Histoire : Institut PAVO (Épisode 03)

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Histoire


Histoire ajoutée le 12/12/2022
Épisode ajouté le 15/12/2022
Mise-à-jour le 27/12/2022

Institut PAVO : salle des sels de pieds

C’est ainsi qu’elle se dirigèrent vers la salle P007, aussi appelée « salle des sels de pieds » ou encore « salle des sels » ou bien encore « la salle sept ». Cette salle avait une horrible réputation. En chemin, la doctoresse expliqua le rôle de cette salle: « C’est dans cette salle que nous fabriquons les fameux « sels de pieds » qui, par respiration, empêchent nos patientes de s’évanouir. Je vous préviens d’avance, avant que nous entrions dans cette salle : il y fait très chaud, parfois ça hurle de rire, et ça sent très fort des pieds ! Et c’est bien normal ! Car, c’est dans cette salle que l’on récupère les sécrétions, autrement dit la sueur des pieds » continua-t-elle.

« Et il y a une manière assez simple pour cela, qui consiste à faire transpirer les pieds en les chauffant avec des radiateurs électriques. Pour accélérer le processus, nous appliquons une crème sous la plante des pieds, crème qui augmente dramatiquement la sudation. Et pour encore plus d’efficacité, on enferme les pieds nus dans d’épaisses chaussettes en laine qui retiennent bien la chaleur. Après une bonne heure, le jus des pieds est absorbé par les chaussettes. C’est alors, que les chaussettes sont retirées, pour être ensuite pressées dans un grand pressoir. Ah ! Et saviez-vous que les pieds chauds sont beaucoup plus chatouilleux ? » continua-t-elle, en souriant malicieusement.

Lorsqu’elles ouvrirent la porte, elles virent une scène des plus surprenantes : sur une très large plateforme circulaire, étaient allongées une bonne douzaine de patientes, leurs têtes très proches les unes des autres au centre de la plateforme, leurs corps répartis équitablement tels les rayons d’une immense roue de vélo mise à plat. A l’extrémité de ce cercle, se trouvait une espèce de gigantesque « jante » munie de nombreux trous, chaque trou emprisonnant une cheville. Leurs bras étaient alignés le long de leurs corps. Elles étaient fermement attachées sur cette grande plateforme circulaire, avec des anneaux au niveau des cuisses, du ventre, des bras et du cou. De l’autre cote de ces trous, leurs pieds étaient pratiquement tous emprisonnés dans des chaussettes en laine épaisses. Et face à chacun de ces pieds en chaussette se trouvait un radiateur électrique émettant une violente lumière rouge.

A cause de cette douzaine de radiateurs allumés à pleine puissance, il faisait une chaleur abominable dans cette pièce. Raison pour laquelle, les « patientes » étaient toutes en sous-vêtements laissant leur ventre, leur torse et leur jambes nus. Au dessus de chaque paire de chevilles, et donc au centre de chaque carcan, se trouvait un sablier, avec du sable de couleur bleue qui s’écoulait lentement pendant une heure. Le temps restant de ces sabliers était différent. L’un d’entre eux avait expiré : les deux pieds associés à ce sablier étaient complètement nus, leurs chaussettes ayant été retirées.

Une infirmière, également en sous-vêtements pour supporter l’infernale chaleur, chaussée de sabots typique des infirmières laissant apparaître ses pieds nus, était en train de porter les chaussettes humides de cette « patiente »  vers le grand pressoir situé sur un des cotes de la salle. Elle ouvrit une trappe du pressoir, et y jeta les chaussettes. Tout les jus de toutes les chaussettes s’écoulait ainsi par un petit orifice situé à la base du pressoir vers un bac de récupération rempli à moitié. Le jus extrait, les chaussettes imbibées et les pieds nus émettaient une très forte odeur de pieds qui emplit les narines de la doctoresse, de la Directrice et de l’Inspectrice qui grimacèrent. 

« C’est vrai que ça sent très fort des pieds ici ! Vous ne trouvez-pas ? » s’exclama Madame la Directrice d’un air de dégoût, et en s’adressant `a l’Inspectrice.

« Oui en effet ! Ça pue des pieds comme on dit » répondit en riant l’Inspectrice, ce qui fit rire également La Directrice et La Doctoresse Diana.

Pour ne pas souffrir de cette odeur, l’infirmière et les patientes portaient un masque.

« Je vous avais prévenue ! Tenez ! Mettez-ça sur le nez ça ira mieux» proposa la doctoresse, en fournissant des masques à la Directrice et  à l’Inspectrice.

