Histoire : Institut PAVO (Épisode 02)

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Histoire


Histoire ajoutée le 12/12/2022
Épisode ajouté le 12/12/2022
Mise-à-jour le 13/12/2022

Institut PAVO salle P002

La Directrice et l’Inspectrice prirent congé de la doctoresse et de l’infirmière, sortirent du cabinet puis de la salle d’attente, et empruntèrent de nouveau le long couloir pour se rendre dans la pièce P002.

A l’ouverture de celle-ci, l’Inspectrice eut un mouvement de recul par ce qu’elle voyait : 3 paires de pieds nus féminins sortaient d’un mur par des carcans muraux. Trois femmes se trouvaient de l’autre cote du mur, mais nul ne pouvait les voir ni les entendre, la pièce d’à coté étant insonorisée. Les pieds nus étaient de taille et de forme différentes: une des femmes devait chausser du 36, avec des orteils courts un peu boudinés, une plante faiblement cambrée; la suivante devait chausser du 38, avec des orteils un peu plus longs, une plante un peu plus cambrée; la troisième, enfin, devait chausser un bon 39-40, avec des orteils longs et fins, surtout le deuxième et le troisième, et une cambre extrêmement cambrée.

« Nous voici dans le salon FGH autrement dit « Foot Glory Hole » », expliqua la Directrice.

« Grace a cette configuration, les patientes situées de l’autre cote du mur, n’entendent rien, et ne savent pas quand ni qui va s’occuper de leurs pieds, et la ou les pédicures ne savent pas non plus qui sont ces patientes. L’effet de surprise pour les patientes est total, et la sensation de vulnérabilité est extrême. Par ailleurs, les pédicures ne sont pas tentées d’arrêter les soins prématurément car elles ne visualisent pas et n’entendent pas les réactions des patientes. Elles peuvent ainsi rester concentrées sur leur travail » continua la Directrice

- Et les femmes se voient entre elles de l’autre cote ?

- Ça dépend. Elles sont allongées sur des tables séparées, mais dans la même pièce. Elles s’entendent mutuellement, mais il est possible de les séparer visuellement par des rideaux opaques. Dans ce cas, elles entendent leurs voisines mais ne les voient pas.

- Et la pédicure arrivera quand ?

- Je ne sais pas, si ça se trouve elle vient de partir. Parfois les patientes peuvent rester des heures ainsi a attendre qu’on s’occupe d’elle. Mais allons dans la pièce suivante voulez-vous ? »

Elles s’engagèrent vers la sortie de la salle P002, et tombèrent nez a nez avec la doctoresse Diana qui entrait dans la salle P002.

« Oh ! Dr Diana ! Vous allez vous occuper de ces ... pieds nus ? »

- Oui en effet ! Vous voulez assister a la séance ?

- Oui avec plaisir

- Bien, venez, nous allons commencer par les plus petits pieds a gauche. Nous allons les brosser vigoureusement avec.. cette brosse jusqu’à rendre la peau des plantes de pieds très douce.

La doctoresse Diana, prit ainsi un tabouret, s’y assit et se mit face aux 2 petits pieds nus. Puis elle prit une brosse genre brosse a chaussure, et se mit de suite au travail. Elle passa sans ménagement la brosse sur toute la surface plantaire sans se soucier du moins du monde de l’état probablement pitoyable de la pauvre patiente située de l’autre cote du mur. Aucun son ne se fit entendre, mais il paraît évident, au vu des crispations des petits orteils, que la patiente devait devenir complètement folle sous l’effet des chatouilles brutales procurées par cette brosse. Après une bon quart d’heure de brossage intensif, le docteur Diana eut l’air satisfaite, et testa la douceur des plantes en passant ses propres doigts fins sur intégralité de leur surface de haut en bas et de bas en haut. La patiente devait bouillir sous les chatouilles ainsi procurées par ces lents passages de doigts. La Directrice et l’Inspectrice n’ont pas perdu une seule miette de cette séance, l’Inspectrice ayant pris un peu a pitié la pauvre patiente de l’autre cote du mur.

Puis vint le tour de la deuxième patiente avec ses plantes un peu plus longues et fines. La doctoresse Diana appliqua d’abord une crème de couleur blanche sur toute la surface des pieds nus avec la paume de ses mains:

« Cette crème va bien hydrater les plantes, et mes mains vont bien les masser et surtout les chauffer. » dit-elle

En effet après quelques massages, les plantes commencèrent a changer de couleur et devinrent de plus en plus brillantes. Puis elle laissa les plantes nues sans les toucher pendant environ 5 minutes. Puis, elle s’empara d’un pinceau qu’elle plongea dans un récipient rempli d’un liquide de couleur verte.

