Histoire : Institut PAVO (Épisode 06)

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Histoire


Histoire ajoutée le 12/12/2022
Épisode ajouté le 06/01/2023
Mise-à-jour le 06/01/2023

Institut PAVO : preparatifs du supplice

Dès que la gardienne vit Madame La Directrice, elle se figea comme une gazelle tombant face à  face avec son prédateur. Elle ne l'avait même pas entendue entrer dans la salle des supplices, tellement elle était absorbée par la torture qu'elle faisait subir à Melissa. 


Madame La Directrice fut également surprise de voir cette gardienne torturer l’infirmière Melissa sans aucune autorisation, même si cette surprise n’était pas totale. En effet, la gardienne de nuit de quart, réveillée (!) par l'immense cri de jouissance de Melissa, et ayant visionné le supplice depuis un des écrans de la salle de surveillance (en se masturbant ?), écrans qu'elle avait du rebrancher, lui avait demandé de venir le plus vite possible afin de prendre l'autre gardienne en flagrant délit, et elle lui avait donc expliqué ce qui se passait.


Mais l'effet de surprise fut de courte durée, car il fit bientôt place à une colère noire. La Directrice, fulminante de rage, s'adressa à la gardienne transie de terreur :


« Mais qu'est-ce que vous êtes en train de lui faire ? Qui vous a autorisée à entrer ici et à torturer cette infirmière ? Vous pensiez peut-être ne pas être prise sur le fait car vous aviez débranché l’écran de surveillance de la salle des supplices ?! Et vous ne vous attendiez certainement pas à ce que certains cris de la suppliciée puisse traverser 3 portes insonorisées et être entendus par la gardienne de nuit située à l’étage, n'est-ce pas ? C'est ce qui vous a perdue !  Vous savez ce que vous risquez pour ça ? Vous allez recevoir une punition dont vous vous souviendrez toute votre vie, si toutefois vous en sortez vivante ! », hurla-t-elle à la gardienne complètement terrorisée qui sentit aussitôt un sang glacial couler dans ses veines.


Puis La Directrice s'adressant à l’infirmière :


« Vous allez être libérée, et vous aurez droit à du repos dans vos quartiers »


Mais l’infirmière ne répondait pas. La Directrice s'accroupit au niveau de sa tête basculée en arrière. Elle constata avec horreur que le visage de l’infirmière était barré d'un très large sourire, les dents visibles, la langue sortie, les yeux révulsés donnant une expression de clown située entre folie et stupidité. Le corps de l’infirmière était de temps en temps parcouru d'un spasme plus ou moins violent, certains spasmes arrivant même à soulever le corps de la victime du banc à chatouilles.


Puis, tout en continuant à regarder hypnotisée et impressionnée le visage figé de l’infirmière, elle s'adressa à la gardienne fautive:


« Mais, vous êtes complètement folle !! En fait, vous l'avez pratiquement chatouillée à mort ! Mais quelle horreur ! Vous aurez donc droit à une punition exceptionnelle ! Je vais décider de votre sort avec tout le personnel compétent ! En attendant, vous serez mise en cellule d'isolement dans les cachots ! »


Puis elle ordonna à la gardienne de nuit : « Appelez la garde, qu'elles l'emmènent dans les cachots ! Et appelez les brancardières qu'elles emmènent l’infirmière dans notre asile pour y subir les soins psychiatriques nécessaires à son rétablissement»


Puis elle sortit en furie en claquant violemment la porte de la salle des supplices !


Le lendemain matin, la Directrice convoqua une réunion exceptionnelle dans son grand bureau afin de discuter de la meilleure punition à administrer à la gardienne fautive. Étaient présentes : la Doctoresse Podologue-Pédicure Diana, la masseuse-kiné Fiona van der Meyer, la spécialiste des interrogatoires de l'Institut Berthina von Barefus, la psychologue Helena Voleinstein, la Doctoresse en chef Olga Mansfield, la Pharmacienne en chef Aurora Sofia de Britanica, la sexologue Amanda de Pisa et enfin l'Inspectrice, en tant qu'invitée et observatrice.