Puis l’infirmière, après avoir salué la doctoresse et ses invitées, retourna vers les pieds nus de la patiente. Cette dernière suivait avec grand intérêt tous les faits et gestes de l’infirmière d’un regard paniqué. Lorsque l’infirmière s’approcha de ses pieds nus, la patiente, les sourcils très inquiets, agita ses très longs orteils, les faisant frétiller en les regardant et en suppliant à travers son masque : « par pitié, ne me chatouillez pas les pieds ! J’ai l’impression que mes pieds sont devenus encore plus chatouilleux à cause de la chaleur, mes nerfs sont à vifs , j’ai la peau de la plante des pieds ultra sensible ! pitié, pitié! Je vous en supplie ! Ne me faites pas de chatouilles sous la plante des pieds »

Mais suite à ces supplications, et à la vue de ces magnifiques et vulnérables longs orteils frétillants  et ces grandes plantes de pieds nues fortement cambrées et exposées qu’elle savait si sensibles, le regard de l’infirmière, d’abord sérieux et professionnel, devint sadique et pervers, avec un sourire carnassier qui en disait long sur son état d’excitation. Elle agita ses ongles longs et pointus dans les airs juste au dessus des pieds nus exposés, en regardant la patiente droit dans les yeux en lui disant :

«  C’est ça qui vous fait peur ? Vous craignez que je vous grattouille la plante des pieds avec mes ongles longs ? mhumm ? Et bien vous avez raison, je vais vous chatouiller les pieds avec mes ongles et vous allez pouvoir mesurer à quel point la chaleur a rendu vos pieds chatouilleux »

- Non ! Non ! Pitié ! Vous ne pouvez-pas me faire ça! Pas les chatouilles ! Pas les pieds, pas comme ça, par pitié »

Mais l’infirmière, hyper excitée, n’en pouvait plus d’attendre. Elle agita ses ongles longs dans les airs en les approchant de la partie la plus creuse de la plante des pieds. Au contact de celles-ci, ses 10 ongles effectuèrent de petit mouvements circulaire particulièrement vicieux sur la peau nue, lisse, chaude et tendue des plantes de pieds.

La pauvre patiente suivit de ses yeux paniqués et largement ouverts tout le trajet et les agitations aériennes et perverses des longs doigts féminins et des ongles longs et affûtés de l’infirmière. Lorsqu’elle les vit disparaître derrière ses propres pieds nus, elle agita ses orteils, plissa ses plantes vers l’intérieur, espérant ainsi atténuer l’inévitable contact, sa tête à angle droit par rapport à son corps à cause de l’anneau fixant son cou à la plateforme, ouvrant de grands yeux en panique totale fixant ses propres orteils frétillants, suppliante, complètement désespérée :

« Non ! Non ! Non ! Pas ça ! Pas ça ! Arrêtez ! Arrêtez ! Par pitié ne me chatouillez pas ! Ne me chatouillez pas les pieds ! Pas les chaaaa... »

Mais ses supplications furent coupées instantanément par le contact bref des ongles longs avec la peau tendue et extrêmement sensible de ses plantes de pieds nues, qui se rétractèrent violemment en arrière dans un réflexe chatouilleux, réussissant ainsi à s’éloigner momentanément de la pointe acérée des ongles.

« Oh ! La petite coquine ! On est donc si sensible que ça sous les pieds ? » s’exclama l’infirmière avec un large sourire réjouit.

Elle approcha de nouveau l’extrémité de ses ongles longs dans le creux des plantes de pieds leur faisant faire des petites piques accompagnés de petits mouvements vers le haut des plantes lors de chacun des très brefs mais nombreux contacts successifs.  

Lors de chaque contact, les pieds de la patiente reculaient dans un violent réflexe chatouilleux, et la patiente émettait un petit cri de surprise tout en fixant ses orteils:

« mhii !!! mhiii ! Mhiii ! Hiiii !! hiiii !! arretez ! Hihihi »

...ce qui amusa follement l’infirmière qui continua ainsi ce petit jeu de réflexes juste avec la pointe de ses ongles pendant quelques minutes.

« Ca fait des petites chatouilles sous les pieds, mhuuumm ? » dit-elle d’une voix emplie d’excitation.

Puis, elle chatouilla de manière plus appuyée toute la surface des pieds nus du talon vers la base des orteils en passant par la forte cambrure des plantes de pieds, effleurant la peau nue hyper chatouilleuse de la pointe de ses dix ongles longs qu’elle agitait sans pitié en leur faisant effectuer différents mouvements circulaires. Hyper excitée, l’infirmière ne put s’empêcher de répéter d’une voix très aiguë « guili…guili...guili...guili… ……..guili...guili...guili...guili…...guili...guili...guili…. » tout en chatouillant.