« Cette lotion est d’une puissance redoutable. Elle tue toutes les peaux mortes rendant la plante ultra lisse et d’une sensibilité extrême. Au tout début on ne ressent pratiquement rien, mais plus ça va plus le liquide fait son effet, et donc chaque passage du pinceau devient de plus en plus difficile a supporter car la peau nue des plantes devient de plus en plus chatouilleuse. C’est une terrible épreuve pour la patiente car elle n’en voit pas la fin bien au contraire, les sensations augmentant avec le temps » explique-t-elle

En effet, au bout de quelques minutes, les pieds se crispèrent et se détendirent de plus en plus, écartant ou resserrant les orteils dans des contorsions de plus en plus prononcées, sous le passage répété des poils souples du pinceau sous la peau nue et délicate de la plante des pieds. L’Inspectrice imaginait sans peine les abominables chatouillements que devait ressentir la pauvre patiente derrière le mur. Finalement le supplice s’arrêta au bout d’un bon quart d’heure, la doctoresse éloignant son fin pinceau des pieds nus exposes.

« Voilà qui est fait ! Regardez comme ses plantes de pieds sont douces maintenant ! »

Enfin, vint le tour de la troisième patiente. Cette fois-ci, la doctoresse utilisa une technique complètement différente.

« Vous voyez ces petites callosités ? » dit-elle en les pointant successivement avec l’ongle long de son index. Parfois son ongle entrait en contact avec la peau nue des pieds faisant violemment reculer et sursauter ces derniers.

« Oh ! Encore une patiente ultra chatouilleuse des pieds ! » s’exclama-t-elle, avant de continuer :

« Ces callosités ont été créées par le frottement permanent de ses talons et de son avant pied avec la semelle des chaussures a haut talon. Vous avez vu a quel point ses pieds sont cambrés ? Tout le poids du corps est soutenu par ses talons et ses avant pieds, la cambrure extrême empêchant le creux de la plante de toucher le sol ni même la semelle de haut talons pourtant bien cambres. Il faut enlever ces petites callosités avec les ongles. Je vais d’abord appliquer une crème urticante sous les plantes, laisser l’effet urticant agir. Puis je grattouillerai l’ensemble des plantes de pieds nues des talons aux orteils en passant bien sur par le creux des plantes avec mes ongles longs. C’est une torture redoutable mais très efficace pour supprimer les callosités croyez-moi ! La dernière patiente s’est évanouie de rire sous l’effet des chatouilles »

- Comment savez-vous si elle s’est évanouie ? Demanda l’Inspectrice

- Lorsque les pieds ne bougent pratiquement plus malgré le passage des ongles sous les plantes.

La doctoresse, enfila des gants, puis dévissa le couvercle en cuivre d’un grand pot contenant une espèce de crème de couleur bleue. Elle enfonça son index et son majeur dans le pot afin de récupérer une bonne dose de crème urticante, qu’elle appliqua ensuite bien soigneusement depuis les talons jusqu’à la base des orteils, passant absolument partout y compris sous la voûte plantaire. Elle répéta ce geste plusieurs fois afin de couvrir l’intégralité des deux plantes de pieds nues.

Satisfaite du résultat, elle attendit quelques minutes que l’effet urticant agisse. D’abord quasi immobiles, les orteils commencèrent par se crisper vers l’avant faisant apparaître les rides si caractéristiques des plantes de pieds nues. Puis au contraire, les orteils se tendirent en arrière rendant la peau des plantes parfaitement lisse et tendue comme un tambour. Ce mouvement alternatif se répéta de plus en plus rapidement, les orteils longs et souples s’agitant parfois de manière frénétique, désordonnée et indépendants les uns des autres, dans des frétillements des plus excitants. Les pieds étaient agités de contorsions improbables, comme une gymnaste a l’échauffement, et les plantes déjà fortement cambrées se cambrèrent encore plus sous l’effet de l’insoutenable démangeaison : la vision de ces pieds nus sortant du mur et se tordant dans tous les sens avait quelque chose de surréaliste et de terriblement excitant pour une personne fétichiste des pieds féminins.

C’est alors que la doctoresse Diana entra en action. Elle enleva ses gants délicatement, puis elle agita ses dix longs doigts féminins dans les airs, avant de parcourir les creux vertigineux des plantes de pieds nues hyper cambrées avec l’extrémité de ses 10 ongles longs et pointus, les faisant galoper, galoper, galoper comme les jambes de petits chevaux sous la peau nue blanche et délicate des plantes de pieds exposée. Ces grattouillements firent instantanément tendre les orteils et les plantes nues vers l’arrière dans un violent réflexe chatouilleux. Les chatouilles ainsi procurées étaient tellement insupportables que l’on pouvait deviner les rires de la patiente malgré l’insonorisation pourtant très importante des murs.

