Histoire : Institut PAVO (Épisode 01)

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Histoire


Histoire ajoutée le 12/12/2022
Épisode ajouté le 12/12/2022
Mise-à-jour le 07/05/2023

Institut PAVO

Bonjour tout le monde,

Voici une histoire qui se déroule dans un institut appartenant au monde de Fantasia, monde imaginaire crée par une autre personne qui se reconnaîtra sans problème.


Voici donc le premier chapitre ce cette histoire. Bonne lecture !

« Madame la Directrice, l’Inspectrice du Centre est arrivée », dit une voix féminine sur le haut- parleur design placé sur un immense bureau en verre.

« Très bien, je descend », répondit-elle 

Madame la Directrice est une femme d’une grande élégance, brune, yeux bleus, cheveux mi-longs,  plutôt grande, ongles longs, toujours perchée sur d’immenses talons vertigineux. Elle dirige  l’Institut PAVO d’une main de fer. Personne dans l’établissement n’ose la contredire sur quelque  sujet que ce soit, connaissant parfaitement les conséquences subies en cas de confrontation ou de désobéissance. En effet, l’établissement dispose de son propre règlement qui vient se substituer aux lois du Royaume de Fantazia, règlement obligatoirement signé par chacune des employées et patientes y compris les infirmières, doctoresses, et autres scientifiques qu’elles soient affectées à l’Institut de manière permanente ou temporaire. 

L’Institut PAVO, aussi parfois appelé « Le Centre », est un centre thérapeutique très réputé dans le Royaume, spécialisé dans différents domaines tels que pédicurie, gynécologie ou bien massages de toutes sortes. On dit qu’il dispose également d’une aile secrète, mais personne n’a jamais pu le confirmer, et cela semble plus une légende urbaine qu’autre chose. En tout cas le secret est bien gardé, probablement parce que les employées ou patientes connaissent les risques encourus en cas de fuite d’information. 

L’Inspectrice du Centre est envoyée par la Reine de Fantazia afin de vérifier l’efficacité de l’établissement dans tous ses domaines de compétence. Il s’agit d’une femme, la quarantaine, d’un look assez strict, yeux marrons, cheveux châtains en chignon, tailleur strict et chaussures plates. C’est une femme de rigueur très attachée aux détails. 

« Bienvenue au Centre Madame l’Inspectrice », commença la Directrice une fois arrivée dans le large hall d’accueil. 

- Merci, Madame la Directrice, répondit l’Inspectrice

- Vous avez fait bonne route ? 

- Oui je vous remercie. 

- J’ai préparé une visite guidée pour vous. Nous allons visiter les différents services du Centre: le service de pédicurie, de massage, de gynécologie, et de recherche médicinale. 

- Vous oubliez une partie non ? 

- Je vois ! Seriez-vous au courant de certaines de nos activités couvertes par Sa Majesté La Reine ? 

- Exactement ! La Reine tient à savoir ce qu’il en est : combien, qui, et si vos « méthodes » sont efficaces. 

- Vous ne serez pas déçue croyez-moi. Suivez-moi ! Nous allons commencer par le service de pédicurie. 

La Directrice se met en route suivie par l’Inspectrice. Elles quittent l’immense hall d’accueil pour entrer dans un long couloir encadré de nombreuses portes numérotées. La Directrice ouvre la première porte, la P001 : celle-ci ouvre sur une salle d’attente assez classique avec des chaises le long des murs, une table au centre et une deuxième porte fermée. Sur les murs, quelques posters illustrent l’importance des pieds dans le bien-être général, avec quelques messages faciles à retenir; quelques publicités pour des chaussures, des semelles, des crèmes, des bas également, avec quelques photos de pieds nus féminins tous plus sexy les uns les que autres. Un immense poster de près de 2m de haut trônant au centre d’un large mur, montre une plante de pied nue féminin avec de nombreuses flèches indiquant la signification de points de réflexologie plantaire. Une patiente assise sur une chaise est en train d’attendre son tour. Elle a l’air un peu anxieuse. Du coup la directrice lui demande:

« Vous attendez depuis longtemps ? 

