Histoire : Un conte de fée

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Histoire


Histoire ajoutée le 28/10/2006
Épisode ajouté le 28/10/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

Un conte de fée

 C'est une histoire un peu longue, mais j'espère que ça vous plaira... Je me suis inspiré d'un conte qui éxiste déjà ...


 Il y a bien longtemps, à  l'époque où le monde était régi que par des rois et des reines, vivait un jeune paysan dans la campagne italienne. Il s'appellait Ruggero et avoir un âge compris entre vingt et vingt-cinq ans. Il possédait un petit champ, quelques poules et une vache qui lui permettaient de vivre et de vendre au marché du village. Il savait pouvoir s'estimer heureux, mais il lui manquait une chose essentielle : l'amour d'une femme. Il était très malheureux car il désepérait de ne jamais trouver une épouse.
 Un jour, alors qu'il était sur la place du marché, Ruggero fut abordé par une vieille femme à  l'allure misérable. Ses cheveux sales faisaient comme un rideau gris qui dissimulait son visage et ces vêtements n'étaient plus que loques crottées et nauséabondes.
 _ Bonjour, jeune homme, fit-elle de sa voix éraillée.
 _ Bonjour, répondit Ruggero, méfiant devant l'apparence de cette femme.
 _ J'aimerai vous acheter des oeufs, mais je ne peux vous payer comme il convient, d'habitude.
 Je suis désolé, madame, mais je ne peux me permettre de faire l'aumone, je ne suis guère plus qu'un pauvre paysan.
 _ Je pourrai peut-être vous payer différemment. Tendez votre main, s'il vous plaît.
 Méfiant, mais curieux, Ruggero s'éxecuta.
 La vieille prit quelque chose dans sa poche qu'elle déposa dans la paume du paysan. Ce dernier ne savait pas ce que s'était, mais cela brillait comme un soleil.
 _ Est-ce de l'or, demanda-t-il.
 _ C'est un haricot doré, il est magique. Et comme il est magique, il n'a pas de prix.
 _ Et vous voudriez m'échanger cet objet hors de prix contre des oeufs? Désolé, mais j'ai des difficulté à  vous comprendre.
 _ Cet haricot ne peut me nourrir, je vous en supplie, acceptez cette offre.
 Intrigué, Ruggero accepta et, le soir, il se trouva à  sa table avec le haricot doré posé devant lui. Des questions se bousculaient dans sa tête, mais une revenait plus souvent que les autres : quels pouvoirs magiques détenaient cette chose? Peut-être devait-il planté cet haricot doré pour en faire pousser d'autres et ainsi assurer sa fortune. Pourquoi pas? Il devait essayer.
 Ruggero sortit sous une pluie battante, creusa un trou avec ses mains, déposa le haricot dedans et le recouvrit. A peine s'était-il redressé qu'une minuscule pousse émergea de la terre. Surpris, le paysan se pencha, mais elle poussa d'un coup et se trouva à  faire la taille de Ruggero qui tomba sur son séant. Quelques secondes plus tard, elle avait la taille d'un vieux chêne et, pas plus d'une minute plus après, le sommet de la plante disparaissait dans les nuages gris. Quelle taille devait-elle faire, à  présent? N'écoutant que sa curiosité, le paysan décida de grimper jusqu'au sommet de la plante.
 L'escalade se révéla plus périlleuse qu'il ne l'avait pensé car ses prises étaient rendues glissantes par la pluie. Avant de disparaître dans les nuages, il jeta un dernier regard à  sa maison qui était réduit à  un point minuscule.
 Trempé jusqu'aux os, frigorifié et éreinté, il traversa lamasse nuageuse jusqu'à  émerger d'un trou dans la terre.
 _ Je ne comprend pas, se dit-il, je suis parti du sol en trversant le ciel et me voici de nouveau sur la terre ferme. Aurai-je atteint le Paradis?
 Tout autour de lui avait une taille démesurée, les brins d'herbe avaient la taille des arbres et les arbres, celle des montagnes. Il se promena alentour sans trop s'éloigner de la plante qui l'avait mené jusqu'à  cet étrange pays quand des pas derrière lui firent trembler la terre. Il fit volte face et se trouva devant un géant encapuchonné. Ruggero tenta de fuire, mais le géant n'eut aucun mal à  le rattraper. Dans cette main énorme, le pauvre paysan hurla qu'on vienne l'aider, mais personne ne vint.
