Histoire : Prisonnier à jamais... (scénario de base El-Tickleo)

Voila l'histoire de El tickleo représente un tel fantasme pour moi qu'il faut que je fasse ma propre version de la chose. Cette histoire m'a redonnée l'envie d'écrire mais le mérite de se que j'écris lui revient entièrement aussi je vous demanderait de ne pas délaisser son histoire pour la mienne, je vous en serait reconnaissant =).

C'est parti.

Chapitre 1: Ou suis-je?

Se rêve était si agréable. Je me sentait flotter dans les airs, caressant les nuages du bout de mes doigts. La chanson d'Aladin "ce rêve bleu" remplissait les cieux tandis que le vent venait caresser mon visage et faisant virevolter mes longs cheveux châtains. Je me sentais libre j'ouvrais mes yeux brun pour contempler un ciel comme je n'en avait jamais vu. Un ciel d'un rose pâle éclairer de milles étoiles et d'une lune bleu ainsi qu'une géante gazeuse qui semblait être a porter de main. Laissant mon corps sans prétention prendre un envol plus vertical je me laissait guider par mes sens oniriques. Mais toutes bonnes choses ont une fin, et je me réveillait vers une réalité beaucoup moins libre...

Je revenais donc tout doucement au monde réel. J'était vraiment dans le potage. Encore dans cet interlude ou on se demande ou est la réalité et ou est le rêve. Peinant à ouvrir les yeux pour contempler l'obscurité je découvrait alors la pièce dans laquelle je m'était endormi. Je n'avait que peu de souvenirs de la veille et pour le moment je mettait sa sur le dos du réveil tout en douceur que j'accomplissait. Je me demandait quelle heure il était. Je voulu regarder mon réveil mais il n'était pas à sa place.

Je n'était donc pas chez moi. C'était bon à savoir... J'était dans une position assez inconfortable. Je m'étira un moment dans un cliquetis métallique qui me surpris. Je tentait de rétracter mes membres et c'est à se moment que je remarquait mes entraves.
"Qu'est ce que..."
Disais-je tout haut toujours dans le potage. Je vérifiait mais oui. Mes 2 poignets semblait être menotté tandis que mes chevilles elles étaient fixé à des barreaux avec des cordes les rendant encore moins mobile que mes mains. L'obscurité de la pièce ne me permettait pas de discerné quoi que se soit. Il y régnait une odeur de linge propre, comme si la chambre avait été préparée pour moi. Je tentais de me soustraire à mes liens mais c'était absolument impossible. Je sentait l'air sur mon corps, J'était apparemment en simple caleçon, rien de plus et heureusement rien de moins. Nous étions au printemps aussi je n'avait pas froid.

Je regardait autour de moi, soit il faisait nuit noir soit il n'y avait aucune fenêtre à cette pièce. Je me sentait mal à l'aise. Qui ne le serait pas à ma place. Maintenant que j'était complètement réveillé et que mon coeur battait à cent à l'heure; je me remémorait la veille. Celle ci me revenait par fragment comme si c'était un rêve.

J'étais à une soirée chez l'amie de l'amie d'une amie... Elle s'appelait Jessica. C'était une très jolie fille qui m'avait tout de suite plus. 20 ans si je me souvient bien soit un an de plus que moi. De longs cheveux d'un noir intense et 2 yeux vert émeraude. Se qui m'avais plus c'était son sourire. Un sourire qui se voulait discret et qui pourtant attirait le regard. Des lèvres assez fines et sans rouge à lèvres. Elle était d'ailleurs très peu maquillé. Je m'en souvient parce que c'est se qui m'avait plu chez elle. Elle portait une robe de soirée noire comme ses cheveux d'ou ressortait les lanières rouges de son soutien gorge. La robe s'arrêtant à ses genoux dévoilant ses jambes nus et longues se terminant par une paire de talons noirs aussi. Tout se noir contrastait avec sa peau plutôt pâle et qui semblait si douce.

J'avais beau me rappeler en détail de cette fille le reste de la soirée était assez flou. Je savait que j'avais discuté avec d'autres filles qui n'avaient pas retenu mon attention. Je n'avais pas cesser de regarder Jessica, et elle n'avait pas cesser de me regarder non plus avec un regard semblant vouloir me dévorer. Je m'était dis que je devais lui plaire. Je l'avais aussi vu discuté avec une autre fille plus jeune, 16 ans environs. Une fille dont elle semblait proche. Je les avait vu rire tout en me jetant des regards discret. Je n'aurais pas su décrire cette fille. Tout était trop flou... Je me rappellait avoir discuter seul a seul avec Jessica. Je ne me souvenait que très peu de se qu'on avait discuter. Je crois qu'elle m'avait confier aimer rester seuls de temps à autres et que cette maison dont elle avait hérité lui convenait parfaitement pour cela. Elle m'avais dis que je lui plaisait... Sa je m'en rappelait très bien maintenant. Qu'elle voudrait me garder pour elle seule... Elle avait dis sa sur un ton qui se voulait surement comique mais c'était raté. Je sais qu'ensuite je l'avais suivi. Elle m'avait montré son jardin, son immense jardin, la maison était à la campagne. Puis elle m'avait embrasser, un baiser rapide mais qui signifiait beaucoup. Et puis... Plus rien... Le trou noir... Le néant... Je venait dans son jardin, elle m'embrassait et pas moyen de savoir se qui c'était passer après. Je ne buvais pourtant pas... Sa devrait être plus clair que sa... Mais non rien...

