Histoire : La punition de Victoria Justice

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Histoire ajoutée le 31/07/2017
Épisode ajouté le 31/07/2017
Mise-à-jour le 03/07/2021

La punition de Victoria Justice

Salut à tous,

Cela fait maintenant un moment que je lis vos histoire et j'aimerai vous proposer la mienne, qui sera peut-être la première d'un longue série.

Celle-ci sera composée de plusieurs chapitres, qui j'espère vous plairont. N'hésitez surtout pas à laissez des commentaires négatifs comme positifs, que je puisse progresser.

Je vous souhaite une bonne lecture, voici ma première histoire.



Chapitre I : Préparation



10h42

C’est l’heure qu’affiche ma petite montre bleue.

Je suis fin prêt, j’ai mes cordes dans ma valise, le chiffon imbibé de chloroforme dans ma poche arrière et la cagoule dans la poche avant.

J’ai les mains moites, je stress un peu. J’ai beau avoir travaillé ce plan depuis des semaines, j’ai la mauvaise impression que quelque chose va se passer de travers.

Je m’asperge le visage d’eau et me regarde dans la glace, je me trouve un peu fatigué mais avec une lueur perverse dans le regard. Je dois bien admettre que je suis très excité.

Je regarde à nouveau ma montre, il est 10h54, je vais devoir y aller.

Je sors de la salle de bain et je décroche ma veste du porte-manteau. Je jette un coup d’œil à mon appartement, que je ne reverrai pas avant plusieurs semaines, si toutefois tout se passe bien.

Ma montre bipe 11h, j’enfile ma veste, je souffle un grand coup, ouvre la porte et sort.



The Kimpton Muse Hotel, c’est là qu’elle a prévue de passer la nuit. Je rentre le plus calmement du monde dans le hall, je fais mine de me diriger vers l’ascenseur quand un groom m’arrête. Mon cœur loupe un battement, ce n’était pas censé se passer comme ça. Mais heureusement, on dirait que la chance est au rendez-vous, le groom m’interpelle, me demandant ce que je fais ici, en me retournant vers lui, ma veste que je n’avais pas fermé s’agite, découvrant ma chemise Dior.

C’est ma chemise la plus chère, celle que ma sœur m’avait acheté pour son mariage, par un heureux hasard, je l’ai mise aujourd’hui. Le groom, voyant cette chemise hors de prix, se confond en excuses. Je le salue et monte dans l’ascenseur, ce groom doit être nouveau, je n’aurai sans doute pas une deuxième chance, je dois faire plus attention.

Arriver au neuvième étage, je sors de l’ascenseur, c’est à cette étage que se situe les suites. Je ne sais malheureusement pas laquelle est la bonne. Je marche dans le couloir en examinant les lieux, rien de très intéressant, quelques plantes, un ou deux tableaux... Arriver au bout du couloir, je trouve un immense pot dans lequel est planté un palmier, je rigole intérieurement car la taille du palmier est dérisoire par rapport à celle du pot. Les portes de l’ascenseur s’ouvre, je me retourne et voit une femme d’âge mûr, elle m’aperçoit et me regarde comme si j’étais un déchet, voyant que je la fixe, elle détourne le regard et rentre dans sa suite. Génial, une de moins, je sais que ce n’est pas celle-là.

Je me cache derrière l’immense pot en attendant qu’elle arrive, ma montre indique 11h53, l’attente commence.



13h41

Les portes de l’ascenseur s’ouvrent, je jette un coup d’œil mais ce n’est pas elle, je retombe dans ma léthargie, je commence à avoir faim, mon excitation de ce matin est retombée, remplacée par une certaine lassitude.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrent de nouveau, je pousse un soupir soulé et me retourne, mon cœur rate un nouveau battement, c’est elle, Victoria Justice. A 24 ans, elle est tout simplement sublime. Elle est simplement vêtue, un débardeur noir qui laisse une bonne idée de ce que doit être sa poitrine, ses beaux bras se balancent le long de son corps, ne portant aucun bijou. Elle porte également un jean bleu foncé si moulant qu’il ne laisse rien à l’imagination, je me délecte de ses fines jambes et baisse le regard vers ses pieds, mon cœur fait un bon dans ma poitrine, elle porte des converses noirs, j’ai du mal à en juger de là mais je pense qu’elle a d’assez petit pieds, elle doit également porter des socquettes car je n’aperçois pas ses chaussettes.

CLIC !

Ce bruit me ramène à la réalité, elle vient d’ouvrir sa porte, je me dépêche de relever la tête juste à temps pour voir la porte se refermer, je retiens le numéro et me rassoie derrière le pot.

Je révise mentalement mon plan, puis fantasme sur Victoria en attendant qu’elle ressorte de la chambre.



20 minutes plus tard, elle ressort de celle-ci et se disparaît dans l’ascenseur. Mon cœur s’accélère, je passe à l’action, je vérifie qu’il n’y a personne dans le couloir et je me dirige vers la porte de sa chambre. Je sors un trombone de ma poche, et je farfouille dans la serrure, 5min plus tard, le clic que j’entends me fais sourire, j’ai réussi. Je rentre dans la chambre en refermant derrière moi, j’observe la pièce, ou plutôt les pièces, cette suite est immense ! Je suis impressionné. Je contemple la suite puis me concentre de nouveau, j’ouvre ma valise et en sort les cordes, je défais le nœud et les étends derrière un canapé, j’y cache également un bandeau ainsi qu’un gag ball.

Je vérifie que tout est prêt et je m’assoie dans un fauteuil, l’attente recommence mais cette fois je suis excité, je réfléchis à ce que je lui ferrai, et ce sera tout simplement merveilleux.

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