La Directrice commença par exposer les faits :


« J'ai été réveillée en pleine nuit par la gardienne de nuit. Celle-ci m'a demandé de venir de toute urgence dans la salle des supplices car une des gardiennes était en train de torturer à mort une victime qui hurlait comme une démente possédée »


S'ensuivit un échange entre la Directrice et la spécialiste des interrogatoires :

Qui était la victime ? 

L’infirmière podologue Melissa

Et comment s'est-elle retrouvée dans cette situation ?

Et bien, elle était restée attachée sur le banc en Y suite à sa punition: nous lui avions fait subir le supplice des chatouilles pendant toute l’après-midi, pour avoir elle-même chatouillé les pieds de la Duchesse DuPied. Je voulais qu'elle prenne bien conscience de ses actes.

Ah oui, en effet ! Et que s'est-il passé ensuite ?

Une gardienne est entrée pendant la nuit seule pour venir torturer l’infirmière attachée nue sans défense. Elle avait au préalable pris soin de débrancher l’écran de surveillance auquel elle avait accès en tant que gardienne.

Et quelle torture lui a-t-elle fait subir ?

Elle l'a chatouillée presque à mort : l’infirmière est dans un état déplorable en soins intensifs dans notre asile.

Quelle horreur ! Et comment l'a-t-elle chatouillée ?

Selon la gardienne de nuit, elle lui a fait subir le supplice de la chèvre. Et lorsque je suis arrivée, elle était en train de lui faire des chatouilles sur le ventre avec ses ongles longs

Mais comment la gardienne de nuit l'a-t-elle su si l’écran ne fonctionnait pas ?

Elle a d'abord entendu un énorme cri puis des hurlements de rire. Elle a constaté que l’écran été éteint. Et lorsqu'elle l'a rebranché, elle a vu que deux chèvres étaient en train de lécher les pieds nus de l’infirmière qui hurlait de rire de manière insensée sous le supplice

Donc on ne sait pas ce qui s'est passé avant ce cri lorsque l’écran était éteint. Et on ne connaît pas non plus ce qui a causé ce cri.

C'est exact ! Lors de sa punition, nous devrons donc également faire subir un interrogatoire à la gardienne qui a torturée l’infirmière  pour savoir ce qu'elle lui a fait subir depuis le début. Maintenant je vous écoute pour vos propositions de punition-interrogatoire. Je veux quelque chose d'exceptionnel, le plus terrible supplice des chatouilles qu'on n'ait jamais fait subir à quelqu'un...


Et chacun proposa son idée :


Je propose de tester d'abord sa sensibilité naturelle aux chatouilles en différents endroits. Mes masseuses peuvent s'en occuper, dit la masseuse-kiné

Je propose d'utiliser une potion dilatatrice issue de nos recherches qui rend n'importe quelle victime incroyablement chatouilleuse ; en plus de cela, nous pouvons utiliser une crème « chatouillante » que l'on badigeonne sur la zone à chatouiller, dit la Pharmacienne 

Saviez-vous qu'une personne est beaucoup plus chatouilleuse après un orgasme ? demanda la sexologue. Je propose donc de l'exciter à mort juste avant son supplice 

On peut aussi faire la cartographie de ses plantes de pieds pour connaître ses zones les plus sensibles et la chatouiller le long de ses méridiens plantaires : c'est absolument atroce même avec une simple plume, dit la doctoresse podologue 

Il n'y a pas que les pieds qui sont chatouilleux dit la Doctoresse. On peut la chatouiller de partout en même temps pour rendre le supplice abominable : le ventre, les abdominaux, le nombril, la taille, les hanches, les cotes, les aisselles, le dessous des genoux, les cuisses, le cou, la nuque, les narines, le pourtour des oreilles et des lèvres et même les seins, les bouts de sein, le clitoris, les lèvres du sexe et le pourtour de l'anus.

