Histoire : Institut PAVO (Épisode 07)

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Histoire


Histoire ajoutée le 12/12/2022
Épisode ajouté le 09/01/2023
Mise-à-jour le 09/01/2023

Institut PAVO : La revanche

Après trois jours d'enfermement dans le noir total, bourrée d'aphrodisiaques et de potion « chatouillante », Sonia, excitée comme une folle car incapable de se masturber, ses poignets ayant été tout ce temps attachés au mur de sa cellule, était devenue une véritable pile électrique chargée à   bloc. Elle ne pensait qu' à une seule chose : JOUIR !

Trois gardiennes vinrent la chercher dans sa cellule. Elle n’étaient pas de trop pour maîtriser « la bête » qui se débattait comme une lionne tentant de s’échapper entre leurs bras en criant et en les insultant. Elles l’emmenèrent de force vers une autre salle des supplices équipée d'un appareil de bondage sophistiqué sur lequel elle allée être attachée après avoir été déshabillée complètement.

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L'appareil complexe consistait en une sorte de X suspendu. Deux poutres croisées en bois étaient prévues pour maintenir le corps en X. Ce grand X était fixé sur une autre poutre circulaire verticale coulissante à crémaillère. Il y avait de nombreuses manivelles permettant de régler l’écartement du X qui pouvait ainsi se transformer en I, ou bien en T, ou bien encore en Y inversé ou non; on pouvait également régler la hauteur du X ainsi que son orientation selon tous les angles possibles entre la verticale et l'horizontale.

Beaucoup de monde était présent pour assister au supplice de Sonia : Madame La Directrice, la doctoresse-podologue Diana et une de ses assistantes, la masseuse Fiona et son assistante, la doctoresse en chef, la sexologue, l'interrogatrice, l'inspectrice et quatre gardiennes. L'interrogatrice en chef commanda aux gardiennes :

« Déshabillez-la complètement et attachez-la sur le chevalet »

Les gardiennes eurent un mal fou à déshabiller complètement Sonia car celle-ci se débattait comme une furie avec une force incroyable tout en vociférant et les insultant :

« Laissez-moi tranquille ! Espèces de sauvages vicieuses toutes autant que vous êtes ! Vous n'avez pas le droit de me torturer ! Je vais me plaindre... »

«  Ah oui ? Et à qui ? » coupa La Directrice en souriant sure d'elle

«  Je...mais, laissez-moiiiii !...je vous traduirai en justice vous et votre insti...tuuut... » dit-elle tout en se débattant violemment

Enfin, les gardiennes réussirent à l'attacher sur le chevalet, laissant Sonia complètement nue et exposée, très énervée mais aussi paniquée d’être ainsi nue sans défense dans cette position vulnérable face à toutes ces femmes perverses et vicieuses dans cette salle de torture de type médiéval.

« Qu'est-ce que vous allez me faire subir comme tort...torture ? » osa-t-elle sans s'adresser à une personne en particulier.

« Oh ! Beaucoup de choses, tu verras ! Ton corps nu ainsi exposé nous laisse pas mal de possibilités. Nous allons te faire plein de supplices. Sais-tu ce que tu as bu pendant ces 3 jours ? » demanda La Directrice

« Vous m'avez empoisonnée je suis sure ! »

« t-t-t-t-t ! Non tu n'y es pas du tout ! Nous t'avons fait boire des aphrodisiaques très puissants, et ingurgiter une potion qui t'as rendue abominablement chatouilleuse. Nous savons donc à quel point tu es excitée et chatouilleuse, et à quel point tu voudrais être soulagée sexuellement ! n'est-ce pas ?» répondit La Directrice

«  Vous êtes complètement folle ! Espèces de perverses ! Laissez-moi tranquille ! Détachez moi de ce chevalet» hurla Sonia

«  Pas avant de t'avoir punie pour tes agissements ! Sache que l’infirmière que tu as torturée n'est toujours pas complètement remise de son supplice même après trois jours de soins intensifs ! Selon nos spécialistes, elle devrait aller mieux d'ici une semaine. Tu imagines : tu l'as tellement chatouillée qu'elle va mettre 10 jours à s'en remettre ! Mais il y a une chose qui nous intrigue : pourquoi était-elle si chatouilleuse ? Qu'est-ce que tu lui as fait avant de la chatouiller ? En plus, elle aurait poussé un cri de tous les diables : pourquoi a-t-elle tant crié ainsi ? Parles !»

« Elle est très chatouilleuse des pieds et elle n'a pas résisté au supplice de la chèvre... » répondit Sonia.