 Le colosse l'emmena dans sa cabanne et se débarrassa de sa capuche qui dissimulait son visage. Le petit captif resta abassourdi. En fait de géant, il s'agissait d'une géante, mais quelle géante! C'était la femme la plus belle qu'il n'eut jamais vu. Elle avait de longues boucles couleur de miel, de longs et fins sourcils, de grands yeux comme des lacs en été, un petit nez mignon et des lèvres qu'on voulait tout de suite embrasser.
 _ Mon Dieu, pensa Ruggero, est-ce un coup de foudre?
 La géante le porta à  hauteur de son visage.
 _ Je n'ai jamais vu un être tel que toi, dit-elle, qu'es-tu pour être aussi petit?
 _ Je m'appelle Ruggero et je ne suis rien qu'un pauvre paysan.
 _ En attendant d'en savoir plus sur ce que tu es, je vais te garder dans la cage de mon rossignol qui s'est enfui la semaine dernière.
 Ruggero se trouva prisonnier d'une cage gigantesque, mais il ne s'en apercevait pas. Il ne pouvait détacher son regard de sa belle et titanesque geôlière.
 La géante se débarrassa de son manteau ainsi que de l'arc et des flèches qu'elle portait en travers de sa poitrine avec des gestes gracieux. Ensuite, elle s'assit sur son lit et retira péniblement ses bottes en cuir souple. Elle commença à  se masser les pieds en grimaçant.
 _ J'ai trop marché, aujourd'hui, dit-elle pour elle même.
 Ruggero remarqua comme les pieds de cette femme étaient sublimes car il nourrissait une passion secrète pour eux depuis toujours. Ceux de la géante étaient fins, soules, avec de longs orteils, parfaitement entretenus.
 _ Madame, fit le paysan, si vous le désirez, je peux vous faire un massage des pieds.
 _ Toi, dit-elle en riant, avec tes petites mains?
 _ Laissez-moi essayer, s'il vous plaît.
 Elle réfléchit un instant avant de répondre :
 _ Très bien, mais si tu essaies de fuir, je t'écrase sans pitié.
 Il acquiessa, mais il n'avait aucune envie de partir, pas maintenant.
 La géante le sortit de sa cage, le mit sur le lit et elle posa la plante de ses pieds devant lui. Quel vision magnifique! Ils étaient juste un peu plus grand que lui. Son gros orteil faisait la taille du bras de Ruggero. Et le parfum! Quel merveilleux parfum que celui des pieds fatigués!
 Il resta un moment les yeux fermés à  humer ces effluves qui l'entouraient, puis il s'approcha du pied droit, posa ses deux petites mains et commença son massage titanesque. La plante de pied de la géante était douce et chaude et, tout en déplaçant ses mains, la paysan appliquait son visage sur la peau odorante. Il aurait voulu étreindre ce pied de toutes ses forces, mais ses bras étaient trop petits. Il les leva un peu plus haut que sa tête pour atteindre la base des orteils et masser.
 _ Hmm, fit la géante, tu fais un excellent travail.
 Son massage durait depuis plusieurs minutes déjà  et Ruggero voulait passer à  autre chose, car sa véritable passion était les chatouilles. Il ne savait pas comment allait réagir la géante s'il osait la chatouiller, mais il avait une envie irresistible de le faire. De plus, cette odeur le rendait fou, égarait ses pensée. Il frottait son visage contre la plante de ce pied pour mieux en humer le parfum.
 Soudain, dans un éclair d'inconscience, les doigts du paysan devinrent comme des serres et il chatouilla le pied de la géante visiblement sensible en faisant de grands gestes des bras.
 _ AAAH! HA HA HA!
 Elle replia sa jambe en éclatant d'un rire délicieux.
 S'apercevant soudain de ce qu'il venait de faire, Ruggero balbutia :
 _ Je suis désolé.
 _ Ce n'est pas grave, fit la géante, d'habitude, je ne suis pas contre, mais là , je désire qu'un massage.
 _ Très bien.
 Le paysan passa à  l'autre pied et le massa en gardant son visage pressé contre la peau laiteuse.