On peut également lui mettre la pression psychologique pour augmenter sa sensibilité. Je peux travailler la-dessus avec l'interrogatrice, dit la psychologue

Nous avons de nombreux équipements de bondage et d'enfermement qui peuvent augmenter considérablement le sentiment de vulnérabilité aux chatouilles. Oh ! Et puis il y a bien sur le supplice de la chèvre ! Simple mais terriblement efficace ! dit l'interrogatrice

Très bien ! Merci pour vos suggestions, dit La Directrice. Nous allons appliquer toutes ces mesures. Je vais réfléchir et vous dire prochainement ce que nous allons lui faire subir dans tous les détails, continua-t-elle avec un sourire sadique. En attendant, je veux qu'elle reste dans sa cellule isolée dans les cachots dans le noir pendant trois jours et trois nuits, les poignets attachés aux murs de sa cellule, et qu'on lui fasse consommer plusieurs fois par jour les aphrodisiaques les plus puissants et les potions qui rendent chatouilleux les plus fortes, et ce à très forte dose. Je veux que dans trois jours elle devienne une bête sauvage hyper excitée et ultra chatouilleuse avant même le début des supplices. Mettez-lui des chaussettes emplies de crème « chatouillante » et de sel  qu'elles gardera aux pieds pendant ces 3 jours et 3 nuits. Et mettez trois chèvres à la diète de sel. Mais avant tout cela, Fiona, Diana et Olga, je veux que votre équipe de masseuses, de podologue et de doctoresses lui fasse passer un test pour connaître ses zones naturellement les plus chatouilleuses et leur degré de sensibilité.

Bien Madame La Directrice, nous nous en occupons de suite.  


Les cachots se situaient au deuxième sous-sol. Une lourde porte en bois s'ouvrait sur un long couloir sombre encadré de nombreuses portes également en bois: à droite celles des cellules individuelles complètement noires sans aucune lumière, dans lesquelles étaient enfermées les prisonnières les plus récalcitrantes ou bien celles qui devaient subir un interrogatoire, et à gauche, celles des salles individuelles de torture. Ces salles étaient petites et munies d'un équipement de bondage différent, certains de ces équipements étant particulièrement contraignants empêchant le moindre mouvement. 


La gardienne fautive, du nom de Sonia, se trouvait donc dans une de ces cellules sombres depuis la nuit précédente, ses poignets pas encore attachés aux murs. Elle portait encore son uniforme de gardienne de couleur marron avec ses bottes noires. Elle était brune aux yeux marrons, environ 1m70, pas moche, assez fine mais pas non plus un mannequin. Suite à son incarcération dans sa cellule, elle avait finit par s'endormir après des heures d'angoisse, seule, à ressasser ce qui venait de se passer, et surtout paniquée en imaginant les tourments qu'elle allait subir, connaissant le sadisme et la perversion de Madame La Directrice.


Soudain, ses pensées furent interrompues par un bruit de clé dans la serrure de la lourde porte d’entrée du couloir, suivi de bruits de pas qui s’arrêtèrent devant sa cellule. Puis elle entendit un deuxième cliquetis de clé qui ouvrit sa propre cellule. Deux gardiennes qu'elle n'avait encore jamais vues encadraient 2 femmes : la masseuse en chef Fiona, une belle brune cheveux châtains d'1m75, et son assistante une grande et belle blonde impressionnante d'1m80, toutes les 2 en blouses blanches. La chef demanda aux gardiennes d'emmener immédiatement Sonia dans la salle des supplices numéro 7. Sonia, morte de peur, tenta de résister mais, les 2 gardiennes lui attachèrent des menottes dans le dos sans trop de difficulté, et l’emmenèrent vers la salle indiquée. Dans la salle se trouvaient déjà la podologue Diana et la doctoresse Olga, également en blouses blanches.