«  On ne te croit pas ! » coupa La Directrice qui continua «  Mais tu vas parler sous la torture, c'est sur ! Fiona montrez-lui à quel point elle est devenue chatouilleuse ! Je crois savoir grâce aux tests que tu as passés, que tu n’étais pas très chatouilleuse des aisselles n'est-ce pas ? Voyons voir ce que ça donne après 3 jours de consommation de potions «chatouillantes ».

C'est ainsi que Fiona se plaça derrière la suppliciée, approchant ses longs doigts féminins des creux très profonds et attirants des aisselles. Puis elle les agita comme des pattes d’araignée afin de lui faire des chatouilles.

Au contact des longs doigts fins et agités de la masseuse avec ses aisselles nues, Sonia ressentit immédiatement un insupportable chatouillement. Jamais elle n'avait été aussi chatouilleuse sous les bras de sa vie. Elle se mit aussitôt à rire sans pouvoir s'en empêcher :

« ...hihihiii ! ghihihiiihihiii ! whouuuhouhououou ! ca ...hahaha... ca...chatouille ! hahahaha....ca chatouille ! Arretez ! ghihihihiiihi !! »

La masseuse, souriante, fit varier les mouvements de ses doigts dans les creux des aisselles effectuant parfois des mouvements circulaires légers couvrant toute la surface hyper chatouilleuse du bout des doigts, ou bien effectuant la marche du petit cheval juste au centre des creux des aisselles avec seulement ses index et ses majeurs dans ce mouvement si caractéristique des chatouilles avec les doigts, ou bien fouillant et refouillant la totalité des immenses creux avec ses dix doigts remuants :

Le supplice devenait insupportable. Sonia hurlait de rire sans discontinuer sous les horribles guilis guilis des aisselles qu'elle ne pouvait pas protéger :

« bwuuuuuaaaAHAHAHAHA ! … hahahaha... hihihihihi... ghiiihihihii... AAHAHAHAHAAAAHA !!.. arretez...hahahahahaaaa...arretez les guilis...ghiihihihiiii ... »

« Stop ! » interrompit La Directrice

Aussitôt la masseuse cessa les guilis guilis sous les bras laissant Sonia haleter.

« huff...huff...hufff... »

« Bon ! Alors ! Que penses-tu des effets de cette fameuse potion maintenant ? Imagines à quel point tu es devenue chatouilleuse sur les zones qui l’étaient déjà naturellement » demanda La Directrice

« huff...huff... d'accord ...d'accord...ne me chatouillez-plus ! Huff.. pas … pas comme ca »

Puis, suite à un nouveau hochement de tête de Madame La Directrice, la masseuse, experte, commença à effectuer des petits mouvements de va et vient de la pointe des ongles sur la peau fine et douce du ventre nu depuis le nombril jusqu'aux flancs tels des pattes d’araignées  avant de descendre vers l'aine et remonter vers le nombril et recommencer ainsi en faisant des cercles de plus en plus larges de manière à  couvrir toute la surface du ventre nu. Sonia tenta de ne pas rire. Mais le ventre hyper chatouilleux, réagissait tout seul aux chatouilles des ongles contractant les abdominaux par pur réflexe, la peau nue parcourue par de petites vagues de spasmes incontrôlables. Sonia n'en pouvait plus tellement ces ongles longs lui chatouillaient le ventre, son visage était devenu rouge à force de se retenir de rire. Puis la masseuse pinçât violemment et plusieurs fois les hanches de Sonia par derrière, accompagnant ses gestes  de :

« guiiili... guili...guili... ! guiiili...guili...guili ! »

d'une voix hyper excitée, ce qui déclencha instantanément une explosion de rire  de la part de Sonia :

« bwuuAAAAHAHAHAHAHAHA !!! HAHAHAHAHAHAAAA...HAHAAAA.... hihihihiiiii...
wuaAHAHAHAHAAAA !..pas le ventre !!! WUUAAHAHAHAHAAA !!! … ghiiihiiihi..arretez les chatouilles !! ha ahahahha … pas la !! hahahaaaahaha ... »

hurla-t-elle, ses rires résonnant dans la petite salle de torture devant les yeux également très excités de l'assistance hypnotisée par la scène.

Et la Directrice s'adressa de nouveau a Sonia qui hurlait de rire sous les chatouilles de son ventre nu
« Tu vois à quel point tu es devenue chatouilleuse ? Mais on a mieux ! » dit-elle.

Puis elle fit un geste entendu à la masseuse restée derrière le chevalet. La masseuse passa ses mains sous les aisselles de Sonia pour atteindre les deux seins nus qu'elle commença à malaxer langoureusement tout en excitant les bouts de sein avec ses index.

