Histoire : Jeu à  3

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Histoire


Histoire ajoutée le 25/04/2006
Épisode ajouté le 25/04/2006
Mise-à-jour le 03/07/2021

Jeu à  3

Julie avait organisé cette soirée, profitant de l'absence de ses parents. Bien qu'étant le seul mec entouré de trois filles, je passe une bonne soirée. En effet, je m'entends bien avec les trois : Julie, Anaà¯s et Camille. Il est deux heures du matin, tout le monde a pas mal bu et on cherche ce qu'on pourrait bien faire dans les quelques heures qui viennent… Je m'éclipse un moment pour aller aux toilettes et en passant devant la chambre de Julie, qu'est-ce que j'aperçois : comme une planche avec deux trous à  l'intérieur. Il ne m'en faut pas plus pour comprendre qu'il s'agit d'une sorte de petit pilori, ou stocks à  l'anglaise. Je sens que l'on ne va pas hésiter longtemps sur ce que l'on va faire dans les minutes qui viennent. Je retourne donc m'asseoir à  côté de Julie et profite d'un moment où Anaà¯s et Camille s'éclipsent elles aussi dans la cuisine pour demander rapidement à  Julie ce que cet objet fait dans sa chambre. Elle rougit immédiatement et me répond aussitôt : « Dis rien aux autres, mais j'adore jouer à  ça de temps en temps …, tu vois ce que je veux dire…, les chatouilles …enfin… » Elle semble très hésitante à  me parler de ça, je n'avais en effet jamais remarqué son penchant pour les chatouilles. Je lui réponds pour la mettre à  l'aise : « Moi aussi, mais seulement en tant que bourreau ! » Elle me regarde surprise. Je reprends : « Ca te dirait pas de jouer à  ça avec Camille et Anaà¯s, mais tu t'arranges pour pas que je sois victime », lui dis-je. Elle n'a pas le temps de me répondre car les filles reviennent de la cuisine. « J'ai une idée de jeu, dit alors Julie en me regardant furtivement, je suis sûr que ça va vous plaire les filles. » Elle nous laisse alors et se dirige vers sa chambre d'où elle revient avec les stocks qu'elle semble avoir du mal à  tirer. Les filles la regardent assez surprises.
« Je vous explique, leur dit-elle, on va jouer à  un jeu de résistance, on met les pieds là -dedans et on se fait chatouiller. Celle qui tient le plus longtemps a gagné. » Camille réagit aussitôt : « Yesss, trop marrant ton truc, j'avais jamais vu ça. » Anaà¯s semble elle beaucoup plus hésitante : « Euh, je crois pas que je vais jouer les filles, je suis beaucoup trop chatouilleuse. » « Allez, l'encourage Camille qui semble très emballée par le jeu, ça va être marrant. » « Ok, on va voir », concède alors Anaà¯s. Julie s'adresse alors à  moi en me disant : « Tu vas faire bourreau et arbitre. » Ce rôle me convient très bien lui fais-je comprendre et demande alors comment on va procéder. « On n'a qu'à  commencer par se tester quelque temps, explique alors Julie, on met les pieds dedans et tu nous chatouilles, je sais pas moi euh…, 5 minutes non stop, pour voir comment on réagit, c'est pas long 5 minutes. » Avant même qu'Anaà¯s est le temps de dire qu'elle n'est pas d'accord, je demande : « Ok, qui est volontaire ? » Toutes les trois se regardent. Ah oui, c'est plus dur d'y aller que de fanfaronner, me dis-je en les observant. Après une vingtaine de secondes, Camille dit en rigolant : « Bon, bah faudra bien y aller de toute façon … J'y vais, dit-elle, je fais quoi ? », demande-t-elle à  Julie . Julie ouvre alors les stocks et demande à  Camille de passer les chevilles dedans. Elle referme alors et me dit d'un ton solennel : « A vous bourreau » On éclate alors de rire tous les quatre.
Je me dirige vers Camille qui commence à  me chambrer : « Tu vas même pas être capable de m'arracher le moindre sourire. » « C'est ce qu'on va voir », je lui réponds. Sur ce, je lui retire ses deux chaussettes et jette un regard à  ses deux petits pieds, du 37, pas plus, bien proportionnés, peu cambrés. Elle n'est pas surprise, elle devait s'attendre à  cela. Je vois alors à  ma gauche Julie ôter d'elle même ses chaussettes et m'aperçois qu'Anaà¯s porte des collants. « Va les enlever dans une chambre, je lui dis, je ne chatouille que les pieds nus. » On rigole à  nouveau tous, sauf Anaà¯s qui semble de plus en plus réticente à  ce jeu. Mais elle va quand même dans la chambre d'Anaà¯s pour se changer. Pendant ce temps, je m'attaque à  Camille. Je commence par laisser glisser mon index droit sur son pied gauche. Son pied ne bouge pas d'un millimètre, ne se plie pas, et son visage reste impassible. Elle se permet même de discuter avec Julie qui vient de mettre le chrono en marche. Je me décide donc très vite à  passer aux chatouilles avec tous mes doigts sous son pied droit. La réaction ne se fait pas attendre. Elle ferme les yeux, son pied se plie et commence à  fouetter l'air. Je décide alors de chatouiller aussi le pied gauche. « 1 minute » annonce alors Julie. Ses deux pieds fouettent maintenant l'air, la respiration commence