Histoire : La curiosité d'Avril Lavigne

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Histoire


Histoire ajoutée le 01/09/2006
Épisode ajouté le 01/09/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

La curiosité d'Avril Lavigne

  Je suis Jason Leblanc, le célèbre journaliste et critique de cinéma que tout le monde connait, mais très peu de personne me connaissent comme étant le chatouilleur des célébrités. Enfin, seulement les actrices que j'ai chatouillé. Sept en tout et je n'en suis pas peu fière. C'est devenu comme une spécialité, chez moi, et, chaque fois que je rencontre une jolie star, j'espère pouvoir trouver une occasionpour m'occuper de ses pieds. Mais pour la chanteuse que j'ai rencontré qui faisait ses premiers pas dans le cinéma, jamais je n'aurai pensé approcher ses pieds.
  J'étais dans un des studios D'Hollywood pour rencontrer la chanteuse Avril Lavigne et je ne pensais pas un seul instant à  ce que je pourrai lui faire subir. Ce n'était pour moi qu'une jeune femme qui s'essayait à  faire du cinéma pour le meilleur ou pour le pire.
  On me mena à  elle et je ne fus pas surpris de la voir habiller comme dans ses clips : débardeur kaki, bracelets de cuir cloutés aux poignets, baggi noir et baskets de skatteurs.
  _ Bonjour, mademoiselle, je suis Jason Leblanc, dis-je.
  _ C'est donc toi, le journaliste, répondit-elle, j'ai pas mal entendu parler de toi depuis que je suis arrivée ici. Très bien, mec, on la commence, cette interview?
  _ Volontier.
  Je commençai à  poser des questions à  la jeune rebelle et je savais que je ne réagissais pas comme elle le désirait à  son tutoiement et à  son "mec" quand elle s'adressait à  mo. Je restais de marbre à  ses provocations, j'étais là  pour faire mon travail et non la guerre. A la fin, elle me demanda :
  _ Tu as un sacré flegme, tu serais pas anglais?
  _ Non, Melle Lavigne, je suis américain, d'origine française.
  _ Ca ne t'arrive pas de t'énerver?
  _ Si, c'est déjà  arrivé.
  _ Qu'est-ce que tu fais quand tu t'énerves?
  _ Vous n'aimeriez pas le savoir.
  _ Mais si, dit le moi!
  Je réfléchis un instant en jetant un coup d'oeil aux petites baskets de la chanteuse. Pourquoi pas, pensai-je.
  _ Très bien, dis-je, ce soir, je viens à  votre hotel et je vous montre ce que j'ai fait une fois à  une femme qui est maintenant mon amie.
  Je vis Avril réfléchir, sceptique et curieuse en même temps, ses yeux maquillés de noir s'étrécirent pour mieux m'analyser.
  _ Très bien, mec, fit-elle, je t'attend à  mon hotel, mais j'espère que ça vaut le coup.
  Je ne savais pas à  quoi elle s'attendait, mais je lui répondis :
  _ Ne vous inquiétez pas, vous ne le regretterez pas.
  Le soir, je fus à  la porte de la suite d'Avril Lavigne à  l'heure dite, muni de ma fameuse mallette. Elle m'ouvrit vêtue de la même façon que lors de l'interview.
  _ On peut dire que tu es ponctuel.
  _ Toujours, dis-je en entrant.
  _ Tu veux boire quelque chose ou on commence tout de suite.
  _ Je préfère commencer tout de suite.
  _ Qu'est-ce que je dois faire?
  _ T'allonger sur le lit pour que je t'attache.
  _ Tu me prends pour une idiote.
  _ Je t'assure que tu n'as rien à  craindre.
  Elle me toisa un moment, puis me sourit.
  _ D'accord, puisque tu as dit que je ne le regretterai pas.
  La chanteuse s'allongea sur le lit et je lui liai les poignets au montant, puis je lui otai ses baskets en prétextant qu'il serait dommage de salir ce beau dessus de lit. Le doux parfum de ces petits pieds en chaussettes noires monta à  mes narines et me fit frissonner. Je retirai ces morceaux de tissus superflux en prétextant la chaleur de la suite et les portai à  mon nez. Que s'était bon de respirer cette douce odeur à  plein poumon.
  _ Que fais-tu, demanda-t-elle, inquiète.
  J'avais failli oublier. Sans répondre, je lui atachai ses chevilles et rassemblai ses mignons petits pieds odorants. Je caressai amoureusement sa plante et elle frémit. Je me saisis de la plume dans ma mallette et elle sursauta quand je lui frôlai sa peau.
  _ Non, hi hi hi, qu'est-ce que tu fais, ha ha ha, Jason, ha ha ar... ha ha arrêtes.
  Avril riait doucement. C'était un rire plaisant qui me donnait envie d'accélérer les choses. De plus, avec ce parfum qui m'ennivrait, j'avais le plus grand mal à  ne pas sauter les étapes. J'abandonnai rapidement la plume pour faire courir tout mes doigts sur ses pieds si charmants.
  _ AAAAAH HA HA HA!!!! STOOOP!!! PAS CA HA HA HA!!!! HOU HOU HOU!!! PI HI HI HI TIER!!!!
  Comme j'aimais ces éclats de rire, mais plus encore cette peau laiteuse qui se plissait en se tendant et en se détendant. Ses petits pieds se débattaient, pris de frénésie et cela me plaisait. Sadiquement, je jetai mes deux mains à  l'assaut d'un seul pied pour ne laiser aucun répit à  cet endroit si sensible. Mes index se faufilaient ensuite entre ses orteils qui se serraient désespérément pour essayer d'échapper à  mes chatouilles, mais cela lui était impossible. Avril riait tellement que les larmes lui coulaient des yeux et étalait son maquillage noir.
  _ Et maintenant, le bouquet final, dis-je.
  Je saisis un pied dans chaque main et les léchai à  grand coup de langue comme un affamé. La chanteuse se débattait tellement qu'elle faisait trembler le lit et me suppliait d'arrêter, mais le doux parfum me rendait sourd à  ses supplications. Ma langue lui titillait ses orteils serrer pour pouvoir s'infiltrer tandis qu'elle criait :
  _ NON!!! PAS CAAAAA!!!! HA HA HA!!!!
  Quand j'y parvins enfin, je crus qu'elle allait défaillir, mais je continuai encore un peu à  faire courir ma langue tant le gout de ses orteils était divin.
  Finalement, je la relâchai et elle m'avoua avec un demi sourire qu'elle regrettait un peu d'avoir voulu me voir énerver.
  La curiosité est un vilain défaut.

  Voilà , nouvel exploit de Jason Leblanc, j'espère que ça vous plaira et surtout à  Faint qui voulait voir Avril Lavigne chatouillée...

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