Histoire : Institut PAVO (Épisode 04)

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Histoire


Histoire ajoutée le 12/12/2022
Épisode ajouté le 22/12/2022
Mise-à-jour le 22/12/2022

Institut PAVO : Le supplice de Melissa

Considérant l'urgence de la situation, Madame La Directrice proposa à Madame La Duchesse de se venger immédiatement de l’infirmière Melissa par la punition de son choix.


« Voulez-vous que l’infirmière Melissa soit punie maintenant ou bien préférez vous attendre »

- Je veux une punition immédiate, qu'elle comprenne bien ce qu'elle m'a fait endurer et qui je suis !

- Très bien Madame La Duchesse


Madame La Directrice appela le service des gardes sur son téléphone :


«Envoyez 3 gardiennes ici en salle des sels de pieds, pour venir chercher puis accompagner l’infirmière Melissa au premier sous-sol dans la salle des supplices numéro 1. Préparez la sur le banc Y »

- Bien Madame La Directrice


A ces mots, et sachant parfaitement ce qui l'attendait, l’infirmière fut instantanément prise de panique, et supplia :


« Par pitié ! Madame La Directrice ! Pas ça ! C'est trop horrible ! Vous ne pouvez-pas me torturer de la sorte ! Pas le banc, pas le banc par pitié. Ce n'est pas de ma faute, je ne savais pas qu'il s'agissait de Madame La Duchesse.

« - C'est bien ça le problème infirmière Melissa, » lui répondit  la doctoresse Diana. « Vous auriez du vous renseigner avant » continua-t-elle.

« - Mais docteur, vous me connaissez, et vous savez que je ne résisterai pas à ce supplice. Je suis bien trop chatouilleuse. Je vous en supplie. Vous vous souvenez de ce qui est arrivée à la dernière suppliciée sur ce banc : elle est devenue folle de rire, elle a mis des jours à  s'en remettre. »

«-  Vous n'aviez qu'a réfléchir avant » rétorqua Madame La Directrice

« - Tout cela m'intrigue beaucoup : c'est quoi ce fameux banc Y ? » s'enquit Madame L'Inspectrice

«  - Vous le découvrirez  bien vite suivez-moi », proposa La Directrice  à Madame La Duchesse, à l' Inspectrice et  à la doctoresse Diana.


Trois gardiennes pénétrèrent dans la salle des pieds, et s’emparèrent de l’infirmière qui se débattait comme une lionne, tentant de s’échapper à leur emprise tout en vociférant et suppliant comme une folle. Pendant ce temps, la Directrice, l'Inspectrice, la Duchesse et la doctoresse sortirent de la salle des sels de pieds pour se diriger vers une porte située au fond du long couloir de l'aile du service de pédicurie. Cette porte était munie d'un important dispositif de sécurité limitant l’accès et surtout la sortie au seul personnel autorisé. Cette porte ouvrait sur une deuxième couloir plus court, au bout duquel se trouvait une seconde porte également ultra sécurisée. Dans ce couloir se trouvait une pièce occupée par deux gardiennes et par de nombreux écrans montrant chacun une pièce du premier sous-sol. La plupart des écrans montraient des cellules de prison, certaines vides, d'autres occupée par des prisonnières toutes habillées avec le même uniforme de couleur rose. 


« -Madame La Directrice ? » demanda une des gardiennes de la petite salle

«- Nous allons dans la salle des supplices numéro 1. 3 gardiennes vont venir avec l’infirmière Melissa dans quelques minutes »

« -Bien Madame La Directrice. Je vous ouvre »


Suite a l'ouverture de la deuxième porte, les 4 femmes s’engagèrent dans une cage d'escalier menant au premier sous-sol, et même a un deuxième (!). La Directrice ouvrit la porte numérotée SS1 qui donnait sur un vestibule avec deux lourdes portes en bois sur la gauche et en face, et un long couloir sur la droite. Le long couloir était encadré de nombreuses cellules munies de barreaux permettant ainsi de voir les prisonnières. La Directrice ouvrit la lourde porte en bois sur la gauche porte munie d'un écriteau « Salle des Supplices numéro 1 ».


A l'ouverture de celle-ci, l'Inspectrice et Madame La Duchesse restèrent bouche bée.