Sonia, surprise, sursauta à cette nouvelle « attaque » par derrière et par surprise, avant de commencer à fondre littéralement de plaisir sous ces caresses sensuelles. Elle ferma les yeux, se laissant aller aux sensations en inspirant et expirant profondément.

La masseuse, experte, caressa les dessous des seins, entoura les deux globes entre ses mains comme s'il s'agissait de précieux trésors tout en excitant les bouts avec ses index, avant d'effleurer les bouts de sein turgescents avec la paume de ses mains fines en effectuant de larges mouvements circulaires.

Sonia était de plus en plus excitée par ces caresses. Son sexe devenait humide. Elle haletait de plaisir. Elle ne faisait même plus attention à toutes les personnes présentes dans la salle de torture, qui ne perdaient pas une miette du spectacle alléchant qui se déroulait devant leurs yeux pervers, bercés par les miaulements de plaisir de Sonia :

« hoooo ! mhhhmmm ! oui ! mmhhmmm ! ohhh ! mmmm ! c'est booon ! mmmmhmm ! »

Puis La Directrice fit un hochement de tête à la sexologue qui prit un tabouret et s'installa entre les jambes largement écartées de Sonia face au sexe nu et humide complètement exposé. La sexologue, constata que le clitoris de Sonia avait déjà fortement grossi sous l'effet de l'excitation sexuelle procurée par les caresses de la masseuse. Alors que la masseuse continuait ses lents et délicieux pelotages des seins faisant geindre Sonia de plaisir, la sexologue, experte, effleura à peine l’extrémité hyper excitée du clitoris gonflé de plaisir avec la partie antérieure de son majeur tendu comme un I, lui faisant effectuant de très lents mouvements de va et vient sur toute sa longueur.

Lorsqu'elle sentit le majeur de la sexologue toucher son clitoris gorgé de plaisir,  Sonia, déjà en transe les yeux fermés sous les mains caressantes de la masseuse, ouvrit en grand ses yeux dans une immense expression de surprise, n'ayant absolument pas vu venir la sexologue. Elle lâcha un grand

« haaaaa ! » tout en tournant ses yeux vers le haut de sa tête, montrant ainsi à quel point ce doigt sur son sexe lui procurait une immense excitation.

La sexologue, souriante, continua le lent va-et vient sur toute la longueur de son majeur appliquant une pression de plus en plus forte sur le clitoris gonflé par l' excitation, masturbant délicieusement le sexe nu et trempé parfaitement exposé par les jambes très écartées de Sonia sur le chevalet de torture.

Sonia, en extase, bourrée d'aphrodisiaques, devenait dingue de plaisir. Son visage souriant regardait fixement tantôt ses seins nus et leurs bouts devenus énormes sous les caresses et titillements des mains expertes et des longs doigts fins de la masseuse, tantôt fixait son propre sexe nu écartelé en train de se faire masturber de plus en plus fortement par le majeur de la sexologue, tout en poussant des gémissements de plaisir :

« mmmmmhh ! Ooooh ! mmmuuuumm hhh ! oh mon dieu mais qu'est-ce que c'est bon ! mmmmhhhuummmm ! oooohhh ! oooh que c est bon ! oh que c est BOOOON  !! mmmmm... »

tout en ondulant des hanches pour ressentir encore plus fortement le doigté expert de la sexologue.

Puis, sans crier gare, la sexologue enfonça d'un coup trois doigts très profondément dans le sexe trempé de Sonia déclenchant ainsi un hurlement de plaisir :

« ooooooooooooooooooommmmmmmmmmhhhhhhh ! »

Puis, une fois a l’intérieur du sexe chaud et trempé, la sexologue remua ses doigts dans tous les sens tout en remontant sa main avant de la replonger plus profondément encore plusieurs fois déclenchant ainsi un orgasme d'une puissance phénoménale, arrachant à Sonia un râle de plaisir d'une force inouïe, cri qui résonna dans la salle de torture, vrillant les tympans de l’assemblée hypnotisée et hyper excitée :

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH...... !!!! »

L'orgasme d'une puissance extrême contracta tous les muscles de Sonia ; puis, au bout de quelques secondes de secousse violente faisant trembler le chevalet, le corps nu et trempé se relâcha d'un coup abandonnant Sonia dans une extase infinie...Le visage de Sonia était barré d'un très large sourire de soulagement et d'immense satisfaction sexuelle ; ENFIN! ce qu'elle appelait de ses vœux depuis 3 jours venait de se produire : elle avait JOUI  d'une jouissance démesurée !  