La doctoresse Diana chatouilla ainsi les plantes de pieds nues avec ses ongles pendant près d’un quart d’heure jusqu’à faire disparaître près de la moitié des callosités, les pieds n’ayant pas arrêté une seconde de se tordre dans tous les sens, les longs orteils se crispant et se décrispant dans d’affolants frétillements. Puis soudain, les pieds se figèrent, ne réagissant plus que par de petites secousses aux chatouilles des ongles.

« Encore une ultra chatouilleuse des pieds ! Elle a du s’évanouir de rire ! » conclut la doctoresse.

« Mais en la chatouillant de nouveau dans environ 5 minutes, elle va se réveiller vous verrez ! »

En effet, au bout de cinq longues minutes, la doctoresse décida de faire de nouveau des chatouilles sous les pieds nus de la patiente évanouie. Elle agita lentement ses ongles longs sous les plantes en les effleurant, ce qui eut pour effet de « réveiller » les pieds nus qui de nouveau se crispèrent. Cette fois-ci elle décida d’ouvrir la porte pour écouter et faire entendre la patiente a la Directrice et a l’Inspectrice, et aussi afin d’éviter un deuxième évanouissement qui pourrait être dangereux.

Des l’ouverture de la porte, on put entendre les supplications de la patiente épuisée par la séance.

« pfff.pffff.pfff. !!! je vous..pfff..pff… je vous en supplie….nnnn...ne me faites plus de …. de chatouilles sous la plante des pieds...c’est...pfii..c’est absolument insupportable...Madame la doctoresse s ‘il vous plaît ne me chatouillez plus les pieds...je vous en supplie... »

Mais la doctoresse répondit :

« Allons, allons, c’est pour votre bien, vous aurez la peau des pieds lisse comme un bébé, hehehehe ! »

Et sur ce, elle passa l’ongle long de son index du talon vers la pointe des orteils, avant de l’agiter sous la base des orteils longs.

« Ça chatouille la hein ? guili guili guili...qu'est-ce que vous êtes chatouilleuse des pieds, guili guili guili... » dit-elle d’une voix qui de toute évidence avait perdu tout professionnalisme, la doctoresse étant maintenant mue par une violente excitation.

« Allez on va voir ou vous êtes la plus chatouilleuse d’accord ? » continua-t-elle

« Ici ? » demanda-t-elle d’une voix aiguë en gratouillant légèrement le talon juste avec la pointe de son index

« mhiii !! » répondit la patiente,

« Ou bien la ? » demanda la doctoresse Diana en passant son ongle d’index depuis la talon vers les orteils avant de faire le chemin inverse, faisant de tous petits cercles le long du trajet en suivant bien l’immense courbe de la cambrure de la plante

« wuuUAAHAHAHAHAHA !!... HAHAHAHAHAHA !!!... hihihihihiii...hahahahaha ! Hihiiiiihihihihiii !!...paaaaas...pas laaaaaa AHAHAHAHAH !!!! pas sous la plante !! pas la plante...pas la plante !!! hahahahahaha... » explosa de rire la patiente horriblement chatouilleuse sous laplante des pieds

« Oh oooh !!!! Je ne vous vois pas, mais je vous entends ! On craint horriblement les chatouilles sous la plante des pieds n’est-ce pas ? guili guili guili...guiiiili guili guili...» chanta presque la doctoresse Diane tout en gratouillant les plantes en agitant ses 10 ongles longs dans tous les sens, procurant ainsi d’abominables chatouilles a la patiente morte de rire sous le supplice.

Au bout d’a peine 5 minutes, le corps de la patiente fut parcouru d’immenses spasmes, ses poings fermés tapant et retapant violemment la table sur laquelle elle était fixée de manière sommaire, tentant vainement d’extraire ses chevilles du carcan mural, afin d’éviter ces ongles insupportables chatouillant sans relâche ses plantes de pieds nues exposées de l’autre cote du mur.

« Je crois que ça suffira pour aujourd’hui », dit la doctoresse en interrompant le supplice.

« ufffff ! Uffff !!! uffff !!!….mon dieu …. ppffffff...ufff !..ne me chatouillez plus jamais les pieds de la sorte...uuffff..ufffff..je suis horriblement chatouilleuse sous la plante des pieds...haha...hufff... » souffla la patiente complètement exténuée …

« C’est une véritable torture hein ? Bon je vous laisse, jusqu’à la prochaine séance au premier sous-sol ! Vous verrez vous allez A-DO-RER ! Hehehe ! » dit la doctoresse en riant.

Puis s’adressant à la Directrice et à l’inspectrice :

« Je vais dans la salle d’extraction des sel de pieds, si ça vous intéresse, je vous propose de me suivre »

- Oui c’est une très bonne idée, allons-y ! » enchaîna la Directrice

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