- Oui ça fait au moins 45 minutes 

- Ah ? C’ est la première fois que vous venez ici ? 

- Oui, j’ai été envoyée par ma pédicure habituelle. Elle m’a dit que je devais absolument venir ici pour faire un check-up complet de … mes pieds. 

- Très bon choix ! Vous pourrez la remercier de ma part lorsque vous la reverrez. 

- Mais, vous travaillez ici ? Savez-vous en quoi consiste ce check-up ? 

- Oui, je suis La Directrice de cet établissement. Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer. Notre pédicure va inspecter méticuleusement vos pieds, faire une cartographie de sensibilité plantaire et analyser chacun de vos orteils. 

- De … sensibilité ? Que voulez-vous dire ? 

- Elle va vérifier la sensibilité et la qualité de vos réflexes plantaires. 

- Mais comment va-t-elle procéder ? Qu’est-ce qu’elle va me faire ? 

- Vous verrez, toutes nos pédicures ici sont de grandes professionnelles... 

Soudain, la porte du salon de pédicurie s’ouvre brutalement, laissant échapper un immense éclat de rire féminin qui emplit toute la salle d’attente. Une infirmière en sort, et s’arrête brusquement en tombant nez-a-nez avec Madame La Directrice. 

« Que se passe-t-il ? », demande La Directrice, obligée de hausser la voix pour couvrir les rires féminins hyper aigus et convulsifs provenant de la pièce d’à coté 

« Je...Je dois aller de toute urgence à l’infirmerie pour chercher des sels de pieds. La pédicure n’en

n’a plus, car cette patiente en a déjà respiré deux lots complets. Je n’ai jamais vu ça. On est tombé sur une hyper. Si on continue comme ça elle va finir par s’évanouir à force de rire » 

A l’ouverture de la porte insonorisée libérant ainsi les hurlements de rires, la patiente de la salle d’attente devint blanche de peur ayant compris immédiatement ce qui se passait dans la salle de pédicurie. 

« Que...qu’est-ce qu’on est en train de lui faire ? Pourquoi elle rit autant ? On est en train de lui chatouiller les pieds, hein ? c’est bien ça ? C’est comme ça qu’on vérifie la sensibilité plantaire, je comprends ! Je ne veux plus y aller ! Je vais immédiatement sortir de cet établissement et expliquer tout ça à ma pédicure. Elle n’en reviendra pas, et elle n’enverra plus jamais personne ici, croyez-moi ! » 

Et elle se leva de sa chaise pour se diriger vers la porte de sortie. 

« Vous n’en ferez rien ! » lui répliqua Madame La Directrice, la retenant par le bras 

- Lâchez moi je vous prie, répondit la patiente 

- Pas question ! rétorqua La Directrice. Sachez d’une part que vous allez devoir subir cet examen, et d’autre part, que vous n’en direz jamais rien à personne. J’imagine qu’en entrant ici, on vous a fait signer le règlement intérieur. Ce règlement stipule qu’en cas de divulgation de nos méthodes, vous êtes passible d’une condamnation qui vous fera revenir ici de toutes façons, de grès ou de force, pour y être punie très sévèrement. Et croyez-moi, vous n’avez pas envie d’être punie chez nous !! 

La patiente, affolée tenta de s’échapper, mais l’infirmière et la Directrice réussirent à l’immobiliser. Entre-temps les rires s’interrompirent : l’autre patiente s’étant évanouie ! L’Inspectrice fut estomaquée par ces différents événements ! 

« Je pense que La Reine sera heureuse de savoir à quel point vous appliquez le règlement à la lettre"

La pédicure sortit de la salle de « soins » pour voir ce qui se passait dans la salle d’attente, attirée par les voix qu’elle entendit lors de l’arrêt de la crise de rires de sa patiente. La pédicure, une femme très sexy, tenait une longue plume fine de couleur blanche entre le pouce et l’index de sa main droite. 