La sexologue interrompit la masturbation du sexe en feu, et la masseuse éloigna ses mains douces des seins nus de la suppliciée.

C'est le moment que choisit l'interrogatrice pour intervenir :

« C’était bon hein ? Oh oui nous avons tous pu constater à quel point la masseuse et la sexologue t'ont procuré du plaisir jusqu'à ta jouissance extrême. Maintenant tu vas parler ! Oh oui tu vas parler ! Tu sais pourquoi ? Parce que tu vas être chatouillée à mort sous la plante des pieds et sur le ventre ! Imagines les chatouilles que ça va te faire sachant que tu as bu la potion chatouillante, et surtout parce que ton énorme orgasme t'as rendue infiniment plus chatouilleuse ! »

Sonia, toujours dans un état second de jouissance prolongée, réagit à peine dans un souffle :

« noon ! Mmmm ! Non pitie ! Non ! Mmmm ! Pas de chatouilles ...mmm.. »

«  Alors, qu'est-ce que tu lui a fait avant de la chatouiller ? PARLES ! »

«  Je...rien de particulier...mmmm...oohhh... » répondit encore Sonia

« Tant pis pour toi tu l'auras cherché ! »

Suite à un hochement de tête de l'interrogatrice, la doctoresse-podologue Diana s'approcha d'un des pieds nus exposés, et la masseuse approcha ses longs doigts fins de la taille fine de la suppliciée. Puis d'un hochement de tête simultané, les deux tortionnaires passèrent à l'action. La podologue, effectua des mouvements alternatifs de ses index et majeurs chatouillant ainsi la peau fine et blanche du creux de la voûte plantaire du bout des ongles longs, tandis que la masseuse pinça par derrière les hanches nues de Sonia dans des mouvement alternatifs violents si caractéristiques des chatouilles des hanches...

Sous cet assaut coordonné, la pauvre Sonia fut instantanément arrachée de sa rêverie orgasmique pour revenir immédiatement à la réalité de son supplice. Jamais elle n'avait ressenti de telles chatouilles. Affreusement chatouilleuse du ventre et des pieds, Sonia ne supportait pas les guilis-guilis procurés par ces longs ongles sous sa plante de pied nue et par ces longs doigts féminins sur ses hanches nues; son corps tout entier se raidit dans un spasme violent ; puis très vite vint le rire ! Un rire féminin irrépressible d'une force incroyable   ! Un rire de femme chatouillée abominablement chatouilleuse ! Elle hurlait de rire sans pouvoir parler sous les assauts incessants des doigts féminins sous ses plantes de pieds nues et sur ses hanches si chatouilleuses :

«  bwuuuuAAAAAAAAHHH...HAHAAAAHAHAA...HAHAHAHAAAAAA....ghiiiiiihihi... hihihiii... ghiiiihihihiiii... WUUAAHAHAHAHAAA ! WUUAAHAHAHAHAAA !!! … HAHAAAAHAHA ! HAHAAAAHAHA!!....nnn... SSSHAHAHAAAAA..chatouiiiiille... HAHAHAHA... »

Hélas pour elle, cette fois-ci les femmes tortionnaires ne s’arrêtèrent pas malgré l’évidente détresse chatouilleuse  de la suppliciée.  Elle insistèrent, et insistèrent de longues et interminables minutes sans jamais s’arrêter de la chatouiller. Les doigts inquisiteurs se promenèrent ainsi sous la totalité de la plante des pieds, sous les orteils souples et remuants, mais aussi dans le creux des hanches, sur toute la surface du ventre nu, et sur les flancs chatouilleux, arrachant d'horribles hurlements de rire à la suppliciée. Le chevalet de torture bougeait sur sa base dans des grincements de bois audibles, sous les tentatives répétées de la suppliciée d'arracher ses poignets et ses chevilles de leurs attaches afin de soustraire son corps nu à l 'insupportable supplice des chatouilles. Elle remuait ses longs orteils, ses doigts, ses mains et sa tête dans tous les sens tout en riant comme une demeurée, les larmes de rire couvrants son visage :

« ...ghiiii...hiiiihihiiii... hahahaha...hahahahaaaa...AAAAAHAHAHAHAAA...wuaaaahahahaaa... ghiihihihii...ghhihihiiii...ghhaaahahahaaaa.. HAHAHAAAAA... !!!! »

Au bout de 15 longues et terribles minutes, la torture augmenta encore en intensité parce qu'une autre doctoresse podologue s'approcha de l'autre pied nu et passa l’extrémité d'une longue plume fine sous la plante de pied depuis le talon jusqu'au dessous des orteils en passant par la cambrure de la voûte plantaire. Puis elle passa sa plume entre les longs orteils horriblement chatouilleux qui frétillaient sous la torture. Hyper excitée, elle susurra même :

« guili… guili... guili...guili...tu es chatouilleuse des pieds hein ?  guili...guili...guili...» d’une voix très aiguë et émoustillée.