Comment est ce que j'avait pu me retrouver attaché dans cet endroit? On allait pas tarder à me l'apprendre...

J'entendit le grincement d'une porte, c'était plutôt lointain... A un voir 2 étages au dessus de moi. J'entendait un bruit de pas descendant une à une des marches. Un pas à la fois timide et impatient. Mon ravisseur avait hâte de venir me voir... Mais il n'osait pas... Ou alors il voulait prendre tout son temps pour savourer cet instant. Je tentais encore une fois de me libérer mais rien a faire j'était piégé.

Les pas se rapprochait. Un pas léger, aucune chaussure ou chaussons. Je l'entendait venir à ma droite. Il arrivait frôlant le parquet qui craquait son son poids. J'entendis une poignée s'abaisser. Une porte s'ouvrit laissant une douce lumière éclairer mon antre. Et la dans l'ouverture de la chambre, je reconnaissait sans une once de doute la silhouette de Jessica.

Je m'habituait à la lumière et commençais à voir son visage. Elle avait un sourire aux lèvres. Mais pas se sourire discret et heureux qu'elle avait la veille. Mais le sourire d'une chasseresse ayant trouver sa proie. Se n'était plus le visage angélique qui m'avais séduit mais une tout autre femme. Elle me montrait une toute nouvelle Jessica. Une Jessica qu'elle semblait caché à tout le monde. Frôlant le sol de ses pieds nues elle se présentait à moi dans un simple pyjama assez ample mais qui faisait très bien ressortir ses formes, sans doute était elle nue en dessous.

Elle s'avança vers moi telle une enfant voulant ouvrir ses cadeaux de noël. Tout en douceur, comme pour ne pas brusquer se moment, elle se mit à califourchon sur mon ventre. Ses pieds glacé frôlant mes cuisses me provoquant un frisson. Jusque la aucun mot n'était sorti de ma bouche et quand elle vit que le premier allait arriver elle m'intima de me retenir me déposant son doigts sur mes lèvres. Je ne sais pas pourquoi mais je lui obéis, respectant le silence qui régnait dans la pièce. Elle caressa mon torse de la paume de ses mains se qui n'était pas désagréable. Elle regardait mon corps, ou pour être précis le dévorait des yeux. Il était pourtant plutôt banal, je n'avais jamais vraiment été fier de mon corps. Mais je me sentait tout de même flatté par se regard. Bien que ligoté dans un endroit qui m'était inconnu j'arrivais à me satisfaire du peu que l'on me donnait.

Sans un mot ni quoi que se soit qui aurait pu l'annoncer elle me frôla les côtes des ses longs ongles provoquant en moi des démangeaisons insupportable qui me firent bondir sur place. J'était extrêmement chatouilleux. Et après se long passage qui m'extorqua quelques rire elle ouvrit enfin la bouche pour me parler d'une voix cristalline.

"On ne m'avait pas mentit..."
Elle avait dis sa sur un ton tellement langoureux que les mots s'insinuait en moi comme si elle venait de me déclarer sa flamme. Elle refit un passage me faisant lâcher un
"Arrête!"
Impulsif et incontrôlé. Elle s'en amusa et continua a me taquiner d'un seul doigt se qui était déjà assez horrible vu ma sensibilité. Tandis que je me débattait pour échapper à son supplice pervers tout en retenant mes rires elle continua toujours sur le même ton.
"J'attend depuis longtemps de te trouver"
J'écoutait attentivement tentant de la regarder dans les yeux tandis que les siens suivait le trajet de son doigt.
"J'ai tellement attendu se jour... Je vais tellement m'amuser avec toi"
Elle avait dis cette dernière phrase avec un mélange d'excitation et de malice qui me fit froid dans le dos.
"Chante pour moi mon petit oiseau."

Et avant que je demande ce qu'elle avait en tête elle intensifia d'un seul coup la torture. Ses doigts se glissèrent à des endroits stratégiques tel que mes côtes et mes aisselles. me faisant hurler de rire ils dansait sur ma peau sensible. De véritables chocs électrique me parcourait à chaque touché et me faisait hurler. Elle semblait beaucoup s'amusé je sentait son corps s'appuyé contre le mien pour éviter que je ne bouge trop. Ses ongles étaient de vrais saleté à me caresser quand elle passait des aisselles à mon ventre. Je hurlais tout se que je pouvait, ma voix tirant dans les aiguës tandis que mon souffle était saccadé par des crises de rire.