La salle, de style médiéval, était gigantesque et munie de très nombreux équipements de bondage et de torture : des tables en bois munies d'anneaux et de grandes roues et tambours avec des chaînes, parfois avec des carcans en bois munis de trous pour poignets ou chevilles, des anneaux avec des chaînes fixées aux murs de pierre, une espèce de boite de magicien avec des trous aux extrémités, des croix de Saint André. Parmi ces innombrables appareils se trouvait donc le fameux banc en Y.

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Comme son nom l'indique, celui-ci permettait d'attacher la victime en position de Y avec ses bras tires ensembles en arrière très loin derrière la tête, les poignets joints dans des anneaux métalliques, et les jambes largement écartées, les chevilles enserrées également dans des anneaux métalliques. La victime était en général complètement nue et ainsi parfaitement exposée.


La Directrice, telle une guide de musée,  expliqua le rôle de ces différents instruments, lorsqu'elle fut interrompue par l’arrivée des 3 gardiennes emmenant l’infirmière Melissa menottée dans le dos, qui se débattait et vociférait de plus en plus violemment.


« -Lâchez moi !! mais lâchez moi ! Laissez-moi partir !! Je vous en prie ! Non ! Non ! Ne me torturez pas, pas comme ça, pas le banc, pas le banc à  chatouilles, par pitié je ne supporte pas les chatouilles »

« -Déshabillez la et installez-la sur le banc à  chatouilles » ordonna La Directrice.


L’infirmière tenta vainement de s’échapper lorsque les gardiennes lui ôtèrent ses menottes, et la déshabillèrent, mais elles finirent par y arriver s'opposant avec force aux véhémentes ruades nerveuses d'une Melissa, pratiquement en pleurs et au bord de la crise de nerfs. Elles l’attachèrent sur le banc avec beaucoup de difficulté face aux vives réactions de Melissa qui leur glissait entre les mains et les bras à plusieurs reprises.


Melissa se retrouva ainsi attachée horizontalement par les poignets lies ensemble très loin derrière sa tête, et par les chevilles écartant largement ses jambes. Elle était complètement nue, son corps tendu à l’extrême à la merci du vice de ses tortionnaires. Et quel corps magnifique ! Son ventre naturellement plat était creusé par la position très étirée de son corps ; sa taille était fine ; ses seins lourds de taille moyenne se dressaient fièrement vers le plafond de la salle de torture. Ses aisselles très creuses,  étaient parfaitement lisses ; ses longues jambes fines se terminaient par des pieds d'une rare beauté : pied grec, deuxième et troisième orteils particulièrement longs, les autres en escalier, le tout dans un dégradé de taille d'une rare élégance, tous les orteils en extension vers l’arrière, révélant une plante de pieds très fortement cambrée, fine et blanche en son milieu, liant un talon bien rond de couleur plus rosée et la partie charnue située sous la base des orteils particulièrement large. Ses longs orteils étaient comme relies sous forme d'une pointe triangulaire. La plante était tellement cambrée, que la partie charnue située sous les orteils était très avancée  par rapport au talon.


«- Et bien dites-donc, je ne savais pas que vous aviez des infirmières aussi sexy ! » s'exclama sans filtre la Duchesse 

« -Oui en effet, c'est incroyable, vous les avez sélectionnées aussi pour leur physique ? » demanda l'Inspectrice

« - Oui en effet les critères physiques sont aussi importants que ceux lies aux connaissances des pieds et des soins de pédicurie. Parmi ces critères physiques et physiologiques il y a le type de pieds, et ceux-ci sont un excellent exemple de ce que nous recherchons, mais aussi la beauté  du ventre, et la sensibilité aux chatouilles. Toutes nos infirmières sont très chatouilleuses. » expliqua La Directrice.

«- Vous allez pouvoir le vérifier immédiatement, car, vous l'avez bien compris, elle va être punie par  le supplice des chatouilles intégral. Le Docteur Diana est une experte dans ce domaine mais cette fois ci nous allons lui donner un coup de main. Je propose donc que le Docteur Diana lui chatouille un de ses pieds nus, pendant que Madame La Duchesse lui chatouille l'autre pied. Pour ma part je vais lui faire des chatouilles sur le ventre (j'adore ca!), et Madame l'Inspectrice, si vous le voulez, je vous invite a lui faire des chatouilles sous les aisselles » proposa La Directrice.


