Histoire : Les caprices des soeurs Olsen

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Histoire


Histoire ajoutée le 30/08/2006
Épisode ajouté le 30/08/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

Les caprices des soeurs Olsen

  Je suis Jason Leblanc, journaliste et critique de cinéma, fétichiste et chatouilleur de célébrités. En temps normal, je suis d'une nature assez calme, mais deux starlettes ont réussi à  me mettre en colère et elles ont encouru mon courroux.
  Ce jour-là , j'avais décidé de mener de front deux interviews simultanées, celles d'Aschley et Mary-Kate Olsen. Les soeurs jumelles avaient eu une actualité cinématographique différente et qui sortait de l'ordinaire par rapport à  ce qu'elles faisaient d'habitude. Aschley avait joué dans une adaptation très rock'n roll d'un livre de Stendhal, le Rouge et le Noir, réalisé par Sofia Copolla et Mary-Kate avait tourné une comédie romantique de Richard Curtis à  qui l'on devait Quatre Mariages et un Enterrement entre autres. Les deux jeunes filles de vingt ans avaient été ravie que je me charge de leur interview car nous nous connaissions depuis longtemps. Mon grand-père était un ami de leurs parents.
  Après une journée de promotion de leurs films et une séance d'autographes, elles prirent le chemin de l'aeroport, mais, à  la suite d'un problème technique, tout les avions furent cloués au sol.
  Comme je ne supportais pas l'avion et que j'avais pris ma voiture, je proposai aux deux soeurs de les emmener jusqu'à  leur prochaine destination : Hollywood. Le chemin serait long, mais elles arriveraient avant leur avion. Elles acceptèrent et je le regrettai bientôt amèrement. Elles maudirent avec force les problèmes techniques à  l'aeroport, puis la pluie qui s'abattait sur notre route et, enfin, l'inconfort de ma Range Rover. Rapidement, je fus abruti par leurs jérémiades incessantes et, même avec le son de la radio assez fort, mon ouà¯e n'échappait pas à  leurs voix aigues et horripilantes.
  La pluie se transforma en déluge et, malgré leurs protestations, je décidai que nous passerions le reste de la nuit dans un motel.
  _ Il n'est pas question que nous dormions au bord de la route, s'exclama Aschley.
  _ Et surtout pas dans une chambre carsseuse, renchérit Mary-Kate.
  _ C'est ça où vous couchez dans la voiture, tranchai-je. Restez ici le temps que je prenne les clefs des chambres.
  Le sympathique vieux gérant du motel regretta qu'il ne lui reste plus qu'une chambre avec deux lits pour une personne et, moi, jeregrettai d'avance la réaction des filles, mais nous n'avions pas le choix. Après de longues négociations, je parvins à  faire sortir les soeurs jumelles de la voiture. Elles se plaignirent de la pluie qui trempait leurs pieds chaussés de tongs, puis frolèrent la catalepsie quand elles virent l'éxiguité de la chambre. Quand elles reprirent leurs esprits, je les suppliai de dormir, mais elles invectièrent avec force mon initiative jusqu'à  ce que je craque.
  _ Je vous assure que si vous n'arrêtez pas de geindre, je vous attache au lit et je vous baillonne!
  Naturellement, elles ne me prirent pas au sérieux et, piqué au vif, je m'en allai à  ma voiture. Dans le coffre où j'avais laissé ma fameuse mallette à  chatouille, je me munis de cordes et de baillons, puis retournai d'un pas décidé dans la chambre. Je ne vous le cache pas que se fut difficile, mais je parvins néanmoins à  attacher et à  baillonner les soeurs Olsen sur le lit.
  _ Je vous avais pourtant prévenu, haletai-je.
  Elles se débattaient, visiblement mécontentes, et, moi, je les observais, satisfait.
  Soudain, je remarquai leurs pieds humides et luisants qui avaient perdu leurs tongs durant la lutte.Le désir monta en moi e voyant ces chevilles entravées, ces petits orteil qui se tortillaient, la peau de la plante qui se plissait et semblait m'inviter à  la chatouiller. Je m'agenouillai au bout du lit, séduit par ses pieds charmants.
  _ Je crois que je vais vous donner une leçon que vous ne serez pas prètes d'oublier.
  Je commençai à  faire courir mes doigts sur cette peau laiteuse et si sensible. Les yeux bleus des deux soeurs s'agrandirent et elles éclatèrent de rire sous leur baillon. Elles s'agitaient à  tel point que je dus décoller le lit du mur pour ne pas alerter les voisins. Leurs pieds étaient frais et doux, s'était un vrai plaisir de les chatouiller et je me demandai comment j'avais fait pour ne jamais remarquer pareille beauté. Je m'amusais à  différencier leur sensibilité et je remarquai qu'Aschley se débattait beaucoup quand mes ongles titillaient le creux de ses pieds, tandis que Mary-Kate devenait littéralement hystérique quand je m'approchais de la base de ses orteils. Parfois, j'abandonnais les pieds d'une des soeurs pour me concentrer uniquement sur ceux de l'autres, puis je revenais à  la première.
  Au bout d'un moment, je m'arrêtai et encadrai mon visage entre leurs pieds.
  _ Avez-vous compris la leçon, demandai-je.
  Elles agitèrent frénétiquement la tête en marmonnant pour acquiesser à  ma question.
  _ Bon, fis-je, je vous fait un rappel pour être sur que vous comprenez bien, puis on va se coucher.
  Les soeurs Olsen crièrent derrière leur baillon, mais leurs cris se muèrent rapidement en rires quand mes doigts vinrent chatouiller leurs pieds qui étaient devenus brûlants.
  _ A point, pensai-je, comme je les aime.
  Ma langue glissa sur la peau moite du pied d'Aschley tandis que je continuai à  chatouiller Mary-Kate. Je les gouttai toutes les deux et jamais je ne fis pareil festin. Je n'avais jamais pensé qu'il était si plaisant de chatouiller des soeurs jumelles.
  Enfin, commençant à  éprouver la fatigue de la route, je les libérai, complètement éreintées à  tel point qu'elles s'endormirent toutes habillées. Le lendemain, le trajet fut beaucoup plu calme et les filles furent plus aimables.
  La leçon avait porté ses fruits.

  Encore une histoire qui, je l'espère, vous plaira et, en particulier, à  pédi qui m'avait demandé une histoire avec les soeurs Olsen...

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