« Que se passe-t-il ? Oh Madame La Directrice ? Vous ici ? » 

- Oui Dr Diana, aidez-moi à maintenir cette patiente, pendant que l’infirmière va chercher de l’aide » répondit la Directrice 

- Melissa, allez donc chercher 2 infirmières avec un brancard pour emmener la patiente du Dr Diana dans une cellule du premier sous-sol, et 2 gardiennes pour maîtriser cette nouvelle patiente récalcitrante pour qu’elle subisse son examen, ordonna la Directrice 

Puis s’adressant à la nouvelle patiente à la fois morte de peur et folle de rage: 

« Vous avez choisi la manière forte : vous allez le regretter croyez-moi ! Sauf si vous êtes sado-masochiste, mais je doute que ce soit la cas». 

Quelques minutes plus tard, 2 gardiennes costauds, en uniformes noirs d’agent de sécurité, avec  bottes et casquette, entrent dans la salle d’attente et aussitôt empoignent la nouvelle patiente sans ménagement et la menottent dans son dos. 

« Bien ! Merci mesdames ! Maintenez-la ici le temps que les infirmières arrivent avec le brancard pour évacuer l’autre patiente du Dr Diana » leur commanda Madame la Directrice. 

Enfin, le brancard arrive. Les 2 brancardières et l’infirmière s’engouffrent dans la salle de soin, détachent la patiente du fauteuil de pédicurie, empoignent la patiente complètement évanouie sous les aisselles, la portent puis la déposent sur le brancard. Enfin elles sortent du salon de pédicurie, et reviennent dans la salle d’attente. C’est alors que la nouvelle patiente découvre avec effroi, l’état dans lequel se trouve la patiente évacuée : celle-ci est complètement molle, la tête renversée en arrière et sur le coté ; de la bave s’écoule abondamment sur son menton et sur ses joues rougies, la bouche largement ouverte en un très large sourire béat, la langue sortie, les yeux révulsés en arrière louchant vers le haut du visage, le tout donnant une expression complètement stupide à l’infortunée victime. 

« Mon Dieu !! Cette expression ! Pauvre victime ! Vous, ...vous l’avez chatouillée à mort, c’est ça, hein ?! Vous l’avez faite hurler de rire jusqu’à l’étouffement n’est-ce pas ? C’est inhumain de chatouiller quelqu’un comme ça contre son grès, c’est de la torture !! En plus quand on est chatouilleuse comme elle ! Vous êtes des monstres ! Laissez-moi, laissez moi partir ! » hurla l’autre patiente, complètement choquée. 

« Je...je vous propose un marché ! Si vous me laissez partir je ne dirai rien à personne je vous  promets ! Je vous en prie, laissez-moi partir ! » continua-t-elle. 

-Il n’en est pas question, vous en avez trop vu. Gardes ! Emmenez-la dans la salle de pédicurie. Le Dr Diana va se faire un plaisir de l’examiner. » répondit La Directrice avec un sourire carnassier. 

C’est alors que les gardiennes saisirent la patiente par les aisselles, la traînèrent dans la salle de "soins", et la fixèrent sur un large fauteuil de pédicurie, la patiente se débattant en gigotant avec une force de tous les diables tentant désespérément de s’échapper de leur emprise. 

« Parfait !, merci mesdames », dit la doctoresse Diana, qui avait pénétré dans son propre cabinet à la suite des 2x gardiennes et de la patiente. 

-Voulez-vous assister à l’examen ? » demanda la Directrice à l’Inspectrice

Avec plaisir ! J’ai hâte de découvrir vos méthodes.

La patiente, morte de peur et également très en colère, n’arrête pas de supplier, au bord des larmes :

« Je vous en supplie, laissez-moi partir ! Je ne dirai rien je vous promets, je ne résisterai pas à cet examen ! Pitié ! Pas çà !» 

La patiente est très bien fixée sur le fauteuil : son dos repose sur le dossier incline à 45degres, et ses jambes tendues devant elle, les chevilles enserrées dans 2 trous pratiqués dans un carcan, laissant libres ses pieds chaussés de l’autre cote des trous. Des lanières la fixent au fauteuil et aux accoudoirs au niveau des cuisses, de la taille, des avant-bras, des bras et des poignets. Les seules parties de son corps qu’elle peut bouger sont ses mains, ses pieds et sa tête. 