à  s'accélérer et un sourire commence à  se dessiner sur on visage. Ses jolis petits pieds sont donc assez chatouilleux, on va bien pouvoir s'amuser avec tout à  l'heure ! Vers deux minutes de chatouilles, elle commence à  émettre ses premiers sons : « Hihi, … ça chatouille …hihi… plus que …hihi… je pensais…hihi . » Je continue quand même à  la chatouiller. Ses rires ne s'accentuent pas lors des trois dernières minutes, durant lesquelles elle alterne rires, discussions et moments pendant lesquels elle reste silencieuse en se mordant la lèvre inférieure. Au bout de cinq minutes, j'arrête les chatouilles. Elle reprend aussitôt ses esprits et s'adresse à  nous trois : « Ouhla, c'est dur dis donc, mais c'est trop marrant, vivement tout à  l'heure que j'y retourne…Euh, non ptètr pas vivement, mais j'y retournerai quand même. » On rigole tous les quatre, même Anaà¯s qui semble détendue. Elle enchaîne d'ailleurs aussitôt : « Bon je veux bien y aller, mais deux minutes seulement, pour voir comment je réagis, je suis trop chatouilleuse je vous dis, s'il vous plait. » « Bien sûr, je lui réponds, le but c'est de s'amuser, pas de souffrir, enfin pas pour le moment. » A nouveau, rire général, je prends vraiment mon rôle à  cÅ“ur.
Anaà¯s qui s'est donc mise pieds nus se dirige fébrilement vers les stocks. Elle pose donc ses chevilles dans les demis cercles avant que je ne le referme. Contrairement à  Julie qui avait demandé à  pouvoir s'adosser à  un canapé, Anaà¯s préfère se coucher sur le dos. Ses pieds sont magnifiques, du 38 me dit-elle quand je lui demande. Leur forme est quasiment parfaite : de petits orteils avec du vernis rouge, des pieds un peu cambrés, pas de callosités, très fins. Je la préviens que je vais y aller. Au premier toucher avec mon index, elle laisse échapper un gloussement de surprise. « Hip » Je continue alors doucement. Contrairement à  Julie qui supportait bien au début, Anaà¯s bouge déjà  son pied dans tous les sens et au bout de dix secondes, alors que je ne la chatouille qu'avec deux doigts maintenant, elle rigole déjà  beaucoup. Je me mets alors à  lui chatouiller aussi l'autre pied. Ses rires grandissent mais cela reste quand même loin d'être une trop forte torture. Au bout d'une minute, je la chatouille avec les cinq doigts sous chaque pied. Elle rigole maintenant très fort, ses pieds bougent dans tous les sens et Julie est obligée d'être là  pour tenir le pilori. Quand j'arrête au bout de deux minutes, je comprends pourquoi elle a demandé cette dérogation de temps et la regarde reprendre doucement ses esprits. « Ce n'était que deux minutes, lui dis-je, ce sera bien pire tout à  l'heure. » « C'est mort, je retourne pas là -dedans », répond-elle. « Allez, fais pas ta rabat-joie, lui dit Camille, j'ai bien supporté cinq minutes moi, on te fera moins longtemps à  chaque fois c'est tout. » « Ok, on verra, lui dit alors Anaà¯s, mais tu peux pas savoir à  quel point c'est difficile pour moi. » Pendant ce temps, Julie s'est installée dans les stocks.
Elle a pris la même position couchée qu'Anaà¯s. « Les filles, dis-je à  Anaà¯s et Camille, après tout c'est Julie qui a eu cette idée, je vous laisse la chatouiller cinq minutes. » « Nan, c'est pas du jeu, réplique Julie, quatre mains pour commencer c'est trop dur. » « C'est moi le bourreau, c'est moi qui décide. » Sur ce, et avec beaucoup moins de retenue que moi au début, Camille et Anaà¯s chatouillent chacune un pied avec leurs deux mains, faisant exploser de rire Julie dès le début des cinq minutes. Ses pieds, un peu plus grand, du 39, mais tout aussi fins et très bien entretenus, frétillent désespérément, avant que Camille et Anaà¯s ne se décide à  tenir le pied tendu avec une main pour pouvoir mieux chatouiller avec l'autre. Cette méthode m'oblige à  tenir les stocks pour pas que Julie puisse trop bouger. Ses rires sont maintenant forts et je décide de l'enfoncer un peu plus en lui annonçant qu'il lui reste encor 3 minutes à  tenir. Elle ferme alors courageusement les yeux et se décide à  arrêter de rire. La façon dont elle s'est arrêté de rire nous surprend tous les trois. Elle a le visage extrêmement tendu mais plus un bruit ne sort de se bouche. Au bout d'une minute, et alors qu'il en reste deux, elle semble incapable de résister dans cette position plus longtemps. Elle gigote dans tous les sens et respire maintenant bruyamment. Camille et Anaà¯s remplisse leur tâche à  merveille et à  une minute de la fin, elle explose à  nouveau de rire. Mais cette fois-ci, elle apparaît bien incapable de résister encore une minute, ou tout du moins de se reconcentrer pour ne pas rire. Lorsque le temps s'achève, elle reprend difficilement ses esprits et s'adresse à  Camille et Anaà¯s : « Vous allez souffrir les filles, vous vous rendez pas compte de ce que vous venez de faire. »

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