Sonia croyait devenir folle sous les chatouilles! Elle ria d'un rire très puissant et très aigu tout en faisant frétiller ses orteils, mais très vite, elle fut prise d'un rire silencieux bouche ouverte mais inaudible car elle n'arrivait plus à reprendre sa respiration :

« …...................................................................... »


La doctoresse principale leva la main demandant l'interruption du supplice !

« Arrêtez ! Arrêtez sinon nous allons la perdre ! Elle ne peut plus respirer » commanda-t-elle

Aussitôt, les 3 femmes cessèrent le supplice laissant Sonia reprendre son souffle.

Puis, après quelques minutes pendant lesquelles Sonia haletait, riait nerveusement, soufflait, l'interrogatrice répéta sa question :

« Alors maintenant ! PARLES ! Qu'est-ce que tu lui as fait ! PARLES !»

Et Sonia, exténuée, répondit dans un souffle:

« Je … huff...huff...je vais parler...hufff...hufff...je vais parler...mais arrêtez les chatouilles je vous en supplie... huff...»

« On t’écoute... »

« Je...huff.. avant de la chatouiller...hufff...huff...je l'ai masturbée...huff...puis j'ai fait venir une chèvre qui lui a léché le sexe jusqu’à ce qu'elle jouisse comme une folle...huff..c'est pour ça le...huff...hufff...le cri... et c'est ce qui l'a rendue si chatouilleuse...huff..huff..»

« Tu as laissé une chèvre lui lécher le sexe ? Et c'est toi qui nous a traité de perverse ? Tu seras donc  punie de la même manière ! »

Puis, s'adressant aux gardes.

« Gardes ! Amenez les chèvres !! »

Et Sonia, malgré la fatigue due au supplice qu'elle venait de subir se mit à supplier :

« Non ! Non ! Je vous en SUPPLIE ! TOUT, TOUT mais PAS le supplice de la chèvre ! JAMAIS je ne résisterai ! Je vous en prie. J ai avoué ! J'ai parlé ! Pas le supplice de la chèvre par pitié ! Par pitié pas ça !!»

Pendant que 3 des gardiennes quittèrent la salle de torture pour aller chercher les 3 chèvres, la sexologue alla prendre un seau d'eau rempli de sel ainsi qu'un large pinceau. Puis elle revint s’asseoir sur le tabouret face au sexe nu et écartelé de Sonia qui la suivait des yeux tout en suppliant sans arrêt à la limite des pleurs répétant sans cesse comme un mantra :

« pas les chèvres ! pas les chèvres ! je vous en supplie ! pas les chatouilles ! pas les chatouilles sous les pieds ! Je vous en prie pas ça pas ça !...je...je suis horriblement chatouilleuse des pieds... »

Mais la sexologue, insensible à ses supplications, plongea le pinceau dans la saumure, puis badigeonna le sexe nu et sensible de Sonia de bas en haut et de haut en bas depuis l'anus jusqu'au clitoris en passant par les lèvres ouvertes, ce qui fit sursauter Sonia dans ses liens dans des réflexes chatouilleux, son sexe étant devenu hyper sensible par son orgasme gigantesque. Sonia ne put s’empêcher de rire tout en suppliant sous les va-et-viens du pinceau:

« Non ! Nnnn...ghiiiihihihii... non non pas ça . Nnn..ghihihiii.. pas ça hahahaaaa !.. çà .. hahaaa … ça fait des chatouillles ! ghihihi...hiiii.. ! Ca chatouille ca chatouille...ghiiiiihihii..ca fait des guilis....hihihiiii... hahahaaa.. arretez arretez … ghiiihihiihihiii... »


Mais bientôt, alors que la sexologue continuait de passer son pinceau sur le sexe chatouilleux de Sonia, la faisant rire aux éclats, 3 des gardiennes revinrent dans la salle des supplices avec chacune une chèvre au bout d'une laisse. Des qu'elle les vit, Sonia s'agita de plus en plus dans ses liens tout en riant sous les chatouilles procurées par le pinceau glissant sur son sexe nu, tentant désespérément de se détacher du chevalet de torture, tout en vociférant et suppliant d'une voix de plus en plus paniquée :