Le Dr Diana, insensible à ces supplications, détache délicatement les lanières des escarpins de la patiente découvrant ainsi les 2 pieds nus de la patiente. La doctoresse a toujours apprécié particulièrement ce moment. D’autant qu’elle ne fut pas déçue. 

« Oh ! Vous avez des pieds magnifiques ! Un très joli 38-39 : des plantes délicieusement cambrées et élégantes, des orteils longs et délicats, un beau vernis rouge, une peau blanche et douce ! Un régal pour le yeux ! », s’exclama la Dr Diana 

- Et, si j’en déduis par votre agitation et vos supplications, vous devez être terriblement CHATOUILLEUSE DES PIEDS n’est-ce pas ? », en insistant bien sur «chatouilleuse des pieds » 

« Non ! Non ! Pitié ! Ne me chatouillez pas les pieds ! Pas les chatouilles ! Je ne supporte pas les chatouilles sous les pieds ! »

« Non ! Non ! Pitié ! Ne me chatouillez pas les pieds ! Pas les chatouilles ! Je ne supporte pas les chatouilles sous les pieds ! » 

« Nous allons commencer par cette plume, celle qui a tant fait hurler de rire la patiente précédente », répondit simplement la Dr Diana. 

La Directrice, et l’Inspectrice ne perdait pas une miette de ce qui était en train de se dérouler sous leurs yeux, avec une excitation grandissante. 

C’est avec un regard vicieux et un sourire sadique, que la doctoresse Diana approcha lentement  l’extrémité effilée et pointue de la longue plume fine directement vers le creux vertigineux et si attirant de la cambrure de la plante du pied droit de la patiente. Celle-ci crispa son visage et sa mâchoire, son regard inquiet fixant ses orteils, serrant avec force les bouts des accoudoirs du fauteuil de ses mains blanchies par l’effort. Elle décide de fermer la bouche le plus longtemps possible. Mais des le premier contact de la plume avec sa plante de pied nue, un large sourire se dessina irrésistiblement sur son visage, et son pied se tourna violemment vers l’arrière au niveau de la cheville dans un réflexe chatouilleux. Elle ne peut pas éviter non plus un petit cri de surprise : 

« Mhiii ! » 

« Ah ouii !! on est trèeeees chatouilleuse des pieds hein ? » dit la doctoresse, avec son sourire sadique, ses yeux hypnotisés par le mouvement réflexe du pied nu sous le contact de la longue plume, la voix ayant du mal à cacher une sourde excitation naissante. 

« mhiii ! ouiii ! hihihiiii ! Ça chaatouille ! hahahaha ! arrêtez cette plume !! hihihiiii ! je suis horriblement chatouilleuse des pieds! hahahaha !!! vous n’imaginez pas à quel point ! hihihiiii ! » finit par avouer la patiente incapable de résister aux chatouilles procurées par la longue plume. 

Mais la Doctoresse, continua à promener sa plume sur toute la surface des plantes de pieds nues  pendant un long moment déclenchant ainsi chez la patiente des mouvements réflexes de plus en plus violents: d’abord des contorsions des pieds nus accompagnés de délicieux frétillements amples et incroyablement souples des longs et élégants orteils ; puis de violentes ruades de tout le corps fixé sur le fauteuil faisant grincer la structure solide de ce dernier pourtant solide et bien vissée au sol du cabinet, avec de violents mouvements de tête de droite à gauche, et des supplications rendues incompréhensibles par les hurlements de rire: 

« hiihihihi ! wuaahahahaha ! arreteeeez les chatouiiiiiilles ! hahahahaaa ! hihihihihi ! hihihihihi !...pas les pieds...pas les pieeeds ! hahahahah ! ça ...hahahahaha...ça chatouuuuuille ! hihihiiiihihihihi » 

Mais la Doctoresse Diana, folle d’excitation, continua imperturbablement à chatouiller les pieds nus et sans défense de la patiente en suivant avec gourmandise les contorsions des pieds et des orteils soumis au supplice de sa longue plume à la pointe effilée. Madame La Directrice et l’Inspectrice étaient comme hypnotisées par cette scène de torture qui leur procure une excitation sadique montante. 