Cette petite salle était occupée en son centre par une simple et robuste table en bois solidement ancrée dans le sol, et munie d'anneaux pour les poignets et les chevilles. 


« Déshabillez-la complètement, et attachez la sur la table ! » ordonna la masseuse en chef


 Très vite, Sonia se retrouva ainsi complètement nue sur cette table, attachée par les poignets et les chevilles, les bras derrière sa tête, et ses chevilles devant elle. 


« Bien ! Maintenant tendez-la ! »


Une des 2 gardiennes actionna une manivelle située sous la table, permettant de tirer sur les liens et ainsi étirer le corps complètement nu de la victime. Sonia se retrouva ainsi les bras et les jambes en extension en forme de « I ». Elle était tellement tendue qu'elle pouvait respirer difficilement, et remuer uniquement ses pieds nus, ses mains et sa tête. Elle se sentait très vulnérable attachée ainsi complètement nue face à ces inconnues.

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« Qu'est-ce... qu'est-ce que vous allez me faire ? » demanda-t-elle en tremblant


«  On va te chatouiller  ! » répondit brusquement la masseuse Fiona 


Le sang de Sonia ne fit qu'un tour. Elle supplia, paniquée : 


« Non ! Non ! Pas ça je vous en supplie! Pas les chatouilles ! Pas les chatouilles ! Pas attachée comme ça !» s’écria Sonia apeurée, se sentant affreusement vulnérable complètement nue de la tête aux pieds face à toutes ces inconnues habillées en blouse blanche, son corps tendu comme un arc incapable de bouger.


Puis la masseuse-kiné fit un geste de la tête à la masseuse blonde qui se mit immédiatement « au travail ». En grande professionnelle du massage, elle commença par caresser les bras de Sonia, descendit dans le creux des aisselles, malaxa la nuque, le cou, descendit sur les seins, les cotes, le ventre, la taille, les hanches, l’aine, les cuisses, les genoux, les chevilles, le dessus des pieds, la plante des pieds et les orteils, juste pour chauffer la peau nue de Sonia qui inspirait et expirait nerveusement. 


Puis la blonde recommença son massage depuis les poignets jusqu'aux orteils mais avec des caresses un peu plus légères, entre le frôlement et la caresse. Cette fois-ci, Sonia sursautait dans la limite de ses liens lorsque la masseuse lui touchait certaines zones plus sensibles. Lors de ces sursauts, la masseuse détournait son regard du corps nu de Sonia vers sa chef en faisant un hochement de tête entendu.


Lors du troisième passage, la masseuse  frôla la peau nue du bout des doigts en suivant le même parcours de haut en bas, provoquant de grands frissons avec chair de poule parfaitement visibles. Et lorsque le bout de ses longs doigts fins atteignirent en effleurant à peine les hanches, la taille ou la peau fine et douce du ventre nu tendu comme un tambour par la table de torture, Sonia partit immédiatement en fou rire :


« hihihihiiii ! ghiiiiihihihii ! Arrêtez ! Pas la ! Pas le ventre ! Pas le ventre ! Ça chatouille ! hihihi !  ghiiihihihiiihi ! Je crains les chatouilles sur le ventre ! hahahahaha ! ghihihiiihii..»


...faisant sourire la masseuse blonde qui du coup insistait un peu plus sur ces zones tendues et si sensibles qu'elle  effleurait de ses longs doigts délicats. 


« Chatouilleuse du ventre hein ? » dit-elle tout en continuant les doux frôlements de la peau fine et  douce du ventre nu avec l’extrémité de ses longs doigts fins :


« ouiiiii ! hihihihiiii ! Arrêtez les chatouilles ! Pas le ventre ! je vous en prie ! Hihihiiiihiiii ! Ça fait des chatouilles ! hahahaha ! » dit Sonia tout en bavant de rire.


