Histoire : [H/F] Ca faisait longtemps...

...que je n'avais pas écrit.




Il était bientôt 23h30, lorsque mon portable se mit à  sonner: c'était Marc, mon copain. Ayant un appartement chacun de notre côté pour le moment, il nous arrivait parfois de ne pas dormir ensemble. Et ce soir alors que nous étions chacun dans notre appart', Marc au téléphone insista pour que je vienne le rejoindre immédiatement. Il faisait nuit et j'étais en survetement, mais curieuse comme j'étais j'ai accepté l'invitation et suis partie chez lui.
Arrivée là  bas, on s'embrassa et on fit un détour dans le canapé pour boire un coup:

-Alors, qu'est ce qui t'arrives ? De quoi tu veux parler ? Et pourquoi maintenant ? lui dis-je.
-En fait, jvoulais te parler de mon fétichisme et...
-De ton fétichisme, maintenant ? répondis-je.

Marc été fétichiste des pieds féminins depuis tout petit. Il aimait en parler et encore plus pratiquer. De mon côté je m'amusais à  le voir baver devant mes pieds, et bien souvent lorsqu'il me les massait, tout cela finissait en chatouilles que je me faisais un malin plaisir de lui rendre à  mon tour en guise de vengeance.
Je connaissais tout de son fétichisme -du moins c'est ce que je pensais- alors pourquoi me faire venir à  23h30 pour en parler, comme si ca ne pouvait pas attendre.
Il reprit:

- Laisse moi parler s'il te plait, ou plutôt laisse moi te montrer quelque chose.

Il se dirigea vers son PC, je m'assie sur ses genoux et il me fit signe de jeter un oeil sur le site sur lequel il été. Il y avait de nombreuses photos de pieds nu, jme doutais alors qu'il s'agissait d'un site fétichiste. Mais ma surprise fut grande quand plus bas je vis des photos de femmes, attachées et chatouillaient par une ou plusieurs personnes aussi bien sous les pieds que sur le tronc.
Je regardais Marc avec un air assez estomaqué:

-heu...c'est légal ça ? lui demandais-je.
- Paniques pas bébé écoutes moi, je suis fétichiste des pieds tu le sais, mais j'ai un sérieux penchant pour les chatouilles aussi. A l'époque je ne t'en ai pas parlé parce que jpensais pas être normal avec des envies pareils, mais j'ai trouvé sur internet des gens qui ressentent la même chose et...
-Et ils ressentent quoi précisément ? lui dis-je sur un ton rieur.
-C'est bizarre jsuis d'accord avec toi mais yen a, à  qui ca excite de chatouiller leur partenaire ou mêmes de simple ami. Jsais pas comment te l'expliquer, ca a un caractère sexuel sans pour autant l'être. On parle pas de sexe mais plutôt de chatouilles. Les réactions des chatouillés sont tellement excitante, c'est une forme de soumission mais sans douleur, tu peux prendre ça comme un supplice mais c'est doux, c'est le plus doux des supplices. Et ca peut être modéré. Le simple fait de te penser en train de te faire chatouiller, imaginer ton rire, la complicité qui passe à  vouloir pousser l'autre à  bout sans lui faire de mal, c'est de la taquinerie c'est du plaisir! Et on ne peut qu'en rire...

Jsavais plus quoi dire. C'était si spécial mais à  la fois si drôle de penser que certains puissent prendre ça comme un plaisir qui les fait jouir. C'est vrai, moi aussi si on me disait "on tient Marc et tu le chatouille" je bondirais sur l'occasion, et le fait de le voir à  ne pas pouvoir se défendre m'insiterais à  le chatouiller davantage. Mais là  il s'agissait d'un consentement de la part de la personne chatouillée, et un plaisir un tantinet excitant sexuellement. Ce n'était pas vraiment de ce point de vue que je m'imaginais les chatouilles:

-bah heu...t'aimes ça te faire chatouiller ? lui dis-je en passant mes doigts le long de son cou.

Il m'embrassa à  plusieurs reprises avant de me répondre, comme s'il avait peur de m'en avouer plus sur ce que je savais à  présent:

-Oui beaucoup, j'ai une préférence pour chatouiller les miss comme toi, mais j'aime bien qu'on me taquine aussi. Tu dois comprendre maintenant pourquoi je te chatouilles tt le temps, et surtout à  la fin des massages puisque ca me fait une bonne excuse.
-On va dans le canapé ? lui répondis-je, completement à  côté de la plaque.

Une fois dans le canapé, il y eu un moment de silence, où l'on se regardait tout les deux dans les yeux. J'étais persuadée qu'il attendait de moi que je lui dise "vas-y attaches moi". Mais j'avais tt de même un peu peur, mis à  part les fois où avec des amies quand j'avais 15/16ans on collait à  terre l'une de nous et celles qui restaient chatouillées la fille à  terre, sans que celle ci n'arrive à  se défendre et ne puisse qu'hurler de rire et supplier d'arreter le massacre, je ne m'étais jamais fais chatouillé en étant sans défense. Et rien qu'à  me rappelait ces moments là  où c'était moi qui était à  terre, jme disais "nan lui dis pas ça!", mais en même temps jme disais qu'il serait sans doute moins cruelles que mes copines l'étaient, car entres copines ont est cruelles, on demandait à  la chatouillée d'avouer quelque chose en sachant qu'elle ne savait pas la réponse, tout ça été bien marrant, sauf lorsque c'était à  notre tour de se faire chatouiller.
Mon courage à  deux mains, je lui balancais:

- Bha vas-y qu'est ce que t'attend ?! tu vas pas me dire que ta rien pour m'attacher, ô toi le grand chatouilleur !