La Directrice, s’adressant presque en criant à la doctoresse : 

« cette patiente est incroyablement chatouilleuse des pieds ! Et ce juste avec une plume ! Vous savez parfaitement comment manier cette plume pour arracher ces hurlements de rire 

- merci Madame La Directrice » répondit simplement la doctoresse Diana obligée de monter la voix pour couvrir les rires de la patiente 

- je n’ose même pas imaginer comment elle réagirait si vous lui chatouillez la plante des pieds avec vos ongles longs ! » continua la Reine en forçant la voix également 

- ça la rendrait complètement folle , croyez-moi ! » répondit la doctoresse toujours appliquée à chatouiller les pieds de la patiente avec sa plume 

Puis la Directrice s’adressant à la patiente dont le visage était empli de larmes de rires, les longs cheveux en désordre fouettant l’air sous les mouvements violents de la tête qui semblait dire « non - non -non», et la bouche largement ouverte en train d’ hurler de rire sans discontinuer, bavant abondamment, incapable de prononcer une seule parole intelligible, ses yeux complètement affoles parfois fixant un peu plus longuement ses propres orteils gigotant comme pour stopper l’ infernal chatouillement de ses pieds nus... 

« alors ! Dites-moi vous êtes vraiment très chatouilleuse des pieds on dirait, mhuuummm ? Que diriez-vous si je demandais à la doctoresse de vous chatouiller la plante des pieds avec ses ongles ? Vous avez vu comme ils sont longs les petits coquins ? Ça serait encore plus horrible vous ne croyez pas ? 

-wuuUUAhahahahahaha ! hihiiihiihihiii ! Hahahhaaaahaa !…..ghiiihihihii ! ghiihihihii .. » fut la seule réponse de la patiente morte de rire qui se tortillait comme un ver emprisonne sur le fauteuil 

- prenez ça comme un avertissement ! Si jamais j’apprends que vous avez dit à quiconque ce que vous avez subie ici, je vous jure que vous serez ramenée ici et que la doctoresse se fera un plaisir de vous torturer en vous chatouillant la plantes des pieds avec ses ongles. Et vous serez attachée dans un équipement bien plus contraignant que celui-ci. C’est bien compris ? 

Mais la patiente, absolument incapable de répondre, est emportée par une crise de rire qui semble sans fin… 

Puis s’adressant à la doctoresse « C’est bon ça suffit ! Je pense qu’elle a eu son compte ! » 

Aussitôt la doctoresse obéit, et arrêta l’infernal mouvement de la plume diabolique, mettant fin au supplice. La patiente, en sueur, haletante, bavante, la tête sur le cote, les yeux fermes, son visage déformé par un large sourire béat, les abdominaux lui faisant aussi horriblement mal à force de se contracter par les crises de rire. La torture avait dure à peine 10 minutes, mais elle était déjà en nage tellement elle était chatouilleuse des pieds.

« Qu’elle rentre chez elle ! Je pense qu’elle a compris » ordonna la Directrice a l’infirmière qui était restée la durant toute la durée du supplice. 

- Bien Madame la Directrice » répondit l’infirmière encore sous le coup de l’émotion de la séance de torture. 

« Merci Dr Diana, et bravo pour votre … efficacité ! » 

- Avec plaisir Madame La Directrice » répondit Dr Diana avec un sourire satisfait. 

Puis s’adressant à l’Inspectrice transie par l’émotion et l’excitation, La Directrice dit : 

« Poursuivons notre visite, voulez-vous ? » 

- ...waouh !! Je n’ai jamais vu une chose pareille ! C’était incroyable ! Elle est tellement chatouilleuse des pieds ! Vous l’avez quasiment chatouillée a mort ! Cette plume que votre doctoresse a promenée sous ses pieds nus, ça a du être un terrible supplice pour elle ! Je ne pense pas qu’on pouvait tordre ses pieds de la sorte, ni frétiller des orteils avec tant d’intensité » balbutia l’Inspectrice à cours de mots 

- heureuse que vous ayez apprécié cette séance ! Continuons la visite voulez-vous ? » repondit La Directrice. 

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