Melissa était maintenant en panique totale, et n’arrêtait pas de supplier :


« -Non ! Non ! Pitié ! Pas les chatouilles ! Pas les chatouilles ! Je ne supporte pas ça ! Par pitié ! Ne me faites pas de chatouilles ! Pas attachée comme ça je vous en supplie ayez pitié, c'est une torture horrible ! Pas ça ! Pas les chatouilles je vous en prie... » supplia-t-elle


Mais, très excitées, les 4 tortionnaires se dirigèrent près de leurs cibles affectées.


Tout en suppliant, le regard apeure de l’infirmière se porta successivement vers chacune d'elle avec un air suppliant espérant de la clémence d'au moins l'une d'elle. Elle regarda aussi ses propres orteils longs et élégants qu'elle maintenait en extension vers l’arrière, ou vers son propre ventre nu creusé par son corps tendu à l'extrême par le banc du supplice des chatouilles. 


La doctoresse ouvrit le bal en passant délicatement l'ongle long de son index depuis le talon jusqu'à la base des orteils. Ce simple geste anodin fit instantanément tourner le pied nu de Melissa vers l’arrière par pur réflexe, ses pieds n'ayant pas été touchés par quiconque depuis fort longtemps.


«- Oh ! Serait-on chatouilleuse des pieds ? » demanda faussement la doctoresse tout en souriant


Melissa fixa intensément les orteils de son pied nu pendant que la doctoresse continua de lui chatouiller la plante de son pied nu avec juste son ongle d'index. L’infirmière essayait de résister tant qu'elle put, mais bientôt, elle se mit à  rougir, et elle sentit le rire monter depuis les profondeurs de son ventre. Puis un petit rire incontrôlable et très aigu finit par   sortir de sa bouche, son regard toujours hypnotise par ses propre orteils qui frétillaient sous les guilis de ses plantes :


«- mhiii ! Hiiii ! Ca !!! hahaha.. !!! hihihihi !! Ca .. ca chatouille hahahaha... !!  Madame La doctoresse ! Hahaha ! Arretez … hahaha...arretez de me chatouiller les pieds !!!! hahahahaha !!! ca chatouillllle !! Hahaha ! Ca fait des guilis !!! hihihi !!!» 


Mais la doctoresse, de plus en plus excitee lui dit :


«- mmm ! Ca fait des guilis hein ?  hihi !! guiiiili guili guili...guili guili guili...on est treeees chatouilleuse des pieds hein ? C'est horrible les ongles longs sous la plante des pieds hein ? Guili guili guili... » dit-elle, cette fois-ci en agitant les 5 ongles de sa main droite gratouillant ainsi la profonde cambrure de la plante des pieds faisant grimper d'un cran l’intensité des chatouilles.


Le rire et les suppliques de Melissa augmenta en intensite :


«- wuuuuuAAAHAHAHAHA ! Pas les ongles  sous les pieds ! Hahahaha ! pas les chatouilles !! hahahah !!! HAHAHAHA !!  Hihihihi !!.... hihihihi !! c est insupportable !! Madame la doctoresse, arretez de me chatouiller les pieds...pas les pieds pas les pieds ...hahahahaha !! »


Puis, tout en continuant a chatouiller les pieds de Melissa avec ses ongles longs, la doctoresse fit un geste de la tete a la Duchesse qui n'attendait que ce moment pour se venger des tortures subies dans la salle des sels de pieds. Elle avait des ongles également très longs ; elle commença par agiter ses ongles d'index et de majeur sous la plante des pieds nus de Melissa depuis le talon jusqu'aux orteils en les passant bien dans le creux de la plante des pieds, et par la base des orteils ; tout en promenant ses ongles longs elle leur faisant effectuer des petits mouvements de va et vient répétitifs si caractéristiques des chatouilles avec les doigts. 


La pauvre Melissa bouillait littéralement sous les chatouilles de ses deux plantes de pieds nues par les ongles longs de ces deux femmes, l'une experte et l'autre mue par un immense besoin de vengeance. Elle ne pouvait plus se retenir, et son petit rire aigu se mua en un rire plus profond encore, ses supplications devenant de moins en moins compréhensibles :


«- BwuuuuaaaaAHAHAHAHA !! HAHAHAHAHA !!!... pas caaa... !!!! ca chatouilllllle !!! ca chatouilllle les PIEEEEDS !!! hahahahah !!!! je suis horriblement chatouilleuse des pieeeeeedsss!!hahahahaha !!! hahahahah !!! arreteez les chatouilles sous la plante des pieds !!! par pitieeee !!!! hahahaha...pas les pieds pas les pieds  » hurla-t-elle tout en agitant sa tête de droite a gauche, ou fixant longuement les longs orteils frétillants successivement de son pied droit et de son pied gauche ; ses pieds se tordaient dans des contorsionnons  incroyables tantôt écartant largement les orteils ou bien les resserrant changeant leur couleur du rouge au blanc, plissant ou au contraire déplissant la peau nue de ses grandes plantes de pieds immensément cambrées.