Malgré mes rires et mes quelques supplications incompréhensible elle ne s'arrêtait pas. Continuant sans danse des doigts sur ma peau sans défense. Le passage sur mes côtes était le plus désagréable. Elle l'avait bien compris d'ailleurs, multipliant bien vite les assauts sur cette partie de mon anatomie. Remuant ses doigts entre les os à m'en faire pleurer. Elle faisait preuve d'un sadisme prononcer et ne le retenait aucunement. J'était un jouet pour elle, prisonnier de mon propre corps il me prenait l'envie d'en sortir pour échapper à cette torture. J'avais de plus en plus de mal à respirer. Elle du le voir d'ailleurs car elle m'accorda une pause.

Je profitait autant que possible de cette pause. J'aurais voulu qu'elle dure au moins 2 mois. Que je reste sans bouger sans utiliser aucun de mes muscles pendant tout se laps de temps. Bien sur j'était très optimiste. Rien qu'a l'expression de ma bourreau on voyait qu'elle ne retiendrait pas ses pulsions plus de quelques minutes. Elle caressait de nouveau mon corps cette fois imbibé de sueur. Suivant ses mains des yeux toujours semblant vouloir me dévorer. Maintenant qu'elle avait commencé je comprenait un peu mieux se regard. Je n'osait rien dire, de peur que cela serve de prétexte à recommencer. Elle plaça alors ses mains sur mes épaules et déposa un baiser au milieu de ma poitrine me faisant un effet reposant incroyable. C'était une douceur pour mon corps déjà si fatigué.

"On s'attaque à la suite?"

Dit elle avec malice.

"Non... Non s'il te plaît!"

Mais elle ne m'écoutait pas. Elle se retournait déjà s'allongeant sur mon corps suintant de sueur. Je sentait son corps chaud contre le mien. Et ses pieds glacé m'effleurèrent le visage presque avec tendresse. Je ne voyait pas se qu'elle faisait. Tout se que j'avais c'était l'odeur enivrante de ses petons venant me narguer. Malgré ma situation plutôt critique j'arrivait encore à me faire ensorcelé par de simple petons. La lumière n'était pas assez forte pour que je puisse les contempler autant que je l'aurait voulu.

Jessica elle semblait lorgner sur les miens. Elle glissa un doigt le long du droit ayant un effet immédiat. Je comprenait mieux pourquoi mes chevilles était solidement attaché contrairement à mes poignets qui gardait une faible capacité de mouvement.
"On ne m'a dit que du bien de ses 2 la... Et elles avaient raisons."
Je me demandait de qui elle parlait. C'était la deuxième fois qu'elle me faisait se genre de réflexions.

Mon esprit n'eut pas trop le temps de divagué. Ses doigts tirèrent mes orteils vers l'arrière tandis que ses ongles se mirent à glisser atrocement sur ma plante. Un supplice comme on en faisait plus. Je me remis à me débattre, beaucoup plus difficilement vu que tout le corps de la jeune femme me plaquait contre le matelas tandis qu'a travers mes cris je perçu son rire amusé. Elle continua inlassablement ses passages lent et destructeur. Je lui lançait des arrête et des pitié à la chaîne mais cela semblait la motivé d'autant plus. Ses ongles se firent plus insistant grattant véritablement ma peau imbibé de sueur me faisant perdre les pédales. Elle s'amusa alors a venir me torturer un orteil d'un seul doigts. Et c'était comme si cet orteil avait contrôlé mon corps entier. La sensation que cet orteil régulait maintenant toute ma vie. Malgré son étreinte et les attaches je me démenait pour lui échapper mais rien y fit. Elle avait même éloigné ses pieds pour m'empêcher quelque manœuvre que se soit. J'en pleurait de rire tellement la sensation était horrible. Je n'avais pu notion du temps. Mais elle l'avait sa c'était certain. Elle profitait de chaque seconde de son jeu pervers à mes dépends. Et je ne pouvait que hurler impuissant devant cette femme me tenant entre ses griffes. Son ongle continuant de m'arracher des rires qu'elle savourait.

Elle déposa finalement un baiser sur mon gros orteils avant de se tourner vers moi tout en douceur. Passant ses jambes par dessus les miennes pour me refaire face tandis que je reprenais mon souffle. Elle s'allongea alors sur moi et me mordilla l'oreille avant de me chuchoter

"Vais préparer le petit dej, attend moi la mon canari."

Elle partit alors sautillant, contente de ce qu'elle venait de me faire endurer. Je ne pu m'empêcher d'observer ses courbes magnifiques avant qu'elle ne disparaisse derrière le battant de la porte.

J'était son prisonnier dans tous les sens du termes. Elle me contrôlait complètement. J'était à sa totale merci, je lui appartenait, je n'était qu'a elle...

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Voila mon grand retour sur la toile =D Suis plutôt fier de moi pour se retour même si je rappelle que le mérite revient a El-Tickeo et je vous encourage à lire son histoire qui est quand même la base de celle ci =)

Voici le lien vers son histoire et je veut autant de comms sur la sienne que sur la mienne c'est bien compris =P

http://forum.ticklingfr.com/viewtopic.php?f=23&t=16130