« Non ! ghihiiihii ...! non non non ! Hahaaaa... ! je vous en supplie... hihihiiihiii...par pitié tout mais pas ça ...hahahaaaa ... pas les chèvres ! ghiihihiiii ! non ! hihihiiii ! pas les chèvres ! pas le supplice de la chèvre ! haaaahaaahaaa ! Je ne résisterai pas ! ghihiiihiii ...!  »

Mais les gardiennes, parfaitement insensibles a ses supplications, continuèrent a se rapprocher du chevalet. Sonia, tout en riant, ouvrit des yeux immenses incrédules et en panique totale en voyant une des 3 chèvres être rapprochée de la sexologue qui lui céda sa place en se levant tout en continuant à passer le pinceau sur le sexe écartelé. Sonia essayait de faire monter son corps sur le chevalet de torture afin d’éloigner son sexe du nez pointu et poilu de la chèvre, mais c’était évidement impossible. Puis elle tourna violemment sa tête vers l'un de ses pieds nus puis vers l'autre, les yeux complètement affolés tentant de faire reculer ses pieds dans ses liens mettant ses longs orteils en extension vers l’arrière afin de s’éloigner au maximum des museaux des 2 autres chèvres.  Sa respiration et les battements de son cœur s’accélérèrent brutalement sous l'effet d'une peur panique qui lui glaçait le sang. Elle supplia tout en riant :

« Non ! Non ! ghiiiihihiii ! pas les chèvres ! pas les chèvres par pitié paaas les chèvres ! ..hahaaahahaa  je vous en suppliihihiii... pas le supplice de la chèvre...hahhahaaaa...je suis trop chaaaa... hhahaaaa... chatouilleuse des pieds ...ghiihihiiii... hihiiii ...»

Toute l’assemblée restait silencieuse bercée et terriblement excitée par ces rires et ces supplications. Soudain les 2 chèvres brunes aux pieds de Sonia, en diète de sel depuis 3 jours furent attirées par le sel qui avaient imbibé les pieds pendant ces mêmes 3 jours; elles se mirent à lécher goulûment les grands pieds nus exposés de la suppliciée passant leurs langues frétillantes depuis le talon jusqu'aux longs orteils en passant bien le plat de leur langue sous  la voûte plantaire ; leurs langues agiles et incroyablement flexibles changeaient de forme en épousant parfaitement les courbes délicieuses des pieds nus : de plates, courbées et larges dans le creux des plantes de pieds, elles devenaient fines et pointues lorsqu'elles s'agitaient à la base et entre les longs orteils fins afin de récupérer le maximum de sel dont elles étaient si friandes. Elles léchaient les pieds nus à une vitesse  hallucinante rentrant et sortant des bouches des chèvres dans des va-et-viens hyper rapides. Elles lapaient ainsi inlassablement les plantes de pieds nus et les orteils chatouilleux à la recherche de sel, laissant sur la peau nue des pieds une très fine couche de bave qui augmentait encore plus les sensations de chatouilles.

Et quel supplice abominable ! La pauvre Sonia, déjà naturellement horriblement chatouilleuse des pieds, l’était encore beaucoup plus après avoir bu à forte dose pendant 3 jours la fameuse potion la rendant encore plus chatouilleuse, et surtout juste après son orgasme d'une intensité phénoménale. Sans parler bien sur du supplice de la chèvre sous la plante des pieds, qui en soit est une torture insupportable même pour les moins chatouilleux. Alors on peut imaginer à quel point ce supplice était horrible pour la pauvre Sonia.

Au premier contact furtif et rapide des langues de chèvre avec ses plantes de pieds nues, Sonia fut saisie d'un immense frisson chatouilleux parcourant tout son corps. Ses yeux s’écarquillèrent en grand fixant le plafond comme si elle disjonctait ! Aucun son ne sortit de sa bouche pourtant ouverte tellement elle était en état de choc sous les sensations de chatouilles absolument abominables. Jamais elle n'avait ressenti un tel chatouillement de toute sa vie. Les sensations de chatouilles dépassaient très largement tout ce qu'elle pouvait imaginer. Son corps restait transit par autant de sensations simultanées. Sa respiration fut coupée tandis que les langues de chèvre continuaient inlassablement de lui lécher goulûment ses plantes de pieds nues et ses orteils affreusement chatouilleux. Ses longs orteils restaient figés en extension vers l’arrière.