La Duchesse, en état d'excitation intense sous les agitations des élégants pieds nus et sous les explosions de rire de Melissa, décida d'augmenter encore l’intensité du supplice des chatouilles, en chatouillant les pieds avec la pointe acérée de ses 10 ongles longs : ainsi, elle agita  dans tous les sens les 5 ongles longs de sa main droite chatouillant a l’extrême la peau nue si chatouilleuse du creux vertigineux de la plante de pied, tandis qu'elle gratouillait les dessous des longs orteils avec les 5 ongles longs de sa main gauche de bas en haut et de haut en bas raclant bien la peau nue également horriblement chatouilleuse.


Pendant ce temps, la doctoresse, raclait intensément de bas en haut puis de haut en bas les immenses creux de la plante des pieds nus avec les ongles d'une main, ou bien faisait des petits mouvements circulaires, ou bien encore faisait faire la marche du petit cheval avec ses ongles d'index et de majeur de bas en haut et de haut en bas encore et encore, tandis qu'elle chatouillait les orteils longs avec ses ongles d'index et de majeur de l'autre main. 


Sous l'effet simultané et combiné de ces abominables chatouilles procurées par ces 20 ongles longs sous ses pieds nus, l’infirmière Melissa tenta désespérément de supplier au milieu d'un concert de rire débridé:


«- bwuuuaaaAHAHAHAH !...HAHAHAHAHAHA... !!! hihihihihiiiiihihihihi..  paahahaha ..caaaa....ccaaaaahahaha..  ghiiiihihihiii !! HIHIHIHIHI !!!! Hahahaha.arreteeeeeezz les chaaaaaaaa.... les chaaaatouiilllllless !!!! paaaas sous les pieeeeeeeds !!!! hahahahaha !!! pas sous les pieds nuss !!!! hahaha... pas les ongles hahahahaha !!!! pas la plante ! Pas sous la plante  des pieds !!! arretez le suppliiiiiice des chatouilles !!!! Paaaas les chatouilles !! hahahaha !!!..ghiii !!! je suis trop chatouilleuse des pieds … hahahaha»


« -Oh ! Ca fait des chatouilles ? On est donc tellement chatouilleuse des pieds ? Guili guili guili sous la plante des pieds nus ….guili guili guili... » répondit la doctoresse d'une voix très excitée.


C'est a ce moment, et sous ces rires incontrôlables, que la directrice décida d'entrer en action. Elle s'agenouilla près de la taille de la suppliciée hurlante de rire, et effectua des petits mouvement répétitifs avec la pointe de ses ongles longs d'index et de majeur de sa main droite effleurant et chatouillant la peau fine et douce du ventre nu et creux de Melissa, tout en souriant.


«  -Dis-moi, serais-tu également chatouilleuse sur le ventre hein? guiiiili guili guili... » demanda-t-elle, tout en fixant ses propres ongles chatouillant délicatement le ventre nu.


Des le premier contact des ongles longs avec la peau de son ventre nu, le ventre se creusa instantanément dans un immense réflexe chatouilleux. Puis, son ventre nu fut parcouru de spasmes sous l'effet des chatouilles, spasmes contractant les muscles de ses abdominaux. Bientôt son ventre nu horriblement chatouilleux, ne fut plus qu'une sorte de machine a rire sous les chatouilles procurées par ces ongles longs impitoyables.   


« -Oh mais oui ! Qu'est-ce que tu crains les chatouilles sur le ventre ! Et les aisselles ? » demanda-t-elle tout en effectuant un mouvement de tête a l'inspectrice ; celle-ci s'agenouilla également pour chatouiller les 2 immenses creux des aisselles nues et exposées sans défense avec ses ongles, tandis que La Directrice pinçait rapidement et violemment les creux des hanches de Melissa avec ses ongles.


Sous l'effet simultané des chatouilles de ses plantes de pieds nues, de ses orteils, de son ventre, de sa taille fine, de ses hanches, et de ses aisselles, Melissa devenait complètement folle. Elle hurlait de rire ! Toutes les prisonnières du sous-sol pouvait entendre ses intenses hurlements de rire. 