La patiente se savait chatouilleuse des pieds mais jamais elle n’aurait imaginé qu’elle put l’être à ce point. La sensation de chatouilles était absolument abominable. Ultra chatouilleuse des pieds, elle se mit à hurler de rire sous l’effet des atroces chatouilles, vrillant les tympans des 11 autres patientes dont les têtes étaient à seulement quelques centimètres de la sienne, et ceux de la doctoresse, de l’infirmière, de la Directrice et de l’Inspectrice:

« bwuuuUUUUAHAHAHAHAHA !!!! … HAHAHAHAAHA !!!!... HAHAHAHAHHAHAA !!!

ghiiiiiHIHIHIHIIIIHIHIHI !!!! ...GHIHIHIHIHIHII !!!!…...ghiiiihi !!!!…….. HAHAHAHA !!! ...» 

Elle n’arrivait tout simplement plus à parler, mais juste à rire et rire encore et encore sous les insupportables chatouilles des plantes des pieds, tout en agitant ses longs orteils et ses plantes de pieds dans des contorsions improbables. Parfois son regard fou fixait ses propres orteils frétillants, puis regardait l’infirmière d’un air suppliant empli de larmes de rire, avant de revenir fixer ses orteils remuants. Sous l’effet de la torture, ses yeux devenus énormes semblaient vouloir sortir de leurs orbites tellement ces ongles longs lui chatouillaient les pieds. Parfois sa respiration était coupée par les immenses éclats de rire qu’elle n’arrivait plus a contrôler. On pouvait voir ses abdominaux se contracter violemment lors des spasmes de rire qui lui arrachaient les poumons.

Et l’infirmière, sadique et excitée comme jamais, continuait sans relâche l’infernal supplice des chatouilles des pieds. Elle augmentait même les sensations de chatouilles et le sentiment de vulnérabilité en expliquant, obligée d’ hausser la voix pour se faire entendre au milieu du concert de rires tonitruant :

« Mais qu’est-ce que vous pouvez être chatouilleuse des pieds ! ...guili...guili...guili...guili ! Ça chatouille les pieds hein ? Guili...guili...guili ! Vous savez, j’ai tout mon temps ! Je peux vous chatouiller les pieds comme ça pendant des heures et des heures, et vous ne pouvez pas m’en empêcher ! Hahaha ! Guili...guili...guili « 

La pauvre patiente ne pouvait plus supporter cette torture. Les sensations de chatouilles de la plante des pieds par les ongles longs lui remontaient directement dans le cerveau. Les chatouilles submergeaient son système nerveux et empêchaient toute pensée ou parole cohérente. Son corps était maintenant parcouru de spasmes chatouilleux. Son univers n’était constitué que de ses plantes de pieds nues sans défense et de ces horrible ongles longs féminins qui lui procuraient ces insupportables sensations de chatouilles. Elle aurait donné absolument n’importe quoi, tué père et mère, et même donné sa propre vie, pour que cette horrible torture des pieds s’achève dans la seconde. Elle avait de plus en plus de mal à respirer sous les nombreuses et incontrôlables crises de rire. Les larmes de rire voilaient sa vision, et la bave abondante couvrait tout son visage qui s’agitait dans tous les sens, ses longs cheveux balayant violemment l’espace autour d’elle, fouettant le visage de ses voisines qui étaient en panique complète. Le sang lui montait à la tête à force de rire, faisant rougir ses oreilles et ses joues.

Mais l’infirmière, d’un rare sadisme, continua le supplice en faisant faire différents mouvements a ses ongles longs sous les plantes de pieds nus et terriblement chatouilleux: tantôt des petits mouvements circulaires des 10 doigts grattouillant les plantes, tantôt de longs et lents va-et-vient depuis les talons  jusqu’à la base des orteils puis de la base des orteils vers les talons en raclant violemment l’immense courbure de la plante des pieds avec ses ongles longs parallèles, ou bien en galopant galopant avec seulement les ongles de l’index et du majeur dans ce mouvement si caractéristique des chatouilles. Les rires de la suppliciée guidaient ses gestes, l’infirmière insistant sur les zones qui procuraient les rires et les cris les plus violents. Tout en chatouillant la patiente jusqu’à la folie, elle ne put s’empêcher de lui dire :

« Ca chatouille les pieds hein ? Oh oui, c’est … affreux affreux affreux... de se faire chatouiller...chatouiller...chatouiller...la plante des pieds avec des ongles si longs !... guili...guili guili…...guili...guili...guili…...guili...guili...guili...sous les pieds nus...  » dit-elle en synchronisant ses chatouilles avec les mots répétés.  