Incapable de respirer, son visage devint rouge puis bleu. Puis dans un réflexe de survie lui remontant du plus profond de son être, elle finit par réussir à remplir ses poumons d'un air bienfaiteur, pour aussitôt l'expulser complètement dans un immense cri de détresse suivi d'un hurlement de rire d'une violence colossale qui partait d'un son hyper aigu puis descendait en staccato vers les  graves tout en diminuant d’intensité au fur et à mesure que l'air s’échappait de ses poumons. Le rire réflexe, forcé par les abominables sensations de chatouilles des pieds, reprit de nouveau après une longue phase de silence au cours de laquelle Sonia avait du mal à retrouver son souffle. Le rire intense et mélodieux de femme chatouillée se déchaîna comme un ouragan en résonnant dans la salle de torture, tandis que Sonia se tortillait comme une folle dans ses liens tentant d’échapper en vain au supplice des langues de chèvres lui léchant inlassablement la plante des pieds.

« wuuuUUUAAAAAHHHAAHAHAAAA ! ….. wuuuuUUUAAAAHAHAAHAHAA... HAHAHA...HAAAAAAAAAA....HAHAHAHAHA...HAHAHAHAHAA...HAHAHAHAHAA...
ghaAHAHAHA...wuuAAAHAHAHAHA...wuaaaaAHAHAHAHAHHHAAA...»

Elle ne pouvait qu' hurler de rire. Elle ne pouvait avoir aucune pensée cohérente. Seuls existaient les langues de chèvres léchant atrocement ses plantes de pieds nues et ses longs orteils, et ces abominables sensations de chatouilles qui lui vrillaient le cerveau. Durant un très court instant, au cours duquel une des langues de chèvre semblaient lécher les pieds un peu moins violemment, Sonia réussit péniblement à prononcer quelques mots au milieu d'un concert de rires débridé d'une voix devenue soudainement hyper aiguë et très très rapide, comme si elle voulait tout dire en même temps, tout en fixant de ses yeux en larmes ses longs orteils qui frétillaient sous le supplice :

« Arrêtez les chèvres !!  arrêtez les chèvres !!! wuuuUUUAAAAHAHAHA … arrêtez les chatouilles !!!  ...les...hihiiihihii...ghiiii..wuuuAAAAAHAHAHAHA... les...WUAAAHAHAAAA... les chèvres ! les chèvres !! elles me  chatouillent les pieds …. ghihihiiihihi! Pas les pieds ! ca chatouille ! …. hahahahaha...c'est horrible …. wuuuuUUUAAAAHAHAHAA... WUUAAAAHAHA.. ghiiihihihiii...c'est insupportable...ghiiighiighihihiggiii... »  


Alors que les 2 chèvres, inconsciente des effets atroces procurées par leur langues, continuaient inlassablement leur horrible besogne allant même jusqu’à aspirer tous les orteils horriblement chatouilleux entre leurs larges lèvres souples et poilues puis dans leurs bouches chaudes et avides de sel, poussant encore un peu plus la pauvre Sonia au bord de la démence chatouilleuse, la 3ieme chèvre entra en action. Des que les poils de son museau pointu effleurèrent le sexe nu et écartelé de Sonia, la langue fouineuse se mit à lécher goulûment l’intégralité du sexe depuis le pourtour de l'anus jusqu'au clitoris frôlant au passage les lèvres ouvertes, sans ce soucier le moins du monde des effets procurées sur la suppliciée.

Cette nouvelle et intense léchouille du sexe abominablement chatouilleux était celle de trop ! Sonia cessa de rire ; son cerveau n'arrivait plus à assimiler cette nouvelle sensation mélange de chatouillements extrêmes et d’énorme excitation sexuelle, sensation qui se mélangeait à l'insupportable chatouillement des pieds. Elle ne pouvait de nouveau plus respirer ; elle était dans un état second comme pour échapper à cette abominable torture; elle voulait hurler de rire, mais aussi crier d'un immense plaisir sexuel, mais elle n'y arrivait pas sous les sensations contradictoires, comme si son cerveau ne pouvait pas choisir.