« - bwuuuuaaahahahahahha...hahahahahaha....hahahahahaha...ghihihihihihihi..vous allez me rendre folle de rire... hahahahaha...arretez les chatouilles... arretez les chatouilles...pas sous les pieds ... hahahahaha... pas les pieeeeds... pas les pieds... hahahaha... pas le ventre... noooon ! pitieeee ! hahahahaha... vous allez me faire mourir de rire.... hahahaha...  pas sous les bras hihihihi... »


Bientôt, ses paroles devinrent incompréhensibles : au milieu des explosions de rire, parfois on entendait quelques mots comme « pieds », « ventre », « bras », « ongles » et bien sur « chatouilles ». Son corps était devenu une machine a  rire. Parfois elle n'arrivait même plus a reprendre son souffle tellement ces ongles longs la chatouillaient de partout. Sa tête bougeait de droite et de gauche dans des mouvements de plus en plus violents, ses longs cheveux fouettant l'air. Sa bouche largement ouverte expulsait avec violence l'immense rire arraché du plus profond de son ventre. Ses abdominaux lui faisaient mal a force de rire, mais aussi parce que la Directrice s'amuser parfois a les chatouiller de manière sadique avec la pointe de ses ongles. Parfois, sous les larmes de rires, sa vision troublée fixait désespérément son ventre nu parcouru de spasmes chatouilleux contractant ses abdominaux; puis elle basculait sa tête en arrière pour expulser un immense éclat de rire incontrôlable et contagieux. Tous ces ongles longs de femme qui la chatouillaient sous les pieds, sur le ventre et sous ses aisselles nues, dans cette position complètement vulnérable la rendaient complètement folle a lier. 


La torture dura ainsi pendant quatre heure !! Quatre heure de chatouilles extrêmes ! Parfois les tortionnaires arrêtaient le supplice des chatouilles pendant une minute lorsque Melissa n'arrivait plus a respirer, c'est a dire lorsqu'elle était prise du fameux rire silencieux, ou que son corps était parcouru de violents spasmes incontrôlables.


Au bout de quatre longues heures insupportables, le visage de la suppliciée était couvert de bave et de larmes; son visage et ses oreilles était rouges comme une tomate; son corps en sueur ; ses cheveux en bataille ; parfois, durant le supplice, l'inspectrice, excitée comme jamais de sa vie, s'est même amusée a chatouiller délicatement les bords des 2 oreilles de la suppliciée leur faisant ainsi des petits guilis-guilis avec la pointe de ses ongles longs générant ainsi d'immenses frissons chatouilleux au corps de la pauvre Melissa. Ou encore, sadique, elle effleurait les bords des narines de la suppliciée avec la pointe de ses ongles créant ainsi d'insupportables chatouilles et démangeaisons, jusqu’à la faire éternuer au milieu du concert  de rires. Ou encore elle gratouillait la nuque et le cou de la suppliciée avec ses ongles faisant parcourir son corps de violents spasmes et contractions chatouilleuses. Parfois, La Directrice, s'apercevant de l'effet intense procuré par ses ongles pinçant violemment les hanches de la victime, coupant ainsi parfois la respiration sous l'effet des  atroces chatouilles, s'amusait à  contrôler le rire et la respiration de la suppliciée.  


Puis, la Directrice décida qu'elle en avait eu assez.


« -Bien je crois qu'elle a bien compris sa leçon ! » dit la Directrice

« -Nous allons la laisser attachée ici pour qu'elle réfléchisse bien à son erreur » continua-t-elle

- J’espère, Madame la Duchesse, que vous êtes satisfaite »

-Oui, je suis parfaitement satisfaite ! Et très heureuse d'avoir pu me venger de la sorte. Quelle séance ! Je crois qu'elle s'en rappellera la coquine.

-Et vous Madame l'Inspectrice ?

-Je n'ai jamais été aussi excitée de toute ma vie. Je n'ai d'ailleurs pas pu m’empêcher de me toucher. J'ai joui trois fois lors de cette séance de supplice de chatouilles » répondit l'inspectrice troublée.

-Oui nous l'avions remarque, dit en souriant la doctoresse

-C'est bon pour le rapport d'inspection alors non ?, répondit en riant Madame La Directrice

ce qui fit rougir l'Inspectrice


Puis, satisfaites, elle quittèrent les lieux, laissant la pauvre Melissa à son sort, attachée sur le banc du supplice...