du salon.
  Elle libéra ses petits pieds mignons de ses tennis trempées et s'asseya avec moi. Elle m'expliqua l'origine de la dispute en sirotant le thé brûlant que je lui avais préparé, mais je l'écoutais à  peine. Mon attention était faussée par ces pieds humides aux orteils vernis de rouge qui séchaient sur mon tapis. Je les avais déjà  vu, ces jolies pieds prisonniers dans différentes chaussures, mais je savais me tenir car Tony était là . Mais, à  présent, j'étais seul avec Eva Longoria et il y avait peu de chose qui pourrait m'empêcher de la chatouiller.
  _ Non, pensai-je sévèrement, elle est la compagne de ton ami.
  Je repris mes esprits quand elle finit de parler.
  _ Tu peux dormir ici, ce soir, fis-je.
  _ Merci, Jason, je savais que je pouvais compter sur toi.
  Je lui proposai de regarder un DVD pour lui changer les idées et elle choisit dans ma collection Mary à  Tout Prix avec l'excellent Ben Stiller qui, soit dit en passant, est aussi drôle dans la vie que dans ses films.
  Vingt minutes après que le film eut commencé, la belle actrice de la série Desperates Housewives s'endormit sur le ventre, la tête à  un bout de mon canapé et ses jolies pieds reposant sur mes cuisses. Mon coeur s'emballa tandis que je tentai désespérément de ne pas prêter attention à  cette plante laiteuse offerte à  moi.
  _ Non, je ne peux pas, pensai-je, s'est la fiancée de mon ami... Bon, alors juste un petit bisou.
  Délicatement, avec douceur, je portais le creux de ce petit pied divin à  mes lèvres. La peau blanche était fraîche et douce. L'esprit enflammé, je décidai de faire de même avec l'autre pied en m'y attardant un peu. Je le reposai ensuite sur ma cuisse convaincue que je n'irai pas plus loin. Mais c'était trop dure, l'occasion était trop belle. Malgré moi, je pris de nouveau ce pied de rêve et l'embrassai longuement, puis, n'y tenant plus, je sortis à  peine ma langue et goutai sa plante délicieuse.
  Eva écarta soudain son pied.
  _ Que fais-tu, demanda-t-elle d'une voix ensommeillée, sans ouvrir les yeux.
  _ Rien, lui assurai-je.
  Elle reposa son pied et j'attendis un peu avant de repasser à  l'attaque. Je fis courir rapidement mes doigts sous ses pieds et elle les releva en riant doucement. A ma grande surprise, elle les déposa de nouveau sur mes cuisses. Je lui chatouillai un pied, elle l'écartait, puis le reposait en gloussant.
  Ce petit jeu dura un moment jusqu'à  ce qu'elle ne repose plus ses pieds. Elle les faisait danser devant moi en chantonnant des paroles que je ne saisissais pas. Avide comme un lion devant une gazelle, je m'agenouillai sur le canapé, coinçai ces petits pieds qui me rendaient fou contre ma poitrine et les chatouillai sans plus aucune pitié. Eva se mit à  rire à  gorge déployée, mais elle se débattait à  peine et je profitai de la situation. Mes doigts allaient et venaient au creux de ses pieds comme des insectes besognants.
  _ HA HA HA HI HI HI!!!!! C'EST TROP!!!!!!!
  Ce rire légèrement cassé était, pour moi, comme un chant d'oiseau le matin, au réveil.
  Je tirai ses orteils en arrière et en chatouillai la base. Son pied s'agitait en vain, sa peau tendue ne pouvait échapper à  mes griffes. Mes doigts allaient de haut en bas avec une lenteur qu'Eva pouvait difficilement supportée, mais je sentais qu'elle en voulait encore et je ne comptais pas m'arrêter en si bon chemin.
  Quand la fin du film arriva (trop vite à  mon goût), elle me supplia d'arrêter et je m'exécutai de mauvaise grâce quand le générique de fin cessa de défiler sur mon écran de télévision. Eva se leva, déposa un baiser sur ma joue et se cocha dans ma chambre tandis que je dormis sur le canapé.
  Le lendemain matin, elle retourna chez elle et, le soir, Eva me téléphonna pour me dire que tout était rentré dans l'ordre entre eux et pour me remercier.
  Quand je peux rendre service...


  Une de plus sur le compte de Jason Leblanc, en espérant que ça vous plaira...

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