Puis, la masseuse continua sa lente progression vers la plante des pieds nus de Sonia, qui maintenant regardait ses propres longs orteils d'un air très inquiet. Affolée, elle ne put s’empêcher de supplier tout en agitant ses orteils dans les airs :


« Je vous en supplie, ne me chatouillez pas les pieds !! pas les pieds ! Non ! Pas les pieds !»


Mais la masseuse, souriante, effleura très délicatement la plante des pieds nues en effectuant des petits mouvements circulaires du bout des doigts en remontant depuis le talon rond jusqu'à la base des orteils en passant pas la voûte plantaire. Sonia eut l 'impression d’être branchée sur une batterie de voiture : ses pieds, très chatouilleux, se déplacèrent  violemment vers l’arrière dans des mouvements réflexes limités par les attaches des chevilles, tentant d’éloigner ses pieds nus des longs doigts fins de la masseuse. Au bout de seulement quelques secondes, elle explosa de rire en basculant sa tête en arrière les yeux fermés tout en recroquevillant ses longs orteils plissant les plantes dans un réflexe chatouilleux:


« bwhahahahahaha ! Hahahaha ! Pas les pieds ! Pas sous les pieds ! Hiiiiihihihi !...  haaaaahahahahaha ! Ca chatouille !! hahahaha ! Ghihihihihii ! Pas les pieds ! Nooon ! pas les pieds ! C'est horrible ! Haaaahahahaha...arretez !  »


La chef demanda à la blonde d’arrêter, laissant Sonia haletante mais soulagée par l’arrêt du supplice.


« uff ! Uff !..ne me faites plus de chatouilles je vous en prie !...uff... »


Puis Fiona fit un signe à la doctoresse podologue Diana qui s'empara d'une longue plume fine et s'approcha des plantes de pieds nues de Sonia. Sonia ouvrit ses yeux en grand suivant du regard avec grande inquiétude d'abord les mains de la doctoresse puis le bout pointu de la plume se rapprocher de ses pieds nus sans défense au bout de la table de torture, les sourcils relevés au centre, la bouche ouvert ;, elle supplia tout en agitant ses longs orteils :


«  Non ! Non ! Par pitié ! Pas la plume ! Pas le supplice de la plume sous les pieds ! Je suis très chatouilleuse des pieds ! ... »


Mais la doctoresse lui dit :


« Nous savons que tu es très chatouilleuse des pieds ! Avec cette plume, nous allons pouvoir mesurer à quel point ! »


Puis elle effleura à peine le centre du creux de la voûte plantaire avec l’extrémité effilée de la plume. Par  ce simple contact pourtant très délicat, le pied nu hyper chatouilleux se rétracta violemment en arrière par pur réflexe, et le corps nu de Sonia se raidit immédiatement faisant bouger la table de torture pourtant lourde et solide, alors qu'un petit cri aigu et incontrôlable fut expulsé de sa bouche :


« mhiiiii ! ghiihihiihihiii...hihihiiiihihihi...» 


Puis, avec un sourire excité, la doctoresse podologue, experte dans l'art du chatouillement des pieds, suivit délicatement avec la pointe de la plume un méridien plantaire situé le long du creux de la plante des pieds dans un lent mouvement de bas en haut puis de haut en bas, mouvement qu'elle répéta ainsi de nombreuses fois successivement sous les deux grandes plantes de pieds nues exposées et sans défense, les très longs orteils élégants de la suppliciée frétillant dans tous les sens à seulement quelques centimètres de son visage sous les horribles guilis-guilis procurés par la plume.