« WUUAAHAHAHAHAHA !!!!! HAAHAHAHAHAHAHA !!! HAHAHAHAHAHA !!!! »

étaient les seules paroles possibles de la patiente.

« C’est bon ça suffit ! » dit soudain la doctoresse Diane qui avait assisté à  la scène de torture sans broncher depuis le début, trop excitée par le supplice.

«Je crois qu’elle a eu son compte ! » Continua-t-elle.

Aussitôt, l’infirmière arrêta les chatouilles, ce qui eu pour effet d’arrêter les hurlements de rire, mais n’empéchèrent pas la patiente d’être parfois secouée de spasmes de rires résiduels, comme lorsque l’on est atteint de fou rire que l’on tente d’arrêter. 

« Madame La Doctoresse, je, je suis désolée » répondit l’infirmière

« Je n’ai pas pu me contrôler. Il faut dire que ses pieds sont tellement excitants et tellement chatouilleux. C’est irrésistible. » continua-t-elle.

- Vous savez ce que vous risquez si vous dépassez les limites ! » intervint la Directrice

- Vous avez failli la chatouiller a mort. Qui est la patiente, il me semble la reconnaître derrière son masque ? » continua et demanda La Directrice

- Il s’agit de Madame la Duchesse Désirée DuPied », répondit aussitôt La Doctoresse Diana qui avait reconnu ses pieds nus et le haut de son visage.

- QUOI !???, répondit une très surprise et très en colère Madame La Directrice

- Vous avez osé chatouiller presque à mort Madame La Duchesse DuPied ?!! Mais vous êtes complètement folle ! Vous allez le payer, c’est moi qui vous le dit »  explosa Madame La Directrice.

Et la directrice appela immédiatement 2 gardiennes, qui aussitôt arrivèrent dans la salle.

- Emmenez-moi cette infirmière dans les quartiers en sous-sol. Qu’on l’y enferme dans une des cellules. On s’occupera d’elle en temps voulu. »

Et les gardiennes, s’emparèrent de l’infirmière morte de peur qui suppliant

« Je suis désolée Madame La Directrice. Je n’ai pas pu résister. Et je ne savais pas qu’il s’agissait de Madame La Duchesse. Je ne recommencerais plus je vous promets » 

- Ca c’est sur !Vous allez avoir une de ces leçons, croyez moi vous vous en rappellerez toute votre vie ! » lui répondit La Directrice.

Puis La Directrice s’approcha des pieds nus de la patiente dont les plantes étaient encore rougis par les passages des ongles longs de l’infirmière et lui dit :

« Je suis vraiment désolée pour ce qui c’est passé. On a du vous mettre dans cette salle par erreur. Croyez-moi ça ne se reproduira plus. L’infirmière va être punie pour ce qu’elle vous a fait subir. Et on va retrouver la personne qui vous a redirigée ici : elle sera également punie.

Et la patiente, exténuée eut un mal fou a répondre :

« Je...je...hufff…huffff...jamais...hufff…mais au grand JA-MAIS on ne m’avait chatouillée les pieds de la sorte...huff...huff… mhihihi… c’était ...mhiii… c’était … mfffff… une torture absolument

in-su-ppor-table...hihihihi..! Désolée ! ...hihihihi !.. Je ne peux pas m’empecher de riiiiree ! mhihihihi… ! c’est nerveux ! hahaha...Je ne le souhaite à personne ! Même à ma pire ennemie ! Hihihihi ! Ces ongles, oh mon dieu ces ongles longs, hihihi, mais qu’est-ce qu’ils pouvaient me chatouiller la plante des pieds...hihihihi...hihihihi... ! Il n’y a pas de mots pour décrire cette abominable sensation ! C’était des chatouilles, hihihihi... et des chatouilles mhiii...et des chatouilles impitoyables ! Punissez cette infirmière qu’elle prenne conscience de ses actes ! Hhahaha...»

« Ce sera fait Madame La Duchesse. Je vous propose même d’assister au supplice et de vous venger, lorsque le moment sera venu » proposa Madame La Directrice.

« Ce sera bien le minimum ! Que cette garce en garde un souvenir impérissable ! Hihihihihi...» répondit La Duchesse que l’on était en train de libérer de ses liens…

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