Soudain, un très violent spasme parcourut tous les muscles de son corps nu et attaché ce qui débloqua sa respiration, lui permettant ainsi d'inspirer des litres d'air salvateurs, air qu'elle expira aussitôt très violemment dans un réflexe chatouilleux sous forme d'un rire féminin hyper aigu, puissant et mélodieux, suivi d'un râle de plaisir, de bafouillements excités incompréhensibles, et de gémissements, qui tous résonnèrent en se mélangeant dans la salle de torture :

« …....    …......   …..... bvvvvvzzzz.....zzzzz.....  mmmmummmmmm... …..bbbbllll.... gggggg..... bvuuuuu...mmmmm...OOOOHHHHH....mmmmhhhh  .... WUUUUAAAAAHAHAHAHAHAA..... hiiihihihihiiiihihiiiiiii...ooooohhh.... mmmmmhummmm... ghiiiihihihihiiiii... HIHIIIIHIHIHII....
…..  …... zzbbllblblll... mmmmhhummm … bliiiiiiihihihiiihihiiii... mmmmmhhh...  hihihiiihihiiii... wuuUUUAAAHAHAHAAAA....WUUUAHAHAHAAAAA....hihihihihiiiiiii...ghighighiii.. mmmmm... WUUUUAAAAAAAAAHAHAH... ..WUUUAHAAAAAHHAAAA... HAHAAAAH... »

elle n' avait encore jamais ressenti une telle excitation sexuelle ; elle allait jouir de manière encore plus phénoménale que tout à l'heure, elle le savait ; ce qui la fit pleurer de plaisir sous la torture tout en se tordant de rire dans ses liens sous les abominables chatouilles de ses plantes de pieds et de son sexe en feu par les langues vivaces des 3 chèvres parfaitement sourdes à ses réactions délirantes.

C'est alors qu'une des chèvres se mit à sucer goulûment entre ses lèvres souples et velues les longs orteils du pied droit qui se tortillaient sous le supplice, tandis qu'une autre chèvre léchait bien soigneusement le pied gauche du plat de la langue en insistant bien dans le creux de la voûte plantaire cherchant à récupérer le maximum de sel sous la plante des pieds, et que la troisième chèvre enfonça d'un coup sa langue souple et musclée jusqu'au fond du sexe ouvert et en feu de Sonia, ce qui déclencha instantanément une orgasme gargantuesque !!!

Sonia poussa un cri que personne ni même elle n'avait jamais entendu ! Un cri de jouissance provenant du plus profond de son être. Un cri immense qui la secoua de la tête aux pieds.  Ses yeux se révulsèrent sur leurs orbites en louchant vers le haut de son crane, en même temps qu'un immense et très large sourire laissait apparaître ses belles dents et sa langue qu'elle ne contrôlait plus et qui sortit sur le cote de sa bouche baveuse, réactions qui montraient à l’évidence à quel point elle jouissait d'une manière extraordinaire. Ce cri fut suivi d'un autre, puis d'un autre encore plus fort, puis de hurlements de rire sous les incessantes chatouilles des pieds et du sexe, chatouilles devenues encore plus abominablement insupportables du fait de ce deuxième orgasme aux proportions bibliques.

Sonia était en train de basculer dans la folie pure. Elle ne savait pas quand cette torture à la fois abominable et si immensément délicieuse allait s’arrêter. Elle agitait tous ses longs orteils dans des frétillements souples et extrêmement rapides ; elle cambrait ses plantes de pieds dans des contorsions de danseuses ; elle se tortillait comme un ver nu sur le chevalet de torture sous l'effet de son état de jouissance extrême qui l'emmenait au paradis des plaisirs sexuels, et en même temps sous l'effet des insupportables chatouilles procurées par les langues de chèvres infatigables...Elle riait, elle pleurait, elle hurlait, elle criait, sa voix passant des graves aux aigus sous l'insupportable supplice.

C'est alors que la directrice décida l'interruption (temporaire) du supplice ! Aussitôt, les gardiennes tirèrent sur les cordes attachées aux cous des 3 chèvres, les éloignant ainsi du corps nu de Sonia, corps qui leur servit de repas pendant 45 longues minutes de torture.

Sonia affichait un très large sourire mélange d'extase absolue et résidu de ses hurlements de rire... Le corps complètement relâché, elle soufflait en bavouillant des mots parfaitement incompréhensibles, faisant parfois grossir des bulles de bave qui éclataient, sous l'effet de petites crise de rires réflexe, telle une folle incapable de se contrôler :

« ….mmmmm...zzesss...mhiiiiihihii...zzz..mmhuumm..ghihiiiHIHIIII....ca...hihii...cha....hahaaahahaa...ghiiighii....mmmmm...pp..ghaaahaaa...blblblll...bliiii...nnnn...mmmm...ohhh...hihiii... »

« Ca suffit pour l'instant ! Je crois qu'elle en a eu assez ! » s'exclama la Directrice, interrompant ainsi le silence de l’assemblée abasourdie par cette incroyable  séance de torture.

« Je crois qu'elle se souviendra toute sa vie de cette séance de chatouilles sexuelles ! » conclut-elle.