La pauvre Sonia, horriblement chatouilleuse des pieds se mit à hurler de rire tentant de supplier entre deux crises de rire :


« buuuuuaaaAAAHAHAHAHA !! HAHAHAHAHA … !!! mhiiiiiihihihihiii... !! hihihihihiiii... ! Arrêtez !! hahahahahahh... ! Pas les chatouilles ! Hahahaha... !!! hahahaha … ! ghihihihiihihihiii !... arrêtez la plume ! arrêtez la plume ! Hahahaha ! Pas les pieds !!.... hahahaaahahhaha ! Pas les pieds … !!! Je suis trop chatouilleuse des pieds ! Hahahah ! ghihihiiii ... »


Mais la doctoresse, très excitée, insista en promenant de manière sadique et sans pitié l’extrémité effilée de sa plume sous la plante des pieds nus et horriblement chatouilleux de Sonia, cherchant les zones les plus chatouilleuses, tout en prononçant parfois des « guili...guili... guili... guili... »  d'une voix hyper aiguë, faisant ainsi hurler de rire la pauvre Sonia qui se tortillait comme un ver sur la table de torture, tentant d'arracher ses chevilles du carcan qui maintenait ses pieds nus exposés sans défense, pieds nus qui se tordaient dans des contorsions impossibles, tout en faisant frétiller ses longs orteils.


« ghiihihiiihiii !! ghiihihihii … !! ghiiihihihiii... !! hiiihihihihiiii.. !...... HAHAHAHAAAAA … HAHAHAHAAA …. wuuAUAAAAHAHAHAHAA.... stoooOOOOP...hihihihiiii..ca chatouille.. hahahahaaaa...ca CHATOUILLE !!!! … HAHAHAHA... les pieeeeeds ...hihihihihiihiii ...

arreteez la plume ! arretez la plume....hihiihiihiiii... »


Puis la doctoresse dit a la podologue qui devenait comme en transe :


« C'est bon, Doctoresse Diana, vous pouvez arrêter le supplice ! Nous savons maintenant qu'elle est horriblement chatouilleuse des pieds. Je ne propose même pas de tester avec vos ongles longs: nous les utiliserons lors de son véritable supplice dans 3 jours » dit-elle.


Et la doctoresse Diana arrêta le supplice de la plume, ce qui aussitôt interrompit les hurlements de rires pour faire face à des halètements entrecoupés parfois de bouffées de petits rires nerveux résiduels et incontrôlables. 


C'est alors que la doctoresse décida de promener une autre longue plume fine sur le visage en larme de Sonia, passant la pointe également très effilée sur la commissure des lèvres, sur la peau fine des joues, sur tout le pourtour des oreilles, et dans le creux du cou. Parfois elle étendait la zone du supplice jusque dans les  creux profonds des aisselles nues exposées que Sonia était dans l’incapacité totale de protéger du fait de sa position tendue en « I » sur la table de torture les bras  attachés loin derrière sa tête. Cette nouvelle attaque provoqua de très vives chatouilles à Sonia qui se remit aussitôt à hurler de rire comme une folle sous l'infernale démangeaison.


Mais le pire survint lorsque la doctoresse fit pénétrer profondément la plume fine jusqu'au fond d'une narine tout en la faisant tourner lentement sur elle-même entre ses doigts de manière sadique lors de la pénétration. Sonia ouvrit d'immenses yeux incrédules devant ce supplice atroce qui lui vrillait le cerveau, l'abominable sensation de chatouille de la plume dans le nez lui étant absolument insupportable : elle poussa des cris stridents et des hurlements de rire de femme possédée sous l'abominable chatouillement, rires entrecoupés d'une irrésistible envie d’éternuer.


Satisfaite, la doctoresse arrêta le supplice, puis dit a l’assemblée :


« Bien ! Nous en savons assez ! Je vais faire un rapport à la Directrice. Gardes ! Rhabillez-la et ramenez la dans sa cellule sans oublier de lui attacher ses poignets aux anneaux des murs ».


Sonia était complètement sonnée et exténuée par ces différents supplices de chatouilles.


Ainsi, quelque temps plus tard, Sonia se retrouva de nouveau dans sa cellule, mais cette fois-ci attachée par les poignets, en tenue de prisonnière avec de grosses chaussettes en laine aux pieds enduits de sel et de crème chatouillante. Comme prévu, elle y passa 3 jours et 3 nuits sans voir la lumière, sauf pour recevoir ses collations bourrées aux aphrodisiaques et aux potions chatouillantes