 Le lendemain matin, Ruggero se réveilla dans sa cage. La veille lui paraissait comme un rêve délicieux, il n'aurait jamais pu imaginer meilleur instant. Durant son massage, la géante s'était interressée à  la vie de son masseur et, tandis que le paysan parlait de lui, il la sentit devenir moins méfiante à  son égard. Quand il eut terminé, elle le replaça dans la cage en lui offrant trop de nourriture et un dé à  coudre d'eau trop grand pour lui.
 Finalement, sa première nuit de captif n'avait pas trop affecté son moral, bien au contraire. Depuis sa cage, il chercha la géante, mais elle s'était absentée pendant qu'il dormait. Elle revint qu'en fin de matinée.
 _ Bonjour, madame.
 _ Appelle-moi Valeria, dit-elle en souriant.
 Elle retira ses bottes, puis se dirigea vers la cage.
 _ J'ai marché un peu pour toi, avoua-t-elle, car je crois, tu as apprécié l'odeur de mes pieds, hier, n'est-ce pas?
 _ C'est vrai, cela m'a transporté.
 Elle le sortit de sa cage, le déposa sur le lit et s'étendit à  côté delui sur le ventre.
 _ Je suis à  toi, annonça-t-elle.
 Ruggero avança vers la plante des pieds dirigées vers le plafond et s'allonga sur le gauche en humant son parfum et en le caressant. Il frottait son visage, tout son corps tendu, comme pour mieux s'imprégner de cette odeur entêtante qui faisait naître en lui un excitation qui l'avait rarement connu. Il rampait sur le pied sans en décoller son nez pour en sentir chaque pore. Il respirait fort en fansant aller sa face de droite à  gauche. Il déposa un tendre baiser à  la base du gros rteil suivit d'un long coup de langue.
 _ HOU, s'exclama la géante en plissant ses doigts de pied. J'ai été un peu surprise, mais continue, s'il-te-plaît.
 Ruggero s'exécuta et continua à  lécher la peau laiteuse et salée. C'était un festin au goût divin. Malgré la taille de sa pied, lapasan savait qu'il ne serait jamais rassasié. Il voulait le lécher jusqu'à  la fin des temps. A chaque contact de sa langue sur la peau, il pensait qu'il allait mourir d'excitation. Son poul battait à  une cadence infernal, son sang gonflait chaque muscle de son corps. Il croyait bientôt exploser.
 De plus, il aimait entendre les petits cris incontrôlés de Valeria à  chacun de ses coups de langue. Ces "hou, hou" discrets le menaient au paroxysme de son excitation.
 Soudain, Ruggero enroula fermement son bras autour d'un orteil et, avec sa main libre, chatouilla impitoyablement une petite partie du pied de la géante. La réaction fut violente et immédiate. Elle agita frénétiquement son pied en riant très fort.
 _ AAAAAH!!!! HA HA HA HA HA HA!!!! C'EST HORRIBLE!!!!!!!! HI HI HI HI HA HA HA HA HA!!!!!!
 Malgré les secousses, le paysan tenait ferme et chatouillait la géante sans discontinuité. Elle ne pouvait échapper au chatouilles car, même en plissant son pied, le paysan arrivait à  insinuer ses doigts redoutables sous les plis la peau.
 _ GRA HA HA HA CE!!!!!!! JE-JE-JE DEMANDE GRACE!!!!!!!!! HA HA HA!!!!!!!!!
 Ruggero n'avait pas l'intention de la gracier, loin de là . Il fit passer sa main libre entre deux orteils et découvrit ainsi l'endroit le plus sensible de Valeria.
 _ AAAAAAAAAAAH!!!!!!!
 Elle hurla en agitant la jambe. Elle la levait et l'abaissait sur le lit, mais le paysan ne lachait toujour pas sa prise. C'était si merveilleux de chatouiller un pied si beau, de surcroit démesuré et appartenant à  une femme magnifique qu'il se sentait la force de rester accrocher à  cet orteil indéfiniment.
 _ RU HU HU HUGGERO!!! JE T'EN PRIE HI HI HI!!!!!!! PITIE!!!!!!! HA HA HA HA!!!!!!
 Voyant le visage tout rougi de Valeria, lepaysan décida de lui accorder une pause. Elle laissa retomber sa jambe lourdement, épuisée.
 _ Tu es diabolique, petit homme, haleta-t-elle.
 _ N'oublie pas qu'il me reste encore ton pied droit.
 _ Oh non, fit-elle avec un demi sourire.