Il n'ouvra pas la bouche, sans doute lui aussi à  son tour estomaqué. Il partit du canapé et en revint avec deux grandes cordelettes dénichées je n'sais où:

- Allez, tendez les poignées, suppliciée ! me dit-il. J'avais soudain l'impression d'avoir attéri dans un jeu de rôle.

Je m'exécutée. Mais avant cela il m'ota mon t-shirt, me laissant seins-nu. Puis mon pantalon fut ôté à  son tour, et il me lia les chevilles ensembles. Il ne m'avait pas enlevé mes chaussettes, mais je n'étais point étonné car je savais que pour lui le simple fait de retirer des chaussettes le rendait tout joyeux.
Alors que j'étais assise, les jambes étendues, il mit ses mains sur mes épaules et me colla le dos au canapé.
J'avais une boule au ventre, un peu stressée mais je faisais comme si de rien n'était et l'on se taquiner comme toujours par la parole en attendant qu'il se décide à  commencer.
Soudain, alors qu'il était assis sur mes hanches, il commenca à  me donner des "coups de doigts" sur tout le ventre. Ayant mes mains liées, non pas derrière mon dos mais devant, j'arrivais à  me défendre quelque peu, mais je ricanais déjà  en gigotant. "La mise en bouche" jme disais.
Puis après une petite minute, il prit la cordes qui liée mes poignées et la tira sur le côté droit, de façon à  ce que je me couche sur le côté, puis il commenca à  faire des allées-retour de mes aisselles jusqu'au bas de mes côtes. Il s'était mis à  califourchon sur mes hanches, bloquant de ses genoux d'un côté mon dos, de l'autre mon ventre et mes poignées.
Je sentais ses doigts agiles et froid coulait tout le long. Je ne trouvais pas ça désagréable mais je ne pouvais m'empecher de rire aux éclats, comme une petite fille sans défense, pliant les jambes pour essayer de destabilisé mon chatouilleur mais en vain. Ce dernier, voyant l'effet positif que cela procurer sur ma personne, il s'empressa d'accelérer le geste mais d'une seule main, car il emmena la deuxième derrière mes cuisses, à  l'intersection entre les fesses et les cuisses, et fit courir ses doigts sur cette partie en allant jusqu'au creux du genoux, me plongeant dans un délire qui devenait un peu moins plaisant qu'au départ.
Pendant 3bonnes minutes il me chatouillait de cette façon, puis revenait sur mon ventre et, tout en me tenant les poignées en l'air, me chatouillait tout autour du nombril pour finir sur ce dernier, puis aller sur les aisselles, où il était sur d'avoir des réactions de ma part. Parfois il rigolait autant que moi et je lachais des "salaud va" entre deux rires, ce qui lui procurer encore plus l'envie de s'acharner sur mon sort.

-2/3 minutes ca suffit, on va passer au meilleur maintenant. Me dit-il avec un air malicieux.

Il me laissa quelques secondes pour me laisser respirer, le temps de me mettre sur le ventre et de s'assoir sur mes molets pour recommencer de plus belles.
Je sentais petit à  petit qu'il ôtait mes chaussettes, tout en me bisouillant les talons comme il avait l'habitude de le faire, et cela n'me déplaisais pas. Puis il se mit à  me chatouiller lentement les talons, en descendant petit à  petit jusqu'aux orteils. Lors des massages il s'amusait parfois à  faire ce genre de choses, aussi j'arrivais à  me retenir mais j'avais quelques gestes brusques lorsqu'il approchait certaines parties.
Mais les hurlements de rires arrivaient soudain lorsqu'il se mit à  me chatouiller un pied en particulier, chatouillant le creux puis les côtés, pour finir sous et entre les orteils.
Je suppliais alors tout en gardant un certain amusement, car les pieds étaients de tout, ce que j'avais de plus chatouilleux. Je repensais à  mes copines de collège lorsqu'elle me faisait endurer ce supplice, à  quatre sur mes pieds il leur est arrivée parfois de rester toutes une après midi à  courir après pour me chatouiller les pieds, après des minutes infernales elles me relachaient pour avoir le plaisir de me recourir à  nouveau après et recommencer de plus belle!:

-Hahahahahahahahahahaha arrête Marc arrêteeee s'il te plaiiiiit haaaaa!!

J'essayais tant bien que mal de trouver une solution pour éviter ce calvaire mais je n'y arrivais pas.
C'est au bout d'au moins 5minutes qu'il s'arrêta, à  mon plus grand bonheur.
Le principal était le fait de lui avoir fait plaisir...