 Au fil des jours, ils devinrent de plus en plus intimes. Valeria ne mettait plus Ruggero dans a cage et elle le laissait dormir dans une de ses bottes. Là , avant de s'endormir, il s'asseyait en tailleur contre la semelle et s'imprégnait de l'odeur de sueur et de cuir.
 Un jour, la géante demanda :
 _ Ne veux-tu pas retourner chez toi?
 Elle était assise sur le lit, les jambes étendues devant elle, haletante car ils venaient d'achever une de leur séance de chatouille quotidienne. Le paysan était allongé sur le dessus du pied droit, les bras derrière la tête.
 _ Je n'ai aucune envie de rentrer chez moi, répondit-il. J'ai trouvé ici ce que j'ai toujours cherché. Je crois que je suis amoureux et je donnerai n'importe quoi pour être plus grand.
 _ Je donnerai n'importe quoi pour être plus petite, retorqua-t-elle tristement et mystérieusement.

 Un matin, Ruggero fut réveillé par une grosse voix qui chantait au dehors. Valeria le délogea précipitemment de la botte pour le mettre dans la cage.
 _ Que se passe-t-il, demanda lepaysan.
 _ C'est mon mari, répondit-elle.
 _ Ton mari?
 _ Oui, il était parti en voyage et je ne pensais pas qu'il revindrait si tôt. Surtout ne dis plus rien.
 Un homme à  la barbe noire et hirsute entra brusquement dans la cabane.
 _ Me revoilà , chérie, cria-t-il.
 _ Oui, déjà , fit Valeria.
 Le regard du géant fut attiré par la cage et il s'en approcha.
 _ Qu'est-ce que c'est, demanda-t-il en désignant Ruggero.
 _ Rien qu'une pauvre créature que j'ai trouvé dehors.
 Le géant fit volte face, attrapa sa femme par la taille et la jeta sur le lit. Il lui prit ensuite ses fines chevilles et appliqua la plante de ses jolis pieds sur son visage.
 _ Ha ha ha! Arrête, ta barbe me chatouille!
 _ Hmm! Ce parfum m'a tellement manqué!
 Et il passa sa large langue sur toute la longueur du pied de Valeria.
 _ AAAAH!!! Non, stop! Je n'ai pas envie de ça, aujourd'hui.
 _ Eh bien moi, j'en ai envie!
 Le géant s'étendit en travers des jambes de sa femme, lui tira les orteils de son pied gauche en arrière et la chatouilla farouchement, sans aucune déliactesse, comme quelqu'un qui attendait ce moment depuis longemps.
 _ HA HA HA!!!!NOOOOOOON!!!!!!! PAS CA!!!
 Le géant faisait glisser ses doigts de haut en bas sur la peau tendue et sensible du pied de de sa femme sous les yeux de Ruggero, impuissant. Le paysan voulait faire quelque chose pour aider Valeria, mais il brûlait également d'être à  la place du mari. Ce dernier pouvait chatouiller lesdeux pieds avec une seule main et il ne s'en privait pas. Il tortillait les orteils de sa femme, glissait sa langue entre eux et elle hurlait de rire en suppliant que ça s'arrête et demandant pitié, mais cela ne servait qu'à  intensifier les chatouilles sur ses pieds délicats.
 Son calvaire dura deux heures, jusqu'à  ce que le géant décide qu'il était fatigué et ne s'endorme accompagné de gros ronflements. Alors, Valeria prit Ruggero dans sa main et le mena jusqu'à  la plante qui l'avait mené dans ce pays.
 _ Tu dois rentrer chez toi, petit homme.Il ne peut arriver rien de bon pour toi, ici.
 _ Viens avec moi.
 _ Tu sais bien que s'est impossible. Va-t-en et coupe cette plante quand tu seras arrivé.
 En pleurant, le paysan s'exécuta. Chez lui, il abattit la plante géante ainsi qu'un bel amour naissant.

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